Posts Tagged ‘accusations’

VIH: la Cour d’appel de l’Ontario renverse deux jugements

Monday, July 15th, 2013

La Presse

Le plus haut tribunal de l’Ontario a invalidé les condamnations à caractère sexuel de deux hommes séropositifs à la suite de nouveaux avis de la Cour suprême du Canada en la matière.

Lester Felix avait été reconnu coupable, en 2010, de cinq chefs d’accusation d’agressions sexuelles graves et d’un autre d’agression sexuelle après avoir eu des relations sexuelles avec deux femmes en omettant de leur dire qu’il est atteint du virus de l’immunodéficience humaine (VIH).

Yonatan Mekonnen avait quant à lui été condamné en 2009 pour deux chefs d’agressions sexuelles graves en lien avec les rapports sexuels qu’il avait eu avec deux femmes. Il avait, lui aussi, omis de leur mentionner son état de santé.

Les deux hommes ont déclaré que leur jugement devrait être renversé à la suite d’une décision charnière de la Cour suprême, l’an dernier, qui clarifiait la responsabilité criminelle des personnes atteintes du VIH.

Le plus haut tribunal du Canada a déclaré que les individus séropositifs n’avaient pas à révéler leur état à leur partenaire si la charge virale était faible et qu’un condom était porté.

La Cour d’appel de l’Ontario a ordonné la tenue d’un nouveau procès pour Lester Felix pour un seul des chefs d’accusation d’agression sexuelle et a suspendu la condamnation de Mekonnen.

Alberta: Une adolescente porteuse du VIH arrêtée

Thursday, August 25th, 2011

http://www.gayglobe.us

La police a intercepté une
adolescente de 17 ans
porteuse du VIH recherchée
dans le cadre d’une
enquête. Sur ordonnance
du tribunal, la police a
diffusé le nom, l’âge, la
photo de l’adolescente et
des renseignements à son
sujet après avoir appris
qu’elle avait des relations
sexuelles non protégées,
sans avertir ses partenaires
qu’elle était porteuse
du virus. «C’est une question
de sécurité pour la
communauté. Nous voulons
nous assurer que
l’adolescente et tous ceux
qui ont eu un rapport
sexuel avec elle puissent
recevoir les traitements
médicaux appropriés», a
précisé la sergente-détective
Barb Clover, de la police
d’Edmonton. NDLR: La
nouvelle ne dit pas si elle
était sous trithérapie et indétectable
au moment des
faits, remplissant ainsi les
critères de plusieurs tribunaux
canadiens qui lui
permettront possiblement
de recouvrer la liberté.

Et si les tests de dépistage du VIH servaient à emprisonner les gens?

Friday, July 15th, 2011

Par Roger-Luc Chayer

Il y a quelque chose de terriblement incohérent dans le fait qu’au Québec, l’État insiste pour faire passer des tests de dépistage du VIH prétextant les bénéfices sur la santé et sur le fait qu’il se serve des résultats positifs pour certaines personnes pour les accuser et les emprisonner après.

C’est ce qui se passe avec l’affaire Steve Biron, qui est en prison depuis près de 9 mois.

Si une personne décide de passer un test afin de savoir si elle est porteuse du VIH, est-ce que ce test, confidentiel selon le Minstère de la Santé du Québec, peut servir à des procureurs de la Couronne, comme ceux de Québec, pour accuser un séropositif d’avoir des relations non protégées et le foutre en prison sans jugement?

Est-ce qu’il s’agit d’une preuve légalement obtenue?

Il me semble que le message envoyé au public risque de nuire considérablement aux campagnes de prévention car selon moi, à partir du moment où on peut mettre en prison sans jugement n’importe qui sous prétexte qu’il se sait atteint du VIH, la solution logique est de refuser tout test de dépistage de manière à rester ignorant sur sa possible condition et éviter ainsi des accusations criminelles.

J’ai raison?

Transmission du VIH: un homme n’est plus accusé de tentative de meurtre

Thursday, July 14th, 2011

985fm

Un homme d’Ottawa qui fait face à la justice pour avoir tenté d’infecter plusieurs hommes au VIH, n’est plus accusé de tentative de meurtre.

Ces chefs d’accusation ont été retirés faute de preuves…

Steven Paul Bonne, 30 ans, demeure quand même accusé d’agression sexuelle grave sur sept hommes qu’il rencontrait dans des bars, et d’avoir tenté de s’en prendre à un huitième.

Suite aux propos du député de Mercier, le code criminel examiné… Accusations criminelles contre Amir Khadir?

Wednesday, June 15th, 2011

Commentaire par
Roger-Luc Chayer
[email protected]

Photo Wikimédia

Le 30 mai dernier, le seul député provincial de Québec Solidaire y allait de quelques déclarations, à propos de tout et de rien, qui ont tôt fait de mettre en évidence sa possible inhabilité à siéger à l’Assemblée nationale.

Son plus gros coup a certainement été de traiter le Prince William et Catherine Middleton de parasites alors que le Prince représente le chef d’État du Canada et deviendra possiblement un jour chef d’État lui-aussi du Canada tant et aussi longtemps que notre pays sera une monarchie constitutionnelle.

En affirmant par la suite être un souverainiste républicain, Khadir commettait un acte dérogatoire au code criminel canadien pour deux raisons:

Tout d’abord,  le code criminel canadien prévoit que toute personne qui perturbe la paix en alarmant sa Majesté (Article 49) est coupable d’un acte criminel, de même, pour l’article 59, est coupable de sédition une personne qui incite à renverser le Gouvernement du Canada et de sa Majesté.

En décidant de devenir député, pour recevoir son salaire, il a prêté serment à l’Assemblée nationale en présence du Lieutenant-Gouverneur et a déclaré: « Je, Amir Khadir, déclare solennellement que je serai fidèle et porterai vraie allégeance à Sa Majesté la Reine Elizabeth II. »

Est-ce que Amir Khadir aurait menti à la Reine? Est-ce qu’il aurait prêté un faux serment? Les déclarations de M. Khadir le forcent maintenant à faire des choix difficiles quant à son avenir comme député puisque visiblement, le serment prêté à été violé le 30 mai, il occupe désormais illégalement le poste qui devrait revenir à un député légitime qui ne violera pas son serment. Espérons qu’il n’insistera pas pour rester uniquement pour retirer son salaire, auquel cas le Québec aurait raison de crier à l’imposture d’un individu qui, en plus de parler pour lui seul, se permet de parasiter une institution démocratique prestigieuse, se contredisant encore une fois.

Amir Khadir:
Le député de Mercier perd le contrôle…
Par Gay Globe Magazine

Outre le fait de violer son serment à la Reine, le député de Québec Solidaire, en l’espace de quelques jours, s’en prend à toute la nomenclature de la société, allant jusqu’à se faire mettre en demeure par le Président d’une commission parlementaire de se faire expulser s’il devait persister à mépriser les règles de l’institution.

Le 30 mai, M. Khadir a attaqué la réputation de Lucien Bouchard, ex-Premier ministre du Québec alors qu’il était entendu par l’Assemblée nationale. Le même jour, il explique aux médias qu’il est souverainiste-républicain, montrant son vrai visage et prouvant qu’il avait violé le serment qu’il a prêté en devanant député.

Sédition, trouble de la paix, diffamation, accusations, insultes, le député Khadir n’est finalement peut-être pas apte à assumer le poste que les électeurs de Mercier lui ont confié. La seule solution  ne serait-elle pas sa démission?

Accusations criminelles contre Amir Khadir?

Wednesday, June 1st, 2011

Commentaire par
Roger-Luc Chayer
[email protected]

Photo Wikimédia

Le 30 mai dernier, le seul député provincial de Québec Solidaire y allait de quelques déclarations, à propos de tout et de rien, qui ont tôt fait de mettre en évidence sa possible inhabilité à siéger à l’Assemblée nationale.

Son plus gros coup a certainement été de traiter le Prince William et Catherine Middleton de parasites alors que le Prince représente le chef d’État du Canada et deviendra possiblement un jour chef d’État lui-aussi du Canada tant et aussi longtemps que notre pays sera une monarchie constitutionnelle.

En affirmant par la suite être un souverainiste républicain, Khadir commettait un acte dérogatoire au code criminel canadien pour deux raisons:

Tout d’abord,  le code criminel canadien prévoit que toute personne qui perturbe la paix en alarmant sa Majesté (Article 49) est coupable d’un acte criminel, de même, pour l’article 59, est coupable de sédition une personne qui incite à renverser le Gouvernement du Canada et de sa Majesté.

En décidant de devenir député, pour recevoir son salaire, il a prêté serment à l’Assemblée nationale en présence du Lieutenant-Gouverneur et a déclaré: « Je, Amir Khadir, déclare solennellement que je serai fidèle et porterai vraie allégeance à Sa Majesté la Reine Elizabeth II. »

Est-ce que Amir Khadir aurait menti à la Reine? Est-ce qu’il aurait porté un faux serment? Les déclarations de M. Khadir le forcent maintenant à faire des choix difficiles quant à son avenir comme député puisque visiblement, le serment prêté à été violé le 30 mai, il occupe désormais illégalement le poste qui devrait revenir à un député légitime qui ne violera pas son serment. Espérons qu’il n’insistera pas pour rester uniquement que pour retirer son salaire, auquel cas le Québec aurait raison de crier à l’imposture d’un individu qui, en plus de parler pour lui seul, se permet de parasiter une institution démocratique prestigieuse, se contredisant encore une fois.

Amir Khadir:
Le député de Mercier perd le contrôle…
Par Gay Globe Magazine

Outre le fait de violer son serment à la Reine, le député de Québec Solidaire, en l’espace de quelques jours, s’en prend à toute la nomenclature de la société, allant jusqu’à se faire mettre en demeure par le Président d’une commission parlementaire de se faire expulser s’il devait persister à mépriser les règles de l’institution.

Le 30 mai, M. Khadir a attaqué la réputation de Lucien Bouchard, ex-Premier ministre du Québec alors qu’il était entendu par l’Assemblée nationale. Le même jour, il explique aux médias qu’il est souverainiste-républicain, montrant son vrai visage et prouvant qu’il avait violé le serment fait à son assermentation comme député.

Sédition, troubler la paix, diffamation, accusations, insultes, le député Khadir n’est finalement peut-être pas apte à assumer le poste que les électeurs de Mercier lui confiaient. Est-ce que la seule solution est sa démission?

Éric Messier en Cour supérieure pour diffamation

Wednesday, November 10th, 2010

COMMUNIQUÉ – URGENT

Après avoir diffusé sur le web de nombreuses attaques contre le journaliste Roger-Luc Chayer, M. Eric Messier devra s’expliquer devant la Cour le 14 février 2011 dans la cause no 500-17-060774-109 de la Cour supérieure du district de Montréal.

Malgré la signification en septembre 2010 de cette procédure d’injonction de plus de 300 allégués dirigée contre lui, M. Messier continue malgré tout de difuser des propos diffamatoires et mensongers à l’égard de Roger-Luc Chayer.

Par exemple, dans un communiqué publié le 10 novembre 2010, Éric Messier déclare que le journaliste Roger-Luc Chayer aurait été banni à jamais du site de l’encyclopédie virtuelle Wikipédia, déformant volontairement et de façon fallacieuse les faits allant même jusqu’à prétendre que d’autres articles concernant les médias sous la responsabilité de Roger-Luc Chayer seraient sur le point de faire l’objet d’un retrait de Wikipédia.

D’abord, un article sur Roger-Luc Chayer, publié par Wikipédia a effectivement été retiré, À LA DEMANDE MÊME DE ROGER-LUC CHAYER, suite à de nombreux actes de vandalisme perpétrés par Éric Messier qui ont fait l’objet de commentaires publics par Wikipédia et d’un avis de diffamation contre Messier qui n’a plus accès à Wikipédia selon le service de validation des comptes contributeurs. À noter que le journaliste Chayer contrairement aux affirmations de Messier, n’a jamais été banni de Wikipédia tel que le démontre le même service de validation. De plus, l’article sur Gay Globe Média, que M. Éric Messier prétend faire l’objet d’un débat de suppression est bel et bien présent sur Wikipédia, le débat de suppression ayant été favorable à Gay Globe, le 12 février 2010 soit, il y a plus de 10 mois tel que le démontre le registre du débat. M. Mesier ne pouvant ignorer l’avis public publié par Wikipédia à ce sujet  qui déclare: “Cette page a été conservée après avoir été proposée à la suppression. Revue gay canadienne notoire dont le nom a été changé récemment en Gay Globe Magazine. Un renommage de la page est effectué en sus de la conservation.“, démontre une mauvaise foi évidente puisque les faits qu’il soulève n’existent tout simplement pas.

Le public est invité à ne pas prendre au premier degré les informations de cet individu pour se faire une opinion et à attendre qu’un jugement soit rendu dans l’affaire ci haut mentionnée.

44- Dr. Mailloux: Discipline ou ingérence?

Saturday, April 3rd, 2010

Le comité de discipline du Collège des médecins est saisi le 1er décembre dʼune plainte contre le Docteur Pierre Mailloux, le médecin des ondes de CKAC pour des propos tenus lors de lʼémission «Tout le monde en parle». Sʼil est hors de son cabinet à faire du journalisme, est-ce que le collège est compétent contre Mailloux?
Par:
Roger-Luc Chayer
Photo:
Le Point – Monaerick
Chorus Nouvelles
Éditorial
Actualités
Résumé:
Le très célèbre docteur des ondes radio passe devant le comité de discipline du Collège du Médecin pour des propos tenus alors quʼil agissait comme journaliste. Censure ou ingérence dans un cadre non médical?
28

42- Mise au point nécessaire par le gérant du 3333 Bélanger Christian-Dominic Éthier s’explique

Wednesday, March 17th, 2010

28 000$ de poursuites judiciaires contre lʼauteur dʼun harcèlement illégal… Christian-Dominic Éthier sʼexplique dans Le Point et Gay Globe TV.
Dans les deux seules éditions de lʼété 2006, une publication gaie montréalaise, sous la plume de son éditeur, révélait des aspects inconnus de lʼancienne vie dʼun commerçant gai connu. Le commerçant décide de sʼexpliquer dans Le Point.
“Je suis simplement outré du fait que pour me forcer à changer mon témoignage ou me punir pour un témoignage que jʼaurai à rendre dans un procès contre ce magazine gai, lʼéditeur de ce magazine décide de publier mon dossier criminel antérieur, comme si on pouvait impunément référer au passé des personnes, publiquement, pour les forcer à penser comme nous!”, voilà ce quʼavait à déclarer Christian-Dominic Éthier lors de sa venue au bureau de la Revue Le Point. “Il mʼa accusé publiquement dʼutiliser des faux noms, des alias, il mʼa accusé de crimes qui nʼont pas fait lʼobjet de jugements criminels et jʼen passe”, déclare Éthier, “Il va devoir prouver au juge quʼil avait le droit de violer ainsi ma vie privée. Jʼai peut-être un passé mais jʼai surtout un présent,
il a mêlé mon conjoint actuel et son commerce à mon passé, en allant jusquʼà insinuer dans ses pages que je portais un faux nom. Ce quʼil nʼa pas dit à ses lecteurs, cʼest quʼil agissait ainsi pour se venger dʼune poursuite judiciaire contre lui pour viol de droits dʼauteur et que je suis témoin dans cette cause. Il est illégal au Canada de faire chanter un témoin, encore plus de divulguer un dossier antérieur avant même le procès, avant quʼun juge ait eu le temps de se pencher sur les faits et gestes de lʼéditeur de cette publication (…) Jʼai décidé de faire une mise au point et de demander à la Revue Le Point de publier mes pièces dʼidentité, ouvertement, pour quʼon sache que jʼutilise un vrai nom, et aussi pour dire, contrairement à ce qui a été publié par ce magazine, que je ne suis pas à lʼemploi du Point depuis 4 ans mais du 3333, Bélanger, un sauna mixte de Montréal (…) À force de crier au loup, il va se faire mordre par ses propres lecteurs qui nʼauront plus jamais confiance en lui sʼil continue à propager de fausses nouvelles. Jʼai aussi décidé de le poursuivre en justice, même chose pour mon employeur et mon conjoint, pour violation grave de ma vie privée et harcèlement pour 21 000$. Mon passé mʼappartient, il nʼappartient pas à André Gagnon, éditeur de ce magazine, qui peut en faire ce quʼil veut selon ses besoins personnels et ponctuels.

Éric Messier ne représente pas la FPJQ

Saturday, March 13th, 2010

Le journaliste québécois Éric Messier, en vendetta privée contre son compétiteur, le Groupe Gay Globe, a fait de nombreuses déclarations depuis le mois de décembre 2009 sur le statut professionnel de l’éditeur du groupe média responsable de la publication de Gay Globe Magazine, de Gay Globe TV et Radio et a impliqué dans ses déclarations, contre son gré, la Fédération Professionnelle des Journalistes du Québec (FPJQ) affirmant que ceux qui ne posséderaient pas leur carte de membre de cette organisation ne seraient pas de vrais journalistes ?!?.

La FPJQ, informée des déclarations de son membre, écrivait à l’éditeur du Groupe Gay Globe, le 8 février 2010 pour confirmer que M. Messier n’était pas porte-parole de la FPJQ “Le seul porte-parole habilité à parler au nom de la FPJQ est notre président, Brian Miles” et ajoutait quant à cette prétendue obligation d’adhérer à la FPJQ, faite et répétée par le membre Éric Messier que “l’adhésion à la FPJQ se fait sur base volontaire”.

Or, l’éditeur du Groupe Gay Globe est pourtant membre de l’Association Canadienne des Journalistes, de l’Investigative Reporters and Editors des États-Unis et de la Fédération Européenne de Presse, des organisations professionnelles pourtant reconnues dans deux cas par la FPJQ mais dont ignore tout le représentant improvisé de l’organisation québécoise de journalistes, Éric Messier.

Sur le site web de la FPJQ, l’Association Canadienne des Journalistes y est décrite comme “une sorte d’homologue de la FPJQ dont les 1500 membres se recrutent en grande majorité au Canada Anglais” et l’Investigative Reporters and Editors des États-Unis y est décrite comme “organisme indépendant voué au développement du journalisme d’enquête. Offre des cours et des ressources et établit progressivement une liste mondiale de journalistes d’enquête“.

Quand vous lirez un texte écrit par Éric Messier dénigrant ces associations et laissant croire que l’adhésion à la FPJQ est un prérequis professionnel au Québec ou qu’il est gage de qualité, souvenez-vous que l’association ne lui permet pas de faire de telles déclarations et qu’elle le confirme publiquement. Quant à la qualité, les actes pathologiques de Messier prouvent qu’une carte de membre de la FPJQ ne signifie rien d’autre que le paiement d’un membership annuel!

Éric Messier fait actuellement l’objet de procédures civiles et pourrait être accusé criminellement pour violations des articles 297 et suivants du code criminel canadien depuis qu’il a annoncé une fausse faillite, qu’il a affirmé qu’une entreprise émettait de faux diplômes, que l’éditeur de GGTV se faisait passer pour juge et qu’il a tenté de mettre la vie d’un journaliste en danger, l’associant à “Saddam”, ces exemples étant partiels. Un procureur est d’ailleurs sur le dossier.

Le journaliste Éric Messier dans la mire du Gouvernement

Tuesday, March 9th, 2010

Dans un communiqué qu’il publiait le 8 mars 2010, le journaliste Éric Messier affirmait que son communiqué sur l’exécution des femmes était un extrait de la Bible et qu’il ne souhaitait pas suggérer de tels gestes contre les femmes. La découverte de ce message, sans autre explication que celle de suggérer l’exécution de femmes non vierges avait été faite par Roger-Luc Chayer, auteur de ce texte à partir du blogue d’Éric Messier, un journaliste montréalais ouvertement homosexuel.

Or, dans le même communiqué, le journaliste Messier attaquait le jugement de Roger-Luc Chayer face à ce message et répétait comme il le fait continuellement à ceux qui veulent le lire et le croire, qu’il est un prestigieux membre d’organisations de journalisme!?!

Il faut croire que le Gouvernement du Québec a été aussi inquiété par le message que le journaliste Chayer, d’après une communication récente, est-ce à dire que toute la fonction publique elle aussi a un “esprit troublé”?

Le 17 février 2010, la Direction de la coordination au Secrétariat à la condition féminine du Québec, une division du Ministère de la condition féminine du Québec, informait l’auteur de ces lignes que le message de M. Messier avait été lu et qu’il avait été transféré au Directeur des poursuites criminelles et pénales du Gouvernement ainsi qu’au Ministère de la Justice du Québec.

Si pour M. Messier, le fait d’être inquiété par la publication d’un tel message ne relève que de l’esprit troublé du journaliste qui vous en relate les faits aujourd’hui, comment est-ce qu’il explique que le ministère du Gouvernement responsable de la condition des femmes puisse être si inquiété par le même message qu’il décide d’en informer deux autres départements du Gouvernement du Québec. Ca fait bien du monde ça…

M. Messier, retirez donc immédiatement ce message, on ne sait jamais quel fou dans la société pourrait le lire et suivre votre conseil. Est-ce que vous attendez une seconde polytechnique?

Logo du Canada

Saturday, November 14th, 2009

Méfait sur un bien public de moins de $5,000.00
Denis Dubé accusé…
Le hasard fait parfois bien les choses. Dans le cas présent, alors que nous
ne savions rien de lʼaventure judiciaire de M. Denis Dubé, Le Point pré-
sentait dans sa dernière édition, un dossier sur la découverte de chaînes
sur la licorne, censée représenter le Québec au sein du Canada. Nous ex-
primions alors notre opinion sur la base dʼobservations et nous question-
nions sur cette chaîne qui figure autour du cou de la licorne alors que le
lion, représentant les canadiens anglais, était quant à lui tout à fait libre.
Suite à la publication de cette nouvelle, nous recevions un courrier
électronique nous informant quʼun dénomé Denis Dubé sʼétait
retrouvé accusé au criminel pour avoir osé retirer la chaîne de la
licorne, sur une statue fédérale, rue Université à Montréal.
Non seulement on avait accusé au criminel le pauvre bougre, ce qui est
prévisible quand on sʼen prend à un bien public, même si le geste est
politique, on a obligé M. Dubé à se soumetttre, de force, à un examen
psychiatrique, avant même quʼil soit accusé officiellement. Le Point a
tenté dʼen savoir plus sur ce dossier et sur les raisons invoquées par la
couronne pour forcer cette personne, qui nʼest vraissemblablement pas à
lʼorigine dʼun geste violent, à se soumettre à un examen psychiatrique,
au même titre quʼun meurtrier sauvage mais nous sommes sans nouvelles
de notre correspondante depuis son premier courriel.
Que certaines personnes veuillent poser un geste dʼéclat, politique, pour
attirer lʼattention du public sur une question intéressante et quʼelle soit
accusée de méfait ne choquera personne, cʼest normal. Mais quʼune
personne soit considérée comme folle ou que lʼon remette en question
son intelligence simplement parce quʼelle sʼen prend à une image
du gouvernement fédéral dégradante pour les francophones de cette
belle nation, là, nous pouvons nous questionner car, à moins que lʼon
découvre autre chose dans ce dossier, tout porte à croire que dès quʼil
sʼagisse de défendre le fait français au Canada, il faut être fou! Les
jeunes qui sʼadonnent aux milliers de graffitis à Montréal ne sont
jamais soumis à des examen psychiatriques eux, intéressant non?

Jean-Luc Romero débouté de ses fausses accusations

Thursday, December 4th, 2008

Jean-Luc Romero, qui accusait depuis de nombreux mois le député français Christian Vanneste d’être homophobe sur la base d’un jugement dans une affaire de propos sur une nouvelle législation vient d’être débouté par la Cour Suprême de la  France qui donne totalement et clairement raison au député Vanneste.

Le Point avait suspendu la collaboration de Jean-Luc Romero suite à ses attaques incessantes contre ceux qui ne pensent pas comme lui et suggérait la prudence face à la victimisation à outrance de Romero quant à la question gay. Le plus haut tribunal français a considéré que les propos de Vanneste n’étaient pas homophobes et que Romero aura eu tort sur toute la ligne.