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Un smartphone pour dépister le sida

Monday, September 3rd, 2012

Afrik.com

Des chercheurs sud-africains et sud-coréens sont en train de mettre au point un téléphone intelligent, capable de dépister le virus du sida. Il suffira de photographier l’échantillon de sang et les analyses seront menées grâce aux applications du smartphone. Les régions les plus éloignées de l’Afrique du Sud et du Swaziland devraient être les premiers à profiter de cette trouvaille baptisée “Smartscope”.

Le test du dépistage du VIH effectué par un smartphone : des chercheurs sud-africains et sud-coréens s’y emploient. Ils l’ont annoncé ce vendredi. Un microscope d’un millimètre et des logiciels intégrés à un smartphone permettront d’analyser des échantillons sanguins pour détecter le virus du sida. Mais « sa fonction essentielle est de déterminer le nombre de CD4 pour faire le diagnostic », a précisé, selon l’AFP, Jung Kyung Kim, professeur en ingénierie biomédicale à l’Université Kookmin en Corée du Sud. Cette information sur l’état des globules blancs est capitale pour démarrer ou non un traitement.

Un laboratoire mobile

« Notre idée était d’obtenir des images et de les analyser sur ce smartphone grâce à des applications », a expliqué le professeur Kim. Le “Smartscope”, c’est le nom de ce laboratoire mobile, fonctionne comme un microscope classique, à la différence que l’échantillon de sang est photographié, puis ensuite analysé.

Ce téléphone intelligent, à vocation médicale, a été pensé pour les zones reculées du continent africain où les laboratoires sont rares. L’Afrique du Sud, le pays le plus touché au monde par l’épidémie, et le Swaziland seront les premiers pays à en bénéficier. En 2009, quelque 5,6 millions de Sud-Africains vivaient avec le virus du sida. Le Swaziland, quant à lui, affichait en 2009 le taux de prévalence le plus élevé au monde chez les adultes : 25,9%.

Les essais cliniques pour tester le Smartscope pourraient débuter l’année prochaine.

http://www.gayglobe.us

Failles dans le dépistage du sida : 50.000 Français ignorent qu’ils sont contaminés

Wednesday, November 30th, 2011

FranceSoir
Trente ans après la découverte du VIH, la lutte pour améliorer le retard au dépistage constitue un enjeu majeur, a martelé mardi le Dr Jean-Yves Grall, le directeur général de la santé. L’Institut national de veille sanitaire (InVS) et de l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (Inpes) ont présenté mardi les dernières données épidémiologiques sur le sida en France. Le constat est amer : le dépistage stagne et le nombre de nouvelles contaminations ne baisse pas, à environ 7.000 cas par an. « Pour une pathologie aussi grave, cela reste énorme », a souligné Caroline Semaille, de l’InVS. D’autant que 50.000 Français ignorent qu’ils sont contaminés par le VIH. A la veille de la Journée mondiale de lutte contre le sida, le 1er décembre, outre la nécessité de se protéger lors des rapports sexuels, les autorités de santé martèlent un objectif : réduire de 80 % à 90 % les nouvelles infections d’ici à cinq ans en triplant le nombre de tests de dépistage. Le point sur l’épidémie.
Stagnation des dépistages et des séropositivités découvertes

Depuis 2008, le nombre de cas de séropositivité découverts reste stable, alors qu’il avait diminué entre 2004 et 2007. En 2010, sur 5 millions de tests de sérologie réalisés, environ 6.300 personnes ont ainsi pris connaissance de leur séropositivité. Près de huit dépistages sur dix sont réalisés en laboratoires de ville et seuls 8 % ont lieu lors d’une consultation de dépistage anonyme et gratuit. L’Ile-de-France concentre 44 % des nouveaux cas d’infections, tandis que la Guadeloupe et la Guyane en représentent 9 %. Pour l’InVS, ces données constituent avant tout un « état des lieux » qui permettra de mesurer l’impact des stratégies mises en place par le plan initié en 2010 pour améliorer le dépistage.
Augmentation chez les homosexuels masculins et les plus de 50 ans.

C’est une mauvaise nouvelle : la seule catégorie où le nombre de découvertes de contaminations augmente de façon marquée est celle des hommes ayant des relations sexuelles avec les hommes. L’an dernier, 2.500 homosexuels ont appris leur séropositivité, « le plus souvent diagnostiqués à la suite d’une prise de risque », indique l’InVS. Agés de 37 ans en moyenne, ils représentent 40 % de l’ensemble des découvertes. Fait préoccupant : la part des homosexuels de moins de 25 ans découvrant leur statut positif est en hausse régulière depuis 2003. Chez les hétérosexuels, le nombre de découvertes diminue faiblement depuis deux ans pour atteindre 3.600 cas l’an dernier. Les personnes nées à l’étranger représentent 2.500 de ces cas, en majorité des femmes, d’origine subsaharienne. « Il est nécessaire de rester très prudent, car la transmission des autres infections sexuellement transmissibles persiste », tempère l’InVS. Autre fait notable, la classe d’âge des plus de 50 ans augmente chaque année depuis 2003, totalisant 18 % des découvertes en 2010.
Trop de dépistages à un stade tardif

Parmi les découvertes de séropositivité en 2010, 15 % sont intervenues à un stade sida. Un chiffre stable depuis 2007, mais peu satisfaisant. Aujourd’hui, seulement 36 % des diagnostics sont réalisés à un stade précoce. « Près de 70 % des personnes découvrent leur séropositivité alors qu’un traitement aurait déjà pu leur être proposé », déplore l’Inpes. Plus grave, environ 50.000 Français sont contaminés sans le savoir. Les plus touchés par ce retard de dépistage sont les plus de 40 ans ayant des rapports hétérosexuels. Or, selon les autorités de santé, « dépister précocement représente à la fois un bénéfice pour la personne, mais aussi pour la collectivité, en réduisant le nombre de transmissions du VIH dans la population ». Non seulement car la connaissance de son statut séropositif entraîne une diminution des pratiques à risques, mais aussi parce que la mise sous traitement antirétroviral permet de réduire la quantité de virus dans l’organisme.
Banaliser le dépistage et réduire le retard de diagnostic

A la veille de la Journée mondiale de lutte contre le sida, l’Inpes et le ministère de la Santé réactivent une vaste campagne médiatique (*). Son slogan : « Le dépistage fait partie de votre vie sexuelle. Faites le test du VIH et des autres IST. » Objectif : banaliser ce geste anonyme et gratuit pour « doubler puis tripler » le nombre de dépistages. Les moins de 25 ans, « pour lesquels la perception du risque est peut-être abstraite », sont particulièrement visés. Parmi les autres axes, les autorités sanitaires veulent renforcer le rôle des médecins de ville : s’ils diagnostiquent moins de seniors, « ils dépistent plus d’homosexuels masculins et de personnes à un stade précoce que leurs confrères hospitaliers », note l’InVS. Par ailleurs, la Direction générale de la santé a agréé 32 structures associatives pour réaliser près de 64.500 « tests rapides à orientation diagnostique » (TROD) l’an prochain. Visant les publics les plus concernés, mais qui échappent aujourd’hui au dépistage, ils livrent le résultat en 30 minutes.

(*) Informations sur www.sida-info-service.org ou 0.800.840.800

Vers une fin de la pandémie ?

Pour la première fois, l’hypothèse de voir à long terme la pandémie s’achever n’est plus jugée fantaisiste : « La science, l’appui politique et la riposte communautaire commencent à produire des résultats tangibles et certains », a affirmé Michel Sidibé, directeur exécutif d’Onusida, en présentant le dernier rapport de l’organisation. En effet, jamais autant de personnes n’ont vécu avec le virus du sida dans le monde : en 2010, ils étaient 34 millions, dont 68 % pour le seul continent africain. Près de la moitié des séropositifs ont accès à un traitement, ce qui a permis de sauver 700.000 vies en 2010. Autre avancée : les nouvelles infections (2,7 millions, dont 390.000 enfants) régressent, atteignant leur niveau le plus bas depuis 1997.

Sida : le dépistage généralisé n’est pas efficace

Sunday, November 6th, 2011

Le Figaro
Une étude montre qu’il serait préférable de concentrer les efforts de dépistage sur les populations à risque.

En 2010, le ministère de la Santé, le Conseil national du sida et la Haute autorité de santé avaient fait des recommandations afin que toute personne recourant à un médecin se voie proposer régulièrement un test de dépistage du sida, dans l’objectif d’identifier et de traiter tous les patients contaminés sans le savoir. Or, une enquête réalisée sous l’égide du professeur Anne-Claude Crémieux (Hôpital Raymond-Poincaré, Garches) vient de conclure que le dépistage généralisé du sida ne servirait pas à grand-chose et serait très coûteux.

Ce travail, réalisé à l’initiative de l’Agence nationale de recherche et de lutte contre le sida (ANRS), du Sidaction, avec les urgentistes d’Ile-de-France, met en évidence les limites de cette stratégie. Pour les auteurs de l’enquête, publiée mardi sur le site de la revue Archives of Internal Medicine, il serait plus rentable de s’intéresser davantage aux groupes les plus à risques (homosexuels masculins et personnes originaires d’Afrique subsaharienne).

«Notre enquête s’est proposée de vérifier si un tel dépistage systématiquement proposé avait vraiment un intérêt en santé publique dans un pays comme la France, caractérisée par une faible prévalence du sida, mais avec des groupes à risque bien identifiés, explique le Pr Anne-Claude Crémieux. Nous avons choisi de mener cette enquête en Ile-de-France, région où la prévalence du VIH, le virus du sida, est la plus forte. Et au niveau des urgences, puisque 25 % de la population, toutes classes sociales confondues, les fréquentent.» L’étude a été menée dans 29 hôpitaux de mai 2009 à septembre 2010.

Durant cette période, tous les patients de 18 à 64 ans se sont vu offrir, avec leur consentement, un test rapide de détection du VIH. Parmi les 138.691 personnes passées par les urgences pendant les seize mois de l’enquête, 13.229 rentraient dans la tranche d’âge concernée et plus de 12.700 ont effectivement bénéficié d’un test rapide, réalisé par piqûre au bout du doigt par une infirmière dûment formée à cette pratique.
Risque de stigmatisation

Au total, 18 personnes, (soit 0,14 % du groupe), âgées de 32,9 ans en moyenne, ont été testées «positif» pour le VIH. Dans sept cas, il s’agit d’hommes homosexuels et dans dix autres cas d’hétérosexuels originaires d’Afrique subsaharienne. «Plusieurs conclusions peuvent être tirées de cette étude, analyse le Pr Crémieux. D’une part, un tel dépistage est faisable. De surcroît, il a été très bien accepté. En revanche, il apparaît aussi que cette pratique non ciblée sur des groupes exposés à un risque est peu efficace, car 18 personnes positives sur 13.000 testées, c’est très peu. Par ailleurs les cas dépistés aux urgences l’ont été tardivement, alors que la maladie était déjà très évoluée. Si l’on a comme objectif de faire du dépistage plus précoce, il faut procéder différemment.»

Cependant, la principale conclusion des chercheurs est qu’un dépistage élargi à toute la population présente une efficacité limitée : «Toutes les personnes que nous avons dépistées positives appartenaient à des groupes à risque, homosexuels masculins ou individus originaires d’Afrique subsaharienne, sauf une femme du Maghreb pour laquelle nous ne connaissons pas l’origine de la contamination, ajoute le Pr Crémieux. Ce travail confirme qu’un dépistage dirigé vers les groupes à risque serait plus efficace et moins coûteux.»

Mais cette approche se heurte à la crainte de stigmatiser deux groupes particuliers (homosexuels et personnes originaires d’Afrique subsaharienne). Selon Willy Rosenbaum, président du Conseil national du sida, «il est important de maintenir les deux types de dépistage (généralisé et ciblé), car certaines personnes sont dans le déni, ne se reconnaissant pas dans les populations exposées alors qu’elles le sont».

Dépistage rapide du VIH : la solution au bout du doigt

Thursday, July 21st, 2011

Doctissimo

Aujourd’hui, un doigt suffit pour se faire dépister. Pour faire connaître ces tests rapides du VIH désormais pratiqués par certaines associations, AIDES et JWT Paris lancent un jeu coquin baptisé Sexy Fingers. Au menu, un clip, un mini-site et bien sûr l’application Android qui permettra d’y jouer.

Tout en faisant rougir de plaisir et de malice, cette campagne d’été en profite pour informer sur le démarrage du dépistage rapide réalisé par les militants de AIDES. Jean Michel Tixier, réalisateur du clip et des illustrations, Flairs, compositeur de la musique, et le studio ANONYMOUS, chargé du développement, propose une campagne qui s’appuie sur un clip, un site et une appli Android
Attention, les dessins explicites de la vidéo ci-dessous sont à réserver à des internautes avertis.

Le premier élément de la campagne est un mini-clip dans lequel plusieurs doigts vont venir jouer avec des “instruments” un peu particulier, afin de créer au final une musique très dansante. Le clip, diffusé notamment sur la chaine youtube AIDES (www.youtube.com/aides) et sur (www.sexyfingers.org, s’achève par un message de sensibilisation qui explique qu’”avec un doigt, vous pouvez aussi vous faire dépister du sida”.
Le jeu sur Android mise là-aussi sur le “tripotage mono-digital”, chaque organe s’animant en fonction du traitement qui lui est fait : tâter, tirer, fesser… Et chaque geste provoque un son spécifique (guitare, percussions, claviers…).

Le but de ce jeu coquin est de faire prendre connaissance aux utilisateurs du dépistage rapide du VIH réalisé par les militants de AIDES. Cette offre novatrice permet en effet en quelques instants d’obtenir le résultat par une légère piqure sur un doigt. Avec tout l’accompagnement nécessaire et trois règles de base : anonyme, fait par les pairs et sans jugement. L’occasion, enfin, de prendre soin de sa santé en améliorant ses connaissances sur les autres IST, qui peuvent être autant de facteurs favorisant la transmission du VIH.

En avril 2011, le Pr. Jean-François Delfraissy, directeur de l’Agence nationale de recherche sur le SIDA et les hépatites virales (ANRS) nous parlait de cette avancée en matière de dépistage.

Pour AIDES, “se faire dépister doit devenir un geste aussi familier et convivial que de “parler cul” entre amis ou acheter sa baguette de pain. Le dépistage rapide par les pairs est idéal pour tous ceux qui sont directement concernés par l’épidémie et trouvent l’offre actuelle inadaptée pour eux : les gays, personnes migrantes, travailleurs du sexe, usagers de drogue…”.

Et si les tests de dépistage du VIH servaient à emprisonner les gens?

Friday, July 15th, 2011

Par Roger-Luc Chayer

Il y a quelque chose de terriblement incohérent dans le fait qu’au Québec, l’État insiste pour faire passer des tests de dépistage du VIH prétextant les bénéfices sur la santé et sur le fait qu’il se serve des résultats positifs pour certaines personnes pour les accuser et les emprisonner après.

C’est ce qui se passe avec l’affaire Steve Biron, qui est en prison depuis près de 9 mois.

Si une personne décide de passer un test afin de savoir si elle est porteuse du VIH, est-ce que ce test, confidentiel selon le Minstère de la Santé du Québec, peut servir à des procureurs de la Couronne, comme ceux de Québec, pour accuser un séropositif d’avoir des relations non protégées et le foutre en prison sans jugement?

Est-ce qu’il s’agit d’une preuve légalement obtenue?

Il me semble que le message envoyé au public risque de nuire considérablement aux campagnes de prévention car selon moi, à partir du moment où on peut mettre en prison sans jugement n’importe qui sous prétexte qu’il se sait atteint du VIH, la solution logique est de refuser tout test de dépistage de manière à rester ignorant sur sa possible condition et éviter ainsi des accusations criminelles.

J’ai raison?

Sida: les centres de dépistage sur la Côte d’Azur

Monday, July 4th, 2011

Nice-Matin

En trente ans, l’épidémie de sida a touché 60 millions de personnes, dont 30 millions vivent aujourd’hui avec le VIH. Chaque jour, 7000 nouvelles personnes sont contaminées.

En dollars
Le coût des traitements est actuellement estimé à 15 milliards de dollars par an. Il faudra prévoir entre 40 et 50 milliards par an dans 20 ans.


Dépistage dans les A.-M.

Antibes
Centre de Dépistage Anonyme et Gratuit (CDAG), 2067, Chemin de St-Claude – Le Proxima Bât B. Tél. : 04.92.91.22.50.

Cannes
Consultation spécialisée : CH Cannes. 13, avenue des Broussailles. Tél. : 04.93.69.71.79.

Grasse
Centre de Protection Maternel et Infantile 3, bd Fragonard. Tél. : 04.93.36.40.40.

Le Cannet
291, av. du Général-De-Gaulle. Tél. : 04.92.59.22.60.ou 04. 92.18. 71.89.

Nice
Hôpital St-Roch CDAG, rue Edouard-Beri. Tél. : 04.92.47.68.40.

Dépistage annuel et traitement précoce réduiraient fortement les cas de VIH

Thursday, December 4th, 2008

Un dépistage volontaire universel et annuel du VIH suivi de la mise en œuvre immédiate d’un traitement antirétroviral (quel que soit le stade clinique de la numération des CD4) réduirait de 95% le nombre de nouveau cas en dix ans, selon un groupe de spécialistes de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) qui a mis au point un modèle mathématique publié dans le Lancet.

Les auteurs de l’étude affirment également que le dépistage volontaire universel suivi de la mise en oeuvre d’un traitement antirétroviral immédiat pourrait avoir d’autres avantages pour la santé publique, notamment en réduisant l’incidence de la tuberculose et de la transmission du VIH de la mère à l’enfant. De plus, le modèle laisse entrevoir une réduction de la morbidité et de la mortalité liées au VIH dans les pays à ressources limitées où l’épidémie de VIH est généralisée, souligne l’OMS dans un communiqué.

La politique actuelle de l’OMS en matière de traitement passe par un dépistage volontaire et une évaluation clinique et/ou immunologique (p.ex. la numération des CD4) pour déterminer qui peut bénéficier d’un traitement au moyen d’antirétroviraux. Les auteurs soulignent que cet exercice est basé sur des données théoriques et s’interrogent sur sa faisabilité, notamment en ce qui concerne la protection des droits individuels, la pharmacorésistance, la toxicité et les problèmes de financement.

L’article n’annonce pas un changement d’orientation de la part de l’OMS. Les mesures préventives recommandées par l’OMS doivent être maintenues et élargies. Elles comportent notamment la circoncision, la réduction du nombre des partenaires, l’usage correct et régulier du préservatif, ainsi que des interventions ciblant les populations les plus à risque, également connues sous le nom de “prévention combinée.” L’OMS organisera au début de l’année prochaine une réunion rassemblant des spécialistes de l’éthique, des défenseurs des droits de l’homme, des cliniciens, des experts en matière de prévention et des administrateurs de programmes contre le Sida, pour discuter de cette question parmi d’autres en relation avec l’élargissement de l’utilisation du traitement antirétroviral pour la prévention du VIH.