Posts Tagged ‘corruption’

71- Dans l’affaire de la corruption au Québec publiée par McCleans Est-ce que McCleans a raison sur la corruption

Wednesday, October 13th, 2010

Commentaire Par
Roger-Luc Chayer
Photo McCleans

Tout le monde connaît maintenant la controverse causée par la publication d’un article qui tente de faire la démonstration que le Québec serait, selon l’auteur de l’article, la province la plus corrompue du Canada. Il s’agit d’une conclusion très grave à faire pour un journaliste puisque l’article, même s’il est bien documenté, met en évidence un tout autre portrait.

Comment arriver à une telle conclusion? Selon le journaliste responsable de cet article, le Québec compterait plus de scandales financiers, d’enquêtes sur la corruption des politiciens, des municipalités, dans le domaine de la construction ou sur la nomination des juges que toutes les autres provinces du Canada. Or, la différence entre le Québec et les autres provinces canadiennes est notre tradition napoléonienne de transparence et de démocratie. En effet, si au Québec on parle beaucoup plus de scandales et de corruption c’est peut-être dû au fait que nous avons des institutions qui en parlent avec plus de transparence voilà tout. Le fait de parler ouvertement de corruption ici ne signifie pas qu’en Ontario le problème soit moindre, cela signifie peut-être uniquement que le Québec est une nation plus mature et qu’elle est apte à traiter de ses problèmes internes plus ouvertement, avec plus de transparence et avec sérénité que l’Ontario.

Est-ce que McCleans a raison de dire que le Québec est corrompu?
La généralisation proposée dans l’article me préoccupe beaucoup à un point tel que je me suis demandé si, en agissant ainsi, le magazine n’enfreignait pas la Charte québécoise des droits et libertés qui interdit la discrimination en fonction de la culture, des croyances, de l’orientation sexuelle ou de la religion. La Charte québécoise protège aussi la dignité de tous les québécois, c’est dans la loi. Depuis 1993 je suis journaliste et j’ai occupé ces fonctions pour le Magazine RG, TVA, TQS, le Journal de Montréal et pour la revue Le Point devenue Gay Globe Magazine.

J’ai personnellement été le témoin d’actes de corruption pendant ces années comme observateur et je peux facilement cibler les éléments de la société qui sont les plus susceptibles d’être corrompus au Québec. Par exemple, le monde politique est probablement le plus corrompu, suivi de près du monde de la construction et dans une moindre mesure, le domaine des levées de fonds pour les causes sociales. Ce sont mes observations personnelles. Toutefois et contrairement au Magazine McCleans, je suis en mesure de cibler des éléments de la société qui sont selon moi corrompus sans cibler un peuple, une race, une minorité ethnique ou une population quelconque.

Là où échoue McCleans dans son exercice journalistique est dans le fait de cibler la nation québécoise au complet sans tempérer ou ventiler par des exemples concrets. Je ne suis pas avocat mais je connais certains éléments des lois québécoises comme la Charte québécoise des droits et libertés qui protège justement la population contre les généralisations. McCleans échoue lamentablement le test de la ventilation et en cela, il commet un geste d’une grande rareté au Canada, le racisme basé sur les préjugés et la haine d’une nation fondatrice. En ce sens, McCleans doit être condamné.

Quand j’ai su que mon fournisseur de téléphonie cellulaire, était propriétaire de McCleans, je me suis demandé si mon argent pouvait possiblement servir à financer des actes racistes. Pour trouver réponse à ma question je me suis demandé quelle pouvait bien être la réaction de Rogers à cet article et si elle était intervenue pour s’excuser ou punir les auteurs de ces propos. Malheureusement, la réponse est non. Est-ce que Rogers est une si grosse compagnie qu’elle ne peut exercer un leadership efficace dans les circonstances? Je ne le crois pas. Est-ce qu’il serait possible que Rogers puisse être d’accord avec l’article et considérer que la nation québécoise est corrompue? C’est une possibilité puisqu’elle ne dit pas “non”…

J’ai donc contacté Rogers le 28 septembre pour leur demander de rétablir la situation dans les 48 heures faute de quoi je devrais me passer de leurs services lors du renouvellement de mon contrat avec eux en décembre. Je ne voulais définitivement pas financer une entreprise possiblement raciste. Lors de mon entretien avec un superviseur de l’entreprise, Monsieur Fabrice Lajeunesse, j’ai clairement énoncé les raisons de ma décision et ma demande a été bien reçue.

Malheureusement, passé le délai de 48 heures, je n’ai pas reçu les excuses requises, je me passerai donc dorénavant des services de Rogers, une société qui a les apparences d’un racisme orienté contre la nation québécoise dans son ensemble et à ce titre, elle devra se priver de mon argent.

Est-ce que le magazine McCleans a raison de dire que le Québec est corrompu?

Tuesday, September 28th, 2010

Tout le monde connaît maintenant la controverse causée par la publication d’un article qui tente de faire la démonstration que le Québec serait, selon l’auteur de l’article, la province la plus corrompue du Canada. Il s’agit d’une conclusion très grave à faire pour un journaliste puisque l’article, même s’il est bien documenté, met en évidence un tout autre portrait.

Comment arriver à une telle conclusion? Selon le journaliste responsable de cet article, le Québec compterait plus de scandales financiers, d’enquêtes sur la corruption des politiciens, des municipalités, dans le domaine de la construction ou sur la nomination des juges que toutes les autres provinces du Canada. Or, la différence entre le Québec et les autres provinces canadiennes est notre tradition napoléonienne de transparence et de démocratie. En effet, si au Québec on parle beaucoup plus de scandales et de corruption c’est peut-être du fait que nous avons des institutions qui en parlent avec plus de transparence voilà tout. Le fait de parler ouvertement de corruption ici ne signifie pas qu’en Ontario le problème soit moindre, cela signifie peut-être uniquement que le Québec est une nation plus mature et qu’elle est apte à traiter de ses problèmes internes plus ouvertement, avec plus de transparence et avec sérénité que l’Ontario.

Est-ce que McCleans a raison de dire que le Québec est corrompu?

La généralisation proposée dans l’article me préoccupe beaucoup au point tel que je me suis demandé si, en agissant ainsi, le magazine n’enfreignait pas la Charte québécoise des droits et libertés qui interdit la discrimination en fonction de la culture, des croyances, de l’orientation sexuelle ou de la religion. La Charte québécoise protège aussi la dignité de tous les québécois, c’est dans la loi.

Depuis 1993 je suis journaliste et j’ai occupé ces fonctions pour le Magazine RG, TVA, TQS, le Journal de Montréal et pour la revue Le Point devenue Gay Globe Magazine. J’ai personnellement été le témoin d’actes de corruption pendant ces années comme observateur et je peux facilement cibler les éléments de la société qui sont les plus susceptibles d’être corrompus au Québec. Par exemple, le monde politique est probablement le plus corrompu, suivi de près du monde de la construction et dans une moindre mesure, le domaine des levées de fonds pour les causes sociales. Ce sont mes observations personnelles. Toutefois et contrairement au Magazine McCleans, je suis en mesure de cibler des éléments de la société qui sont selon moi corrompus sans cibler un peuple, une race, une minorité ethnique ou une population quelconque.

Là où échoue McCleans dans son exercice journalistique est dans le fait de cibler la nation québécoise au complet sans tempérer ou ventiler par des exemples concrets.

Je ne suis pas avocat mais je connais certains éléments des lois québécoises comme la Charte québécoise des droits et libertés qui protège justement la population contre les généralisations. McCleans échoue lamentablement le test de la ventilation et en cela, il commet un geste d’une grande rareté au Canada, le racisme basé sur les préjugés et la haine d’une nation fondatrice. En ce sens, McCleans doit être condamné.

Quand j’ai su que mon fournisseur de téléphonie cellulaire, Rogers, était propriétaire de McCleans, je me suis demandé si mon argent pouvait possiblement servir à financer des actes racistes. Pour trouver réponse à ma question je me suis demandé quelle pouvait bien être la réaction de Rogers à cet article et si Rogers était intervenu pour s’excuser ou punir les auteur de ces propos racistes. Malheureusement, la réponse est non. Est-ce que Rogers est une si grosse compagnie qu’elle ne peut exercer un leadership efficace dans les circonstances? Je ne le crois pas. Est-ce qu’il serait possible que Rogers puisse être d’accord avec l’article et considérer que la nation québécoise est corrompue? C’est une possibilité puisqu’elle ne dit pas “non” publiquement.

J’ai donc contacté Rogers le 28 septembre dernier pour leur demander de rétablir la situation dans les 48 heures faute de quoi je devrais me passer de leurs services lors du renouvellement de mon contrat avec eux en décembre. Je ne voulais définitivement pas financer une société raciste. Lors de mon entretien avec un superviseur de l’entreprise, Monsieur Fabrice Lajeunesse, j’ai clairement énoncé les raisons de ma décision et ma demande a été bien reçue. Malheureusement, passé le délai de 48 heures, je n’ai pas reçu les excuses requises, je me passerai donc dorénavant des services de Rogers, une société qui a les apparences d’un racisme orienté contre la nation québécoise dans son ensemble et à ce titre, elle devra se priver de mon argent.

Témoignages journalistiques recherchés

Sunday, July 25th, 2010

Est-ce qu’il vous est déjà arrivé de croiser un agent de stationnement de l’Arrondissement Ville-Marie qui, au moment de vous remettre une contravention, vous demande de payer le constat cash en vous promettant en échange d’annuler les frais de 12$ qui vont avec le constat?

Il s’agit d’un préposé de sexe masculin, nous avons son identité mais souhaitons receuillir des témoignages similaires afin de préparer un dossier spécial à être diffusé sur GGTV et qui mettra en évidence ce qui semble être un cas de corruption d’un employé municipal relevant des services policiers.

Si vous avez été témoin de ce genre de situation, veuillez communiquer en toute confidentialité avec Gay Globe Média à [email protected]

49- Référence: Info Mafia Rose sur le Web

Wednesday, May 5th, 2010

Un nouveau site Internet fait bande à part du mouvement communautaire gai et au même titre que les
Panthères Roses, il met la corde au cou des leaders communautaires gais pour mieux les critiquer…
Lʼexpression lancée dans les
années 70 par quelques groupes
anti-communautaires homo-
sexuels de New-York prend un
sens tout à fait nouveau au Qué-
bec avec lʼapparition de groupes
qui se distancient de plus en plus
du pouvoir “mainstream” tradi-
tionnel gai.
Jadis, jusquʼen 2005, il était pra-
tique de croire que les leaders
gais provenaient du milieu com-
munautaire et constituaient des
porte-parole structurés dʼune
communauté en manque dʼélus
et de représentation démocrati-
que.
Roger LeClerc, président du
Centre Communautaire des Gais
et Lesbiennes de Montréal et
Laurent Mc Cutcheon, président
de Gai Écoute constituaient les
porte-parole dʼoffice de la com-
munauté à une époque où leur
crédibilité était suffisante pour
que le message passe et soit con-
sidéré par la société.
Or, depuis le début des années
2000, on observe un effritement
du tissu communautaire gai qué-
bécois. Les leaders traditionnels,
suite à des gestes graves posés
dans le cadre de leurs fonctions,
sont devenus obsolètes et non
représentatifs de la masse. La
génération suivante de jeunes
gais lʼaffirme en criant son indé-
pendance des vieilles sacoches.
Le premier groupe à faire son
apparition au Québec a été les
Panthères Roses dont on peut re-
trouver le site Internet au http://
www.lespantheresroses.org/
Les Panthères Roses tentent à
leur manière de changer le dis-
cours traditionnel gai en mettant
en évidence, par un cynisme de
bon goût, les aspects ridicules
de certaines politiques gaies ou
du pouvoir gai en général. Les
gestes dʼéclat des Panthères sont
connus de tous et les leaders du
groupe sont très sincères dans
leurs objectifs.
Un nouveau joueur est venu sʼajouter à la liste des organisations et
individus qui contestent ouvertement le pseudo pouvoir de gais non
élus. Il sʼagit du site Mafia Rose que lʼon peut consulter au http://www.
mafiarose.com/category/vie-gai/. Le site propose une série dʼéditoriaux
sur des sujets dʼactualité qui remettent en cause le discours traditionnel-
lement livré par les vieux militants gais qui semblent ne plus avoir leur
place dans un monde moderne et ouvert sur les autres. Le site constitue
une banque de renseignements importants à consulter pour connaître
les dessous du pouvoir rose, de la pègre lilas si vous préférez…

Municipales Une réflexion post-élections

Saturday, December 5th, 2009

Suite aux élections municipales générales au Québec en novembre dernier, de nombreux changements se sont produits non seulement au conseil municipal de Montréal, mais dans les arrondissements de la ville la plus corrompue du Québec.

Juste avant l’élection, Montréal a été le centre du plus vaste scandale de corruption causé par le Maire de Ville-Marie, Benoît Labonté, qui était impliqué depuis son élection dans de nombreuses affaires sordides qui feront l’objet d’enquêtes policières dans les mois à venir.

Ayant démissionné avant l’élection, le poste de Maire de l’arrondissement n’a pu être comblé, l’arrondissement devenant le seul à ne pas avoir de Maire à sa tête et étant dirigé directement par la ville-centre, par le Maire Tremblay autrement dit. Malgré la tourmente autour du financement occulte des partis politiques à Montréal et ayant été interpellé sur la question, Sammy Forcillo a été réélu, de même que Pierre Mainville qui a obtenu le plus haut taux de majorité dans Ville-Marie. Louise O’Sullivan, autrefois conseillère municipale dans le district n’a pas été en mesure de convaincre les électeurs de Montréal, terminant loin derrière la plupart des candidats avec quelques centaines de voix au total. Le candidat Richard Bergeron a très bien performé lors de ces élections dans le Village en se classant bon troisième. Le mince écart entre les candidats nous permet de croire qu’à la prochaine élection, il est fort probable que M. Bergeron emporte de nombreux arrondissements dont celui de Ville-Marie.

“La majorité a toujours raison, mais la raison a bien rarement la majorité aux élections.” (Jean Mistler)

Le candidat Carle Bernier-Genest, après avoir été absent pendant 4 ans malgré sa première élection dans Rosemont, a récolté le fruit de son arrogance en étant renvoyé par les électeurs de l’arrondissement, en même temps que son patron, le Maire Lavallée. Carle Bernier-Genest, ex-journaliste gai à RG et ex-militant gai s’était retrouvé élu dans Rosemont, prétendant vouloir représenter les jeunes alors que dans son district, ce sont les aînés et les travailleurs qui forment la majorité.

À de nombreuses reprises, le “jeune” élu avait supporté les décisions arrogantes et incohérentes de son patron le Maire Lavallée, la population n’a visiblement pas digérée l’absence de colonne vertébrale de M. Bernier-Genest. Quelques jours avant l’élection, M. Bernier-Genest avait d’ailleurs annoncé à la rédaction de Gay Globe Magazine que l’appui des gais était important pour lui, qu’il avait demandé à un adjoint de soutenir publicitairement notre magazine et que nous allions recevoir un coup de fil à cet effet. “Paroles, paroles” comme disait Dalida, nous attendons toujours son appel… Les gais n’ont plus la cote en 2009 en matière politique et pour cause. Depuis le scandale menant à la démission du député André Boulerice, la prétendue corruption du Maire des gais Benoît Labonté et l’absence totale de Bernier-Genest de son district, les gais font la démonstration qu’ils ne sont pas assez matures pour exercer un pouvoir cohérent et honnête, comme il se doit quand on prétend montrer l’exemple…

Élections Montréal 2009

Tuesday, October 20th, 2009

Gay Globe Magazine brise avec sa tradition de réserve et recommande aux montréalais de voter pour Richard Bergeron, de Projet Montréal, afin de nettoyer définitivement la ville de ses reliquats politiques négatifs.

Depuis 1998, que ce soit dans Le-National, dans Le Point ou sur Gay Globe TV, nous suivons toujours de très près les élections, qu’elles soient du Canada, du Québec ou des municipalités. Nous sondons nos lecteurs et arrivons toujours à des résultats si près de la réalité qu’il est de notoriété publique maintenant que nos lecteurs sont représentatifs de l’électorat moyen au Québec.

Voilà que le 1er novembre prochain, les électeurs québécois se présenteront aux urnes pour élire les dirigeants de leurs municipalités et villes. À Montréal, trois candidats se font une lutte sérieuse pour le poste de Maire et pour obtenir la majorité des conseillers afin de diriger la ville. Gérald Tremblay, l’actuel Maire, Louise Harel, candidate de Vision Montréal et un joueur qui se démarque depuis quelques mois, Richard Bergeron, de Projet Montréal, nous demandent de leur confier Montréal.

Depuis huit ans maintenant, l’actuel Maire de Montréal, Gérald Tremblay, démontre son incapacité à administrer la ville. Les preuves s’accumulent tant au niveau des conditions sanitaires déplorables, de l’état général de la ville qui est la seule considérée comme tiers-mondiste en Amérique du nord et qui est impliqué dans les pires scandales de corruption possibles. La ville n’est plus que l’ombre de ce qu’elle était il y a huit ans et il est clair à la rédaction de Gay Globe Média, que cet individu a mutilé, volontairement ou par incompétence, les fondations même de ce qui a fait de Montréal une ville exceptionnelle par le passé. GÉRALD TREMBLAY NE DOIT PAS ÊTRE RÉÉLU! Dans Rosemont, Carle Bernier-Genest (Équipe Tremblay), autrefois militant gai et journaliste à RG déclare à GG Mag qu’il est important de supporter un élu gai et en même temps persiste à ne pas supporter notre média gai avec un placement publicitaire, quand l’incohérence domine, il faut s’abstenir.

“Pourquoi des mecs élus par nous pour faire ce qu’on veut, au lendemain des élections, font ce qu’ils veulent ?” (Coluche)

Louise Harel, juste avant d’annoncer son éventuelle candidature à la tête de Montréal, affirmait vouloir éventuellement le faire pour changer les choses et sortir Montréal de sa situation actuelle, confirmant du coup la situation tiers-mondiste de la ville et l’incapacité du Maire à la diriger. Forte du vent de changement qu’elle souhaitait imposer aux montréalais et à l’administration publique, dès l’annonce de sa candidature, les sondages lui donnaient de très bons scores, confirmant le désespoir des montréalais, jusqu’à ce qu’elle annonce les membres de son équipe. Pensant se donner de la crédibilité mais démontrant sa profonde méconnaissance des causes de la situation déplorable de laville, elle annonçait son association avec le Maire de l’Arrondissement Ville-Marie,Benoît Labonté, alors qu’il est le chef de l’arrondissement le plus impliqué dans la descente de la ville aux enfers. Taxes multipliées par trois, saleté repoussante des rues de Ville-Marie, prostitution et drogue devant chaque porte de commerces, Benoît Labonté était la cible à abattre, non pas celui avec qui s’associer.

Autre exemple, l’annonce par Harel de son association avec Réal Ménard, député du Bloc dans Hochelaga alors que ce dernier a été député pendant 16 ans et que ce comté est le plus pauvre, le plus défavorisé, le plus sale avec Ville-Marie et le plus mal administré socialement du Canada. Madame Harel a probablement fait une terrible erreur en s’associant avec les causes même de la piètre situation de Montréal et en ce sens, LOUISE HAREL NE DOIT PAS ÊTRE ÉLUE!

Benoît Labonté: L’Empereur déchu quitte la ville

Sunday, October 18th, 2009

Le politicien qui a dirigé l’arrondissement Ville-Marie comme un empereur, impliqué dans de nombreux scandales et chroniqueur au guide Fugues, est forcé par l’opinion publique de quitter, deux semaines avant l’élection.

Leader de la communauté gaie par la force des choses, l’empereur Benoît Labonté, mieux connu sous le titre de Maire d’arrondissement pour Ville-Marie jusqu’à dernièrement, a annoncé le dimanche 18 octobre dernier sa démission et son retrait de la vie politique à seulement deux semaines des élections municipales, laissant l’arrondissement enfin libre pour un remplaçant qui devra maintenant faire ses preuves et se réconcilier avec ses résidants.

Le Point (devenu Gay Globe Magazine) avait annoncé, dès la seconde année après son élection, que le “nouveau” Maire de Ville-Marie était impliqué dans des décisions hautement louches et avait même donné des exemples qui, encore aujourd’hui, sont inexpliqués par le principal intéressé.

Par exemple, Benoît Labonté semblait avoir des implications très importantes avec les organisateurs des Outgames de Montréal en 2006 et malgré les nombreux avertissements du Point, suite à des enquêtes minutieuses menées sur la base d’informations venant du public, persistait à commanditer l’événement sachant qu’un membre de la haute direction avait un casier judiciaire d’une extrême violence. Une fois les Outgames en faillite, flouant des centaines de fournisseurs, Benoît Labonté a alors embauché à l’Arrondissement les principaux dirigeants de l’organisation, leur offrant des salaires présidentiels, alors que les fournisseurs étaient laissés à eux-mêmes. Par quel jugement est-ce que Labonté pouvait commettre un tel geste déjà en 2006? Nul ne le sait.

À peu près en même temps, Benoît Labonté à participé comme commanditaire et offrait son nom comme support dans l’organisation d’un prétendu “comité” visant à censurer un média gai, en participant activement à la transmission de fausses informations sur ce média de manière à l’obliger à ne plus enquêter l’Empereur. Benoît Labonté a commandité ce comité à même l’argent public, a tenté de forcer ce média à disparaître parce qu’il n’était pas proche de son pouvoir et a failli à la tâche, heureusement.

Autre exemple de despotisme de la part de l’ex-Maire Labonté. Sa participation à une chronique publiée dans le guide gai Fugues, alors qu’il achète dans d’autres pages des espaces publicitaires avec l’argent de l’arrondissement. Un conflit d’intérêt majeur de la part non seulement de Benoît Labonté mais de Fugues qui bénéficiait d’une part de l’argent public de par sa relation quasi-incestueuse avec Labonté mais qui bénéficiait aussi du fait que le même Labonté participait à un comité de censure d’un compétiteur en toute connaissance de cause. Fugues devra tôt ou tard s’expliquer sur son manque d’éthique professionnelle et doit remettre les sommes versées par l’arrondissement à des oeuvres qui le méritent, et pas à ses amis, de manière à laver son intégrité maintenant que M. Labonté n’est plus…

Quant au jugement de Madame Louise Harel, qui acceptait de s’associer à un tel individu pour cette élection à venir dans quelques jours, jamais son parti ne se remettra du scandale causé par le comportement absolument méprisant et odieux du Maire de Ville-Marie. Une honte pour tous les montréalais et aussi pour la communauté gaie puisque Benoît Labonté était aussi un leader de la communauté. Il est impératif d’aller voter le 1er novembre afin de ne pas permettre l’arrivée ou le maintien de politiciens du même genre. La démocratie c’est aussi de s’approprier de nos droits et c’est aussi d’assumer nos responsabilités. Gay Globe Magazine recommande Richard Bergeron comme Maire de Montréal… Si seulement nous avions un Régis Labaume à Montréal…

Gérald Tremblay et la valse des postes de police

Saturday, September 26th, 2009

Un maire impuissant, corrompu et faible ça fait des conneries et ce sont les contribuables qui paient pour ces idioties commises en leur nom. À Montréal, nous avons notre maire faible et impuissant, Gérald Tremblay et discrètement, sans que personne ne dise mot, voilà qu’il commet encore une fois des actes ridicules qui ont non seulement des conséquences graves financièrement, ils insécurisent l’ensemble de la communauté.

Exemple, le service de police dans Rosemont et ses déménagements qui se suivent à un rythme ridicule. Le poste de police 44, qui siégeait il y a environ 10 ans sur la rue Molson coin Masson a été déménagé à grands frais vers un nouveau poste de quartier sur St-Joseph, face à l’épicerie Métro, vers la 16ème avenue. À peine rodé, le nouveau complexe policier, tout neuf et ayant coûté une fortune aux contribuables a été déménagé en 2008 dans un nouveau bâtiment, encore une fois construit à grands frais et financé par les contribuables sur Beaubien, coin 23ème avenue.

Voilà que ce nouveau poste flambant neuf vient d’être fermé cette semaine et une affiche sur la porte indique que les braves policiers sont redéménagés… sur Molson, oui exactement là où ils étaient avant tous ces mouvements et ces constructions qui sont maintenant abandonnées alors qu’elles sont neuves, et des millions de dollars plus tard. Des millions pour rien, enfermez le maire et vite, il est devenu fou! Demandez maintenant à un rosemontois de dire où est son poste de police local, personne ne saura quoi répondre.

À quand une commission d’enquête sur les magouilles et la corruption à la mairie de Montréal? Si le Maire devait payer pour ces constructions neuves inutilisées, il serait probablement le premier à dire NON! Il faut en parler, le dénoncer publiquement. Dernier argument, si le budget de construction de ces bâtiments avait été économisé par la ville, nous aurions un compte de taxes 20% plus bas dans Rosemont, parce que dillapider les fonds du public, c’est exactement ce qu’à fait le Maire avec les déménagements et contructions de nouveaux postes de police, pour rien, mais c’est nous qui payons, tous les jours, pour les décisions de Gérald Tremblay.

Allez voter le 1er novembre 2009!

Vote élection Montréal 2009

Sunday, August 30th, 2009

Aujourd’hui même, Louise Harel, Gérald Tremblay et Louise O’Sullivan lancaient leurs campagnes électorales officiellement pour la mairie de Montréal, une ville en ruines et tiers-mondiste depuis l’arrivée de Tremblay et de son greffon Benoît Labonté à Ville-Marie.

Il faut tôt ou tard prendre une décision et voici la mienne:

Il est hors de question que je vote pour Gérald Tremblay, un maire faible, hypocrite, un homme sans convictions qui gère la ville comme un réactionnaire, en fonction des scandales qui sortent sur lui et ses fonctionnaires-élus. M. Tremblay n’est pas apte à diriger une ville aussi importante que Montréal, il en a fait la preuve au fil des années, dans les entrevues qu’il donne, en comparaison avec les autres maires des villes du Québec. Gérald Tremblay n’aura pas mon vote cette année. NON!

Louise Harel, qui est arrivée comme une sauveuse crédible et attendue pour les montréalais est décevante au quotidien. Immédiatement après l’annonce de son arrivée comme candidate, elle annonçait qu’elle s’associait avec Benoît Labonté, le pire dirigeant d’arrondissement à Montréal, responsable de la ruine du centre-ville, responsable des augmentations de 300% des parcomètres dans Ville-Marie et ex-ami de Gérald Tremblay. Louise Harel n’est plus l’occasion de changement qu’elle incarnait à son arrivée. Réal Ménard, député bloquiste d’Hochelaga-Maisonneuve s’est aussi allié à elle, son arrondissement est le pire arrondissement du Canada à tous les niveaux et il en est le député depuis 16 ans. Un incapable, incompétent qui n’a jamais réussi à rien faire dans son comté se joint à Louise Harel, c’est suffisant pour moi pour ne plus voter Harel. Non!

Louise O’Sullivan, assez inconnue dans le reste de Montréal, ancienne conseillère de Ville-Marie défaite aux dernières élections. Comme journaliste à la tête d’un groupe média gai s’adressant aux électeurs de Ville-Marie, j’ai eu la preuve aux dernières élections qu’elle ne pourrait jamais être maire ou dirigeante parce que son éthique est plus que questionnable. Lors des dernières élections, lorsqu’elle avait été approchée pour placer de la pub dans Le Point pour convaincre les électeurs de voter pour elle, sa réponse a été très simple: “Metez toute la pub nécessaire à me faire élire sans me facturer et une fois élue, j’achèterai des espaces publicitaires dans votre magazine avec le budget de la ville pour vous remercier”. C’est de la corruption ça non? Vote: Non!

Mon vote en 2009: Richard Bergeron. Non pas parce qu’il est intéressant mais parce que si je ne vote pas, je ne contribue pas à sortie Gérald Tremblay de son siège. Le seul moyen de le sortir de son poste est de voter pour un autre que lui sinon il restera maire avec seulement 27% des votes, comme la dernière fois. Richard Bergeron n’a aucun charisme, n’a jamais la parole, n’attaque personne, est invisible, n’a aucun programme intéressant mais il a une chose pour lui, en votant pour lui, Tremblay ne rentre pas, Harel reste chez elle avec son Labonté et son Ménard et Montréal se porte mieux automatiquement. Dirigée par un cochon, la ville serait en meilleur état!

Je vote Richard Bergeron par dépit, faites de même si vous avez un peu de respect pour ce que vous êtes comme montréalais.