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Fugues: 200,000 lecteurs fictifs

Wednesday, June 15th, 2011

Par Gay Globe Magazine

Nos amis et confrères de Fugues, ce guide gai distribué au Québec nous ont fait bien rire la semaine dernière avec la publication d’un communiqué sur l’agence CNW annonçant qu’ils avaient 200,000 lecteurs.

Primo, leur agence de certification ne confirme qu’environ 50,000 revues avec parfois des publications à 45,000 exemplaires et secundo, le principe de multiplier par 4 le nombre de lecteurs pour chaque copie est un concept dépassé depuis 40 ans; il date des années 70 et ne trouve aucun justificatif à l’ère des médias électroniques d’aujourd’hui. Non seulement ce nombre de 200,000 lecteurs est totalement faux, il ne tient pas compte d’un autre concept: Quand Fugues reprend 25,000 copies de ses stands à la fin du mois parce qu’elles n’ont pas été prises par le public, est-ce qu’il reprend 100,000 lecteurs fictifs avec ça pour les mettre au compost?

Une bonne farce venant de l’équipe d’humoristes de Fugues qui a souvent comme ça, des élans qui font chaud au coeur et qui font rire..
AVIS À LA CLIENTÈLE!

1996- Un autre médicament anti-SIDA qui relève de la tricherie!

Thursday, January 27th, 2011

“Bonjour, vous êtes bien chez Jean-Paul Parent, celui qui guérit le SIDA, veuillez laisser votre message…” (Alain, ce court texte pourrait être en dessous du titre, en sous-titre italique)

C’est en effet ce qu’on entend quand on appelle chez monsieur Jean-Paul Parent, 71 ans, prétendument inventeur d’un médicament anti-SIDA qu’il chercherait à vendre, depuis quelques semaines, par l’entremise des petites annonces de plusieurs quotidiens montréalais. Son annonce est d’ailleurs plus précise: “JE guéris en 4 mois les sidéens et 18 mois pour les diabétiques”. affirme t-il. C’est donc à la demande d’un lecteur que RG a entrepris un enquête visant à confirmer ou informer les prétentions de cet individu inconnu des milieux médicaux.

Une méthodologie stricte.

Avant d’entreprendre les vérifications auprès des personnes concernées, nous avions établi une méthodologie très stricte afin de laisser toute la place à une éventuelle découverte qui améliorerait le sort des sidéens. Nous ne voulions pas prendre position mais plutôt donner le chance à monsieur Parent de nous prouver hors de tout doute, que son produit était vraiment le remède recherché contre les effets du SIDA. En entrevue téléphonique, monsieur Parent affirmait, le 11 juillet dernier, qu’il avait trouvé le remède et qu’il n’avait aucun doute sur les effets guérissants de son produit:<<… Les compagnies pharmaceutiques ne m’aiment pas parce qu’elles savent que j’ai trouvé la solution et que je demande presque rien pour en faire bénéficier les malades…>>.

Monsieur Parent prétend guérir les sidéens en 4 mois, avec une sorte de sirop qui serait prit en association avec du simple brandy et dont les résultats seraient garantis. Le sirop en question ne coûterait que 200$ pour 4 mois, taxes incluses et c’est candidement qu’il dit être très heureux d’avoir sauvé la vie de plusieurs sidéens qui n’ont plus aucune trace du virus depuis la prise de son médicament.

Quand on lui demande s’il accepterait de nous prouver, sur la base de critères scientifiques reconnus, la prétention de son produit, c’est avec empressement qu’il accepte et qu’il nous invite à communiquer avec un de ses “miraculés”, monsieur Beaumont (nom fictif).

Un miraculé qui n’en savait rien.

C’est donc par un beau jeudi après-midi (18 juillet) et sous le couvert de l’anonymat que nous décidons d’aller frapper à la porte de ce monsieur Beaumont, patient de monsieur Parent qui serait complètement guéri du SIDA. Après quelques péripéties sur l’adresse du monsieur en question, nous arrivons finalement chez monsieur Beaumont qui accepte volontiers de nous recevoir, croyant avoir devant lui un simple client.

D’entrée de jeu, nous lui demandons s’il était bien séropositif et s’il avait effectivement été complètement guéri du SIDA par monsieur Parent? Surpris, sa réponse n’en fut pas moins surprenante pour nous:<<… Comment voulez-vous que je sache que je suis guéri si je n’ai jamais fais de prise de sang? Je pense que le vieux exagère pas mal. C’est vrai que je prends son produit mais tout ce que je sais, c’est que je suis séropositif depuis 8 ans, et que mes T4 sont toujours à 140 depuis 2 ans. je pense qu’il va s’attirer des problèmes s’il continue à dire ça au monde. Une chose est certaine, je n’ai aucune raison de penser que je serais guéri d’autant que je ne prends pas son liquide pour ça, c’est plutôt comme purgatif…>>

Monsieur Beaumont nous montre la bouteille et nous explique que monsieur Parent est propriétaire de ce brevet depuis une vingtaine d’années et qu’il s’est fait refusé son renouvellement dernièrement car il refusait de se plier aux exigences du ministère fédéral de la santé.

Un laxatif qui coûte cher.

RG a procédé à quelques vérifications et le produit que monsieur Jean-Paul Parent annonce comme un médicament anti-SIDA ne serait qu’un vulgaire laxatif. Le brevet no 15050, relevé sur la bouteille, est rattaché à un laxatif qui n’a aucune autre vertu que d’envoyer les gens aux toilettes. Pour 200$, monsieur Parent se fera un plaisir de vous en fournir pour 4 mois alors qu’en pharmacie, on peut avoir l’équivalent pour 8.95$.

De telles affirmations sont courantes dans notre communauté. Bon nombre de pseudo inventeurs promettent de vous guérir du SIDA en achetant leur sirop ou leur poudre de perlimpinpin. Un point commun à toutes ces tricheries, les victimes de cette terrible maladie se laissent prendre et dépensent souvent des milliers de dollars pour rien. Comme les autorités ne semblent pas vouloir légiférer plus sévèrement dans de tels cas, on ne peut compter que sur les médias pour en parler et dénoncer cette exploitation des plus faibles.

R.L.C.

54- Faux séronégatifs : le vrai portrait du SIDA

Saturday, December 18th, 2010

“ Il venait de me dire qu’il était séronégatif, je comprends rien, comment est-ce que j’ai pu attraper cette maladie-là?” se demande encore aujourd’hui Michel, 19 ans. Sa première relation a été fatale, il a été infecté (SIDA) par un homme à peine plus âgé que lui qui se déclarait séronégatif. Comment est-ce possible?
Une nouvelle mode semble faire son apparition dans les milieux gais internationaux et ce phéno- mène a été constaté et dénoncé par les autorités chargées de la surveillance du SIDA à l’ONU lors d’une conférence récente sur le sujet, en Suisse. Il s’agit, pour certaines personnes qui se savent infectées par le virus, de contourner l’obligation de divulguer leur état à leurs partenaires en se déclarant séronégatives alors qu’elles savent très bien qu’elles sont porteuses du virus. Or, selon la stricte définition de la séronégativité, une personne peut effectivement être séronégative si elle présente une charge virale indétectable à cause ou grâce, selon la perspective, aux médicaments et à la trithérapie.
Une personne peut donc être porteuse du virus, avoir été par le passé très infectée et suite au traite- ment, devenir indétectable même si elle est toujours porteuse. Ce phénomène est connu des auto- rités médicales mais l’interprétation qu’en font certaines personnes qui se savent atteintes dépasse le cadre médical et interpelle le code criminel. Dans les faits, est-ce qu’une personne qui souhaite avoir une relation non protégée peut légalement se déclarer séronégative, comme les personnes jamais atteintes, même si elle se sait atteinte? Le code criminel canadien offre un début de réponse à cette question qui en fait frémir plusieurs. Les exemples mentionnés plus loin proviennent du code criminel et sont applicables à une personne qui se sait porteuse d’une maladie transmissible et qui peut mettre en danger la vie d’une autre personne.
219.    (1) Est coupable de négligence criminelle quiconque : soit en faisant quelque chose, soit en omettant de faire quelque chose qu’il est de son devoir d’accomplir, montre une insouciance déré- glée ou téméraire à l’égard de la vie ou de la sécurité d’autrui. Quiconque, par négligence criminelle, cause la mort d’une autre personne est coupable d’un acte criminel passible.
221. Est coupable d’un acte criminel et passible d’un emprisonnement maximal de dix ans qui- conque, par négligence criminelle, cause des lésions corporelles à autrui. (Les lésions incluent les maladies graves).
Le débat fait maintenant rage à savoir si les personnes séronégatives sous traitement peuvent con- taminer leurs partenaires. En attendant, la prudence reste la meilleure prévention. Est-ce que l’on
devra dorénavant demander à nos partenaires s’ils sont tout simplement vierges?

48- Scandale pornographique à la revue Être

Saturday, April 17th, 2010

Le magazine montréalais Être, publié par André Gagnon, est accusé dʼavoir produit, distribué et créé
les conditions dʼun accès immoral à du matériel pornographique pour de jeunes enfants. Le Journal de
Montréal y allait fort en questionnant les clients et annonceurs du magazine gai. Mais est-ce un vrai dé-
bat?
Dans son édition  no. 2 du
mois de février 2007, le maga-
zine Être, sous la plume de son
“Éditeur”, y allait dʼune répli-
que qui avait bien plus les airs
dʼune attaque en règle contre le
Journal de Montréal, donnant
en exemple des règles éthiques
du Conseil de Presse du Québec
et nous offrant une explication
bien peu vraisemblable sur le fil
de événements menant vers une
dénonciation grave du Journal
de Montréal.
Mettons de côté les savantes
explication de “lʼÉditeur” du
magazine et les éléments scan-
daleux découverts par le journal
et posons-nous simplement la
question: Est-ce que le journal
ne viendrait tout simplement pas
de découvrir la culture gaie dans
son expression la plus courante?
Cʼest ça la vraie question car
que lʼon aime ou pas le big boss
Cette édition spé-
ciale du Point vous est
offerte gratuitement
pour la lecture par
du papier Être, la réalité est
peut-être moins scandaleuse
que le laissait croire le vaisseau
amiral de la flotte médiatique de
Québécor.
Le journal de Montréal con-
sacrait donc en janvier der-
nier et toujours sur Internet à
lʼadresse suivante https://www.
canoë.com/infos/societe/archi-
ves/2007/01/20070131-080802.
html, un important dossier por-
tant sur la publication par le ma-
gazine Être de matériel publici-
taire porno. Certains clients du
magazine se déclarant choqués
ou préoccupés par cette affaire.
Loin de nous lʼintention de
vouloir cautionner les gestes
du magnat de ce magazine, qui
a son lot de problèmes légaux
et moraux et qui ne sʼen cache
pas, nous voulions soulever par
cet article le fait que ce qui a été
dénoncé par le journal est
dʼune étroitesse crasse et met
simplement en évidence que le
magazine Être fait comme Fu-
gues ou RG, qui publiaient du
matériel porno depuis bien plus
longtemps.
La revue RG publie les pochettes
des films vidéos XXX dont elle
fait la critique sous le nom dʼAn-
dré Simard et ces pochettes sont
les mêmes que celles publiées
dans lʼencart dénoncé, alors que
le contenu de Fugues, avec ses
photos de danseurs nus et ses
publicités dʼescortes, sont aussi
très érotiques. Pourquoi alors ci-
bler un seul média qui fait com-
me les autres, cʼest-à-dire ré-
pondre aux goûts et désirs de ses
lecteurs en matière de sexualité?
Parce que la revue était en dis-
tribution gratuite dans certains
commerces de Montréal? Mais
oui, Être comme Fugues ou RG, est offert aux mêmes endroits
que les autres. En réalité, il nous
semble évident que la journaliste
du Journal de Montréal ne con-
naissait pas les compétiteurs du
magazine Être qui font la même
chose, manque de culture? Cʼest
évident…

Éric Messier ne représente pas la FPJQ

Saturday, March 13th, 2010

Le journaliste québécois Éric Messier, en vendetta privée contre son compétiteur, le Groupe Gay Globe, a fait de nombreuses déclarations depuis le mois de décembre 2009 sur le statut professionnel de l’éditeur du groupe média responsable de la publication de Gay Globe Magazine, de Gay Globe TV et Radio et a impliqué dans ses déclarations, contre son gré, la Fédération Professionnelle des Journalistes du Québec (FPJQ) affirmant que ceux qui ne posséderaient pas leur carte de membre de cette organisation ne seraient pas de vrais journalistes ?!?.

La FPJQ, informée des déclarations de son membre, écrivait à l’éditeur du Groupe Gay Globe, le 8 février 2010 pour confirmer que M. Messier n’était pas porte-parole de la FPJQ “Le seul porte-parole habilité à parler au nom de la FPJQ est notre président, Brian Miles” et ajoutait quant à cette prétendue obligation d’adhérer à la FPJQ, faite et répétée par le membre Éric Messier que “l’adhésion à la FPJQ se fait sur base volontaire”.

Or, l’éditeur du Groupe Gay Globe est pourtant membre de l’Association Canadienne des Journalistes, de l’Investigative Reporters and Editors des États-Unis et de la Fédération Européenne de Presse, des organisations professionnelles pourtant reconnues dans deux cas par la FPJQ mais dont ignore tout le représentant improvisé de l’organisation québécoise de journalistes, Éric Messier.

Sur le site web de la FPJQ, l’Association Canadienne des Journalistes y est décrite comme “une sorte d’homologue de la FPJQ dont les 1500 membres se recrutent en grande majorité au Canada Anglais” et l’Investigative Reporters and Editors des États-Unis y est décrite comme “organisme indépendant voué au développement du journalisme d’enquête. Offre des cours et des ressources et établit progressivement une liste mondiale de journalistes d’enquête“.

Quand vous lirez un texte écrit par Éric Messier dénigrant ces associations et laissant croire que l’adhésion à la FPJQ est un prérequis professionnel au Québec ou qu’il est gage de qualité, souvenez-vous que l’association ne lui permet pas de faire de telles déclarations et qu’elle le confirme publiquement. Quant à la qualité, les actes pathologiques de Messier prouvent qu’une carte de membre de la FPJQ ne signifie rien d’autre que le paiement d’un membership annuel!

Éric Messier fait actuellement l’objet de procédures civiles et pourrait être accusé criminellement pour violations des articles 297 et suivants du code criminel canadien depuis qu’il a annoncé une fausse faillite, qu’il a affirmé qu’une entreprise émettait de faux diplômes, que l’éditeur de GGTV se faisait passer pour juge et qu’il a tenté de mettre la vie d’un journaliste en danger, l’associant à “Saddam”, ces exemples étant partiels. Un procureur est d’ailleurs sur le dossier.

L’Abbé Raymond Gravel dans l’eau chaude!

Monday, March 8th, 2010

Suite à la controverse lancée par la publication d’un communiqué de l’abbé Raymond Gravel déclarant qu’il n’avait jamais participé à un comité de sages à la Revue Le Point, voici en rediffusion une entrevue faite en 2007 où il explique lui-même ce qu’était le comité et son plaisir à y participer. https://www.gayglobe.us/gravel060310.html

Suite à la publication d’un communiqué de presse controversé la semaine dernière par le célèbre prêtre et abbé Raymond Gravel dans lequel il affirme qu’il n’a jamais participé à un comité des sages à la revue Le Point, qu’il n’a connaissance d’aucun comité et que ce comité dont fait état la revue Le Point sur son blogue n’est que pure invention selon lui, voici en rediffusion une entrevue qu’il accordait à GGTV en 2007 où il explique longuement sa participation à ce communiqué et son plaisir à le faire.

https://www.gayglobe.us/gravel060310.html

Raymond Gravel a aussi participé à de nombreuses reprises à ce comité de publication en 2006 dans les éditions 41, 43 et 44 de la revue Le Point et ses textes ont été publiés intégralement selon les courriels originaux reçus et conservés en archives.

M. Raymond Gravel, qui a publié un faux communiqué, a été sommé de se rétracter, ce qu’il refuse de faire, nous obligeant à rediffuser ce document afin de rétablir les faits et confirmer que ses propos sont faux. Quelles sont les raisons d’un tel comportement de la part d’une personne qui a pourtant la notoriété d’être honnête et qui a toujours été respecté par Le Point? Nous le saurons sous peu puisque l’abbé Raymond sera invité à s’expliquer

Qui dit vrai avec Éric Messier?

Wednesday, February 17th, 2010

Sur son site Internet, le journaliste Éric Messier raconte en long et en large ses exploits, ses diplômes universitaires et ses voyages comme coopérant dans les pays pauvres et pourtant, sur un autre site et dans un message datant de mars 2009, le même journaliste raconte ses échecs scolaires et suscite encore une fois le doute sur ses qualifications, lui qui s’en prend de façon pathologique à notre groupe média depuis l’automne 2009. Qui dit vrai? Lisez intégralement son message…

N’oublions pas que le même journaleux à incité à l’exécution des femmes du Québec non vierges sur son blog et a associé les kurdes à des “Saddam” sans se soucier un seul instant que les kurdes étaient les victimes d’un terrible génocide de la part du président irakien Saddam Hussein. À quand une pilule rouge pour cet être terriblement troublé?

Éric wroteon March 25, 2009 at 10:31pm
Je veux raconter mon expérience du CFCI pour montrer que ces stages ne vont pas toujours super bien (je ne suis pas le seul), et pour avoir vos commentaires.
Ça fait longtemps mais je l’ai encore sur le bord du coeur.
Je résume le plus possible.
D’abord, j’étais supposé faire un stage en journalisme à Bamako (on en avait assez parlé à RDL!), mais on m’a parachuté à Sévaré, bled perdu pour moi, et dans un stage qui ne me disait rien du tout! Ça commençait mal. Mais j’ai pris pour moi de faire contre mauvaise fortune bon coeur…

Malgré ma difficulté à m’adapter – surtout la chaleur – (ça ne m’a pas empêcher de travailler 1 an au Burkina plus tard), je me suis assez bien installé, fait quelques amis etc.
Au stage ça allait bien avec tout le monde, surtout les Africains, mais moins avec les Européen, dont mon parrain de stage (un Suisse).

Noeud du problème: je faisais un stage en communication, mais il y avait une forte rétention d’information. Autre déception.

À la 8e semaine, j’ai proposé un brouillon de rapport de recommandations à mon parrain. Mon rapport était maladroit et peu diplomate (je rapportais franchement les doléances des nombreux intervenants; mais c’était mon mandat). Ce rapport maladroit était ma 1ère erreur.
Le parrain m’a prévenu de ne montrer ce rapport à personne. Faut pas oublier qu’il menait un projet de l’ONUDI avec un budget de 11 millions US$ (en 98 n’oublions pas). Un autre collègue, un Européen, m’avait pourtant prévenu de “faire attention où je mettais les pieds”.

Ma 2ème erreur: ne pas prendre au sérieux ces avertissements, et j’ai montré (insouciance) le rapport à un collègue Africain qui était aussi mon confident. Hé bien le confident en a parlé au parrain dès le lendemain. La confiance avec le parrain était brisée.

Et voilà le passage rockn roll, dans lequel je ne suis pas le fautif: quelques jours plus tard Roselyne se pointe à Sévaré, elle a une rencontre à huis-clos avec le parrain pendant un bon 45 minutes, et elle en ressort visiblement troublée (le parrain est un intimidateur dominant, que lui a-t-il dit pour lui faire peur, je ne le saurai jamais).

Nous avons quitté Sévaré en vitesse, c’était vraiment bizarre.
Ma conclusion: j’ai piétiné sans le savoir des plates-bandes que je n’avais même pas vues. 11 millions US$…

Je suis donc revenu terminer le séjour à Bamako avec le reste du groupe qui m’a bien accueilli et je les en remercie.

Ce n’est que 3 ans plus tard que j’ai appris que j’avais coulé le stage (car ce n’est que 3 ans après que j’ai eu mon bulletin!), malgré ma solide démonstration que j’avais atteint mes objectifs de stage. Je me suis obstiné avec la direction du cégep, avec Robert Olivier (qui m’a répondu avec une certaine compréhension) mais rien à faire.

Quant à Roselyne, elle n’a jamais plus répondu à mes tentatives de contact. Gé

Je reproche au CFCI plusieurs fautes professionnelles, inquiétant pour un organisme subventionné:

- d’abord et avant tout: ne m’avoir JAMAIS donné la moindre évaluation de mon stage! ; (sur quoi basait-il ma note? Robert ne m’a répondu qu’il y avait des “paramètres”…)
- m’avoir donné mon bulletin que trois ans plus tard;
- je n’ai jamais su un traître mot de ce qui s’était dit entre Roselyne et le parrain, à huis-clos; j’étais pourtant le principal concerné! bref j’ai dénoncé cette attitude pour le moins opaque;
- de n’avoir tenu aucun compte de mon auto-évaluation que j’ai voulue la plus honnête possible.

Bref, un mauvais souvenir du CFCI.
Sans compter que les 4 mois au cégep m’ont été interminables: overdose trop de “je-me-me”, toujours ensemble dans le même local (une pénible thérapie de groupe, j’étais vidé à la fin).

Néanmoins, je me suis arrangé pour que toute cette expérience soit positive pour moi dans l’épreuve.
Ne dit-on pas qu’on apprend le mieux dans l’épreuve, et non dans la ouate?

Merci de m’avoir lu. “Félicitations pour votre beau programme”.
Vos commentaires sont bienvenus.

Disques A Tempo et les fausses rumeurs de Éric Messier

Sunday, January 24th, 2010

Un journaliste de Montréal, impliqué dans une lourde vendetta pathologique contre son compétiteur a annoncé faussement il y a quelques semaines que l’entreprise Disques A Tempo avait été mise en faillite par l’auteur de ces lignes. Le journaliste à l’origine de la fausse nouvelle est Éric Messier, un reporter de médias locaux et ce dernier a déclaré sur son site web que Disques A Tempo avait été mise en faillite pour une affaire de stocks invendus.

Rien n’est plus faux et voici pourquoi. Disques A Tempo est une entreprise qui appartient à Roger-Luc Chayer, l’auteur de ces lignes et elle est plus rentable que jamais. Elle n’a jamais été mise en faillite par Chayer puisqu’il en est le seul propriétaire, qu’il s’agit d’une raison sociale et non d’une corporation et que l’entreprise vend des licences sur ses oeuvres sans encourir de frais, elle est responsable de milliers de CD produits pour l’entreprise privée depuis sa création.

Au Canada, le fait d’annoncer publiquement une fausse faillite engage la responsabilité civile et criminelle de l’auteur de l’annonce et il est clair que Éric Messier devra vivre avec les conséquences de l’annonce d’une fausse faillite. Le propriétaire de l’entreprise a une cote de crédit R1, la plus élevé possible au Canada et une telle annonce, en plus de causer un vent de panique auprès de ceux qui transigent avec Disques A Tempo, peut avoir de réelles conséquences financières si elle n’est pas vite démentie, ce que son auteur refuse de faire. Disques A Tempo est une entreprise rentable qui n’a aucune dette, elle ne peut faire faillite puisqu’il s’agit d’une raison sociale enregistrée au Registraire des Entreprises du Québec sous le nom de Roger-Luc Chayer, tout autre information ne serait que saugrenue. M. Éric Messier est journaliste professionnel saugrenu.

Éric Messier: Encore une dénonciation pour “faux” par L’Union de la Presse Francophone

Friday, January 1st, 2010

Le journaliste québécois Éric Messier, qui est parti en croisade sans provocation aucune contre le Groupe National, constitué principalement de Gay Globe Magazine et de GGTV, fait l’objet d’une nouvelle dénonciation grave de la part d’une association internationale de journalistes basée… À Paris!

Le journaliste Messier, qui avait accusé l’éditeur du Groupe National de fraude, en décembre dernier, au nom de L’UPF, sans l’accord de l’organisation, a fait l’objet d’une dénonciation grave de la part de l’Union de la Presse Francophone, le 10 octobre 2009. M. Messier annoncait et le fait toujours actuellement, sur son site Internet, qu’il est membre de cette prestigieuse organisation de journalistes et va même jusqu’à placer un lien de son site vers celui de l’UPF de manière à crédibiliser ses actes récents qui sont non seulement illégaux mais qui enfreignent une ordonnance judiciaire datant de 2007 faite par la Cour supérieure de Montréal. “M. Messier démontre un comportement inquiétant quand il se place au dessus des lois et qu’il parle au nom de groupes professionnels ou de groupes gais sans leur consentement, laissant croire faussement qu’il serait un porte-parole alors qu’il ne l’est pas.

L’UPF, dans une communication datant d’octobre 2009, déclarait “qu’après vérification, il n’était plus membre de l’UPF depuis 2006“, un geste grave de la part d’une personne qui fait dans le journalisme professionnel et qui se permet de parler au nom d’une organisation dont il n’est non seulement pas membre mais dont il n’est surtout pas porte-parole.

L’UPF déclarait d’ailleurs deux jours plus tard qu’elle allait ouvrir une enquête et faire un suivi sur le cas Messier.

L’utilisation de faux titres ou de fausses appartenances à des groupes professionnels dans le but de se donner de la crédibilité constitue un faux-semblant que le public a intérêt à connaître au moment de lire les écrit d’une telle personne. Tout est une question de crédibilité comme le disait souvent notre confrère le journaliste Pierre Bourgault.

Ce communiqué est publié suite aux attaques récentes du journalistes Éric Messier contre l’intégrité de l’éditeur du Groupe National constitué de Gay Globe Magazine et TV.

Éric Messier dénoncé par la Fédération Professionnelle des Journalistes du Québec

Friday, January 1st, 2010

Le journaliste Éric Messier dénoncé comme un faux membre de la plus importante organisation de journalistes au Québec.

Suite à la publication sur son site internet de nombreuses mentions à l’effet qu’il était membre de la Fédération Professionnelle des Journalistes du Québec (F.P.J.Q.) en 2009, qu’il en était membre depuis longtemps, qu’il en était très fier et suite à la publication de liens menant du site de M. Messier vers celui de la F.P.J.Q., cette dernière annonçait officiellement le 24 septembre 2009 que M. Messier n’était non seulement pas membre de l’organisation de protection des journalistes, mais qu’il ne l’était même plus depuis le 31 octobre 2005. Son dossier n’ayant jamais été mis à jour depuis, toujours selon le porte-parole de l’association de journalistes.

Le fait de falsifier son curriculim vitae en y ajoutant de fausses appartenances à des organisations professionnelles est un acte grave en soi qui a pour objectif de donner de la crédibilité à quelque chose ou quelqu’un qui n’en a pas.

M. Messier a retiré cete affirmation plus tard, suite à une intervention de la F.P.J.Q.

M. Messier a fait d’autres affirmations de même nature sur son site concernant une autre organisation de journalistes professionnels, l’UIJPLF, nous y reviendrons dans un autre communiqué.

Ce communiqué est publié suite aux attaques récentes du journalistes Éric Messier contre l’intégrité de l’éditeur du Groupe National constitué de Gay Globe Magazine et TV.

Les faux réfugiés mexicains gais

Tuesday, October 20th, 2009

Entrevue exclusive avec un jeune gai mexicain, travaillant comme escorte à Montréal depuis plusieurs années, qui a décidé de demander le statut de réfugié afin de pouvoir continuer à travailler à Montréal avec tous les bénéfices sociaux accordés aux vrais réfugiés…

Dans le cadre de cet article, nous parlerons de Sasha (prénom fictif) sans permettre la divulgation de sa véritable identité car le sujet n’est pas tant lui mais ce qu’il fait à Montréal et les coûts et conséquences qu’engendrent les nombreux cas comme lui pour la société.

Sasha a 23 ans, il a de superbes yeux en amandes, il est d’un petit format, bien mince et découpé avec un look de star. Mexicain, il vient à Montréal depuis environ 4 ans, de février à novembre, pour travailler comme escorte indépendant au tarif de 100$ la relation et recrute la plupart de ses clients sur Internet, grâce au site gay411.com. Il vivait jusqu’à tout dernièrement dans une situation relativement précaire, louant des chambres un peu partout dans le village, rencontrant ses clients dans les saunas mais malgré sa situation et son statut illégal au pays, ne vivait que des revenus de ses clients sans jamais consommer quelque drogue que ce soit. De novembre à février, Sasha retournait au Mexique se payer quelques vacances et revenait sans jamais que les autorités aux douanes ne se questionnent un seul instant sur l’origine de ses revenus lui permettant de vivre au Canada.

“La prostitution est un commerce dont l’enveloppe est plus attrayante que le contenu.” (Moses Isegawa)

Or, depuis quelques mois, le Gouvernement canadien, devant l’afflux des nombreux cas de demande d’asile de la part des mexicains déjà sur le territoire national, a décidé d’exiger un visa à tous les mexicains souhaitant venir au Canada. Sasha, voyant la fin proche de ses possibilités de travailler au Canada et d’avoir des revenus équivalents à ce que fait un médecin au Mexique et sachant qu’il ne recevrait jamais un visa de 10 mois par an vu l’impossibilité de démontrer sa fortune ou ses revenus de l’extérieur lui permettant de résider ici comme touriste à l’année, a demandé la semaine dernière le statut de réfugié, alléguant faussement être l’objet de discriminations et violences basées sur son homosexualité.

Il a automatiquement été accepté comme réfugié, on lui a donné l’aide sociale au tarif maximal, la carte-services lui permettant de recevoir lunettes et services dentaires gratuits, il a maintenant accès à l’aide juridique gratuitement et a reçu une carte d’assurance-maladie lui permettant de recevoir 100% de ses soins médicaux gratuitement. Il peut demander un logement HLM s’il le souhaite aussi.

Si nous parlons de cette affaire dans nos pages aujourd’hui, c’est que la question d’équité soulevée par la demande du statut de réfugié de la part d’un prostitué mexicain met certainement en évidence certaines failles de notre système d’accès à la justice. Pendant  des années, les québécois se sont battus pour que les gais mexicains victimes de violences soient reconnus par le Canada et voilà que comme conséquence, on se sert de cette ouverture pour abuser de nos ressources. (Voir à gauche)

Pour ou contre le statut de réfugié aux prostitués gaies

Par : GGMag

Il ne s’agit pas ici de juger ou de mettre à l’index Sasha, parce qu’il a été assez futé pour trouver un moyen de continuer à pratiquer son métier d’escorte au Canada en se déclarant réfugié. Comme le Canada vit la crise économique mondiale, que le déficit atteint des records et que des gestes comme ceux posés par Sasha coûtent si chers qu’ils obligent la remise en question de nos mesures sociales globales, la question doit être posée: Est-ce qu’un jeune gai mexicain, désirant travailler comme escorte au  Canada et recevoir l’aide sociale (et tous les services sociaux gratuits) doit être pardonné du simple fait qu’il est homo ou est-ce qu’il doit être déporté?
Exprimez-vous sur le blog de GGTV au https://www.gayglobe.us/blog

Le Canada surveille les faux homosexuels

Sunday, February 1st, 2009

Un nombre croissant de demandeurs d’asile, «en particulier des ressortissants du Mexique et du Nigeria», prétendent être homosexuels en arrivant à la frontière canadienne pour obtenir le statut de réfugié. Une situation que l’Agence des services frontaliers a à l’oeil, révèle un document obtenu grâce à la Loi sur l’accès à l’information.

«C’est impossible de savoir quel est le pourcentage de demandes faites en évoquant l’orientation sexuelle, mais c’est sûr qu’il y en a beaucoup», constate l’avocat Noël Saint-Pierre, spécialiste du droit de l’immigration. Selon lui, il est vrai que plusieurs demandeurs mentent sciemment au sujet de leur orientation sexuelle.