Posts Tagged ‘prêtre’

Raymond Gravel attaque pour des gestes qu’il pose lui-même.

Saturday, February 19th, 2011

La réputation de M. Raymond Gravel auprès des gais est terrible et son comportement dans un dossier récent en Cour supérieure de Montréal a causé de lourds dommages chez les gais et pour notre magazine. Quand il invoque sa réputation pour obtenir 500,000$, je suis préoccupé par les allégués de sa raclamation puisqu’il a posés les mêmes gestes envers nous sans se soucier une seule seconde des impacts sur notre entreprise.

1- Du faux communiqué sur ses collaborations à la revue Gay Le Point
2- Sur le vidéo où il contredit son communiqué sur ses articles dans la revue gay Le Point
3- Des mises en demeures reçus par lui de la part de Gay Globe Média pour fausses déclarations publiques sur ses collaborations à la revue gay Le Point
4- Sur le fait qu’il a déclaré publiquement n’avoir jamais été journaliste pour Le Point alors qu’une entrevue vidéo disponible au https://www.gayglobe.us/gravel060310.html nous félicite pour ces chroniques où il déclare l’importance de ces chronique et qu’il adore les faire. Il a sciemment menti en public sur ses articles dans Le Point et sa réputation chez les gais n’est pas au beau fixe.
5- Une fois confronté à sa fausse information et au vidéo, il a refusé de corriger de façon honorable.
Ne vous laissez pas intimider par un individu qui utilise la cause gaie pour vous menacer, nous répliquerons c’est assuré de notre côté.
Gay Globe Média

Raymond Gravel poursuit pour 500,000$

Thursday, February 17th, 2011
L’abbé Raymond Gravel semble vouloir poursuivre pour 500,000$ en diffamation quelques groupes qui s’opposent à ses convictions. Il aura du mal à convaincre les tribunaux de la valeur de sa réputation après avoir publié un faux communiqué sur Le Point qui contredisait son entrevue vidéo que voici https://www.gayglobe.us/gravel060310.html

70- Prêtre à la paroisse de Ste-Anne-de-Bellevue à Montréal Père Benoit: Liberté d’expression ou homophobie?

Thursday, August 19th, 2010

Par Roger-Luc Chayer
Photo Perebenoit.net

Abbé Benoit Morrier
Prêtre de la paroisse de Ste-Anne-de-Bellevue à Montréal

Il est tout à fait surprenant qu’encore en 2010, l’Église puisse toujours intervenir dans la vie sexuelle des québécois, elle qui a été impliquée dans de terribles scandales pédophiles  sur l’avortement, les enfants de Duplessis ou encore le statut légal des personnes homosexuelles.

Pendant qu’elle prétend avoir un droit de regard moral sur les québécois, en s’exprimant publiquement sur des sujets qui font pourtant l’objet de protections de la part de l’État, l’Église catholique, par ses représentants, persiste à le faire en refusant toutefois la moindre contribution au budget de l’État car elle ne paie aucune taxe ni impôt. Vous trouvez cela choquant? Attendez de lire l’histoire du bon Père Benoit…

La séparation de l’Église et de l’État est un concept qui n’est pas nouveau dans les sociétés démocratiques modernes et il a été instauré au Québec pendant la révolution tranquille. D’une part, les prêtres acceptaient de se retirer des affaires de l’État et, d’autre part, l’État renonçait aux taxes et impôts sur ces personnes privilégiées.

Condition: Restez en dehors des affaires publiques.

Depuis, l’Église ne paie évidemment toujours pas d’impôts ni de taxes mais plus les années passent, plus elle renie le concept de séparation pour participer aux débats publics sur de nombreux sujets. Est-ce acceptable que des gens privilégiés qui ne contribuent en rien aux affaires de l’État du Québec puissent venir brouiller les cartes en tenant des positions qui viennent aussi violer certaines lois? Qui dira oui à cela?

Car il faut l’admettre, le discours de prêtres catholiques québécois viole totalement la Charte des droits et libertés tant sur les droits des femmes que des personnes homosexuelles.

Par exemple, sur le blog du Père Benoit, abbé de Montréal, on peut lire: “Dans le but d’améliorer la situation des personnes dites de minorités sexuelles, le gouvernement du Québec a signé en décembre dernier « une politique de lutte contre l’homophobie » de 44 pages intitulée Ensemble vers l’égalité sociale. Dans sa politique « Ensemble vers l’égalité sociale », le gouvernement Charest va au-delà de la tolérance, au-delà de la compassion, au-delà même de l’acceptation sur le plan civil des unions de personnes de même sexe. Toute personne née au Québec et tout immigrant sait très bien que son origine humaine est de nature hétérosexuelle. (NDLR: L’insémination artificielle ou volontaire par des homosexuels vient contredire cette fausse information)

En voulant s’attaquer à l’ «homophobie» sous toutes ses formes [3], le gouvernement s’engage à « changer les mentalités » des individus, des familles, et de toutes les institutions civiles et religieuses du Québec.

Le texte se poursuit en énonçant quelques fausses vérités comme le fait de déclarer que la famille doit être protégée comme motif d’intervention religieuse alors que la définition de la famille n’a jamais été uniquement hétérosexuelle. Les affirmations faites par le Père Benoît visent à nier l’égalité aux homosexuels et en ce sens, elles violent la Charte québécoise qui protège l’orientation sexuelle. S’il souhaite tant participer aux débats de société, pourquoi est-ce que le Père Benoît ne commencerait pas par convaincre son église de payer des impôts et des taxes, après il pourrait parler avec la satisfaction du devoir accompli?

L’orientation sexuelle et la Charte Québécoise
Considérant que tous les êtres humains sont égaux en valeur et en dignité et ont droit à une égale protection de la loi;
Considérant que le respect de la dignité de l’être humain, l’égalité entre les femmes et les hommes et la reconnaissance des droits et libertés dont ils sont titulaires constituent le fondement de la justice, de la liberté et de la paix;
Toute personne a droit à la reconnaissance et à l’exercice, en pleine égalité, des droits et libertés de la personne, sans distinction, exclusion ou préférence fondée sur la race, la couleur, le sexe, la grossesse, l’orientation sexuelle
Nul ne doit harceler une personne en raison de l’un des motifs visés dans l’article 10.
Nul ne peut diffuser, publier ou exposer en public un avis, un symbole ou un signe comportant discrimination ni donner une autorisation à cet effet.

Le Père Benoit
ne répondra pas!
Par Roger-Luc Chayer
Dans un courriel daté du 10 août, le Père Benoit dit: “je vous remercie de votre invitation à poursuivre le débat mais je ne suis pas intéressé présentement. Mon ministère me garde bien assez occupé comme cela. Je tiens à vous présenter mes excuses si mon texte à pu vous blesser personnellement. Je l’ai modifié quelque peu et vous êtes dans votre droit d’en faire la critique.”

44- Raymond Gravel député du Bloc

Saturday, April 3rd, 2010

Raymond Gravel est collaborateur à la Revue le Point dans le cadre des «questions du mois» posées à nos personnalités ressources. Il est aussi prêtre et souhaite maintenant faire de la politique au niveau fédéral pour un parti souverainiste, avec lʼautorisation du Vatican.
Par:
Roger-Luc Chayer
Photo:
Le Point
Article
Régulier
Résumé:
Le célèbre prêtre québécois souhaite représenter le comté de lʼAssomption au Parlement canadien, est-ce quʼil saura conjuguer acte de foi et politique?
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42- Est-ce que contribuer à la lutte contre le SIDA c’est commencer par s’aider soi-même?

Wednesday, March 17th, 2010

Dans le cadre de notre question au comité de réflexion du Point, nous publions les réponses du comité restreint, notre confrère Jean-Luc Romero étant en voyage depuis plus de 5 semaines pour couvrir les conférences mondiales sur le SIDA et les droits des gais et notre ami Michel Girouard nʼayant pas eu le temps de répondre vu son emploi du temps fort périlleux. Ils seront tous de retour dans la prochaine édition.
Dans un article déjà publié dans Le Point et lors dʼune entrevue sur Gay Globe TV à propos de la vie gaie au Liban, notre invité Bertho Makso lançait un appel à lʼaide aux gais et lesbiennes du Québec pour quʼils versent des fonds au groupe gai arabe HELEM qui, à son tour, vient en aide aux femmes enceintes du Liban et aux enfants dans la misère à cause des bombardements. Pas très gai comme cause… En Afrique, des centaines de milliers de sidéens meurent chaque année laissant des millions dʼenfants orphelins, sans soins, dans la misère la plus totale.
Au Québec, il existe depuis 2004, un laisser-aller complet de la part de lʼÉtat face au SIDA et les taux de transmission de la maladie à Montréal sont les mêmes quʼavant la trithérapie, comme dans les années 80 avec des jeunes qui meurent plus que jamais. Est-ce que nous devrions concentrer lʼaide que nous souhaitons apporter comme gais à des causes locales ou considérer la mondialité dans son ensemble, fermer les yeux sur les jeunes qui meurent du SIDA au Québec pour aider un adulte africain à survivre plus longtemps?
Je sais que la question est crue mais lʼactualité nous pousse à nous interroger sur nos priorités. Il ne sʼagit pas ici de culpabiliser quiconque souhaiterait ne pas donner quʼau Québec, au contraire même, mais si lʼÉtat québécois refuse dʼinvestir dans la prévention de la maladie, est-ce que le public lui, serait en droit de le faire pour sauver la vie de ses propres enfants avant ceux des autres pays?
Raymond Gravel est prêtre et a défendu à de nombreuses reprises les droits des gais au mariage et à lʼégalité sociale:
Je crois sincèrement que ce nʼest pas aux gais plus quʼaux autres de financer ou dʼaider des pays qui vivent des tragédies comme la guerre au Liban ou le Sida en Afrique. Par ailleurs, quʼon demande aux associations gaies dʼinvestir plus dʼargent pour la cause du Sida ou des droits humains dans les autres pays, je ne suis pas tout à fait en accord avec ce principe, car il appartient à tous les êtres humains, quels que soient leur orientation sexuelle ou leur statut social dʼêtre solidaires des exclus, des marginalisés dʼautres sociétés et surtout des pauvres et des moins bien nantis. Et comme il y a de ces pauvretés chez nous, il faut sʼassurer que lʼaide parvienne aussi aux plus mal pris dʼentre nous…
Roger-Luc Chayer est rédacteur en chef de la Revue Le Point et administrateur de Gay Globe TV:
Je suis absolument convaincu que le point de départ de toute aide volontaire ou financière doit être au bercail, ici même. Pour mieux aider, il faut commencer par sʼaider soi-même et quand les jeunes cesseront de mourir ici, on pourra toujours trouver des causes ailleurs qui sauront nous valoriser autant quʼen étant là pour nos compatriotes… Ici avant tout!
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Dans le cadre du Comité de réflexion du Point À qui sert la célébration de la Fierté gaie? (Éd. 41)

Wednesday, March 17th, 2010

Le Comité de réflexion de la Revue Le Point a été formé pour permettre une réflexion sur des sujets dʼactualité par des personnalités reconnues pour leur indépendance dʼopinion.
Depuis 5 ans environ, un nombre croissant de gais et lesbiennes ne sʼidentifient plus aux célébrations de la Fierté gaie comme celles proposées à Montréal ou à Paris parce quʼils ont lʼimpression quʼelles ne servent plus la cause dʼorigine, cʼest-à-dire permettre aux homosexuels de sʼaffirmer visiblement, par un spectacle très osé, dans un contexte législatif ne proposant aucune reconnaissance. En 2006, le droit reconnaît non seulement lʼexistence de la culture homosexuelle comme entité légale et non sexuelle, mais elle permet aussi dʼaller au-delà de la norme pour ceux qui veulent se marier, adopter ou gérer une vie à deux.
Est-ce que la Fierté a encore sa place? Est-ce que le mot Fierté ne risque pas dʼêtre interprété par les hétérosexuels comme le mot Arrogance puisque nous continuons à revendiquer des droits qui existent déjà? Est-ce que nous devrions être fiers de ce que nous sommes maintenant ou est-ce que nous devrions songer à nous intégrer réellement en transformant les célébrations de la Fierté gaie en carnaval haut en couleur et non affilié?
Raymond Gravel
Prêtre catholique, il exprime depuis de nombreuses années sa différence en parlant des homosexuels dans les médias
La célébration de la Fierté gaie a encore son sens et garde toute sa pertinence dans nos sociétés dites ouvertes et démocratiques. Célébrer la différence, cʼest permettre à lʼautre, le “différent” dʼêtre et dʼexister. On peut ne pas apprécier la présentation médiatique de la célébration, où on insiste trop sur la provocation quant aux images diffusées par les médias; cependant, il nous faut comprendre cette provocation par lʼimage; elle est le fruit de frustrations profondes occasionnées par des comportements, des attitudes, des positions homophobes de plusieurs
personnes, souvent encouragées par des groupes et même des institutions qui rejettent, condamnent et excluent les homosexuels.
Aussi longtemps que lʼÉglise catholique, par exemple, tiendra son discours traditionnel sur lʼhomosexualité, la célébration de la Fierté gaie sera justifiée. Comment peut-on affirmer porter le message du Christ qui se veut un message dʼespérance pour tous, et dire en même temps que lʼhomosexualité est désordonnée et que les homosexuels nʼont pas le droit dʼêtre ce quʼils sont? Cʼest pourtant ce double langage qui est tenu par certains dirigeants de lʼÉglise, dont la mission est pourtant de libérer les gens de lʼoppression, de travailler à la promotion de la dignité humaine, de favoriser la justice et dʼaccueillir inconditionnellement les marginaux, les exclus et les poqués de la vie.
Il est vrai que sur le plan social, la réalité homosexuelle est de plus en plus reconnue et acceptée. Par ailleurs, il reste beaucoup de chemin à faire. Cʼest un peu comme pour la condition féminine; la journée du 8 mars qui est consacrée aux femmes a toute sa raison dʼêtre. Tant et aussi longtemps quʼil nʼy a pas pleine reconnaissance et égalité, on doit manifester, revendiquer, provoquer et même choquer, pour que les poches de résistance puissent sʼestomper et disparaître. La célébration de la Fierté gaie sert, non seulement aux gai(e)s eux(elles)-mêmes, mais à toute personne qui croit à la richesse de la diversité culturelle, sociale, sexuelle et religieuse. Le respect de lʼautre passe nécessairement par lʼacceptation de sa culture, de sa nature et de sa foi… Pour y arriver, il faut développer de la tolérance par rapport à la différence. Être “fier” de ce quʼon est nʼenlève rien aux autres qui sont différents de nous.
Roger-Luc Chayer
Journaliste spécialisé depuis 1993 et rédacteur en chef du Point, il incarne depuis ses débuts le rôle dʼune presse indépendante qui questionne ses leaders gais
Jʼai longtemps et souvent hésité avant de me prononcer sur cette question parce que mon opinion nʼétait pas vraiment coulée dans le béton, comme si chaque année, je passais du oui au non en fonction de facteurs comme le contenu de la parade montréalaise ou la situation sociale face à lʼhomosexualité. Toutefois, au fil des années, je réalise que les festivités reliées aux célébrations de la Fierté gaie servent différentes causes en fonction des villes où elles se tiennent.
À Montréal par exemple, ces festivités me semblent exclusives, malgré les affirmations des organisateurs. Au fil des années, les organisateurs de la Fierté gaie excluent de plus en plus de groupes gais par les coûts pour sʼinscrire et participer à la parade, des médias en signant des ententes dʼexclusivité sur lʼinformation et depuis 3 ans, excluent même le Village gai et les commerçants de ces festivités sous prétexte quʼils ne participent pas assez aux coûts.
À Québec par contre, les festivités de la Fête Arc-en-Ciel sont beaucoup plus inclusives et ressemblent bien plus aux premières années de celles présentées à lʼépoque à Montréal. Rue fermée, spectacles et tables communautaires tous au même endroit, aucun média exclusif et surtout, nourriture et breuvages à souhait contrairement à Montréal.
Je ne sais plus personnellement à qui profite la Fierté gaie où quʼelle soit mais je sais ce quʼelle devrait permettre dʼaccomplir selon moi: la Fierté gaie devrait permettre de montrer au reste de la société les accomplissements exemplaires de la communauté et non refléter les revendications de quelques groupes minoritaires qui ne représentent pas la masse. En montrant nos réalisations et nos résultats, plutôt que de faire parader des bas de nylon ou des travelos de service, il me semble que nous arriverions peut-être à nous faire mieux respecter du reste de la société. Si nous présentons ce que nous avons de mieux, les jeunes gais pourront peut-être sʼidentifier plus facilement à leur communauté plutôt que de penser au suicide à lʼidée de sʼidentifier à ce qui est montré pendant la parade mais que lʼon ne retrouve nulle part après…
Michel Girouard
Journaliste et chroniqueur jet set, il a contribué dans sa carrière et contribue toujours à des centaines de médias et aura été un précurseur dans lʼaffirmation québécoise de lʼidentité gaie
En ce qui me concerne, afficher ma différence a toujours été une fierté. Pour certains autres, qui partagent les mêmes préférences que moi, lʼacceptation a peut-être été plus difficlle. Cʼest la raison pour laquelle pour plusieurs, la Fierté gaie est un moment important qui allume la société dite “conventionnelle”, aide à comprendre et a accepter un état de vie que lʼon ne choisit pas mais qui appartient tout de même à la marginalité.
La Fierté gaie ce nʼest pas une question de défilé ni de spectacles, cʼest une prise de conscience quʼen 2006 aucun humain nʼa le droit de juger ou de condamner autrui parce quʼil est né avec une couleur différente ou une orientation qui nʼest pas la sienne.
Quand on regarde toutes ces manifestations de fierté qui se déroulent depuis quelques années à lʼéchelle mondiale, je ne peux quʼêtre fier de lʼévolution. La Fierté gaie ça ne sert pas toujours à donner une image vraie de ce quʼest la vie homosexuelle, cʼest un peu dommage et déplorable.
Jean-Luc Romero
Politicien, auteur et journaliste, il a été nommé homme politique le plus populaire en France en 2001
Les marches des fiertés, ce sont des milliers de personnes dans les rues, de la musique, des rires, des sourires… Cʼest un moment de fête, de joie et de convivialité. Mais elles sont surtout un temps de mobilisation et lʼoccasion dʼaffirmer haut et fort un certain nombre de revendications . En effet, être fier cʼest demander de la visibilité dans une société, cʼest sʼassumer, cʼest revendiquer. Même si des progrès notables peuvent être constatés, il est toujours très difficile de vivre son homosexualité : ainsi les jeunes homosexuels ont 14 fois plus de risques de tenter de se suicider que les hétérosexuels…
Tant que les mêmes droits ne seront pas accordés aux homosexuels, ces marches seront légitimes : qui du mariage et de lʼhomoparentalité? Qui de la liberté de vivre sans se faire insulter ? Qui de la possibilité de donner son sang ? La Marche des fiertés nʼest pas une manifestation communautaire, au contraire elle sʼinscrit totalement dans le cadre dʼune société libérale porteuse de valeurs de liberté, dʼégalité et de fraternité.
NDLR: Le comité de réflexion du Point est formé de gens qui ont à coeur lʼesprit du débat, qui veulent partager leur vision progressiste de la société gaie avec les lecteurs du Point.

L’Abbé Raymond Gravel dans l’eau chaude!

Monday, March 8th, 2010

Suite à la controverse lancée par la publication d’un communiqué de l’abbé Raymond Gravel déclarant qu’il n’avait jamais participé à un comité de sages à la Revue Le Point, voici en rediffusion une entrevue faite en 2007 où il explique lui-même ce qu’était le comité et son plaisir à y participer. https://www.gayglobe.us/gravel060310.html

Suite à la publication d’un communiqué de presse controversé la semaine dernière par le célèbre prêtre et abbé Raymond Gravel dans lequel il affirme qu’il n’a jamais participé à un comité des sages à la revue Le Point, qu’il n’a connaissance d’aucun comité et que ce comité dont fait état la revue Le Point sur son blogue n’est que pure invention selon lui, voici en rediffusion une entrevue qu’il accordait à GGTV en 2007 où il explique longuement sa participation à ce communiqué et son plaisir à le faire.

https://www.gayglobe.us/gravel060310.html

Raymond Gravel a aussi participé à de nombreuses reprises à ce comité de publication en 2006 dans les éditions 41, 43 et 44 de la revue Le Point et ses textes ont été publiés intégralement selon les courriels originaux reçus et conservés en archives.

M. Raymond Gravel, qui a publié un faux communiqué, a été sommé de se rétracter, ce qu’il refuse de faire, nous obligeant à rediffuser ce document afin de rétablir les faits et confirmer que ses propos sont faux. Quelles sont les raisons d’un tel comportement de la part d’une personne qui a pourtant la notoriété d’être honnête et qui a toujours été respecté par Le Point? Nous le saurons sous peu puisque l’abbé Raymond sera invité à s’expliquer