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1995- André GAGNON L’homme de fer
Thursday, January 27th, 2011AVIS: CET ARTICLE A ÉTÉ RÉDIGÉ IL Y A PLUS DE 14 ANS ET NE CORRESPOND PLUS À L’OPINION DE SON AUTEUR. TOUT USAGE DE CET ARTICLE POUR FAIRE LA PROMOTION D’ANDRÉ GAGNON SERAIT À L’ENCONTRE DE LA VOLONTÉ ET DES CONCLUSIONS RÉCENTES DE SON AUTEUR.
(Roger-Luc Chayer)
@font-face { font-family: “Arial”; }@font-face { font-family: “New York”; }p.MsoNormal, li.MsoNormal, div.MsoNormal { margin: 0cm 0cm 0.0001pt; font-size: 12pt; font-family: Arial; }div.Section1 { page: Section1; }
Nous vous présentons aujourd’hui un homme qui a toute une réputation dans le milieu universitaire et dans la communauté en général. Un homme qui n’a pas peur de foncer, de déplacer de l’air et des gens dans le but de réussir ses objectifs. Cet homme c’est André Gagnon, président de l’Association des Gais et Lesbiennes de l’Université du Québec à Montréal.
En plus d’occuper un poste important au sein de son association, monsieur Gagnon est aussi rédacteur en chef du journal HomoSapiens. A 37 ans, il relève défi par dessus défi. Fondation du journal, de l’ALGUQAM, étudiant de maîtrise en Histoire et père d’un gamin de 10 ans, ses journées filent à la vitesse de l’éclair. On le voit partout! Pourtant, c’est avec une émotion non contenue qu’André nous parle de son fils qu’il adore. Le jeune est confronté, tout comme le père, aux jugements et aux préjugés de son entourage. D’un coté, le père est presque toujours célibataire car les éventuels prétendants ont peur de l’implication nécessaire envers un enfant et de l’autre, son fils est confronté aux dures réalités des commentaires de ses copains à l’école. André est voué au seul bonheur de son fils et c’est ce qui rend difficile ses relations intimes: <<…Mon copain devra comprendre que je ne pourrai pas sortir souvent la semaine car je dois être présent lorsque j’ai la garde… C’est une situation qu’il devra accepter s’il souhaite sncèrement batir quelque chose de sérieux avec moi>>.
Ayant moi-même un toutou, je lui demande si l’analogie entre l’animal et l’enfant est une bonne comparaison pour mieux comprendre la situation des pères gais. L’erreur dans ce raisonnement vient du fait que contrairement à l’être humain, on ne conçoit pas notre animal et on ne le voit pas naître. La perspective change radicalement car l’enfant est le produit de nos actions alors que l’animal arrive dans le foyer sans qu’on sache, en général, quoi que ce soit sur ses origines.
Tout cela nous amène à parler des préoccupations sociales d’André. Il dit avoir des intérêts divesifiés mais en discutant, il se concentre particulièrement sur la “Nation Québécoise” au sens large du terme. Le Québec social, politique et son rôle dans le monde. A son avis, le Québec est une nation pleine de potentiel mais mal dirigée, organisée et canalisée. Nous partons sur une envolée de problèmes mais je lui demande quelle est la solution? C’est bien beau de prendre onscience des problêmes mais il faudra tot ou tard trouver des solutions et les appliquer…:<< L’être humain devra trouver un juste équilibre entre ses droits et ses devoirs. Il faut que nous prenions tous conscience de nos obligations, agir en conséquence et être conséquents dans nos actes.
André Gagnon voudrait être considéré comme un homme simple pour qui rien ne bat une promenade les pieds dans l’eau au bord de la mer. Malgré tout ce qu’il peut dire, penser ou faire, il voudrait qu’on se souvienne de lui comme d’un être bien ordinaire. Son plus grand bonheur a été la naissance de son fils et à ma grande surprise, son plus grand malheur a été sa séparation. 12 années de vie commune ne s’effacent pas d’un coup de brosse. Voilà qui nous aura fait connaître un personnage bien spécial de notre communauté. On peut rejoindre André en laissant un message aux locaux de l’ALGUQAM au 987-3039.
48- Scandale pornographique à la revue Être
Saturday, April 17th, 2010Le magazine montréalais Être, publié par André Gagnon, est accusé dʼavoir produit, distribué et créé
les conditions dʼun accès immoral à du matériel pornographique pour de jeunes enfants. Le Journal de
Montréal y allait fort en questionnant les clients et annonceurs du magazine gai. Mais est-ce un vrai dé-
bat?
Dans son édition no. 2 du
mois de février 2007, le maga-
zine Être, sous la plume de son
“Éditeur”, y allait dʼune répli-
que qui avait bien plus les airs
dʼune attaque en règle contre le
Journal de Montréal, donnant
en exemple des règles éthiques
du Conseil de Presse du Québec
et nous offrant une explication
bien peu vraisemblable sur le fil
de événements menant vers une
dénonciation grave du Journal
de Montréal.
Mettons de côté les savantes
explication de “lʼÉditeur” du
magazine et les éléments scan-
daleux découverts par le journal
et posons-nous simplement la
question: Est-ce que le journal
ne viendrait tout simplement pas
de découvrir la culture gaie dans
son expression la plus courante?
Cʼest ça la vraie question car
que lʼon aime ou pas le big boss
Cette édition spé-
ciale du Point vous est
offerte gratuitement
pour la lecture par
du papier Être, la réalité est
peut-être moins scandaleuse
que le laissait croire le vaisseau
amiral de la flotte médiatique de
Québécor.
Le journal de Montréal con-
sacrait donc en janvier der-
nier et toujours sur Internet à
lʼadresse suivante https://www.
canoë.com/infos/societe/archi-
ves/2007/01/20070131-080802.
html, un important dossier por-
tant sur la publication par le ma-
gazine Être de matériel publici-
taire porno. Certains clients du
magazine se déclarant choqués
ou préoccupés par cette affaire.
Loin de nous lʼintention de
vouloir cautionner les gestes
du magnat de ce magazine, qui
a son lot de problèmes légaux
et moraux et qui ne sʼen cache
pas, nous voulions soulever par
cet article le fait que ce qui a été
dénoncé par le journal est
dʼune étroitesse crasse et met
simplement en évidence que le
magazine Être fait comme Fu-
gues ou RG, qui publiaient du
matériel porno depuis bien plus
longtemps.
La revue RG publie les pochettes
des films vidéos XXX dont elle
fait la critique sous le nom dʼAn-
dré Simard et ces pochettes sont
les mêmes que celles publiées
dans lʼencart dénoncé, alors que
le contenu de Fugues, avec ses
photos de danseurs nus et ses
publicités dʼescortes, sont aussi
très érotiques. Pourquoi alors ci-
bler un seul média qui fait com-
me les autres, cʼest-à-dire ré-
pondre aux goûts et désirs de ses
lecteurs en matière de sexualité?
Parce que la revue était en dis-
tribution gratuite dans certains
commerces de Montréal? Mais
oui, Être comme Fugues ou RG, est offert aux mêmes endroits
que les autres. En réalité, il nous
semble évident que la journaliste
du Journal de Montréal ne con-
naissait pas les compétiteurs du
magazine Être qui font la même
chose, manque de culture? Cʼest
évident…
Où est André Gagnon?
Friday, December 25th, 2009La triste saga liée à la corporation Fierté
Québec doit cesser le plus vite possible…
André Gagnon et sa corporation Fierté Québec, cʼest confirmé, est main-
tenant disparu du paysage, sans laisser autre chose que de nombreuses
factures impayées et services non rendus, comme des loyers impayés sur
la rue Dorchester et la rue Prince-Edouard, à Québec. On se souvient tous
encore du jugement Sergakis contre M. Gagnon à Montréal pour un autre
bureau dont le loyer est resté impayé.
La question qui doit maintenant être posée est la suivante: Où est lʼintérêt
public des personnes qui doivent contracter avec un tel individu? La ré-
ponse parait évidente: Nul ne devrait contracter avec cette corporation ou
son président tant et aussi longtemps quʼil nʼaura pas assaini sa gestion,
quʼil nʼaura pas épongé toutes les dettes et quʼil ne se responsabilisera pas.
NOUVEAU PRIX DʼÉCRITURE «
ALTERSEXUELLE » DE LA FRANCOPHONIE
Lors de la Semaine de la littérature gaie, qui sʼest tenue à Québec du 16
au 22 mai 2005, des auteurs et invités venus de Belgique, France, Maroc,
Toronto, Halifax, Montréal et Québec, ont manifesté le désir de mettre
sur pied un prix dʼécriture francophone traitant du vécu « altersexuel » et
couvrant tous les genres littéraires.
Le prix AlternʼArt-Québec a donc été créé et sera remis, pour la première
fois en mai 2006, à un ou une auteur dont lʼoeuvre se démarquera par la
pertinence du sujet, lʼintelligence du traitement, la qualité de lʼécriture et
lʼimpact déjà eu ou pressenti sur le lectorat. Les œuvres soumises devront
avoir pris en compte certains aspects du vécu « altersexuel » et avoir été
publiées au cours de lʼannée 2005.
Cinq personnes du Québec composeront le jury. En effet, trois hommes
et deux femmes, bien au fait du monde littéraire, auront la difficile mais
agréable tâche de lire, dʼévaluer et de juger les œuvres que les maisons
dʼéditions devront faire parvenir avant le 28 février 2006.
Le lauréat ou la lauréate sera invité à recevoir son prix à Québec, lors de
la deuxième édition de la Semaine de la Littérature « altersexuelle » de
Québec. Les frais de transport, un séjour dʼune semaine gratuite à Québec,
ainsi quʼune bourse de 1 000 $ CAN couvrant les frais de séjour. De plus
la promotion de lʼœuvre en Belgique, en France et au Canada sont aussi des
composantes tangibles du prix que le ou la récipiendaire se méritera.
Une invitation est donc lancée à toutes les maisons dʼéditions de la
francophonie, tout comme à ceux et celles qui ont publié à compte dʼauteur,
à faire parvenir les œuvres en cinq (5) exemplaires à:
Alternʼart de Québec
a/s Yves Gauthier, secrétaire
640, rue Saint-Patrick # 2
Québec (Québec )
Canada G1R 1Z2
André Gagnon fierté Québec
Saturday, November 14th, 2009Alors quʼil vendait des espace dans sa parade de la fierté
gaie quelques jours avant lʼévénement, le président de Fierté
Québec, André gagnon, annule tout la veille de lʼévénement.
Le grand bonze de Fierté Québec, André gagnon, annonçait dans un
communiqué diffusé le 1er septembre 2005, que pour des raisons
financières liées encore une fois au Gouvernement du Québec, son
événement serait reporté en juin 2006, le temps de lui permettre de payer
ses dettes.
Mais cʼest là exactement où les gais et lesbiennes de Québec voulaient en
venir, lʼobliger à payer les dettes antérieures dont il fait lʼadmission dans
son communiqué et permettre aux participants floués des années
antérieures de se faire payer avant de permettre à Monsieur Gagnon de
revenir parler de fierté.
Le public aura enfin eu gain de cause contre lʼincurie et la mégalomanie
dʼun homme qui aura utilisé le filon gai à des fins dont la honte serait le
meilleur qualificatif. Dettes énormes avec des commerçants et fournisseurs,
dettes avec lʼétat, taxes impayées, impossibilité de connaître les détails
de la gestion de lʼorganisme dont les membres du C.A. se désistent par
requêtes, impossibilité dʼavoir un dialogue avec le Président, etc, etc…
Comme à son habitude, le communiqué, signé par le Président, accuse
tout le monde dʼêtre à lʼorigine des déboires de son organisation (dont
on ne dénombre que trois membres incluant son conjoint) mais refuse de
prendre ses responsabilités en admettant que le fait dʼêtre à lʼorigine de
dettes importantes impayées depuis des années, parfois envers de petits
commerçants et fournisseurs, peut causer un refroidissement des ardeurs
envers sa cause.
Cette année, Fierté Québec nʼétait pas de la fête gaie à Québec et tous
sʼen portaient mieux. La fête Arc-en-Ciel, organisée par Yves Gauthier
et une solide équipe de pros a fait un tabac monstre sur la rue St-Jean
et les alentours, pendant 3 jours, le tout Québec ne parlait que du succès
de la fête qui est enfin redevenue une fierté pour les homosexuels et les
lesbiennes de la Capitale Nationale du Québec. Plus de tables que jamais
sur St-Jean, plus de monde que jamais partout sur la rue et aux activités, les
gais et lesbiennes de Québec nʼont plus besoin de M. Gagnon pour exister!
Fierté Québec corporation fantôme?
Saturday, November 14th, 2009Dans sa dernière édition, le journal Ëtre annonçait le retour de Fierté
Québec pour 2005 et une programmation de base aux allures de lʼan
dernier alors que les artistes engagés pour les spectacles nʼavaient
pas été payés. Sur la publicité de Fierté Québec, aucun nom dʼartiste,
aucun site internet et encore moins de compte rendu du triste défi lé de
lʼan passé avec un seul char.
Nous connaissons maintenant tous le contexte dans lequel doit fonction-
ner la corporation, si corporation il y a, et les problèmes fi nanciers dont
de nombreuses factures et jugements des tribunaux impayés à ce jour. Le
Point a souvent questionné la gestion de cette organisation en exigeant
quʼelle paie ses dettes avant dʼorganiser dʼautres événements qui impli-
quent la fi erté des gais et lesbiennes de la région de Québec.
Depuis la dernière fi erté à Québec en 2004, les événements se sont pré-
cipités contre lʼorganisation et son chef André Gagnon. Jugements en
dommages impayés, factures impayées, conseil dʼadministration fantôme
et surtout, promesses non tenues envers la population locale. Fierté Qué-
bec, avec son nom, a une obligation de gestion impéccable et de résultats
positifs pour la communauté gaie locale puisque telle est sa vocation,
ou du moins celle qui est présentée par le Président André Gagnon.
Lʼinquiétude règne donc depuis
lʼannonce du retour de Fierté Qué-
bec, car le doûte persiste quant à la
représentativité de la corporation
face aux gais et lesbiennes de Qué-
bec qui ne souhaitent plus sʼassocier
à lʼorganisation, trop de gens y ont
perdus leur argent en 2003 et 2004.
Nous rappelons que Le Point appe-
le au boycotte de lʼorganisme tant
que les dettes ne seront pas payées.
Le Régistraire des Entreprises du Québec obligé de
retirer le nom dʼun administrateur de Fierté Québec
Dans une décision rendue le 1er juin 2005 (1160742269 – 050053D), le
Régistrsaire responsable des noms dʼenprises du Québec et de la publicité
des droits accordait la requête déposée par lʼadministrateur de Fierté Québec
Dominick Rodrigue qui affi rmait, malgré sa démission du C.A. de lʼorganisa-
tion le 10 mai 2004, que Fierté Québec refusait de modifi er sa fi che. Comme
de nombreuses poursuites affl igent Fierté Québec, nous pouvons comprendre
lʼadministrateur démissionnaire de ne pas vouloir partager la responsabilité.
Les gais veulent se réapproprier leur Fier- té
Saturday, October 10th, 2009Altern’Art de Québec, appuyé par l’Association des gens d’affaires du Faubourg et différents organismes gais, veut reprendre l’initiative de la
«L’Association des gens d’affaires du Faubourg (AGAF) voit d’un bon
œil que cette fête annuelle revienne sous le contrôle de la communauté
homosexuelle de Québec, en collaboration avec les commerçants de la rue
Saint-Jean, les gens d’affaires gais et ceux de notre association» confie M.
Martin Léveillée directeur général de l’AGAF.
Si la demande est acceptée, la Fête Arc-En-Ciel de Québec sera donc de
retour sur la rue Saint-Jean dans l’harmonie et la bonne humeur. Déjà, des
commanditaires majeurs se sont pointés pour appuyer cet événement qui
sera à la ressemblance des gens d’ici, avec une administration démocratique
et transparente.
«Il est important, non seulement de se reprendre en main, mais de présenter
un événement festif qui va regrouper tous ceux et celles qui veulent affirmer
leur orientation sexuelle et marquer leur différence, ainsi que tous les autres
qui veulent découvrir différents aspects du vécu homosexuel» de conclure
M. Gauthier en espérant que la demande faite auprès des responsables
municipaux « soit traitée avec diligence pour ne pas retarder indûment les
préparatifs de cette fête.»
Au cours des trois dernières années, cet événement s’est déroulé sous l’égide
de Fierté Québec et de son promoteur André Gagnon. De nombreux problèmes
ont surgi tant auprès des autorités municipales, qu’avec les gens d’affaires et les
organismes gais de Québec. Cet état de fait, loin de concerter la communauté
homosexuelle de Québec et de créer des liens positifs avec l’ensemble de la
population a plutôt divisé les uns et repoussé les autres.
« La gestion autocratique et nébuleuse, les nombreuses dettes accumulées par
Fierté Québec par l’entremise de son président André Gagnon et le manque de
soutien des organismes gais de Québec à sa fête, nous amènent à faire une
demande de réappropriation de la rue Saint-Jean auprès de Monsieur Martin
Leclerc responsable des événements spéciaux pour l’Arrondissement de la cité»
de souligner Yves Gauthier secrétaire d’Altern’Art de Québec et coordonnateur
des activités pour le Festival d’art gai de Québec.
D’ailleurs l’an dernier le même souhait avait été formulé mais sans en faire de
demande officielle. Le Conseil de quartier Saint-Jean-Baptiste n’avait pas hésité
à voter une résolution à cet effet. Mais après plusieurs mois d’hésitation les
responsables avaient finalement accordé la priorité à M. Gagnon et à son événement
qui doit encore plus de 9 000$ à la ville de Québec sans compter les dizaines de
milliers de dollars de dettes accumulées auprès des gens d’affaires de Québec.
Le Président de Fierté Québec expulsé !
Saturday, October 10th, 2009Dans un jugement datant du 2 février 2004 (500-02-124249-041), le Pré-
sident de Fierté Québec et Éditeur de la revue Être se voyait condamné
pour ne pas avoir payé son loyer depuis des mois et a été expulsé de ses
locaux suite à un ordre de la Cour.
«Attendu que la partie défenderesse (André Gagnon) devait remettre,
quitter, abandonner et céder les lieux… Attendu qu’une copie du jugement
a été signifiée à la partie défenderesse et que malgré cette signification la
partie défenderesse se trouve encore en possession des lieux et refuse de
les céder, quoique dûment requise… nous vous ordonnons d’expulser la
partie défenderesse, nous vous ordonnons de placer selon la loi, lesdits
meubles et effets sur le carreau…» voilà le contenu de l’ordre d’expulsion
prononcé contre le président de Fierté Québec, après avoir été condamné à
près de 3000$ de dommages pour non-paiement du loyer de la rue Alexan-
dre-de-Sève, à Montréal.
Pendant ce temps, Monsieur Gagnon poursuit sa quête inébranlable de
crédibilité en attaquant les représentants de la communauté qui exigent
qu’il respecte ses contrats et qu’il rembourse les jugements prononcés
contre lui, mais malgré les demandes, dont celles de la revue Le Point,
Monsieur Gagnon persiste à ne pas assumer ses responsabilités. En effet,
de nombreuses dettes n’ont toujours pas été acquittées par Fierté Québec
et André Gagnon et plutôt que de collaborer avec les journalistes, il s’en
prend radicalement à la crédibilité des gens et ce comportement doit con-
tinuer à être dénoncé. Si Fierté Québec et son président n’avaient pas de
dettes, nous ne pourrions certainement pas remettre en question sa gestion
de l’intérêt collectif gai mais devant des dettes énormes, toujours impayées,
il est devenu urgent non seulement de réagir mais de s’offusquer publique-
ment d’un comportement inacceptable. Fierté Québec est seule dans son
aventure et Le Point suggère à la communauté de s’abstenir de s’impliquer
financièrement avec cet organisme tant que les dettes ne seront pas payées.
Fierté Québec et André Gagnon
Thursday, October 1st, 2009Éditorial par: Roger-Luc Chayer
Il vient un temps où, comme pour des victimes d’actes criminels, il devient
important de s’insurger contre les faux et ceux qui se servent de causes
sociales aussi graves que l’homophobie pour servir leur propres intérêts. En
recevant le «Rapport du Président Fierté Québec 2005» par un maussade
après-midi de mars, j’ai tout de suite pensé, à la lecture des 14 pages du
document et de ses annexes, que les véritables victimes d’actes homophobes
devaient en perdre leur latin à la lecture des raisons invoquées pour expliquer
l’état lamentable des finances et des dettes de Fierté Québec.
À en croire le Président André Gagnon, tous se rebelleraient contre lui
pour détruire la communauté gaie et sa Fierté Québec et c’est là le drame.
À vrai dire, jamais je n’ai entendu quiconque se livrer à l’organisation de
campagnes anti Fierté Québec et encore moins anti communauté gaie. Ce
que Monsieur Gagnon ne comprend pas et qu’il ne comprendra jamais et
c’est la raison qui explique que le Québec gai ne souhaite plus qu’il s’ex-
prime en son nom, c’est qu’il est lui-même, personnellement, visé par le
souhait des commerçants de la Capitale, des autorités politiques ou des gais
tout simplement, qu’il ne se serve plus de Fierté Québec pour ses besoins
personnels ou pour crier haut et fort que tout va mal et que Québec est une
ville homophobe, CE QUI EST FAUX! Québec est homophile et c’est
une réputation qui dépasse largement les limites de la ville.
Québec est la Capitale d’une extraordinaire nation libre, indépendante et
puissante au niveau intellectuel. Résumer le désir des québécois de ne
plus vouloir confier à un homme aussi autoritaire que Monsieur Gagnon la
gestion de l’organisation de la fête des gais en affirmant que tout le monde
est homophobe est d’abord une insulte à la ville mais surtout une attaque
contre sa population et cela EST INACCEPTABLE! Que Québec soit de-
venue Gagnonphobe, c’est évident, tout le monde en parle! Que Québec
ne souhaite plus laisser Monsieur Gagnon s’endetter en se servant du nom
des gais et se défiler de ses responsabilités légales au moment d’honorer ses
contrats et de payer ses dettes, c’est compréhensible et que Québec souhaite
qu’il se la ferme plutôt que d’accuser tout le monde d’homophobie, c’est
une nécessité fondamentale pour l’avenir de la vie gaie de la ville.
Il n’y a pas d’homophobie à Québec, uniquement de la
Gagnonphobie!
Depuis des années maintenant, Le président de Fierté Québec refuse de
rendre des comptes sur l’argent qu’il administre. Il refuse de répondre aux
questions du Point mais aussi à celles de Fugues, du Soleil, à celles de la
Tables de Concertation et même, à celles des juges qui le convoquent à des
procès sur des factures impayées. Monsieur Gagnon a créé les conditions
d’une colère telle que plus personne à Québec ne souhaite s’impliquer avec
lui ou s’associer à Fierté Québec pour 2005. Vivement que le Président
de Fierté Québec se taise et qu’il laisse les hommes plus matures que lui
réparer son absolu capharnaüm et la crise qui en résulte…
Cas de VIH fulgurant détecté à New York
Thursday, October 1st, 2009Justice: Monsieur André Gagnon ne se pré-
sente même plus devant les juges…
Par: Le Point
Dans trois causes récentes, le Président de Fierté Québec, bien que convoqué
devant différents juges afin de répondre de diverses accusations quant à la
gestion des affaires de sa corporation ou de ses affaires personnelles, ne se
présente même pas aux procès et se retrouve avec des jugements prononcés
contre lui et la corporation.
D’abord, dans une affaire de salaire impayé, la Commission des Normes du
Travail le condamnait par défaut vu son absence à payer un ex-employé ce
qui lui était dû. Peine perdue, d’après un rapport d’huissier obtenu par Le
Point, la saisie aurait été impossible puisqu’un employé de M. Gagnon aurait
déclaré qu’il n’avait ni actifs ni entreprise au Québec! Et la revue Etre elle?
Dans deux autres causes datant de janvier 2005 (200-32-036034-048 et 200-
32-035136-042) Fierté Québec et Monsieur Gagnon ont été condamnés à plus
de 6,000.00$ de dommages toujours par défaut puisqu’il refuse ou néglige de
se présenter devant les juges et d’expliquer sa gestion, Monsieur Gagnon pré-
férant attaquer la réputation des journalistes qui le questionnent. Il serait donc
prudent de ne plus signer aucun contrat avec l’organisation ou l’individu tant
et aussi longtemps que la situation ne se sera pas réglée comme il se doit.
Éditorial: Le Point
«Non seulement l’organisation et ses administrateurs ne semblent plus
avoir le contrôle de son président, je suis de plus en plus persuadé que les
victimes dans cette affaire, ceux et celles à qui on doit des sommes im-
portantes d’argent, n’y trouveront finalement jamais leur compte», déclare
Roger-Luc Chayer, Éditeur de la revue Le Point.
C’est en effet suite à la publication dans notre dernière édition d’un dos-
sier sur la décision de la revue le Point de ne plus endosser l’organisation
Fierté Québec que son Président, Monsieur André Gagnon, y allait dans
sa publication d’une attaque en règle contre tout ce qui bouge au Québec
accusant le Québec en entier de ne pas le comprendre.
L’Éditeur de la revue Le Point a pourtant invité Monsier Gagnon à ouvrir
ses livres et à faire la preuve de sa bonne gestion financière mais plutôt
que de collaborer, Monsieur Gagnon de Fierté Québec a préféré attaquer
Le Point, Fugues, Le Soleil de Québec et de nombreux autres, en réus-
sissant en l’espace de trois pages à ne pas répondre aux questions qui lui
sont pourtant posées depuis des mois: Où est le fric et quand allez-vous
payer vos dettes?
Malheureusement, Monsieur Gagnon préfère ne pas répondre aux ques-
tions du public ni même des juges puisqu’en plus de ne pas avoir la grâce
de s’expliquer à ses créanciers, il ne se présente pas aux procès résultant
de poursuites contre lui et son organisation. Quand un juge ne peut même
plus avoir le respect de Monsieur Gagnon, c’est que tout va bien mal dans
la caboche du Président de Fierté Québec…
NEW YORK (AFP) – Une forme fulgurante de VIH résistant à tout traite-
ment a été décelée chez un New-Yorkais, poussant les autorités sanitaires
de la ville à renouveler leurs mises en garde à la communauté homo-
sexuelle. «Une variété hautement résistante de virus HIV progressant très
rapidement a été décelée pour la première fois chez un résident de New
York», a annoncé dans un communiqué vendredi le service de Santé de
la ville. Cette variété «ne répond pas à trois classes de médicaments anti-
rétroviraux (sur les quatre existants) et semble aussi réduire fortement
l’intervalle entre l’infection au VIH et le sida déclaré».
Le patient, un homme d’une quarantaine d’années qui a indiqué avoir
cumulé plusieurs relations homosexuelles non protégées, semble avoir été
infecté récemment, il y a peut-être deux ou trois mois, et au maximum il
y a vingt mois. Après avoir découvert sa séropositivité en décembre, il a
développé la maladie.
Habituellement, le sida met quelque 10 ans à se déclarer, relève la même
source. «La résistance aux traitements est de plus en plus commune pour
les patients déjà traités contre le VIH, mais les cas (de résistance) sur
les patients tout juste diagnostiqués et n’ayant jamais été traités sont très
rares. Et la combinaison de cette résistance aux médicaments et de la pro-
gression rapide du sida pourrait très bien n’avoir jamais été diagnostiquée
auparavant», assurent les responsables new-yorkais.
«C’est un signal d’alerte», dit Thomas Frieden, chef du service de Santé
de New York. «D’abord pour les hommes qui ont des relations avec des
hommes, en particulier ceux qui consomment des méthamphétamines
(drogue de synthèse hautement addictive, nldr)… Cette communauté a
réussi à réduire les risques du VIH dans les années 80, et elle doit de nou-
veau le faire pour stopper les ravages du VIH et du sida et l’expansion de
souches résistantes.»
Plus de 88,000 New-Yorkais vivent avec le VIH, et on estime que quelque
20,000 sont infectés sans le savoir, selon la même source.
Magazine Être: Les annonceurs du magazine se disent choqués
Sunday, April 26th, 2009Les annonceurs du magazine Être, dont les élus de l’arrondissement Ville-Marie, se disent choqués de voir leur publicité côtoyer la brochure pornographique de Wegavidéo.
L’un des conseillers de l’arrondissement, Sammy Forcillo, n’en revenait tout simplement pas. «Je suis estomaqué. Nous faisons très attention à ce genre de chose dans nos publicités. On a des valeurs que l’on tient à préserver.
Mauvais goût
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# Des photos explicites à la vue de tous
Le responsable du placement publicitaire à l’arrondissement, Jean-Yves Duthel, n’était pas moins étonné. «Je ne suis pas en contrôle de tout le contenu publicitaire dans les médias où nous annonçons, mais c’est de très mauvais goût. Ça, c’est sûr.»
Se disant très préoccupé, M. Duthel se promet de consulter les élus à ce propos, après avoir appelé l’éditeur du magazine. «J’ai déjà commandé la publicité pour le prochain numéro. C’est la première fois qu’on est confronté à ce genre de chose.»
Entretien
Guy Ménard, directeur adjoint aux particuliers à la Caisse populaire du Quartier latin, a lui aussi l’intention d’avoir un petit entretien avec l’éditeur du magazine. «Je tiens à m’assurer que ce ne sera pas répétitif.»
M. Ménard espère par ailleurs continuer d’agir comme partenaire avec le magazine. «Nous respectons la personnalité de la communauté homosexuelle, mais on souhaiterait un peu plus de retenue de la part du magazine.»
Pornographie magazine être: Des photos explicites à la vue de tous
Sunday, April 26th, 2009Un magazine pour homosexuels, distribué dans les présentoirs de journaux gratuits de Montréal, expose des photos pornographiques crues et explicites.
Les photos proviennent d’un encart publicitaire du club vidéo Wegavidéo agrafé à la revue Être, où l’on peut voir des gros plans de sexes masculins et des couples homosexuels en pleine action. Aucune précaution n’est prise pour cacher les parties intimes des figurants.
Grand malaise
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# Les annonceurs du magazine se disent choqués
VOTRE OPINION:
Doit-on laisser en circulation libre des publicités de ce type dans un magazine gratuit?
Dans la communauté gaie, la publication de cette publicité, qui compte une vingtaine de pages, provoque un grand malaise. «Quand des images sont distribuées dans le grand public, elles doivent être convenables, ce qui n’est évidemment pas le cas ici», affirme Laurent McCutcheon, président de Gai écoute.
«On a une responsabilité à assumer. Il faut être très vigilant quand les revues ne sont pas distribuées dans une enveloppe scellée ou placées en hauteur sur les tablettes», ajoute-t-il.
Mineurs
Bernard Plante, directeur des communications à la Société de développement commercial du village, se dit aussi étonné. «Si c’est gratuit, des mineurs peuvent tomber là-dessus. C’est délicat.»
À ce sujet, le règlement municipal est très clair: Tout imprimé érotique doit être placé hors de la vue de la clientèle, à au moins 1,5 mètre au-dessus du plancher et derrière un écran, ou encore dans une pièce aménagée spécialement.
Réaction de l’éditeur
L’éditeur du magazine, André Gagnon, prétend que cet encart n’aurait jamais dû se retrouver dans sa revue.
«J’ai averti l’annonceur qu’on ne voulait pas de matériel publicitaire explicite avant l’impression du magazine. Or, la publication de l’encart et celle de la revue ont eu lieu en même temps.»
M. Gagnon assure aussi avoir restreint volontairement la distribution en prévenant le distributeur de ne placer le magazine que dans les lieux pour les personnes âgées de 18 ans et plus. Le Journal en a pourtant trouvé plusieurs exemplaires à la sortie d’un café, à la vue de tous.
M. Gagnon a déjà reçu quelques plaintes de lecteurs à ce sujet. «Des mesures ont été prises pour que l’on ne revoie pas ces photos», affirme-t-il.
Le magazine Être célèbre son dixième anniversaire.
Offert dans les cafés et restaurants de la ville, il est publié 12 fois par année.