Archive for November, 2012

Pierre-André Vaillancourt en faillite!

Tuesday, November 27th, 2012

Détails à suivre.

«L’infection HIV est comparable aux autres maladies chroniques»

Monday, November 26th, 2012

Lematin.ch

La Journée mondiale de lutte contre le sida approche à grands pas. Environ 34 millions de personnes dans le monde, dont 97 % sont dans les pays en développement, sont actuellement infectées avec le virus du sida. Mais l’optimisme prévaut chez les chercheurs quant à l’éradication de la maladie. Le point sur la recherche avec le Pr. Giuseppe Pantaleo, chef du service d’immunologie et d’allergie au CHUV*, à Lausanne.

Le Matin: – Où en est la recherche sur la sida?

Giuseppe Pantaleo: La recherche sur le sida vit un moment très positif. La Pr. Françoise Barré-Sinoussi (ndrl: chercheuse française de renommée mondiale qui a reçu le prix Nobel de médecine en 2008 pour avoir découvert en 1983 le virus de l’immunodéficience humaine (HIV) à l’origine du sida) a lancé il y a un an une nouvelle initiative pour développer une cure contre le HIV.

Nous connaissons les mécanismes qui permettent au HIV de persister après plusieurs années de thérapie. Pendant la thérapie antivirale, le virus arrive en effet à se cacher au système immunitaire. Il peut ainsi réapparaître une fois le traitement terminé. Il s’agit donc de développer des stratégies pour attaquer le virus pendant la phase où il se cache. Des médicaments, déjà utilisés dans le traitement du cancer, sont actuellement testés pour réactiver la réplication du virus pendant cette phase et pour le rendre visible au système immunitaire.

Le Matin: – Qu’en est-il d’un vaccin contre le sida?

Les choses avancent! En 2009, le premier test clinique d’un vaccin expérimental contre le virus du sida, mené en Thaïlande sur plus de 16’000 adultes, a démontré une efficacité du produit de 60% un an après, et de 30% trois ans après. L’objectif est bien sûr d’atteindre les 100%, mais nous pouvons déjà être satisfaits, car l’impact à long terme est important. Nous allons dans la bonne direction! D’autres vaccins sont en train d’être développés.

Le Matin: – A Lausanne également?

A Lausanne aussi. Au CHUV, nous menons des études pour évaluer la tolérance des ces nouveaux produits et leur capacité à induire une réponse immunitaire contre le HIV. En 2014, une série d’études va démarrer en Afrique du Sud pour évaluer l’efficacité de ces nouveaux vaccins. Parmi eux figureront les vaccins lausannois. Le problème, c’est que ces études prennent beaucoup de temps. Il faut trois ans et demi avant d’avoir les résultats.

Le Matin: – Est-on proche d’une fin de la pandémie, comme annoncé lors de la conférence mondiale sur le sida en juillet dernier?

Il est clair qu’avec le meilleur accès à la thérapie dans les pays en développement, la tendance n’est plus à la hausse. Plus les malades sont traités, moins ils vont transmettre le virus. Mais il est impossible de mettre toutes les personnes infectées sous thérapie.

Pour éradiquer complètement la maladie, la seule solution demeure le développement d’un vaccin. Et si vous combinez le vaccin avec des mesures de prévention telles que la circoncision chez l’homme, vous arrivez potentiellement à avoir un impact majeur, soit de 70 à 80% de protection. D’où l’optimisme des chercheurs lors de la conférence mondiale sur le sida.

Le Matin: – Comment les patients vivent-ils aujourd’hui avec le sida?

Ils vivent une vie 100% normale! Aujourd’hui, avec les progrès de la médecine, les patients ont la possibilité de prendre une pilule une fois par jour. La formule a été améliorée et les effets secondaires ont été divisés par dix par rapport il y a dix ans. La thérapie est moins toxique qu’avant. Selon moi, à l’heure actuelle, l’infection HIV est comparable aux autres maladies chroniques.

*Le CHUV organise deux journées d’action sur le sida les vendredis 23 et 30 novembre.

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51% des porteurs du VIH au Maroc ont entre 15 et 34 ans

Monday, November 26th, 2012

lopinion.ma

La 4ème édition de la campagne nationale de sensibilisation au Sida «Sidaction Maroc 2012» aura lieu du 06 au 31 décembre prochain, ont annoncé, mardi soir à Casablanca, les organisateurs.
Initiée, sous le Haut Patronage de SM le Roi Mohammed VI, par l’Association de Lutte Contre le Sida (ALCS), cette édition sera axée sur les jeunes, ont-ils souligné notant que 51 pc des porteurs du VIH au Maroc ont entre 15 et 34 ans, selon les dernières données épidémiologiques du mois de juin dernier.
Les jeunes, qui constituent 30 pc de la population, sont les plus menacés par le VIH/sida, ont-ils indiqué estimant que 29.000 marocains vivent avec le VIH en ignorant pour la majorité leur séropositivité.
Et d’ajouter qu’il faut continuer à inciter un maximum de jeunes à se faire dépister sachant que le dépistage reste un moyen essentiel pour pouvoir freiner l’épidémie.
Pour ce faire, il faut absolument continuer à assurer des soins de qualité aux personnes testées positives et lutter contre la stigmatisation des personnes vivant avec le VIH et des groupes les plus vulnérables, ont-ils mis en avant.
Le programme de «Sidaction Maroc 2012» comprendra une émission de télévision produite par 2M qui sera diffusée le 14 décembre prochain ainsi qu’une programmation spéciale sur «Al oula» pour la collecte de fonds, des reportages, des témoignages ou encore des plateaux animés par des experts nationaux et internationaux.
Une campagne nationale de communication notamment des émissions TV, spot TV, spot radio, affichage urbain et bannières web a été également retenue en vue de sensibiliser le public en général et les jeunes en particulier.
L’ALCS, acteur incontournable de la société civile, est un espace d’aide et de défense des droits des personnes vivant avec le VIH ayant pour principaux objectifs la prévention de l’infection VIH/sida ainsi que la prise en charge et l’accès aux traitements.

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Dépister le VIH en moins de 5 minutes

Monday, November 26th, 2012

Techno-science.net

Grands Défis Canada, dont la mission est d’appuyer des idées audacieuses ayant un grand impact sur la santé mondiale, a annoncé les noms de 17 chercheurs qui recevront une subvention de démarrage pour réaliser des projets visant à lutter contre des problématiques de santé dans des pays en développement. Alexis Vallée-Bélisle, professeur de chimie à l’Université de Montréal, est au nombre de ceux qui recevront 100 000 $, qui serviront à développer son projet pour contrer le VIH-SIDA.

Le professeur Vallée-Bélisle travaille à la mise au point d’un appareil de mesure non dispendieux et facile à utiliser permettant de dépister et suivre les infections au VIH en moins de 5 minutes. “ Un des gros obstacles au traitement et au contrôle de la transmission du VIH dans les pays en voie de développement est attribuable au manque de tests à grande échelle pour la population ainsi qu’au manque de cliniques et de personnels qualifiés pour effectuer ces tests, explique le professeur. La mise au point d’un test de diagnostic du VIH facile à utiliser améliorera grandement l’accessibilité de ces tests permettant par le fait même un traitement plus précoce du virus, réduisant alors grandement son risque de transmission. ”

L’innovation derrière l’appareil de mesure conçu par le professeur Vallée-Bélisle et ses collègues consiste en l’utilisation d’un interrupteur biomoléculaire semblable aux milliards d’interrupteurs moléculaires naturels retrouvés chez l’homme et qui sont à la base des mécanismes biochimiques permettant la vie. Une fois adapté sur une électrode, cet interrupteur moléculaire-électronique va produire une variation de courant électrique lorsqu’activé par les anticorps générés spécifiquement par les individus atteints par le VIH. “ L’avantage majeur de notre interrupteur moléculaire-électronique est qu’il peut fonctionner directement dans le sang non traité, ce qui permet d’obtenir un diagnostic médical quasi instantané en apposant simplement une goutte de sang sur notre appareil ”, souligne le professeur Vallée-Bélisle.

Pour voir la vidéo dans laquelle le professeur Vallée-Bélisle explique son projet (en anglais) : http://bit.ly/105mCPw

Les 17 projets innovateurs ont été choisis parmi les 60 propositions soumises au programme Les Étoiles canadiennes en santé mondiale de Grands Défis Canada, dont les fonds proviennent du gouvernement du Canada. Au total, plus de 1,7 million $ seront versés à des innovateurs de partout au Canada. Le programme Les Étoiles en santé mondiale est à la recherche d’idées uniques, révolutionnaires et abordables pouvant avoir un effet de levier dans la lutte contre la maladie – des innovations susceptibles de bénéficier aussi au monde en développement.

Au terme de cette subvention, si une idée s’avère efficace et éprouvée, l’innovateur sera admissible à une subvention additionnelle de Grands Défis Canada pour le déploiement à grande échelle pouvant aller jusqu’à un million $.

“ Le Canada possède un large réservoir de gens talentueux qui se dévouent à la recherche d’idées audacieuses ayant un grand impact dans le monde en développement, a affirmé le Dr Peter A. Singer, chef de la direction de Grands Défis Canada. Grands Défis Canada est fier d’appuyer ces innovateurs extraordinaires de partout au pays parce qu’ils feront la différence dans un aussi grand nombre de vies. ”

“ Le Canada travaille avec des partenaires de partout dans le monde qui partagent les mêmes idéaux pour faire fructifier nos investissements dans l’innovation en santé et qui sont centrés sur les résultats, a affirmé John Baird, ministre des Affaires étrangères. Nous appuyons les Étoiles en santé mondiale de Grands Défis Canada afin que ces innovateurs puissent mettre leurs talents à contribution dans le cadre des efforts visant à améliorer la santé et la sécurité dans le monde. ”

Alexis Vallée-Bélisle vient tout juste de se joindre à l’équipe de professeurs du Département de chimie, après avoir travaillé sur le développement de biocapteurs dans le cadre d’un postdoctorat en bio-ingénérie à l’Université de Californie, à Santa Barbara. Il s’agit d’un retour à  son alma mater pour le professeur Vallée-Bélise, qui a fait l’ensemble de son cheminement universitaire à l’Université de Montréal, dont un doctorat portant sur le repliement des protéines sous la direction du professeur Stephen Michnick du Département de biochimie.

Grands Défis Canada est financé par le gouvernement du Canada dans le cadre du Fonds d’innovation pour le développement, annoncé dans le budget fédéral de 2008. Pour plus de renseignements sur les subventions et pour voir chacune des courtes vidéos produites par les Étoiles canadiennes pour expliquer leurs projets, visitez le site www.grandchallenges.ca/stars-r3-grantee-announcement-fr/

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Une mosquée pour les homosexuels va ouvrir à Paris

Monday, November 26th, 2012

Jolpress.com

Le collectif « Homosexuels musulmans 2 France » a annoncé qu’il allait ouvrir une mosquée qui permettra aux hommes et aux femmes de prier ensemble et de célébrer les mariages pour les personnes de même sexe.

Bientôt, des homosexuels mariés dans une mosquée à Paris – Photo : jmhullot/flickr cc.

C’est une mosquée très spéciale qui s’ouvrira à Paris, fin novembre. Elle accueillera les musulmans homosexuels ainsi que des femmes, a annoncé le collectif « Homosexuels musulmans 2 France ». Son fondateur, Ludovic-Mohamed Zahed, qui est lui-même homosexuel et musulman, explique que ce sera un lieu où les femmes et les hommes pourront prier ensemble et où pourraient être célébrés des mariages entre personnes de même sexe.

Premier musulman gay marié

« Dans les mosquées normales, les femmes doivent s’asseoir au fond et porter un foulard et les hommes homosexuels ont peur de l’agression verbale et physique », a déclaré Ludovic-Mohamed Zahed, au site d’information turc Daily Hürriyet« Après avoir effectué un pèlerinage à la Mecque, j’ai réalisé qu’une mosquée pour les gays serait un plus pour les musulmans homosexuels qui veulent dire leurs prières. »

Premier homme gay marié au cours d’une cérémonie musulmane en France, Ludovic-Mohamed Zahed est un étudiant algérien qui rédige actuellement une thèse de doctorat sur l’islam et l’homosexualité à Paris. Son premier livre, Le Coran et la chair (Max Milo), a été publié en mars. Après une longue crise d’identité, durant laquelle il a expérimenté le bouddhisme, Ludovic-Mohamed Zahed a fait un pèlerinage à la Mecque et a redécouvert sa religion, a-t-il déclaré dans une interview accordée à France 24.

« Rien dans le Coran n’interdit l’homosexualité »

« Actuellement, la morale islamique condamne cette orientation sexuelle, mais en réalité, rien dans l’islam ou dans le Coran interdit l’homosexualité », déclare Ludovic-Mohamed Zahed« En effet, pendant des siècles, les musulmans ne considéraient pas l’homosexualité comme une abomination suprême, alors que c’est le cas aujourd’hui. »

Ludovic-Mohamed Zahed a créé « Homosexuels musulmans 2 France » en 2010. Le collectif compte plus de 300 membres et a organisé une conférence pour les LGBT (Lesbienne, gay, bisexuelle, transsexuelle) et les musulmans progressistes à Paris au début du mois.

La nouvelle mosquée commencera ses activités dans un temple bouddhiste à Paris, selon Gay Star News, et sera un lieu qui pourra accueillir tous les musulmans qui n’en peuvent plus des positions homophobes, misogynes et intolérantes de l’islam.

Sujet tabou pour les musulmans

« Beaucoup de musulmans sentent qu’ils ne peuvent tout simplement pas avoir un dialogue ouvert sur le sujet, sans pour autant parler de consulter l’imam, sans craindre la condamnation », explique Ludovic-Mohamed Zahed à GSN« Les mosquées comme celles qui ont été déjà mises en place par des musulmans aux valeurs progressistes sont de plus en plus demandées en Amérique du Nord, et c’est pourquoi je crois que cette nouvelle mosquée rencontrera un vrai succès en France ».

« Je suis sûr que si le prophète Mahomet était encore en vie, il voudrait marier des couples homosexuels », a déclaré à France 24Ludovic-Mohamed Zahed, qui a épousé son mari en février.

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Relation homosexuelle supposée de Jean-Marie Le Pen: Les réseaux sociaux s’enflamment, l’intéressé dément

Monday, November 26th, 2012

20minutes.fr

C’est l’ancien maire de Pau, André Labarrère, qui s’était confié auprès d’un autre homme politique…

Jean-Marie Le Pen, connu pour avoir tenu à plusieurs reprises des propos contradictoires sur l’homosexualité, aurait-il déjà eu une relation homosexuelle? Cette hypothèse, racontée dans le dernier livre de Philippe Cohen et Pierre Péan, Le Pen, Une histoire française (Robert Laffont, 2012), dont Le Point a publié les bonnes feuilles cette semaine, a particulièrement retenu l’attention du Daily Mail jeudi, enflammant dans la foulée les réseaux sociaux français.

La relation en question aurait eu lieu avec l’ancien maire socialiste de Pau, André Labarrère. Ce dernier l’avait évoquée, par l’intermédiaire d’une anecdote, auprès d’un autre homme politique, dont le nom n’est pas dévoilé, qui l’a ensuite relatée aux auteurs du livre. Graphologue, André Labarrère avait demandé à Jean-Marie Le Pen, dans les années 1980, de lui écrire un petit texte afin de dresser son portrait psychologique grâce à son écriture. Dans le courrier que lui renvoie l’ancien président du Front national (FN), cette curieuse dédicace: «En souvenir de nos délicieux moments passés ensemble.»

«Une tendre initiation au plaisir entre hommes»

D’après André Labarrère, premier homme politique à avoir déclaré publiquement son homosexualité, il s’agissait de moments vécus durant leur jeunesse, au cours des années 1950, et plus précisément «une tendre initiation au plaisir entre hommes», écrivent Philippe Cohen et Pierre Péan. Dans un entretien donné à Têtu en 2007, l’ancien maire de Pau avait déjà parlé de son admiration physique pour Jean-Marie Le Pen, «un très beau type, fin, grand» avec «une ascendance de marbre», qui «ne (le) laissait pas de marbre». Interrogé par les auteurs du livre, l’ancien président du FN «nie évidemment tout penchant homosexuel» et estime qu’André Labarrère «a sans doute “fantasmé” sur lui».

Cette révélation n’a pas manqué d’enflammer les réseaux sociaux, et notamment Twitter, où les internautes se sont gaussés de sa contradiction avec des propos homophobes tenus par Jean-Marie Le Pen par le passé. «Dans les années 1980, Le Pen qualifiait l’homosexualité d’”anomalie biologique et sociale”», rappelle notamment Le Point.

[Com de Crise] Un conseil / Statement pour Jean Marie Le Pen : “L’homosexualité, c’est juste un détail de ma vie”

La prétendue homosexualité de Jean-Marie Le Pen aura, pour le moment, fait plus de bruit que les autres révélations contenues dans l’ouvrage de Philippe Cohen et Pierre Péan. On y apprend notamment que, contrairement à ce qu’il laissait à penser, l’ancien président du FN n’aurait jamais pratiqué la torture en Algérie. Pour les deux journalistes, il n’y a jamais eu «aucune vérité révélée ni établie», seulement une conviction que «Le Pen, s’il a sans doute brutalisé des Algériens, n’a pas pratiqué la “torture institutionnelle” telle qu’elle a été massivement employée durant la bataille d’Alger».

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79% des Néerlandais mais 2% des Roumains disent connaître des homosexuels

Monday, November 26th, 2012

Rue89

Pour se convaincre que l’Europe mettra encore un peu de temps à « se faire », il suffit de lire le dernier « Eurobaromètre sur les discriminations », une enquête portant sur 26 622 personnes interrogées, en face-à-face, dans les pays de l’Union.

Prenez par exemple la question de l’homosexualité. Les sondeurs ont posé une question simple : comptez-vous, parmi vos amis ou vos connaissances, des homosexuels ? En moyenne, 41% des sondés répondent « oui ». Mais en Roumanie, seules 2% des personnes interrogées ont répondu par l’affirmative, alors qu’aux Pays-Bas, ils sont 79%.

Les autres pays se situent entre ces deux extrêmes. Les pays dans lesquels les personnes répondent « oui » sont moins de 30% sont plutôt situés en Europe centrale ou au sud de l’Europe :

  • Italie : 29%
  • Autriche : 25%
  • Portugal : 21%
  • République Tchèque : 20%
  • Pologne 9%
  • Hongrie : 8%
  • Roumanie : 2%

Les pays dont plus de 60% des sondés affirment avoir des amis ou des connaissances homosexuels sont plutôt au Nord :

  • Pays-Bas : 79%
  • Suède : 73%
  • France : 64%
  • Belgique : 62%
  • Grande Bretagne : 62%

Enfin, on trouve entre les deux :

  • Espagne : 54%
  • Irlande : 47%
  • Allemagne : 41%
  • Finlande : 43%

Si l’on pose la même question, mais sur la base de l’origine ethnique, les disparités sont également importantes. En moyenne 49% des Européens disent avoir des amis ou des connaissances d’une autre origine ethnique. Mais les résultats s’étagent entre 20% en Pologne et 82% au Luxembourg. La France n’est pas loin, dans le classement, du Luxembourg (75%).

A noter que les Français sont, dans l’Union européenne, ceux qui pensent le plus volontiers que les discriminations, sur une base ethnique, sur le handicap, ou sur l’âge, sont répandues dans leur pays.

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Madonna reconnue non coupable de « propagande homosexuelle »

Monday, November 26th, 2012

larussiedaujourdhui.fr

Le tribunal de Saint-Pétersbourg a ordonné à l’accusation de payer les frais juridiques des organisateurs du concert, et la chanteuse ne s’est pas présentée au tribunal.
Madonna reconnue non coupable de « propagande homosexuelle »

Madonna lors de son concert à Saint-Pétersbourg le 9 août. Crédit : Itar-Tass

Le tribunal de district de Saint-Pétersbourg a rejeté jeudi les demandes des militants envers la chanteuse Madonna, pour un total de 333 millions de roubles (8,3 millions d’euros), raison de son plaidoyer en faveur des personnes homosexuelles. En outre, le tribunal a ordonné à l’accusation de rembourser les frais juridiques des accusés, les organisateurs du concert de la chanteuse.

 

À la mi-août de cette année, des militants ont déposé au tribunal neuf plaintes pour dommages moraux contre la chanteuse et les organisateurs de son concert dans la capitale du Nord, se considérant insultés par son appui aux minorités sexuelles de Saint-Pétersbourg. Chaque plainte réclame 37 millions de roubles aux accusés. Même avant le concert, la chanteuse, sur sa page Facebook, a qualifié d’absurde la loi adoptée à Saint-Pétersbourg, interdisant la propagande de l’homosexualité et de la pédophilie. Et au concert, elle a exhorté l’auditoire à soutenir le mouvement LGBT (Lesbiennes, Gays, Bisexuels et Transgenres – NDLT) en lui distribuant des bracelets roses.

 

Outre la chanteuse, sont également accusés le Complexe sportif et de concert de Saint-Pétersbourg  et l’entreprise « Planète Plus », la plateforme d’administration, avec laquelle a été organisée la performance estivale de Madonna, et différents organisateurs indépendants du concert.

 

Madonna et ses représentants légaux ont ignoré le tribunal de la région de Saint-Pétersbourg, bien que la chanteuse ait reçu une citation à comparaître à son adresse de New-York. Les accusés ayant assisté à la réunion ont déclaré que « Planète Plus », une entité commerciale qui a conclu une entente avec les promoteurs de Madonna, s’est engagé à organiser un concert techniquement et sans s’occuper des caractéristiques du spectacle, y compris idéologique, a communiqué l’agence RAPSI.

 

Les accusateurs étaient en désaccord avec la position des organisateurs russes du concert. Selon eux, l’administration du Complexe sportif et de concert de Saint-Pétersbourg, en vertu du droit actuel, doit être tenu entièrement responsable du contrôle des accès, ainsi que de tout ce qui se déroule sur le territoire du complexe.

 

Au procès, le représentant légal des plaignants, Alexandre Nadochvine, a expliqué que Madonna fait la propagande de valeurs étrangères aux Russes.

 

« Il s’agit de saper les valeurs morales et familiales, de violation de l’ordre social, a dit Nadochvine. Un grand nombre d’enfants ont assisté au concert de la chanteuse Madonna avec la promotion des valeurs homosexuels, en partie au concert, en partie sur internet ».


« La propagande homosexuelle mènera à la baisse de la natalité, au final les retraités en souffriront et une crise éclatera dans le pays, y compris militaro-politique », selon ses mots rapportés par le site Gazeta.ru.

 

Les accusés ont insisté sur le fait qu’ils n’étaient pas en mesure d’influencer le programme du concert, ils ont averti le public que le spectacle était pour les adultes. Cela ne relève ainsi pas de la loi sur la protection des enfants et la propagande conte l’homosexualité, de plus les bracelets roses ont été portés par les spectateurs volontairement.

 

L’audience a duré plus de cinq heures, et finalement le juge Barkovski a déclaré que la plainte était rejetée et l’accusation condamnée à payer les dépenses juridiques des accusés : un total de 60.022 roubles et 60 kopecks aux trois entreprises accusées.

 

L’accusation va faire appel de la décision auprès de la Cour municipale.

 

« La décision de la Cour ne nous satisfait pas, bien entendu. Nous allons faire appel de la décision du tribunal devant la Cour de la ville de Saint-Pétersbourg, car nous soutenons que la loi a été violée, notamment par la propagande homosexuelle auprès d’enfants qui ont participé au concert de Louise Ciccone (Madonna – NDLT) », a déclaré Daria Dedova, l’attaché de presse de l’un des accusateurs du « Syndicat des citoyens de Russie » à la radio Kommersant FM.

 

« Le fait est, et ce n’est un secret pour personne, qu’en ce moment, la plus importante institution qu’est la famille est attaquée, elle est en crise. Le facteur le plus important est sans doute que les valeurs de cette propagande sont contraires à notre mentalité, c’est la propagation du vice, et la diffusion d’informations sur les déviances sexuelles, en particulier la sodomie, le lesbianisme », dit-elle.

 

Les accusés, au contraire, sont entièrement satisfaits de la décision.

 

« Le travail de la Cour peut être considéré comme très professionnel, a déclaré au site Gazeta.ru l’avocat de « Planète Plus »,  Artem Dikarev. Nous sommes heureux de la décision et nous n’avons pas l’intention de nous plaindre, elle est en accord avec la loi ».

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Mariage pour tous : les cathos sont-ils coincés du culte ?

Monday, November 26th, 2012

Menly.fr

Le mariage et l’adoption pour tous, le projet de loi du nouveau gouvernement agite les sphères sociales, politiques et religieuses… A priori, seul le législateur est en mesure de modifier la constitution. Mais la communauté catholique ne l’entend pas de cette oreille et manifeste à haute voix son désaccord. Une question se pose alors : l’Eglise a-t-elle une légitimité démocratique à s’immiscer dans le débat politique ?

Les sujets de société sur lesquels les Français ont franchement changé leur regard sont rares. L’homosexualité en fait partie. Selon un récent sondage, en 2012, 87% des citoyens pensent qu’il s’agit « d’une manière comme une autre de vivre sa sexualité », contre 56% en 1986. Seuls quelques irréductibles Gaulois ne voient toujours pas d’un bon œil les couples gay, et encore moins former une famille. Parmi eux, les religieux, en particulier les catholiques.

Depuis la séparation de l’Eglise et de l’Etat en 1905, les adeptes de Jésus Christ prennent leur revanche comme ils peuvent. Et pour prouver qu’ils existent encore, ils n’hésitent pas à prendre part aux débats publics dès qu’un sujet les touche. En l’occurrence, faire d’une famille homosexuelle une norme, les touche beaucoup. « Une supercherie » pour certains, « un pas vers la polygamie et l’inceste » pour d’autres, les propos tenus par les ambassadeurs du Tout Puissant sont parfois borderline. Attention, tous les cathos ne sont pas à mettre dans le même panier. Et les différences sont absolues : entre les mouvements homosexuels chrétiens (oui, ça existe !) et les catholiques intégristes pour qui l’homosexualité est une maladie qu’il faut guérir, on trouve des évêques plus modérés.

Tandis que le débat porte sur le mariage civil et non religieux, doit-on donner la parole aux instances célestes ? Il faut dire que la gauche, génitrice du projet, se la joue plutôt discrète… Pas surprenant que d’autres haussent le ton.

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Partie 1 – Les cathos, le retour 

Partie 2 – 30 ans de catholicisme dans la vie politique 

Partie 3 – La parole pour seule arme

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LES CATHOS, LE RETOUR 

Le 15 août dernier, jour de l’Assomption, un message religieux a été adressé à l’échelle nationale, une première depuis la Seconde guerre mondiale. Un texte, rédigé sous forme de prière par le cardinal André Vingt-Trois et transmis à tous les diocèses, qui s’adressait à « ceux qui nous gouvernent » pour que « les enfants cessent d’être les objets des désirs et des conflits des adultes pour bénéficier pleinement de l’amour d’un père et d’une mère ». Des propos qui, on l’aura bien compris, sont aux antipodes du « mariage pour tous », projeté par le nouveau gouvernement. En rien homophobe, le message est pourtant clair : une famille se compose d’un père ET d’une mère. Autrement dit : NON à l’homoparentalité. Car ce que redoute surtout l’Eglise, c’est bien la légalisation de l’adoption pour les couples homosexuels. Le cardinal André Vingt-Trois, encore lui, parle d’ »une supercherie qui ébranlerait un des fondements de notre société », au nom des « droits des enfants ».

L’Eglise a légitimé l’appel du 15 août par son intention de faire taire les catholiques extrémistes, dont les manœuvres radicales donnent une mauvaise image de la religion. En vain. Car les plus conservateurs continuent de donner de la voix. Il y a une semaine, une manifestation « décomplexée » contre le mariage gay, organisée par le mouvement catholique intégriste Civitas, a mal tourné. « Non à l’homofolie », « Non aux pédés, la famille c’est sacré »… Les tabous sémantiques sont tombés. Alain Escada, président de Civitas, a lui-même donné le ton : « L’homosexualité est un mauvais penchant qui nécessite d’être corrigé. Le mariage homosexuel va permettre à d’autres de revendiquer le mariage polygame ou l’inceste ». Puis, la brutalité verbale a laissé place à la violence physique. Des féministes de Femen et des journalistes ont été tabassés par des militants.

Écœurées par ces réactions, les associations de défense des homosexuels dénoncent la confusion faite entre le mariage civil – car c’est bien ça dont il est question – et le mariage religieux. Selon leurs représentants, il est contestable de voir un homme d’église expliquer au législateur le comportement à adopter.

La bataille de 2012 n’est pas exceptionnelle. Depuis des dizaines d’années, la communauté catholique s’immisce dans le débat public, quitte à contraindre les lois de la Républiques.


30 ANS DE CATHOLICISME DANS LA VIE POLITIQUE

Une date : 1905. Année pendant laquelle a été proclamée la loi sur la séparation de l’Église et l’Etat. Année où la laïcité à la française fut inventée. Un coup de massue pour la communauté catholique, qui mettra plusieurs dizaines d’années à retrouver sa place dans la société. Écartée de la vie politique, elle saura s’imposer dans le débat public. Au début des années 1980, après un silence cathédral, les responsables religieux ont fait leur grand retour sur la scène étatique, sous la présidence de François Mitterrand. Motif : la création d’un grand service public de l’Education (loi Savary) au détriment des écoles privées confessionnelles. Les dirigeants de l’enseignement catholique montent au créneau et les tensions se font vives. Finalement, le projet de loi d’Alain Savary ne verra jamais le jour.

En 1996, l’Eglise prend la défense des sans-papiers expulsés de force, réclamant au pouvoir en place « des droits » pour ces exclus. Dès son arrivée à Matignon, un an après les faits, Lionel Jospin lance un processus massif de régularisation. En 1998, le Pacs fait tiquer les cathos, qui qualifient le projet d’ »inutile et dangereux ». Malgré la forte mobilisation des citoyens et des Evêques de France, le Pacs est adopté. En 2002, quand Jean-Marie Le Pen passe le second tour des élections présidentielles, la communauté religieuse s’alarme avec le peuple.

De l’euthanasie au travail dominical, les catholiques savent recréer le lien avec le monde politique. Avec le « mariage pour tous », ils sont partis pour se montrer tout aussi offensifs. D’autant qu’on aborde tout un ensemble de sujets sensibles : la famille, le couple, le sexe…


LA PAROLE POUR SEULE ARME 

La France, pays du progrès et de la modernité, peine à légaliser le mariage homosexuel, tandis que l’Espagne ou encore le Portugal, deux nations très catholiques, ont passé le cap. Même le Conseil français du culte musulman se montre plus ouvert, déclarant que même si le mariage gay est « non conforme » à l’islam, « les règles d’une religion ne peuvent être mises en avant pour s’opposer aux règles de la République ».

Le fossé est abyssal entre les cathos, historiquement imbriqués dans une sexualité moralisatrice, et le discours sociétal qui prône une liberté totale sur le sujet. L’Eglise, autoritaire et dominatrice pendant des siècles en France, doit se contenter aujourd’hui de proposer sa vision de l’Homme. Désormais, sa seule raison d’être. Et comment résister à la tentation de blâmer une société, qui a ses yeux, part à la dérive ? Surtout quand les sondages montrent un peuple divisé sur la question : 65% des Français sont favorables à l’ouverture du mariage pour les gays et 52% seulement sont pour la légalisation de l’adoption.

L’occasion est trop belle pour que la bonne parole ne traverse pas les murs de l’Eglise. Nos cathos ne sont pas plus coincés que ceux de nos voisins. En France, leur sentiment de revanche est plus fort. 

Dans un pays où deux personnes sur trois disent se reconnaître dans la religion catholique , il n’est pas idiot que ses représentants émettent un avis sur les questions de société. A condition que les arguments soient nourris intellectuellement, qu’ils participent à l’avancée du débat. Et qu’ils n’attisent pas la haine.

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Discours de la remise de la Médaille du Jubilé de la Reine Elizabeth II à Roger-Luc Chayer

Thursday, November 22nd, 2012

Cérémonie de remise des Médailles du Jubilé de Diamant de la Reine Elizabeth II

11 Novembre 2012 – Montréal

 

Discours du secrétaire général du Lieutenant Gouverneur du Québec, Monsieur le Colonel Michel Demers :

La Médaille du Jubilé de Diamant de la Reine Elizabeth II est une façon visible et tangible d’honorer des canadiens et des canadiennes remarquables de tous âges et de tous les horizons qui ont bâti ou qui continuent à bâtir notre société, grâce aux services qu’ils rendent, à leurs contributions et à leurs réalisations.

Le programme de cette médaille est administré par la Chancellerie des Distinctions Honorifiques à Rideau Hall (la résidence officielle de la Reine Elizabeth II au Canada).

 

Texte de présentation au public des raisons de la décoration Royale de Roger-Luc Chayer :

Monsieur Roger-Luc Chayer, innovateur et bâtisseur dans sa carrière d’éditeur et de journaliste de presse et de télévision, il s’est illustré en musique classique au Canada et à l’étranger, il n’avait alors que 22 ans, le plus jeune chef d’orchestre du Canada.

 

Discours de son Honneur Monsieur Pierre Duchesne, Lieutenant Gouverneur du Québec (Représentant du Chef de l’État du Québec, Elizabeth II) :

… En plus de souligner le fait rarissime que représente la longévité du règle de Sa Majesté, cette médaille permet surtout, et j’insiste là-dessus, permet de rendre un juste hommage et de souligner l’apport de citoyens remarquables dans leur communauté et à l’égard de notre pays.

Oui, cette médaille nous ouvre une fenêtre exceptionnelle pour saluer des femmes et des hommes qui se sont distingués et qui nous font honneur. Mesdames et messieurs les récipiendaires, considérez cette distinction honorifique comme une reconnaissance collective pour l’ensemble de l’œuvre que vous avez accomplie au fil des ans.

Que vous agissiez à l’intérieur d’un groupe ou encore à titre personnel, quel que ce soit l’horizon sous lequel vous vous êtes réalisé, vous êtes tous réunis aujourd’hui sous le sceau rassembleur de cette médaille à l’effigie d’une souveraine qui observe depuis 60 ans, des valeurs et des règles du devoir, du sens civique et de la fidélité de son service.

C’est au moyen de ces mêmes valeurs que sa médaille vous est présentée aujourd’hui. J’espère sincèrement que cette décoration va vous rappeler votre participation active à la promotion de ces principes de sens civique et de loyauté qui incluent le bien-être de notre société et sa réputation.

Oui j’aimerais que cette médaille vous rappelle à quel point vous avez investi le meilleur de vous mêmes, jours après jours, pour développer vos talents, utiliser vos forces, de manière à contribuer à l’avancement de projets novateurs, que ces projets aient trait au respect des institutions que vous représentez ou qu’ils soient à l’égard de tout travail réalisé de manière individuelle et souvent dans l’ombre, quoique auréolés d’un idéal communautaire.

Pour certains d’entre vous, ceci est une première décoration officielle, pour d’autres, cette médaille va rejoindre d’autres honneurs sur vos vestons. Dans tous les cas, je n’ai aucun doute que ceci induit un sens de la fierté, une fierté parfaitement légitime.

Une fierté patriotique, une fierté militaire, une fierté personnelle, une fierté collective. Oui c’est tout cela que vous apporte la Médaille du Jubilé de Diamant, et j’en suis très heureux pour chacun et chacune d’entre vous.

Et vous chers invités, qui assistez à cette cérémonie, portez au fond de votre cœur, les minutes de cette rencontre à la fois historique et hors du temps. Historique parce que ceci représente un événement significatif dans notre histoire mais par dessus tout, un événement significatif pour chaque récipiendaire. Hors du temps parce que la présente cérémonie vous a fait mettre de côté vos activités pour créer un moment unique et inoubliable, ce qui était mon souhait le plus cher.

J’espère aussi que dans vos mémoires cette cérémonie de remise puisse se tailler une place inaltérable. Voilà bien l’importance de vous réunir pour partager la joie de nos médaillés et célébrer avec honneur.

Merci.

Non infériorité du Complera® de Gilead comparé à l’Atripla® chez des patients naïfs de traitement anti-VIH

Monday, November 19th, 2012

bfmtv.com

Les résultats de l’étude STaR corroborent que le Complera est une importante option de traitement à base de comprimé unique –

Gilead Sciences (Nasdaq : GILD) a annoncé aujourd’hui les résultats de l’essai clinique de Phase 3b de l’étude STaR (Single Tablet Regimen, schéma posologique à comprimé unique), la première étude de comparaison directe entre les schémas posologiques à comprimé unique à base de Complera® (emtricitabine/rilpivirine/ténofovir disoproxil fumarate) et l’Atripla® (éfavirenz/emtricitabine/ténofovir disoproxil fumarate) chez des patients séropositifs naïfs de traitement. Les données ont démontré la non infériorité du Complera, qui est commercialisé sous le nom Eviplera® dans l’Union européenne, par rapport à l’Atripla sur la base de la proportion de patients présentant des taux d’ARN du VIH (charge virale) < 50 copies/ml à 48 semaines.

Le Complera a démontré une différence statistiquement importante en termes d’efficacité comparé à l’Atripla chez des patients présentant à la ligne de base une charge virale basse (≤ 100 000 copies/ml), et était non inférieur à l’Atripla chez des patients présentant à la ligne de base une charge virale élevée (> 100 000 copies/ml). En particulier, le taux d’échec virologique était bas et comparable entre le Complera et l’Atripla, y compris chez les patients qui, à la ligne de base, présentaient une charge virale allant jusqu’à 500 000 copies/ml. De plus, le Complera a été bien toléré avec un nombre moins important d’événements indésirables sur l’ensemble des grades et moins d’arrêts de traitement en raison d’événements indésirables (3 % versus 9 % ; p<0,001) dans les bras Complera et Atripla, respectivement. Ces résultats ont été présentés aujourd’hui lors d’une session orale au 11e congrès international sur les traitements de l’infection au VIH (HIV11) de Glasgow (Royaume-Uni).

« Depuis son autorisation de mise sur le marché aux États-Unis en 2006, l’Atripla est devenu la norme en matière de prise en charge médicale du VIH, le taux de suppression virale démontré par le Complera dans cette étude est donc impressionnant », a déclaré le Dr Calvin J. Cohen, M.Sc., directeur de la recherche, Initiative de recherche communautaire de Nouvelle-Angleterre et investigateur principal de l’étude STaR. « Qui plus est, ces données renforcent le profil de tolérance du Complera et corroborent son rôle en tant qu’importante option de traitement à base de comprimé unique pour de nombreux patients séropositifs n’ayant encore jamais été traités. »

À la semaine 48, 86 % des patients sous Complera (n=338/394), comparé à 82 % des patients sous Atripla (n=320/392) avaient atteint un taux d’ARN du VIH < 50 copies/ml, selon l’algorithme statique de l’Agence américaine des médicaments (U.S. Food and Drug Administration, FDA) (IC à 95 % pour la différence : de -1,1 % à +9,2 % ; le critère prédéfini de non infériorité était la courbe inférieure d’un IC bilatéral à 95 % de -12 %). Chez les patients présentant à la ligne de base une charge virale ≤ 100 000 copies/ml, 89 % des patients sous Complera (n=231/260) comparé à 82 % des patients sous Atripla (n=204/250) ont atteint une suppression virale à < 50 copies/ml (IC à 95 % pour la différence : de 1,1 % à 13,4 %). Chez les patients présentant à la ligne de base une charge virale > 100 000 copies/ml, 80 % des patients sous Complera (n=107/134) comparé à 82 % des patients sous Atripla (n=116/142) ont atteint une suppression virale à < 50 copies/ml (IC à 95 % pour la différence : de -11,1 % à 7,5 %).

L’échec virologique par algorithme statique était défini comme les patients n’atteignant pas une charge virale < 50 copies/ml à la semaine 48, ou arrêtant le médicament de l’étude avant cette date en raison de son manque d’efficacité, ou arrêtant le médicament de l’étude pour d’autres raisons et dont les dernières analyses disponibles indiquaient une charge virale ≥ 50 copies/ml. Les taux d’échec virologique pour le Complera et l’Atripla étaient, respectivement, 5 % et 3 % chez les patients présentant une charge virale ≤ 100 000 copies/ml ; 10 % et 9 % chez les patients présentant une charge virale > 100 000 à 500 000 copies/ml ; et 25 % et 16 % chez les patients présentant une charge virale > 500 000 copies/ml.

Le Complera a reçu l’autorisation de mise sur le marché aux États-Unis en août 2011 et est indiqué comme schéma posologique complet chez les adultes infectés au VIH-1 naïfs de traitement. Le Complera associe le Truvada®(emtricitabine et ténofovir disoproxil fumarate) de Gilead, à la rilpivirine de Janssen R&D Ireland (commercialisée sous le nom Edurant®). Dans des études précédentes, un plus grand nombre de patients traités à la rilpivirine présentant une charge virale > 100 000 copies/ml en début de traitement ont présenté un échec virologique comparé à ceux avec une charge virale < 100 000 copies/ml. La notice du Complera comporte des avertissements encadrés indiquant une acidose lactique/hépatomégalie sévère avec stéatose et une exacerbation aiguë de l’hépatite B post-traitement ; voir les informations importantes de sécurité ci-dessous.

Le Complera a reçu l’autorisation de mise sur le marché dans l’Union européenne sous le nom Eviplera en novembre 2011, devenant le premier schéma posologique à comprimé unique à être autorisé pour les patients n’ayant encore jamais été traités contre le VIH en Europe. Au mois de novembre 2012, l’Eviplera a été ajouté aux directives de traitement de la Société européenne de recherche clinique sur le sida (European AIDS Clinical Society, EACS) comme schéma posologique recommandé pour les patients séropositifs naïfs de traitement.

À propos de STaR

STaR (Étude 110) est une étude ouverte, randomisée (1:1), de Phase 3b en cours qui évalue l’efficacité et la sécurité du Complera (n=394 traités) comparé à l’Atripla (n=392 traités) chez des adultes séropositifs naïfs de traitement présentant à la ligne de base un taux d’ARN du VIH ≥ 2 500 copies/ml. L’objectif principal de l’étude est d’évaluer la non infériorité, à une marge de 12 %, du Complera comparé à l’Atripla dans l’atteinte d’un taux de l’ARN du VIH < 50 copies/ml jusqu’à 48 semaines de traitement, selon l’algorithme statique de la FDA. Les critères d’évaluation secondaires comprennent la sécurité et l’efficacité du changement par rapport à la ligne de base dans la numération CD4 aux semaines 48 et 96 de traitement, et le développement d’une résistance génotypique et phénotypique au moment de l’échec virologique. La randomisation a été stratifiée par taux d’ARN du VIH à la ligne de base (≤ ou > 100 000 copies/ml).

Les numérations CD4 moyennes à la ligne de base étaient de 396 cellules/mm3 chez les patients sous Complera et de 385 cellules/mm3 chez les patients sous Atripla ; les taux d’ARN du VIH à la ligne de base étaient de 4,8 log10 copies/ml dans les deux bras de traitement. Dans les bras Complera et Atripla, respectivement, à la ligne de base, 66 % et 64 % des patients présentaient un taux d’ARN du VIH ≤ 100 000 copies/ml, 25 % et 30 % présentaient un taux d’ARN du VIH-1 entre 300 000 et 500 000 copies/ml, et 9 % et 6 % présentaient un taux d’ARN du VIH-1 > 500 000 copies/ml.

À la semaine 48, les changements dans la numération CD4 étaient de +200 cellules/mm3 chez les patients sous Complera et de +191 cellules/mm3 chez les patients sous Atripla (p=0,34). Le taux global d’échec virologique par algorithme statique était semblable dans les deux bras de traitement (8 % pour le Complera et 6 % pour l’Atripla).

7 % (n=29) et 14 % (n=54) des patients dans les bras Complera et Atripla, respectivement, ont eu un événement indésirable de grade 3 ou 4. Les événements indésirables liés au traitement les plus courants survenant chez plus de 5 % des patients sous Complera étaient : maux de tête, insomnies, vertiges, dépression, rêves anormaux, anxiété et somnolence.

Les anomalies d’analyse (grades 3-4) survenant chez au moins 1 % des patients dans l’un ou l’autre des bras de traitement comprenaient les neutrophiles, les AST, ALT, GGT, l’amylase, la créatine kinase, l’hyperglycémie, le cholestérol total, la glycosurie, et l’hématurie. Seule la créatine kinase est survenue chez plus de 5 % des patients (5,1 % dans les deux bras).

Les patients sous Complera ont présenté des augmentations moyennes plus basses comparé à ceux sous Atripla du cholestérol total à jeun (1 vs. 22 mg/dl) et de LDL (1 vs. 14 mg/dl) (p<0,001 pour les deux analyses). Le HDL a augmenté en moyenne de 2 mg/dl dans le bras Complera vs. 8 mg/dl dans le bras Atripla (p<0,001). Les triglycérides ont baissé en moyenne de 8 mg/dl chez les patients sous Complera et ont augmenté de 8 mg/dl chez ceux sous Atripla à 48 semaines (p<0,001). Le rapport cholestérol total/HDL a baissé en moyenne de 0,2 dans les deux bras de traitement.

Le changement moyen du débit de filtration glomérulaire (DFG) estimé selon Cockcroft-Gault à 48 semaines était de -5,4 ml/min pour le bras Complera et de +4,6 ml/min pour le bras Atripla (p<0,001). Des mutations de la résistance ont été observées chez 4 % des patients sous Complera et chez 1 % des patients sous Atripla.

Information importantes de sécurité du produit et indication concernant le Complera

AVERTISSEMENTS : ACIDOSE LACTIQUE/HÉPATOMÉGALIE SÉVÈRE AVEC STÉATOSE et EXACERBATION AIGUË DE L’HÉPATITE B APRÈS TRAITEMENT

Une acidose lactique et une hépatomégalie sévère avec stéatose, comprenant des cas mortels, ont été signalées avec l’emploi d’analogues nucléosidiques, dont le ténofovir disoproxil fumarate, un composant du Complera, en association à d’autres antirétroviraux.

Le Complera n’est pas approuvé pour le traitement de l’infection par le virus de l’hépatite B (VHB) chronique et l’innocuité et l’efficacité du Complera n’ont pas été établies chez les patients coinfectés par le VHB et par le VIH-1. Des exacerbations sévères aiguës de l’hépatite B ont été signalées chez les patients coinfectés par le VHB et par le VIH-1 et ayant arrêté la prise d’Emtriva ou de Viread, qui sont des composants du Complera. La fonction hépatique doit être étroitement surveillée par un suivi à la fois clinique et biologique pendant au moins plusieurs mois chez les patients coinfectés par le VIH-1 et par le VHB et qui arrêtent le Complera. La mise en route d’une thérapie pour combattre l’hépatite B peut, le cas échéant, être justifiée.

CONTRE-INDICATIONS

Le Complera ne doit pas être administré en concomitance avec les médicaments suivants, du fait de baisses considérables des concentrations plasmatiques de la rilpivirine pouvant se produire, suite à l’induction des enzymes du CYP3A ou à une augmentation du pH gastrique, ce qui peut entraîner une perte de réponse virologique et une éventuelle résistance au Complera ou à la classe des INNTI :

  • les anticonvulsifs, tels que la carbamazépine, l’oxcarbazépine, le phénobarbital, la phénytoïne
  • les antimycobactériens, tels que la rifabutine, la rifampine, la rifapentine
  • les inhibiteurs de la pompe à protons, tels que l’ésoméprazole, le lansoprazole, l’oméprazole, le pantoprazole, le rabéprazole
  • le glucocorticoïde systémique dexaméthasone (au-delà d’une dose unique)
  • Le millepertuis (Hypericum perforatum)

MISES EN GARDE ET PRÉCAUTIONS

  • Survenue d’insuffisance rénale ou une aggravation de l’insuffisance rénale
    Une insuffisance rénale, y compris des cas d’insuffisance rénale aiguë et de syndrome de Fanconi (atteinte des tubules rénaux accompagnée d’hypophosphatémie grave), a été signalée avec la prise de ténofovir disoproxil fumarate. Évaluer la clairance de la créatinine (ClCr) avant de démarrer un traitement au Complera. Surveiller la ClCr et le phosphore sérique chez les patients à risque d’insuffisance rénale, notamment les patients ayant déjà présenté des problèmes rénaux sous Hepsera® (adéfovir dipivoxil). Éviter l’administration de Complera avec la prise simultanée ou récente de médicaments néphrotoxiques. L’administration de Complera est contre-indiquée chez les patients dont la ClCr est inférieure à 50 ml par minute.
  • Interactions médicamenteuses
    Le Complera doit être utilisé avec précaution lorsqu’il est administré conjointement avec des médicaments susceptibles de réduire l’exposition de la rilpivirine.

    Le Complera doit être utilisé avec précaution lorsqu’il est administré en concomitance avec un médicament présentant un risque connu de torsade de pointes.

  • Troubles dépressifs
    La présence d’effets indésirables, tels que des troubles dépressifs (humeur dépressive, dépression, dysphorie, dépression majeure, humeur altérée, pensées négatives, tentative de suicide, idéation suicidaire) a été signalée avec la rilpivirine. Durant les essais de Phase 3 (N = 1 368), l’incidence des troubles dépressifs (sans tenir compte de la causalité ou de la sévérité) signalée chez les patients sous rilpivirine (N = 686) ou sous éfavirenz (N = 682) était respectivement de 8 % et de 6 %. La majorité des événements était d’une sévérité légère ou modérée. L’incidence de troubles dépressifs de grade 3 et 4 (sans tenir compte de la causalité) était de 1 % à la fois pour la rilpivirine et pour l’éfavirenz. La fréquence d’arrêt du traitement en raison de troubles dépressifs chez les patients sous rilpivirine ou sous éfavirenz était de 1 % dans chaque bras. Une tentative de suicide a été signalée chez 2 sujets dans le bras rilpivirine, tandis qu’une idéation suicidaire a été signalée chez 1 sujet dans le bras rilpivirine et chez 3 sujets dans le bras éfavirenz. Les patients présentant des symptômes dépressifs sévères doivent faire l’objet d’une évaluation médicale immédiate, afin d’évaluer la possibilité que les symptômes soient liés au Complera et déterminer dans ce cas, si les risques de poursuite de la thérapie l’emportent sur les avantages qu’elle présente.
  • Baisses de la densité minérale osseuse
    Une surveillance de la densité minérale osseuse (DMO) doit être envisagée chez les patients ayant des antécédents de fracture osseuse pathologique ou présentant d’autres facteurs de risque d’ostéoporose ou de perte osseuse. Des cas d’ostéomalacie (associée à une tubulopathie rénale proximale et pouvant contribuer à des fractures) ont été signalés en association avec la prise de ténofovir disoproxil fumarate.
  • Administration concomitante avec d’autres produits
    Le Complera ne doit pas être administré simultanément avec d’autres produits médicamenteux contenant un de ses composants actifs, l’emtricitabine, la rilpivirine ou le ténofovir disoproxil fumarate (Emtriva, Edurant, Viread, Truvada, Atripla), avec des produits médicamenteux contenant de la lamivudine (Epivir, Epivir-HBV, Epzicom, Combivir, Trizivir), ni avec de l’adéfovir dipivoxil (Hepsera).
  • Redistribution des graisses
    La redistribution/l’accumulation de graisse corporelle a été observée chez les patients sous thérapie antirétrovirale.
  • Syndrome de restauration immunitaire
    Le syndrome de restauration immunitaire a été signalé chez les patients traités par thérapie antirétrovirale combinée, y compris les composants du Complera. Une évaluation plus approfondie et un autre traitement peuvent s’avérer nécessaires. Des troubles auto-immunitaires peuvent apparaître au cours du processus de restauration immunitaire.

EFFETS INDÉSIRABLES

Les effets médicamenteux indésirables les plus courants de la rilpivirine (incidence supérieure ou égale à 2 %, grades 2 à 4) étaient l’insomnie et les maux de tête.

Les effets médicamenteux indésirables les plus courants de l’emtricitabine et du ténofovir disoproxil fumarate (incidence ≥ 10 %) étaient : diarrhées, nausées, fatigue, maux de tête, vertiges, dépression, insomnies, rêves anormaux et érythèmes.

INTERACTIONS MÉDICAMENTEUSES

  • Le Complera ne doit pas être utilisé avec des médicaments lorsqu’il existe un risque de baisses importantes des concentrations plasmatiques de la rilpivirine (Voir CONTRE-INDICATIONS).
  • Le Complera est un schéma posologique complet pour le traitement de l’infection par le VIH-1 ; le Complera ne doit donc pas être administré avec d’autres antirétroviraux pour le traitement de l’infection par le VIH-1.
  • Médicaments induisant ou inhibant les enzymes du CYP3A : La rilpivirine est principalement métabolisée par le cytochrome P450 (CYP) 3A, il est donc possible que des médicaments qui induisent ou inhibent le CYP3A affectent la clairance de la rilpivirine. L’administration concomitante de rilpivirine et de médicaments inducteurs du CYP3A peut entraîner une baisse des concentrations plasmatiques de la rilpivirine ainsi qu’une perte de la réponse virologique, avec une résistance éventuelle à la rilpivirine ou à la classe des INNTI. L’administration concomitante de rilpivirine et de médicaments inhibiteurs du CYP3A peut entraîner une augmentation des concentrations plasmatiques de la rilpivirine.
  • Médicaments augmentant le pH gastrique : L’administration concomitante de rilpivirine et de médicaments augmentant le pH gastrique peut entraîner une baisse des concentrations plasmatiques de la rilpivirine ainsi qu’une perte de la réponse virologique, avec une résistance éventuelle à la rilpivirine ou à la classe des INNTI.
  • Médicaments affectant la fonction rénale : L’emtricitabine et le ténofovir étant principalement éliminés par les reins, l’administration concomitante de Complera et de médicaments réduisant la fonction rénale ou rivalisant dans la sécrétion tubulaire active risque d’augmenter les concentrations sériques d’emtricitabine, de ténofovir et/ou d’autres médicaments éliminés par les reins. Citons à titre d’exemples, l’acyclovir, l’adéfovir dipivoxil, le cidofovir, le ganciclovir, le valacyclovir et le valganciclovir.
  • Médicaments prolongeant l’intervalle QT : Nous ne disposons que d’informations limitées sur une éventuelle interaction pharmacodynamique entre la rilpivirine et les médicaments prolongeant l’intervalle QTc de l’électrocardiogramme. Dans une étude réalisée sur des sujets sains, il a été démontré que des doses suprathérapeutiques de rilpivirine (75 mg en dose journalière et 300 mg en dose journalière) prolongeaient l’intervalle QTc de l’électrocardiogramme. Le Complera doit être utilisé avec prudence lorsqu’il est administré en concomitance avec un médicament présentant un risque connu de torsade de pointes.

DOSAGE ET ADMINISTRATION

Adultes : La dose de Complera recommandée est d’un comprimé par jour par voie orale pris pendant un repas.

Insuffisance rénale : Dans la mesure où le Complera est une combinaison à dose fixe, ce médicament ne doit pas être prescrit chez les patients nécessitant un ajustement de la posologie, tels que ceux souffrant d’insuffisance rénale modérée à sévère (clairance de la créatinine inférieure à 50 ml par minute).

INDICATION

Le Complera est indiqué comme schéma posologique complet pour le traitement de l’infection au VIH-1 chez les adultes naïfs de traitement antirétroviral. Cette indication se fonde sur les analyses d’efficacité et d’innocuité à la semaine 48 de 2 essais de Phase 3 randomisés en double aveugle contre médicament actif chez des sujets naïfs de traitement comparant la rilpivirine à l’éfavirenz.

Les points suivants doivent être pris en compte lors du commencement d’une thérapie avec le Complera :

  • Les sujets traités à la rilpivirine présentant un ARN du VIH-1 supérieur à 100 000 copies/ml en début de thérapie ont été plus nombreux à présenter un échec virologique que les sujets dont l’ARN du VIH-1 était inférieur à 100 000 copies/ml en début de thérapie.
  • Le taux d’échec virologique observé chez les sujets traités à la rilpivirine a conféré un taux de résistance globale et de résistance croisée au traitement, supérieur à celui de la classe des INNTI par rapport à l’éfavirenz.
  • Les sujets traités à la rilpivirine ont été plus nombreux à développer une résistance associée à la lamivudine/emtricitabine que ceux traités à l’éfavirenz.

Le Complera n’est pas recommandé chez les patients âgés de moins de 18 ans.

À propos de Gilead Sciences

Gilead Sciences est un laboratoire de biotechnologie, spécialisé dans la découverte, le développement et la commercialisation de médicaments innovants dans des aires thérapeutiques insuffisamment pourvues en traitement. L’objectif de la société est de faire progresser à travers le monde le traitement des patients souffrant de maladies engageant le pronostic vital. La société Gilead, dont le siège est installé à Foster City, en Californie, est présente en Amérique du Nord, en Europe et en Asie-Pacifique.

Déclarations prévisionnelles

Le présent communiqué de presse contient des déclarations prévisionnelles au sens de la loi Private Securities Litigation Reform Act de 1995, lesquelles sont assujetties à des risques, incertitudes et autres facteurs, notamment le risque que les prestataires de soins de santé ne reconnaissent pas les avantages de faire débuter un traitement au Complera à leurs patients séropositifs n’ayant pas encore été traités. En outre, à mesure que le Complera est utilisé pendant de plus longues périodes de temps par de nombreux patients ayant des problèmes de santé sous-jacents et prenant de nombreux autres médicaments, il est possible que Gilead découvre de nouveaux problèmes, tels que l’innocuité, la résistance ou des problèmes d’interaction médicamenteuse, nécessitant que la société fasse figurer des mises en garde ou contre-indications supplémentaires dans la notice ou restreigne l’indication autorisée du Complera, ce qui l’un comme l’autre pourrait diminuer l’acceptation du Complera par le marché. Ces risques, incertitudes et autres facteurs sont susceptibles de faire varier les résultats réels de façon substantielle par rapport à ceux auxquels il est fait référence dans les déclarations prévisionnelles. Le lecteur est mis en garde de ne pas se fier à ces déclarations prévisionnelles. Ces risques et d’autres, sont décrits en détail dans le rapport trimestriel de Gilead sur formulaire 10-Q pour le trimestre clos au 30 septembre 2012, tel que déposé auprès de la U.S. Securities and Exchange Commission (commission américaine de contrôle des opérations boursières). Toutes les déclarations prévisionnelles sont basées sur des informations dont Gilead dispose actuellement, et la société rejette toute obligation de mise à jour de ces déclarations prévisionnelles quelles qu’elles soient.

Les informations posologiques complètes pour le Complera aux États-Unis sont disponibles sur www.Complera.com
Les informations posologiques complètes pour l’Atripla aux États-Unis sont disponibles sur www.Atripla.com
Les informations posologiques complètes pour le Truvada aux États-Unis sont disponibles sur www.Truvada.com

Les résumés pour l’UE des caractéristiques du produit pour l’Eviplera, le Truvada et l’Atripla sont disponibles sur www.ema.europa.eu

Complera, Eviplera et Truvada sont des marques déposées de Gilead Sciences, Inc.

Atripla est une marque déposée de Bristol-Myers Squibb & Gilead Sciences, LLC.

Edurant est une marque déposée de Janssen R&D Ireland.

Pour de plus amples informations sur Gilead Sciences, veuillez consulter le site Web de la société à l’adresse www.gilead.com, suivre Gilead sur Twitter (@GileadSciences) ou appeler le service relations publiques de Gilead au 1-800-GILEAD-5 ou au 1-650-574-3000.

Le texte du communiqué issu d’une traduction ne doit d’aucune manière être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse foi est celle du communiqué dans sa langue d’origine. La traduction devra toujours être confrontée au texte source, qui fera jurisprudence.

 

Gilead Sciences

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Les variantes du VIH-1 plus agressives

Monday, November 19th, 2012

techno-science.net

Un groupe de chercheurs du Laboratoire de virologie clinique et épidémiologique de la KU Leuven a découvert que des variantes du VIH-1 peuvent résister aux médications actuelles et devenir plus agressives après avoir été transmises à d’autres personnes. Ce phénomène a des conséquences importantes sur le traitement des patients infectés du VIH.

Après des traitements prolongés d’une même médication, les virus peuvent devenir résistants à ce type de médication. Cela représente un problème majeur, surtout dans le cas des maladies chroniques. Une combinaison de plusieurs médicaments dosés de manière précise peut cependant dans la plupart des cas résister à nouveau au virus résistant, entraînant une augmentation de l’espérance de vie chez le patient. Dans le passé, les souches résistantes du VIH devenaient toujours plus faibles que le virus originel, car les mutations de résistance ont un effet néfaste sur la multiplication du virus. C’est pour cette raison que le virus originel reprenait le dessus dès l’arrêt du traitement. Dans les cas où un virus résistant est transmis à un nouveau patient, ce qui arrive pour environ 10% des nouvelles infections, il apparaît également que les mutations de résistance les plus importantes disparaissent.


Coupe schématique du virus de l’immunodéficience humaine (VIH)

Un virus plus fort

Les chercheurs du Laboratoire de virologie clinique et épidémiologique de la KU Leuven ont voulu vérifier que ces patients étaient alors bel et bien infectés par un virus plus faible. Mais ils ont constaté le contraire: le virus était en réalité plus agressif. Leurs recherches des causes de ce phénomène les ont amenés aux polymorphismes. Il s’agit de différences naturelles dans les gênes. Ce sont ces différences qui font, par exemple, la variation au sein d’une même espèce animale, comme les différents groupes sanguins.

Le chercheur Kristof Theys a découvert qu’une souche résistante accumule souvent des polymorphismes qui renforcent le VIH, pour compenser l’effet néfaste des mutations de résistance. Chez les patients nouvellement infectés, ces polymorphismes donnent un virus plus agressif. “Nous sommes inquiets du fait que les patients sont plus souvent infectés par une variante plus forte que le virus résistant”, avoue Kristof Theys.

Le professeur Anne-Mieke Vandamme, qui a coordonné l’étude, explique: “Nous pensions au départ que la transmission d’un virus résistant rendrait ce virus plus faible chez un patient non-traité, mais il semble désormais que le risque existe que cela crée des virus plus agressifs à l’avenir. Les conséquences sur le traitement du VIH sont importantes.”

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Une école gay en projet à Toronto

Monday, November 19th, 2012

Le Figaro

 

Le rectorat de la ville canadienne étudie l’ouverture d’un lycée pour les élèves gays. Une première consultation s’est tenue dans une ville où les écoles alternatives sont de plus nombreuses, avec des résultats mitigés.

«Une école pour les gays à Toronto?», s’interrogent ces jours-ci les médias de la Ville reine. Des étudiants et des professeurs de la communauté homosexuelle de Toronto ont mené une première consultation pour étudier l’ouverture d’une école gay.

Ce lycée accueillerait des lycéens homosexuels âgés de 14 ans à 17 ans. Les deux instigateurs du projet sont un professeur et conseiller du Toronto District School Board (équivalent du rectorat), Javier Davila, et un étudiant torontois, Fan Wu. Si les contours d’une telle école demeurent encore flous, celle-ci recevrait des élèves, des professeurs et des personnels administratifs homosexuels.

«Il y a un réel manque d’éducation et un besoin pour une école qui encourage l’esprit critique, particulièrement dans les domaines du sexe et de la diversité sexuelle», a confié Fan Wu au magazine torontois Xtra. Outre la mise en valeur d’une culture homosexuelle dans un Canada anglais où les librairies et les bibliothèques ont des rayons de littérature dite gay, les promoteurs du projet estiment que de nombreux étudiants se sentent rejetés ou persécutés et qu’une telle école ferait office de refuge.

Polémiques

Dans un pays politiquement correct où toute initiative est bien perçue, l’idée d’une telle école a toutefois déclenché de sérieuses polémiques. Plusieurs voix se sont élevées pour dénoncer un programme ségrégationniste. Le pasteur Charles McVety, du Canada Christian College, s’est indigné lors d’une entrevue au quotidien The Toronto Sun: «C’est scandaleux, mais je ne suis pas surpris. Les gays ont déjà fait redéfinir la notion de mariage… Cette école est de la ségrégation.» Les critiques des opposants ont assez peu porté sur le fond, mais essentiellement sur l’utilité d’avoir une telle école financée avec l’argent des contribuables. «Laissons la communauté gay fonder son école avec ses propres dollars», a proposé le pasteur McVety.

La communauté homosexuelle semble elle-même assez divisée. Si le TDSB s’est gardé de mettre de l’huile sur le feu ou de prendre position et de dévoiler un échéancier, la Ville reine est habituée aux écoles alternatives. Le Toronto District School Board a donné son feu vert il y a quelques années aux premières Black Focused School (écoles axées sur la culture noire, NDLR).

Dans ces établissements, où se trouvent des jeunes Noirs en situation d’échec scolaire, les professeurs tentent de motiver les écoliers en leur apprenant, dans toutes les matières, quelle a été la contribution des Noirs à la société canadienne. Le succès est mitigé. Si l’école élémentaire pour Noirs fonctionne à pleine capacité, le programme lycéen n’a accueilli que six élèves à la rentrée. Cet échec a relancé le débat sur le besoin d’avoir une telle école et il a donné de l’eau au moulin des opposants à l’école gay. Dans un Canada anglais en manque d’identité et où les communautés se côtoient sans se parler, l’école pour gays, si elle voit le jour, ne rapprochera certainement pas les esprits.

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Mariage gay et football

Monday, November 19th, 2012

L’Express

Un milieu moins homophobe que par le passé

On imagine souvent que le football est un milieu quelque peu homophobe et rétrograde. La réalité est plus contrastée. Le football, comme la société, a évolué, et, à quelques rares exceptions près, il fait preuve aujourd’hui d’une certaine bienveillance pour l’amour de personnes de même sexe, même si l’homophobie reste malheureusement présente.

Les « coming out » sont encore trop peu nombreux. Angela Merkel a d’ailleurs encouragé récemment les footballeurs gays à se déclarer. En France, Olivier Rouyer a attendu bien longtemps après la fin de sa carrière de joueur.

Malgré tout, les choses avancent lentement dans le sens d’une plus grande tolérance.

 

Le mariage gay n’est pas légal en Angleterre, Hazard et Torrès (Chelsea) le regrettent-ils?

 

Le « mariage pour tous » : pour tous, même pour les footballeurs, vraiment ?

On le sait, l’expression « mariage pour tous » suscite les controverses, à tel point que le gouvernement essaye de ne pas l’utiliser pour ne pas donner d’arguments aux adversaires de la loi. Pour ces derniers, le mariage ne peut être « pour tous », d’ailleurs on ne l’ouvre pas à un frère et une sœur, à la polygamie etc…

Mais une chose parait acquise à l’heure où cet article part à l’impression : il ne devrait pas y avoir d’exclusion spécifique pour les footballeurs ; « pour tous » signifiera donc « même pour les footballeurs », et on assistera à des mariages gays dans le football, chez les garçons comme chez les filles.

Des problèmes spécifiques au football

L’hétérosexualité de certains footballeurs créait déjà, parfois, pas mal de remous. Souvenons-nous, par exemple, que Wayne Bridge dut quitter Chelsea et l’équipe d’Angleterre parce sa petite amie l’avait trompé avec son coéquipier Terry. Il est vrai qu’elle était française, et, on le sait, les français et françaises sont assez volages.

Que se passera-t-il lorsque, au sein d’une même équipe, l’époux d’un joueur découvrira une infidélité avec un troisième ? Les répercussions sur le jeu collectif de l’équipe seront considérables. A la mi-temps, le travail de l’entraîneur sera épuisant : « Mais qu’est-ce que tu fais ? Ton mari est tout le temps seul démarqué à droite et tu ne lui fais jamais la passe ? ».

Cela arrivera plus souvent en France, pays créateur du « ménage à trois », où la fidélité est une denrée aussi rare que l’eau du Sahara. Or le football français a déjà, aujourd’hui, comme viennent de le montrer les tristes parcours de Montpelier et Lille en league des champions, un problème de compétitivité. Les présidents de clubs, qui subissent des charges sociales très supérieures à celles des autres pays, devront faire face à un problème de plus.

Les célébrations de buts donneront lieu à des scènes de jalousie souvent dommageables à l’esprit d’équipe. « Ne me prends pas pour un idiot, sa passe n’était même pas décisive, tu n’étais pas obligé de te jeter sur lui comme cela, je sais qu’il te plait, tu es un salaud. »

 

« Je ne veux pas qu’il te prenne dans ses bras »

La gestion des carrières des joueurs deviendra un peu plus compliquée. Le marché des transferts est déjà grippé ; en dehors des qatari, l’argent manque. Or, après la réforme, on devra souvent acheter deux joueurs et non un seul, puisque l’on ne pourra pas séparer les familles.

Un code de déontologie à inventer

Michel Platini doit se saisir rapidement du sujet et proposer un code de déontologie qui permettra de gérer les conflits d’intérêt qui ne manqueront pas d’apparaître.

Que faire en cas de mariage entre l’entraîneur et un joueur ? Un sélectionneur national peut-il choisir son époux ? Lorsque deux joueurs mariés d’une même équipe, de nationalité différente, se retrouvent opposés en match international, faut-il donner des consignes spécifiques aux arbitres pour éviter un éventuel arrangement ? Etc…

L’amour, comme le PSG, est magique

Mais l’amour, comme le disait Michel Fugain en 1974, c’est d’abord un beau roman et une belle histoire.

Par exemple, rêvons un peu, un grand joueur, ballon d’or, acceptant un transfert pour l’AS Trouville-Deauville, en échange de 10 entrées gratuites à la piscine et d’une invitation pour deux au festival du film américain, parce qu’il veut jouer dans la même équipe que son mari, footballeur amateur normand.

Nous aurons aussi de très belles cérémonies de mariage, que l’on imagine, pourquoi pas, dans la ville lumière, Paris, lorsqu’un attaquant du PSG épousera un défenseur, avec les milieux de terrain garçons d’honneur, Nasser Al-Khelaifi, le président du PSG, et Léonardo, témoins, Louis Nicollin, peut-être, parmi les invités, et surtout, les supporters du PSG, tolérants, ouverts et ravis, lançant des confettis et des fumigènes à la sortie de la mairie du 16ème, en chantant les hymnes du club.

Paris sera alors magique.

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Plus de 100.000 manifestants contre le mariage gay samedi en France

Monday, November 19th, 2012

Jean-Marc Morandini

Plus de 100.000 personnes ont manifesté samedi dans plusieurs villes de France contre le projet de loi ouvrant le mariage et l’adoption aux homosexuels, selon des chiffres officiels.

Quelque 70.000 manifestants ont notamment été recensés à Paris, selon la préfecture de police, 200.000 selon les organisateurs, tandis qu’à Lyon environ 22.000 personnes, selon la préfecture du Rhône, 27.000 selon les organisateurs, ont défilé, et à Marseille entre 6.000 et 8.000 personnes.

Kit média Groupe Gay Globe 2012-2013

Tuesday, November 13th, 2012
Magazine, WebTV et Radio

GayGlobeMEDIA

C.P. 172 Rosemont
Montréal, Québec H1X 3B7
Téléphone: 514-728-6436   Fax: 514-728-6436
E-Mail: [email protected]   Web: www.gglobetv.com

Un média moderne pour de nouveaux clients

Le Magazine Gay Globe publie de l’information spécifique à la communauté gaie québécoise et est présent dans tous les marchés et régions du Québec. Gay Globe va là où les autres ne vont pas!

Développez votre marché avec le meilleur outil médiatique gai disponible au Québec en 2012!

 

LE MÉDIA GAI LE PLUS POPULAIRE DU QUÉBEC!

DEPUIS 1998

Professionnalisme

L’Éditeur de Gay Globe Magazine est journaliste professionnel ex-Président de l’Association Canadienne des Journalistes, membre de l’Ivestigative Reporters and Editors des États-Unis et de la Fédération Européenne de Presse. Il est aussi journaliste-blogueur au Huffington Post Québec et membre de la Société des Communicateurs professionnels du Québec.

Une récompense Royale

Le 11 novembre 2012, l’Éditeur de Gay Globe Média brisait un nouveau record en étant le premier journaliste à la tête d’un groupe média gai à être décoré, par ordre de la Reine, de la Médaille du jubilé de la Reine Elizabeth II pour l’ensemble de sa carrière journalistique et pour sa carrière de musicien classique tant au Canada qu’en Europe. La médaille ayant été remise à M. Chayer directement par le Lieutenant-Gouverneur du Québec au nom du Gouverneur Général du Canada.

Le Groupe National®

Guide des divisions – Premier média gai au Québec

 

Le Groupe National est le fil de presse par excellence, global, pour les gais québécois. Composé de 3 divisions qui sont en opérations depuis au moins 1998, le Groupe National et son vaisseau amiral, le Magazine Gay Globe, comptent plus de 399,000 articles et émissions vus par mois.

Le Groupe National publie des sites Internet d’information et un magazine papier depuis 1998 et résulte de la collaboration de travailleurs autonomes uniquement. Il n’y a donc aucune subvention gouvernementale ou grande corporation derrière ces médias. L’amour du métier et la passion pour la libre circulation des idées sont les ingrédients qui motivent l’équipe à offrir tout à fait gratuitement, une ligne de médias et produits d’information uniques au Québec.

Magazine Gay Globe

Le Média gai officiel de Céline Dion et de René Angelil

Le Magazine Gay Globe est une publication papier et Web qui existe depuis 1998. Elle s’adresse principalement aux hommes gais (95%) du Québec qui aiment le beau, le luxe, le voyage et qui ont les moyens de leurs aspirations. Les lecteurs du Magazine Gay Globe s’intéressent aussi à la santé, à l’économie et à la vie politique. 100% des revenus proviennent des annonceurs et les dossiers moins faciles à financer qui traitent de SIDA et de prévention sont partiellement financés par Céline Dion et René Angelil depuis 8 ans.

Le Magazine Gay Globe doit sa popularité à une excellente recette d’analyse de textes qui vient de l’expérience des sites Internet du Groupe National. Pour déterminer du contenu de chaque édition de la revue, nous soumettons tous nos textes et sujets à la version Web sur GGTV et tout ce qui n’intéresse pas les lecteurs Web est écarté de la version papier. Ce qui se retrouve dans la version papier est donc ce qui intéresse le plus les lecteurs et le résultat est un taux de lecture très élevé. On n‘a qu’à voir la vitesse à laquelle les lecteurs vident les kiosques du Magazine Gay Globe quand il sort de chez l’imprimeur pour réaliser l’importance et la précision de cette méthode.

 

Gay Globe TV et Radio – Des articles et émissions vus des centaines de milliers de fois par mois!

http://www.gglobetv.com

Les sites Internet du Groupe National existent depuis 1998 et sont les plus fréquentés par les gais au Canada. Le contenu est immense avec des dizaines de milliers d’éléments (articles, images et vidéo) sur le site. Gay Globe TV et Gay Globe Radio sont des sites bilingues mais dont le visage français est prioritaire!

La chaîne de WebTV gai québécoise Gay Globe TV est exclusive et unique. Première chaîne télé gaie québécoise entièrement gratuite et accessible directement sur Internet en plein écran, Gay Globe TV a fait son lancement officiel à la mi-juillet 2006. Elle propose une foule d’émissions allant du débat de personnalités publiques aux enquêtes et aux dossiers santé de même qu’aux films classiques et séries tv du passé. On a parlé de GGTV sur les ondes du Canal Argent de TVA, au 98,5FM à Montréal, dans le Journal la Presse et dans plusieurs autres médias. Quant à Gay Globe Radio, elle est la seule radio 100% stéréo, dolby et gaie en format menu sur Internet et propose des émissions musicales de haut calibre.

Le Magazine Gay Globe et Gay Globe TV: Le premier média gai toutes catégories confondues au Québec!

Le moteur de vérification ALEXA (Alexa.com) qui est l’outil le plus important de mesure et de vérification de la popularité des sites Internet au monde, classe Gay Globe Magazine/GGTV bien au-dessus de son principal compétiteur Fugues et PREMIER de tous les médias gais au Québec. La plupart des dossiers du Magazine Gay Globe se retrouvent diffusés ou mentionnés sur Gay Globe TV ce qui en fait un média ayant un taux de dissémination très élevé.

 

Comparaison avec FUGUES

Le guide Fugues n’est pas un magazine mais un digest, un guide du nightlife montréalais. Il s’adresse aux jeunes de 25 ans et moins. Son agent de certification déclare 48,000 guides imprimés, mais ne déclare pas les guides repris à la fin du mois et les surplus. Le guide Fugues se trouve en kiosques facilement et il n’en manque jamais ce qui signifie en termes techniques qu’une partie seulement de ses stocks sont utilisés.

 

On parle de Gay Globe Média dans les médias nationaux

 

PUB GGMAG – Grandeur Tarif 1 à 2 Tarif 3 à 4 Tarif 5 à 8
Oreille sur couverture

     1495$

     1395$

     1295$

1 page 1295$ 1195$ 1095$
Couvert 2 ou 3 1495$ 1395$ 1295$
Pages centrales-2 (centerfold) 2590$ 2390$ 1995$
1/2 page 795$ 745$ 695$
1/3 page 695$ 645$ 595$
1/4 page 495$ 445$ 395$
1/6 page 395$ 345$ 295$
1/8 page (carte d’affaires) 295$ 265$ 245$
Capsule 1 an - - 795$
Bandeau bas de page 1 an     1995$
Les taxes sont en sus

PUBLICITÉ – GGTV 1 à 3 4 à 6 7 à 12
Bandeaux émission (1 an) 300$ x x
Bandeaux Index 300$/M 275$/M 250$/M
Cube vidéo accueil avec son 500$/mois 450$/mois 400$/mois
Cube vidéo accueil sans son 300$/mois 275$/mois 225$/mois
Cube statique avec lien 250$/mois 225$/mois 200$/mois
Pub exclusive dans émission 500$/É. x x
Bandeau dans la liste emails 295$/envoi 245$/Envoi 195$/Envoi
Email pub aux abonnés .12/Unité .10/Unité .08/Unité
Radio insertion audio 30 secondes 65$ l’insertion 55$ l’insertion 45$ l’insertion
Frais de montage par Gay Globe 3 élmts et –

50$

5 élmts et –

75$

6 élmts et +

150$

Les taxes sont en sus

 

Les annonceurs du Magazine Gay Globe ou de GGTV peuvent proposer des émissions spéciales. Parlez-en à l’éditeur au 514-728-6436

GayGlobeMEDIA

Montréal – Québec – Trois-Rivières – Gatineau – Sherbrooke – Boston

New York – Fort Lauderdale et sur le Web international

Roger-Luc Chayer médaillé de la Reine Elizabeth II

Tuesday, November 13th, 2012

Le 11 novembre 2012, Roger-Luc Chayer, journaliste et éditeur à Gay Globe Média et musicien classique a été décoré, par ordre de la Reine Elizabeth II, de la Médaille du Jubilé de Diamant de la Reine pour l’ensemble de sa carrière musicale tant au Canada qu’en Europe et pour l’ensemble de sa carrière journalistique. M. Chayer a été récompensé particulièrement pour sa contribution majeure au service du Canada.

Courrier des lecteurs 86

Saturday, November 3rd, 2012

Les médias ont accordé beaucoup d’importance cette semaine au courriel douteux que Jason Kenney a envoyé aux membres de la communauté LGBTB et qui faisait l’éloge de la soi-disant aide du gouvernement conservateur aux gais et lesbiennes persécutés en Iran.

Ce gouvernement essaie maintenant de se vendre comme grand défenseur des gais et lesbiennes à l’étranger. Pourtant, ici au pays, les conservateurs ont sans cesse essayé de miner le droit à l’égalité de la communauté LGBTB. Le bilan de ce gouvernement concernant les enjeux de la communauté LGBTB n’est rien de moins qu’honteux : ce dernier a tenté de revenir sur le mariage entre personnes de même sexe dans l’une de ses premières mesures lorsqu’il a été élu pour la première fois en 2006; il a retiré la mention du droit des gais (qu’il a été contraint par la honte de remettre) dans la brochure « Découvrir le Canada » offerte aux nouveaux immigrants; il a coupé le financement de la fierté gaie de Toronto; et il a permis au projet de loi C-32 – qui autorisera les couples de même sexe non résidents qui ont été mariés au Canada de divorcer, –  de s’étirer en longueur. De plus, nous n’oublierons pas de sitôt les déclarations incendiaires et blessantes faites à l’intérieur et à l’extérieur du Parlement contre les gais et lesbiennes par des députés conservateurs, y compris plusieurs ministres. La communauté homosexuelle a raison de questionner la sincérité des conservateurs lorsqu’il s’agit de questions qui les touchent et nous sommes résolus à leur demander de cesser leur hypocrisie.

Le gouvernement canadien devrait être un chef de file sur la scène internationale dans la lutte contre la discrimination envers la communauté LGBTB, mais il doit être aussi déterminé dans son travail à assurer l’égalité à cette communauté au Canada.
Madame Hedy Fry, députée fédérale
Porte-parole en santé
Parti Libéral du Canada

Merci Madame Fry pour votre lettre mais je me dois de répliquer car il faut extirper, selon moi, la politique du message. Tout d’abord, jamais les libéraux ne seront d’accord avec quoi que ce soit que feront les conservateurs ou le Premier ministre Harper. C’est la nature même de la politique des libéraux que vous menez depuis des lustres.

Ensuite, vous faites un amalgame entre certains faits ne relevant pas du ministre avec des décisions qui, même si elles impliquent certains groupes gais, ne semblent pas vous satisfaire. Prenons par exemple le cas de la Fierté de Toronto. La décision que vous dénoncez a pourtant été expliquée par le Gouvernement comme étant nécessaire vu la gestion de l’organisation et certaines décision prises au fil des années par le comité organisateur qui visaient à exclure et à boycotter des groupes alors que l’argent du Canada, les subventions, ne doivent justement pas servir à faire de la politique ou à exclure qui que ce soit et en cela, je crois que le ministre a très bien fait. Même chose pour Montréal d’ailleurs.

Quand on extirpe la politique des faits, parfois, ça semble plus logique non?
La Rédaction

Je me suis procuré le CD du pianiste Castell-Jacomin et je ne savais pas que Disques A Tempo finançait des musiciens gais. Bravo pour l’initiative et continuez parce que ce que j’écoute est divin!!!! Est-ce qu’il est possible de soumettre des artistes ou des enregistrements antérieurs pour production de nouveaux CD?
Michel Larouche (Québec)

Michel, c’est très gentil de partager votre découverte avec les lecteurs et en effet, sur les 4 productions de 2012 de Disques A Tempo, la majorité des musiciens ou des groupes est issue de la communauté gaie et lesbienne. Si le produit final est exceptionnel en terme de qualité, c’est notre objectif…

Quant à la soumission de matériel, oui c’est possible, envoyez vos fichiers uniquement en .wav ou mp3 à [email protected] pour évaluation.

Julien, toi qui préfères les hommes Publication exclusive du premier livre de Caroline Gréco portant sur l’annonce de l’homosexualité d’un jeune à ses parents.

Saturday, November 3rd, 2012

Leurs feuillages épais en été donne une fraîcheur agréable aux visiteurs et amis qui la parcourent à pied. La maison a été rénovée au cours des siècles, sa beauté et son charme ont été mis en valeur par des architectes qui ont su garder intact son style. Ses vieilles pierres lui donnent une apparence tranquille et discrète. La maison est longue et basse, protégée par un toit de vieilles tuiles aux couleurs délavées. Ses fenêtres à la française sont disposées de façon très régulière. L’entrée, entourée de rosiers magnifiques est située au milieu de la façade. On y accède par un perron à trois marches, large et majestueux. A gauche, un peu à l’écart, il y a le pigeonnier. Je crois qu’il est aménagé. Souvent, le soir une petite lumière brille sous le toit. Qui habite ce pigeonnier ? Je ne sais.

Damien a dix-neuf ans : grand, élancé, aux allures de fille, il ne passe pas inaperçu. Pourtant il n’est pas très beau avec ses yeux un peu trop rapprochés, son visage sans éclat particulier et ses cheveux châtains mi-longs, mais il se fait remarquer par sa silhouette gracieuse et fine, ses gestes très maniérés et son habillement excentrique. Damien adore les bijoux et il en porte abondamment. Il a toujours une boucle d’oreille avec un petit diamant à l’oreille gauche, une bague à presque tous les doigts et des colliers extravagants, en or, autour du cou. Un colosse d’un mètre quatre-vingt dix dont la tête bien ronde est entourée de cheveux grisonnants, un teint mat et des yeux clairs à l’éclat particulièrement tendre, ont fait la conquête de Damien. La silhouette musclée donne une impression de force et de calme en même temps. Avec Henri on doit se sentir en sécurité. Ils forment un couple étrange. Damien vient d’un milieu modeste et a découvert une vie luxueuse dont il ne soupçonnait pas l’existence : voyages, hôtels de luxe, réceptions, grands couturiers et l’aisance de la riche bourgeoisie qui s’offre à  lui  le fascine. Henri est en adoration devant ce gamin de trente-trois ans son cadet, qui le mène par le bout du nez, qui passe ses journées dans l’oisiveté la plus complète, qui ne s’intéresse qu’à ses vêtements et ne pense qu’à faire la fête, capricieux comme un petit gosse lorsqu’il y a un contretemps et que le programme prévu doit être modifié à la dernière minute.

Damien est souvent seul pendant la journée, tandis que Henri s’occupe de la propriété. Damien s’ennuie et part à la chasse aux beaux corps, rien d’autre ne l’intéresse. Henri le sait mais ferme les yeux. Il y a aussi les soirs où le couple ramène un jeune pour tous les deux…Ces comportements ne sont pas rares chez les homosexuels. Julien a rencontré Damien lors d’une soirée chez des amis communs. Mon fils le trouve trop vide,

trop efféminé aussi, mais il ne peut s’empêcher d’être ébloui devant l’étalage de cette vie luxueuse. Damien, qui a probablement besoin d’un témoin de la richesse dont il dispose, désire souvent la présence de Julien pour le présenter à ses amis. Et voilà ma peur qui revient ! Peur de cette morale différente de la nôtre, peur que Julien se fasse entraîner dans des histoires obscures… Julien oh Julien, combien je tremble pour toi, parfois! X. Thévénot écrit : Le changement de partenaire sexuel et la drague sont, de fait, deux réalités importantes du phénomène homosexuel. Il explique ensuite la drague sauvage, où seul le contact sexuel compte. Puis il décrit un autre type de drague, où l’on recherche surtout une rencontre humaine, chargée d’affects amoureux qui s’expriment aussi par le plaisir érotique. Et ensuite, il y a ceux qui changent souvent de partenaire, malgré leur désir conscient d’avoir une liaison stable : Je change parce que c’est plus fort que moi. Cette vie de drague est souvent tolérée par l’ami.

Alex et René vivent ensemble depuis deux ans; Le travail de René ne lui laisse que peu de jours de vacances. Alex, par contre, peut se libérer assez facilement. De temps en temps, il part donc deux ou trois jours « se reposer ». René sait que son ami va se défouler avec d’autres garçons: il accepte.

Julien et ses amis se retrouvent souvent pour une fête, un repas, une sortie en boîte, une soirée de drague. Le groupe ne résiste jamais longtemps, parce que, dans cette ambiance de flirt permanent, il est en proie à la jalousie, aux commérages. « J’étais au restaurant; À la table voisine de la nôtre, il y avait un type magnifique. Robert l’a dragué, et nous avons été tous ensemble finir la soirée en boîte. Il était beau, d’accord, mais assez borné. Dommage ! »

Et pourtant, quand Julien parle avec moi, il dit souvent que ce qu’il y a dans la tête est plus important que la beauté physique. Et tout de suite, il me cite des noms de copains avec qui il a eu des aventures, en me précisant combien ils étaient laids mais intéressants. Quelques minutes plus tard, il oublie ce qu’il m’a raconté et m’explique que, pendant ses dernières vacances, il a croisé un garçon tellement beau … « Il n’avait qu’un geste à faire, et je l’aurais suivi n’importe où, sans me poser de questions : il était trop beau ! Mais malheureusement, il était déjà, avec quelqu’un ! »

Donc, au départ, on se choisit parce qu’on se plaît physiquement, peu importe si l’autre ne correspond pas, intellectuellement, à l’image qu’on s’en était faite. À partir du moment où il y a attirance, il n’y a plus de barrières. Les déceptions sont nombreuses, et parfois dures à assumer. Si l’on se plaît, très vite on s’installe ensemble et si l’on a de la chance, cela marchera quelques mois, même quelques années. . Il y a des exceptions, bien sûr, mais souvent les vieux couples n’ont plus de vie commune. Ils restent ensemble par habitude, par peur de la solitude, de la vieillesse, ou alors parce qu’ils ont acheté des biens en commun. Jean-Noel Pancrazi, dans son livre Les quartiers d’hiver , décrit bien la solitude d’un homosexuel âgé, qui voit ses vieux amis partir vers d’autres villes ou d’autres pays, ou bien mourir du sida, ce nouveau fléau des temps modernes.

Entre un homosexuel qui court désespérément d’un amour à un autre et qui n’arrive pas à se fixer, allant d’aventure en aventure, de fête en fête, évoluant ainsi dans une ambiance fragile, superficielle, sur un terrain peu stable où le paraître, la séduction, le désir de plaire sont très importants, où la vraie personnalité reste bien cachée, et un homme et une femme, hétérosexuels qui courent eux aussi d’aventure en aventure, où est la différence ? En fait, il s’agit de la même recherche effrénée du plaisir : ils se cherchent à travers leurs conquêtes.

Ce qui choque notre morale est cette attirance entre deux personnes du même sexe. D’autre part, cette quête du plaisir chez les hétérosexuels ne dure, dans la plupart des cas, qu’un temps. Un jour on rencontre « l’autre », avec lequel(le) on a envie de construire quelque chose de sérieux et «on se case». L’éternel insatisfait, le don Juan, reste l’exception. On ne se moque pas d’un don Juan mais on n’a pas de pitié pour un homosexuel. Pourtant leur problème est singulièrement le même : tous les deux cherchent leur plaisir, leur seul plaisir, sans jamais pouvoir le satisfaire et c’est une quête effrénée et constante. Il y a des homosexuels qui vivent en couple : cela ne les empêche pas de chercher des aventures. Il y a des Don Juan qui se marient : et ce n’est pas parce qu’ils ont femme et enfants, qu’ils cessent de draguer. L’un comme l’autre sont insatisfaits, malheureux, à la recherche d’un bonheur impossible.

Au début des vacances, nous avons été à un mariage. Nous en parlions depuis longtemps, avec joie. Cette cousine qui se mariait en Savoie nous donnait l’occasion de faire un beau voyage, et surtout de retrouver et de revoir toute la famille : oncles, tantes, cousins et les amis, et puis c’était la fête! Nous avons eu du mal à trouver la petite église de montagne, cachée par une colline verdoyante. Le son de la cloche nous servait de guide.

Le Registre des actes homophobes de Gai Écoute serait inutile!

Saturday, November 3rd, 2012

C’est ce que déclare, sous le couvert de la confidentialité,  un policier du SPVM qui considère que le registre, dans son fonctionnement actuel, n’aurait aucun effet. Il n’a pas tort si on doit se fier aux observations faites par GGTV car pour faire une web-déclaration, il suffit de parler du crime sans que l’on puisse s’identifier, identifier le suspect ou valider l’info. Facile alors de multiplier les déclarations “factices” si ces chiffres permettent de demander des subventions, souvenez-vous de “Dire enfin la Violence”!

Manon Massé Députée de Québec Solidaire, vraiment?

Saturday, November 3rd, 2012

Qui savait que la candidate de Québec Solidaire dans Ste-Marie-St-Jacques avait déjà été députée du comté avant sa défaite du 4 septembre dernier?

Peu d’électeurs du comté, selon nos observations, car Manon Massé a effectivement été présentée par un journaliste oeuvrant pour un média gai du Village de Montréal comme députée défaite à l’élection générale québécoise récente. Là où la surprise est grande, c’est que la personne concernée, Madame Massé, n’a pas encore démenti cette fausse présentation faite par François Bernier, plus d’un mois après l’élection, pas plus que le média lui-même qui l’appuie…

Manon Massé n’en est pas à ses premières déclarations “inexactes” elle qui se présentait comme parlementaire québécoise, en Grèce, il y a quelques années, dans l’affaire de la flottille en partance pour la Palestine. Il faudrait que quelqu’un de Québec Solidaire explique à la Manon qu’en démocratie, il faut être élu pour être parlementaire!?!

La Chevrolet Traverse La transformiste universelle

Saturday, November 3rd, 2012

Un des véhicules les plus populaires au Canada qui se transforme beaucoup au fil du temps mais qui garde toujours ses principales qualités est la Chevrolet Travers, qui portait autrefois le nom de Pontiac Montana et dans les années 90, de Pontiac Trans Sport, réputée pour son look sportif urbain avec son museau pointu très moderne pour l’époque.

Le véhicule a évolué avec le temps, gardant tout au long de son évolution sa principale qualité qui est l’espace de chargement. Toutefois, afin de rester compétitif surtout dans le marché des mini-vans a traction intégrale, le Traverse est devenue une sorte de mélange entre le Trail Blazer et le Uplander. Doté d’un V6 à 6 vitesses automatique, le véhicule peut accueillir 8 passages de façon très confortable.

De plus, devenu une sorte d’utilitaire versatile, les sièges se rabattent pour en faire un véhicule de transport ayant une capacité de charge exceptionnelle. Bien qu’ayant une allure arrondie et plutôt neutre, le Traverse est un véhicule de grande capacité pesant plus de 4700 livres (2136kgs), son confort y est garanti. Très bien équipé avec des équipements de série très nombreux et modernes, le Traverse est d’une fiabilité remarquable qui en fait un véhicule d’occasion très intéressant. Les pièces de rechange sont vendues à des prix raisonnables mais avant tout, la qualité de sa construction fait l’unanimité auprès des critiques auto.

Cour Suprême Décriminalisation partielle du Statut sérologique au Canada

Saturday, November 3rd, 2012

Dans la foulée de la publication récente d’un arrêt de la Cour Suprême du Canada portant sur le statut sérologique et la criminalisation du VIH, les médias annonçaient une série de faits aussi erronés que faux. Une mise au point s’impose donc afin que le public soit informé des nouvelles règles régissant la divulgation de son statut de séropositif au Canada.

Tout d’abord, avant ce jugement historique et depuis 1998, les personnes séropositives étaient légalement tenues de divulguer leur état à tout partenaire sexuel, qu’elle aient des relations protégées ou non, qu’elles soient indétectables ou non, qu’elles soient sous trithérapie ou non. Par conséquent et depuis quelques années, de nombreuses personnes de la communauté gaie ont fait l’objet d’accusations criminelles, voir notre dossier antérieur sur Steeve Biron, et selon la plus haute Cour canadienne, il était devenu temps de faire une mise à jour judiciaire.

En résumé, le Tribunal a rétabli les peines dans 3 accusations et en annulait une 4ème sur la base de nouvelles règles que tous devraient connaître:

1- Les personnes séropositives sous trithérapie dont la charge virale est faible ou indétectable, qui utilisent un condom pendant la relation sexuelle, n’ont plus l’obligation de divulguer leur statut sérologique à qui que ce soit, ces deux conditions doivent impérativement être rencontrées;

2- Les personnes séropositives sous trithérapie dont la charge virale est faible ou indétectable qui n’utilisent pas de condoms ont l’obligation de divulguer leur état à leurs partenaires sous peine de poursuites criminelles et possiblement de peines de prison;

3- Les personnes séropositives qui refusent la trithérapie ou qui n’ont pas recours à ces traitements et dont la charge virale n’est pas vérifiée et qui n’utilisent pas de condoms ont l’obligation de divulguer leur statut à leurs partenaires;

Enfin, il faut comprendre dans ce jugement que malgré tous ces critères, l’intention criminelle doit être présente avant de formuler des accusations contre des personnes atteintes du VIH alors qu’avant, l’intention criminelle n’était pas nécessaire. Cela signifie donc que les personnes séropositives dont la charge virale est faible ou indétectable qui se protègent ne pourront plus faire l’objet de poursuites criminelles si le condom se déchire, ceci étant considéré maintenant par la Cour Suprême comme un risque faible de transmission.

Quand on parle d’obligation de divulgation, il est très important de bien comprendre la signification de cette obligation qui est dorénavant imposée aux personnes séropositives sans traitement ou sans protection. Le simple fait de parler à son partenaire n’est pas suffisant.

En effet, comme dans toutes les affaires judiciaires, la règle de preuve s’applique plus que jamais à une telle situation et l’importance de documenter une telle divulgation peut faire la différence entre la liberté ou la prison.

Il est recommandé, lors de la divulgation au partenaire de son statut sérologique positif, de simplement s’assurer de garder une trace de cette divulgation au cas où le partenaire, plus tard, déciderait lors d’un litige de nier cette divulgation comme cela s’est vu tout récemment dans quelques affaires de divorces ou de séparations tournant au vinaigre et menant la personne séropositive en prison.

La signature d’un document simple qui déclare que la divulgation a été faite, un enregistrement de la divulgation fait avec un téléphone cellulaire ou la présence d’un témoin fiable lors de la divulgation sont des moyens relativement efficaces de vous protéger.

Essentiellement, la Cour Suprême du Canada déclare: “En l’espèce, les quatre plaignantes ont toutes consenti aux rapports sexuels avec M et témoigné qu’elles n’auraient pas eu ces rapports si elles avaient su que M était séropositif.  Il y a eu pénétration et éjaculation lors des rapports sexuels.  Lors de ses relations sexuelles, M avait une charge virale faible, mais il n’a pas utilisé de condom. Les déclarations de culpabilité doivent donc être confirmées dans ces cas.  En ce qui concerne K.G., le dossier révèle que la charge virale de M était faible.  Combinée à l’utilisation du condom. Par conséquent, la déclaration de culpabilité prononcée dans ce cas doit être annulée.”

Malaise face aux gais Est-ce que le député Alexandre Boulerice aurait peur des homosexuels?

Saturday, November 3rd, 2012

Alors que nous devions vous présenter un dossier devant mettre à jour les actes spécifiques à l’encontre de la communauté gaie de Montréal posés par le nouveau député du NPD Alexandre Boulerice (Rosemont-Petite-Patrie), voilà que nous recevions un courriel de son attaché politique, Monsieur Éric Demers, nous accusant de nous en prendre à son protégé, en des termes très légalistes dont voici un extrait:

“… Je considère que les propos que vous avez publiés sont infondés et outranciers. Ils ne sont basés sur aucun fait et constituent une attaque directe à la réputation de Monsieur Boulerice…”

Or, l’article dont se plaignait Éric Demers n’avait pas encore été publié d’une part et contrairement à ce que prétendait dans son courriel l’attaché politique du député visé par notre enquête, le contenu entier de l’article sur lequel il avait été informé était exact, précis et reposait sur une analyse raisonnable des faits à notre disposition.

Toutefois, les questions soulevées par notre article mettaient certainement en évidence des gestes si grave de la part du député Boulerice à l’encontre des personnes homosexuelles de Rosemont qu’il a certainement raison de se plaindre que cela pouvait changer sa réputation, mais cela n’est sûrement pas de notre faute puisque nous ne sommes pas à l’origine des gestes que nous nous propositions de dénoncer.

Il a donc été décidé, suite à un langage ressemblant à celui utilisé avant d’introduire des poursuites judiciaires en diffamation et ne souhaitant mettre en péril la survie de notre publication avec des gestes visant à nous faire taire à jamais et à nous épuiser juridiquement, que le mieux serait de ne pas publier notre dossier pour le moment, tout en attirant l’attention des lecteurs sur ces faits nouveaux et honteux de la part d’un élu.

Si Alexandre Boulerice a si peur de la publication de notre article au point de nous menacer, c’est que les faits soulevés par notre travail sont effectivement graves et pourraient entraîner une vive réaction de la population à son endroit. Boulerice a aussi refusé de répliquer à notre article. Les principales instances du NPD ont été avisées de la situation et selon nos sources, les actes de M. Boulerice inquiètent aussi le chef Mulcair et d’autres dirigeants du NPD qui voudront certainement avoir une rencontre sous peu avec le député fédéral de Rosemont-Petite-Patrie.

Cela dit, nous déplorons les réactions de M. Boulerice de même que ses actes face aux homosexuels de son comté depuis 2008. La situation est grave et en plus de nous empêcher de publier notre dossier, les gestes de M. Boulerice pourraient aussi constituer une forme de censure voulue et dirigée spécifiquement à l’encontre des personnes homosexuelles. On y reviendra…

(Wikipédia) L’homophobie est l’hostilité, explicite ou implicite, mais violente et agressive envers des individus dont les préférences amoureuses ou sexuelles concernent des individus de même sexe.

Cette hostilité relèverait de la peur, de la haine, de l’aversion ou encore de la désapprobation intellectuelle intolérante envers l’homosexualité.

L’homophobie englobe donc les préjugés sur l’homosexualité, lorsqu’ils se traduisent par des attitudes violentes, et les discriminations (emploi, logement, services) envers les homosexuels.

L’homophobie peut être de différentes origines: issue de positions religieuses, de considérations cliniques (en médecine, en particulier en psychiatrie, et en psychologie), anthropologiques (au nom de la différenciation des sexes) ou idéologiques (le nazisme, le stalinisme), ou issue de désirs homosexuels refoulés.

Prison aux USA Le Projet Genesis

Saturday, November 3rd, 2012

Je suis toujours là! Ma requête en libération n’a toujours pas mérité de réponse, le procureur de l’État étant resté muet, et il n’a pas demandé de délais additionnels. Son silence me porte à croire qu’il est d’accord avec les faits énoncés dans ma requête et que, par conséquent, il ne s’oppose pas à ma libération mais je dois attendre que la Cour rende son jugement et cela pourrait prendre jusqu’à la fin septembre, peut-être plus, avant que sa décision soit connue.

Entre temps c’est avec joie que j’apprenais le mois dernier que j’allais poursuivre mon évolution au sein d’un programme de réhabilitation spécial et exclusif à l’institution de Jackson, le Projet Genesis. Ayant eu vent de ce projet en janvier dernier, j’avais envoyé une demande afin que l’on puisse considérer ma participation, j’étais  donc admis le 7 mars dans le dortoir “Genesis”.

Le Projet Genesis est un programme à participation volontaire d’une durée de six mois qui est basé sur le parrainage de détenus servant une sentence à vie ou de longue durée afin d’aider d’autres prisonniers à traiter les comportements dysfonctionnels à l’origine de leur incarcération. Le but du programme est d’effectuer une transformation intérieure des détenus qui viennent à peine d’entrer dans le système carcéral.

Le programme est divisé en trois étapes d’une durée de deux mois chacune:

1- Prison 101: Cette étape permet d’identifier les différents comportements qui ont mené à des conflits avec la société ou dans nos relations interpersonnelles;
2- Pas d’excuses!: Cette étape vise à effectuer une recherche intérieure, avec l’aide des autres, afin d’accepter ses responsabilités pour ses propres comportements négatifs qui mènent en prison ou qui se perpétuent même en prison;
3- Rentrer à la maison: Cette dernière étape permet à chaque participant de se préparer pour une vie meilleure et productive, pour ceux qui retourneront dans la société ou pour permettre une maturation à travers leur expérience d’incarcération à ceux qui restons pour un long séjour ou une sentence à vie;

Bien que ma participation aurait du se terminer en septembre dernier, des changements ont été apportés récemment et de nouveaux sujets de discussion ont été ajoutés, ayant pour effet de prolonger mon séjour dans le dortoir Genesis jusqu’en janvier 2013. Même si le programme est très prenant et nécessite des rencontres de groupe quatre fois par semaine, parfois d’une durée de deux heures, le principal avantage associé à Genesis est que je suis maintenant hébergé dans un dortoir constitué de cellules pour deux personnes, des clients comme moi qui souhaitent la réhabilitation plutôt que la récidive. Les conditions de vie sont à des années lumière des conditions habituelles des dortoirs à aires ouvertes de 71 personnes, des jungles où l’intimité est impossible et où les cris et le bruit règnent en maîtres près de 18 heures par jour.

Si je n’obtiens pas gain de cause avec ma requête en libération, au moins mes conditions de vie sont bien meilleures qu’avant.

Ma date de libération actuelle étant fixée au 13 janvier 2014, je n’en ai donc que pour une seule autre année au pire, je n’ai qu’à m’armer de courage et de patience pour peu de temps… Pour le moment, je suis toujours là!

Le Conseil de Paris milite pour les “Gay Games” 2018

Saturday, November 3rd, 2012

Le Conseil de Paris a demandé, lundi 24 septembre, que la mairie de Paris soutienne la candidature de la ville à l’accueil des dixièmes Gay Games, en 2018.

Un vœu en ce sens avait été déposé par le maire du 2e arrondissement, Jacques Boutault, au nom du groupe Europe-Ecologie-Les-Verts et apparentés (EELVA). Les Gay Games sont la plus grande manifestation sportive et culturelle organisé par et pour les athlètes, artistes, musiciens LGBT.

À chaque édition, environ dix mille sportifs et artistes participent dans une trentaine de sports et dans plusieurs manifestations artistiques (fanfare, chorale, arts plastiques).

Les prochains Gay Games se tiendront à Cleveland (Etats-Unis) en 2014.

Programme Homophobie Où est allé l’argent des subventions du Québec?

Saturday, November 3rd, 2012

En 2009, le Gouvernement de Jean Charest annonçait en grande pompe qu’il lançait un nouveau programme de lutte contre l’homophobie qui aurait pour objectif d’intervenir via des subventions, auprès de groupes ou d’organisations qui allaient promouvoir la lutte contre l’homophobie à tous les niveaux au Québec.

Depuis, Gay Globe a tenté à de nombreuses reprises de savoir comment l’argent avait été dépensé et qui avait bénéficié de ces subventions et ce n’est que tout récemment, grâce à la Loi sur l’Accès à l’information des organismes publics, que nous connaissons exactement les sommes affectées et à qui…

Pour le plan budgétaire 2011-2012, le bureau a dépensé 685,600$ dont 90,600$ ont été consacrés aux salaires et aux frais de fonctionnement du bureau lui-même. Le Ministère de la justice refusant de nous indiquer le salaire du coordonnateur autrement que par une fourchette allant de 37,000$ à 71,000$. Bien que 50% des sommes semblent être octroyées à des organisations légitimes qui font probablement une véritable lutte contre l’homophobie, des sommes très importantes sont par contre octroyées à des organisations inconnues ou religieuses, ce qui fait soulever quelques sourcils dans la communauté gaie. Par exemple, 24,800$ à la Fondation de la Tolérance dirigée par des millionnaires connus, 43,020$ au Conseil Québécois des Gais et lesbiennes dont on se questionne toujours sur le membership réel, 24,800$ à Rézo qui refuse de fournir ses états financiers depuis de nombreuses années et qui est impliqué dans des dépenses publicitaires futiles, 62,050$ à Jeunes Adultes Gais (JAG), 17,800$ en deux versements à Fierté Montréal qui persiste à exclure certains groupes gais de ses activités et 60,000$ à Gai Écoute, pourtant déjà subventionné pour répondre au téléphone… La lutte contre l’homophobie prend parfois des visages très surprenants…

Arc-en-Ciel Pourquoi il est devenu symbole de fierté gaie?

Saturday, November 3rd, 2012

Historiquement, les homosexuels contraints de se dissimuler, recouraient aux couleurs vives pour se signaler l’un l’autre. Oscar Wilde était fameux pour l’œillet vert qu’il arborait à son revers, fleur utilisée, pense-t-on, par d’autres Londoniens et Parisiens à la fin du XIXe et au début du XXe siècle pour signaler discrètement leur orientation sexuelle.

Le romancier Robert Hitchens évoque ce phénomène en 1894 dans L’œillet vert, roman qui fut en partie à l’origine du procès pour sodomie intenté à Wilde. Le jaune était en Australie utilisé dans le même but. À en croire Sunshine and Rainbows, une étude de la culture gay au Queensland:

«Si vous cherchiez à attirer l’attention des personnes de même sexe, il suffisait bien souvent de porter une paire de chaussettes jaune vif.»

Au cours de la Shoah, les homosexuels étaient contraints de porter le triangle rose, un symbole que la communauté gay s’est par la suite réapproprié. Le violet fut également un symbole répandu de fierté homosexuelle dans les années soixante et 1970, au cours desquelles les habitants de San Francisco ont tenté d’ériger la «main pourpre» en symbole, les gays Bostoniens placardant, eux, des affiches ornées d’un rhinocéros violet.

Il faut attendre les années soixante-dix pour voir l’arc-en-ciel se populariser comme symbole officiel de la communauté gay. En 1978, l’artiste san-franciscain Gilbert Baker créé ce qu’on considère comme le premier étendard moderne de la fierté gay en associant huit bandes de couleur, toutes symboliques: le rose pour le sexe, le rouge pour la vie, l’orange pour la guérison, le jaune pour le soleil, le vert pour la nature, le bleu pour l’art, l’indigo pour l’harmonie et le pourpre pour l’esprit humain.

Passant au stage de la fabrication en vue de le commercialiser, il constate que le rose vif n’est pas aussi facile à obtenir que les autres couleurs, et le drapeau passe à sept couleurs. Par la suite, Baker abandonne également l’indigo pour conserver un nombre pair, et l’on en arrive aux six couleurs que l’on connaît aujourd’hui. En 1978, quand les militants de la cause gay de San Francisco défileront pour protester contre l’assassinat du conseiller municipal Harvey Milk, ils brandiront les drapeaux créés par Baker.

La culture pop a également contribué à la résonance de l’arc-en-ciel auprès des militants de la cause, et notamment Judy Garland et sa chanson emblématique «Somewhere over the rainbow». Garland fut tout au long des années cinquante et 1960 une énorme star au sein de la communauté gay. Ses concerts étaient d’incontournables rendez-vous pour les homosexuels masculins et à compter de la Deuxième Guerre mondiale.

Les émeutes décisives du Stonewall Inn ont démarré quelques heures à peine après l’inhumation de Garland, et sa mort pourrait avoir joué un rôle dans leur déclenchement.

Comme s’en était vantée Garland quelque temps auparavant: «le jour de ma mort je vois d’ici les tapettes chanter “Over the rainbow” et les drapeaux en berne à Fire Island».

Garland est morte en 1969, avant que se répande le drapeau LGBT tel qu’on le connaît aujourd’hui.

L’arc-en-ciel est un symbole important dans la bible, où il représente la promesse de paix de Dieu à Noé, et certains groupes chrétiens l’ont utilisé dans leur iconographie.

Les hippies ont parfois défilé sous des drapeaux arc-en-ciel lors des marches pour la paix des années soixante et 1970, et furent peut-être une source d’inspiration pour Baker.

Exploit réalisé par Disques A Tempo

Saturday, November 3rd, 2012

Mission accomplie pour Disques A Tempo, la division CD et musique du Groupe National (incluant Gay Globe Média) qui a réalisé depuis juillet 4 productions CD toutes disponibles actuellement autant sur Internet à Cdbaby.com, Amazon.ca ou iTunes mais aussi en version physique, avec pochette et textes, par commande directe à [email protected]

Pour voir ou entendre les quatre productions, rendez vous simplement sur Cdbaby.com et entrez dans la recherche “Castell-Jacomin” pour entendre du Mozart ou “Chayer” pour entendre de la musique de chambre ou de grandes ouvertures symphoniques.

Disques A Tempo renouvellera son exploit en 2014 avec de nouvelles productions classiques toutes offertes à 9,99$.

Terrine de poissons de la côte d’Opale

Saturday, November 3rd, 2012

Ingrédients
600 g de filets de turbot
300 g de filets de saumon sans peau
15 cl de crème épaisse / 15 g de beurre
2 œufs / 2 tranches de pain rassis
1 c. à soupe de pesto aux fines herbes

Préparation:
Passez la chair du turbot au mélangeur. Ajoutez à la purée de poisson le pesto, la crème fraîche, le pain et les œufs entiers, l’un après l’autre en mélangeant bien après chaque ajout. Salez et poivrez.
Coupez en fines lamelles le saumon, salez et poivrez.
Préchauffez le four à 350 °F et placez-y un plat rempli d’eau bouillante afin que le bain-marie soit prêt.
Beurrez copieusement un moule à cake en Pyrex. Étalez dans le
moule une bonne couche de farce de turbot, puis, en alternance, des lamelles de saumon, pour terminer avec la farce.
Placez une feuille d’aluminium sur la terrine et déposez dessus un autre moule à cake de façon à mettre du poids sur la terrine.
Mettez-la au four dans le bain-marie, pendant 50 minutes.
Laissez la terrine refroidir dans le four, puis placez-la
une nuit au réfrigérateur.
Servir avec une mayonnaise au citron et à l’échalote française,
et une bonne baguette croustillante!

L’Intégral et Doris Day en rappel!

Saturday, November 3rd, 2012

Plus loin dans ces pages, vous découvrirez une publicité portant sur l’Intégral, la nouvelle étiquette de reportages de Gay Globe Magazine. Qu’est-ce que l’Intégral exactement?

C’est très simple, c’est une étiquette qui sera apposée sur un texte, un article ou une enquête de Gay Globe Média signifiant que le dossier est publié intégralement, sans cachette ou censure, afin que les lecteurs puissent se faire une opinion finale sur un sujet complet.

Quelle est la différence avec le traitement des autres sujets? Le traitement de la nouvelle portant l’étiquette “l’Intégral” sera complet, aucune retenue éditoriale ou dilution éthique. Le public a droit à une information PLEINE et ENTIÈRE et dans la communauté gaie, souvent, les nouvelles sont teintées des intérêts des médias ou des départements publicitaires.

Avec L’étiquette “l’Intégral” de Gay Globe, peu importe l’implication du dossier, la vérité sera faite parce qu’une presse sérieuse est garante de la santé démocratique et Gay Globe souhaite offrir une alternative exclusive et de qualité à ce qui se fait actuellement partout dans les médias gais. On assume!

DORIS DAY au Cinéma du Parc

Notre édition numéro 79 a été remarquée non seulement par les lecteurs, qui en ont fait une édition historique mettant en vedette Doris Day, par leurs commentaires et leurs nombreuses demandes de copies de collection, mais aussi par les organisateurs d’événements culturels de Montréal.

Le Cinéma du Parc nous contactait récemment pour nous annoncer la diffusion pendant quelques jours en novembre d’un documentaire portant sur la vie et l’oeuvre de Doris Day, avec des entrevues de nombreuses personnalités qui la connaissent. Gay Globe Média vous invite à consulter la publicité dans ces pages et à participer à cet événement extraordinaire qui n’a été vu auparavant qu’en Allemagne. Nous y serons en grand nombre en espérant vous y croiser!

Cartouche édition 86 Gay Globe Magazine

Saturday, November 3rd, 2012

GAYGLOBE
Édition #86
GRATUIT

CP 172 Rosemont
Montréal, Qc H1X 3B7
Téléphone et Fax
514-728-6436

Courriel
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Web: www.gglobetv.com
Éditeur
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Conseillers spéciaux et journalistes
Roger-Luc Chayer
Jean-Marie Pottier
Lionel Corlay (photographe)
Claude Lussier (Finances)
Gilles Schaufelberger
(Révision et correction)
Michel Cloutier
(Relations publiques)

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Jugement intégral contre Gabriel Nadeau-Dubois

Friday, November 2nd, 2012

http://www.gayglobe.us/jugement.nadeau-dubois011112.pdf