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Éric Messier condamné en Cour supérieure (Février 2014)

Saturday, February 8th, 2014

COMMUNIQUÉ

Éric Messier, un résident de Montréal au Canada, a été condamné le 5 février dernier par la Cour supérieure de Montréal au Canada pour des actes graves perpétrés contre le journaliste et musicien franco-canadien Roger-Luc Chayer.

Dans un jugement de 24 pages comportant plus de 170 paragraphes (numéro 500-17-060774-109), le Juge Marc deWever, de la Cour supérieure, livre une analyse et décision résultant de quatre jours de procès et de plus de huit mois de réflexion pour rendre jugement.

Non seulement il condamne l’ensemble des gestes posés par Éric Messier, qui totalisent des centaines d’actes illégaux et diffamatoires contre Roger-Luc Chayer, il rejette toutes les demandes de M. Messier qui prétendait en défense que les textes de Roger-Luc Chayer à son endroit, publiés en défense aux graves accusations portées par Messier contre Chayer, étaient eux-mêmes dérogatoires. Le Tribunal à dit NON!

Dans un jugement historique qui fera très certainement jurisprudence tant en ce qui a trait à l’utilisation dérogatoire du titre de journaliste qu’en matière de diffamation sur Internet, d’atteinte à la vie privée ou d’atteinte illicite et intentionnelle à des droits protégés par la Charte québécoise des Droits et Libertés, l’Honorable Juge deWever conclut essentiellement ainsi son jugement:

ACCUEILLE la requête introductive d’instance de Roger-Luc Chayer;

ORDONNE à Éric Messier, dans les 35 jours de la date du jugement, de retirer plus de 45 documents comportant plusieurs pages considérés diffamatoires à l’endroit de Roger-Luc Chayer, publiés sur quelques sites internet ou quelques supports que ce soit;

ORDONNE à Éric Messier de cesser d’exprimer ou de publier, sur quelques supports que ce soit, tous commentaires, articles ou messages diffamatoires identiques à ceux déjà diffusés, relativement à Roger-Luc Chayer;

CONDAMNE Éric Messier à verser 10,000$ à Roger-Luc Chayer, en plus des intérêts et de l’indemnité additionnelle (5000$ à titre de dommages moraux et 5000$ à titre de dommages punitifs);

CONDAMNE Éric Messier à rembourser les dépens entiers des procédures judiciaires à Roger-Luc Chayer;

REJETTE entièrement toutes les demandes d’Éric Messier;

Éric Messier n’a pas encore annoncé s’il s’acquittera de ses obligations résultant de ce jugement en injonction permanente.

P.S. Le jugement intégral sera publié ici-même en annexe à ce communiqué, dès qu’il sera disponible en version PDF.

Saga Pierre-André Vaillancourt: Suite et presque fin d’une saga de plus de 10 ans

Tuesday, June 12th, 2012

Par Gay Globe Média

Suite à un jugement très sévère de l’honorable Juge Armando Aznar de la Cour du Québec reconnaissant Pierre-André Vaillancourt coupable de gestes graves à l’endroit de l’Éditeur de Gay Globe Magazine, Roger-Luc Chayer, en relation avec la violation d’un accord de règlement qu’il avait pourtant signé et qu’il s’était engagé à respecter suivant un ordre de la Cour Supérieure en 2007, le défendeur Pierre-André Vaillancourt avait, début 2012, porté la cause en appel.

Or, suite à une requête de l’avocat de Chayer, Maître Claude Chamberland, visant à faire déclarer l’appel frivole, abusif et non fondé, voilà qu’à quelques heures de l’audition devant les trois juges de la Cour d’Appel du Québec de la requête en rejet d’appel, Vaillancourt annonce, après avoir tenté quelques minutes auparavant de se négocier un nouveau règlement hors cour, qu’il se désistait purement et simplement de son appel sans plus, comme si l’ensemble des faits allégués dans le rejet d’appel était exact.

La Cour d’Appel, le 4 juin dernier, prenait donc acte du désistement mais réservait à Chayer ses recours car comme il y a eu geste frivole de la part de l’avocate de Vaillancourt, qui est maître de son appel, les conséquences financières d’un appel frivole devront être assumées.

Sans plus attendre, Chayer a annoncé qu’il allait réclamer l’ensemble de ses déboursés payés pour rien en appel directement à l’avocate de Vaillancourt en responsabilité professionnelle, comme la loi le prévoit, en espérant que ce dossier trouvera un dénouement final d’ici quelques mois.

“Le Tribunal a été cinglant avec Vaillancourt tout au long de son jugement initial, c’est de plein droit que je demande aux tribunaux de statuer sur la conduite subséquente de son avocate dans le cadre de cet appel bidon qui n’a été produit que pour me faire dépenser et c’est surtout avec la conscience en paix que maintiens le cap dans ce dossier qui n’a été que la démontration d’une haine envers moi du début à la fin, d’un individu que je ne connais même pas”, déclare Roger-Luc Chayer.

Silence radio à Rézo!

Friday, December 9th, 2011

Suite à une décision d’un tri-
bunal criminel et à la stupé-
faction des saunas gais, le
Directeur Rousseau se tait et
refuse de se justifier!
Photo: Google.com
Dans notre édition #79, nous vous parlions des déclara- tions du Directeur général de l’organisme Rézo (Séro-Zéro) relatées dans un jugement récent à l’effet que les clients des saunas gais fréquentaient ces établissements car ils sou- haitaient volontairement et en toute connaissance de cause contracter le virus du SIDA. Cela avait mené le Juge Alain Legault, siégeant dans le district judiciaire de Montréal, chambre criminelle, à rejeter le témoignage de M. Rousseau la qualifiant de “pseudo-expertise” car ses propos étaient non-fondés et n’étaient pas appuyés par quelque recherche que ce soit. Les déclarations de M. Rousseau, se présentant comme porte-parole de Rézo (Séro-Zéro) et “spécialiste de la communauté gaie” ne choquaient pas seulement le juge; la Couronne n’en revenait pas que l’on puisse ainsi, en 2011 et surtout de la part d’une organisation oeuvrant dans le milieu homosexuel, tenir des propos aussi graves et géné- ralisés.
Gay Globe Média a tenté d’obtenir une entrevue avec M. Rousseau qui a refusé, tout en s’amusant de nos questions pourtant très sérieuses, de nous expliquer l’origine de son analyse et surtout ce qui ressemble à des préjugés d’une autre époque car il en allait de la réputation non seulement des saunas gais mais des clients de ces établissements.
Gay Globe a aussi tenté d’obtenir les commentaires de trois membres du Conseil d’administration de l’organisme que prétendait représenter M. Rousseau en Cour soit messieurs David Thompson (Président), Conrad DiLorenzo DeBorgie (Vice-président) et Serge Levasseur (Trésorier) surtout pour savoir si le CA avait autorisé par résolution de tels com- mentaires. Nous attendons toujours une retour d’appel de la part de cette organisation réfugiée dans ce qui semble être un silence préoccupant certainement expliqué par les demandes de démission formulées par certains saunas à l’endroit du Directeur-général Robert Rousseau.
VIH/sida : effica- cité prouvée d’un gel microbicide rectal
Par: Informationhospitaliere. com
Pour la première fois, des chercheurs américains dé- montrent l’efficacité d’un gel microbicide anal pour réduire les risques d’infec- tion VIH lors d’un rapport non protégé. D’après les spé- cialistes, les risques d’être contaminé lors d’un rapport anal sont de 20 à 2 000 fois supérieurs à ceux résultant d’un rapport vaginal.
Les chercheurs ont ainsi pu constater, d’une part, que le produit ne causait pas d’ef- fets secondaires notables, et qu’il permettait, d’autre part, de réduire considéra- blement les risques d’infec- tion. D’autres essais sont prévus dès janvier 2012, avec une concentration plus importante d’antirétroviral dans la formule du gel. Af- faire à suivre …

Les plaintes d’Éric Messier au Conseil de Presse du Québec n’existent plus…

Wednesday, October 13th, 2010

COMMUNIQUÉ

Le journaliste montréalais Éric Messier avait déposé en 2010 une longue série de plaintes au Conseil de Presse du Québec contre Gay Globe TV, Gay Globe Média et contre le journaliste Roger-Luc Chayer, responsable des nouvelles pour ces médias. À la demande du Groupe Gay Globe, le Conseil avait déjà suspendu l’étude de ces plaintes vu la possibilité de procédures judiciaires à venir contre M. Messier.

En septembre 2010, une requête en injonction et en diffamation était déposée à la Cour supérieure du district judiciaire de Montréal par Maître Claude Chamberland, avocat de Gay Globe, contre Éric Messier, de manière à permettre au Tribunal d’intervenir dans une série de près de 40 pages d’allégations graves sur la conduite professionnelle de M. Messier et afin de demander à la Cour de mettre fin aux actes du journaliste Messier qui a annoncé dans des milliers de pages, sur Internet et depuis 2009, des fausses nouvelles que nous ne répéterons pas ici.

Or, suite au dépôt de cette requête, le Conseil de Presse du Québec annonçait le 7 octobre 2010, dans une lettre signée du Secrétaire général Guy Amyot, que l’ensemble des plaintes de M. Messier contre le Groupe Gay Globe étaient fermées, le Conseil ne souhaitant pas donner suite aux récriminations du journaliste Éric Messier.

Bien qu’informé de la suspension des plaintes et de la fermeture de ses dossiers, le journaliste Messier persiste à annoncer sur son site Internet que ces plaintes sont actives et que Gay Globe devra répondre des faits soulevés par lui. Rien n’est donc plus faux et nous publions pour l’information légitime du public, la lettre émanant du Conseil qui le prouve.

La lettre peut-être lûe intégralement au http://www.gayglobe.us/cpq131010.jpg


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-30-

Michael Jackson: Le retour d’un vainqueur

Saturday, November 14th, 2009

Le retour dʼun vainqueur
Le Point avait suggéré à ses lecteurs la retenue, il était innocent jusquʼà preuve du contraire….
Par: Roger-Luc Chayer, Éditeur de la Revue Le Point et lʼagence AP
1- La nouvelle
NEW YORK (AP) – On a déjà sonné plusieurs fois le glas de la carrière
musicale de Michaël Jackson, mais il est toujours revenu sur le devant de
la scène. Cette fois encore, au lendemain de son acquittement, certains
estiment que «Bambi» peut rebondir. »The Jackson Five», le groupe quʼil
formait avec ses frères quand il était enfant, avait déjà connu des déboires
et on doutait quʼil puisse accéder au rang de star en devenant adulte. Puis,
revenu en haut de lʼaffi che avec son groupe rebaptisé «The Jacksons», on
doutait toujours quʼil puisse avoir du succès en solo. A chaque fois, les
spécialistes avaient tort.
En 1993, alors que sa popularité était au plus haut, sa carrière avait été ter-
nie par des accusations dʼabus sexuels sur mineur. Beaucoup ne croyaient
pas quʼune de ses chansons puisse de nouveau arriver en tête des palma-
rès. Cʼest pourtant ce qui arriva.
Depuis, Michaël Jackson a été la cible dʼaccusations similaires, no-
tamment dans le cadre de son dernier procès mais les spécialistes sont
formels: il est tout à fait capable de fl irter à nouveau avec les sommets.
«Il peut avoir du succès», estime ainsi Antonio «L.A» Reid, PDG de la
maison de disques «Island Def Jam». «Je dirai quʼil lui suffi t de faire de
lʼexcellente musique et dʼexcellents spectacles».
Depuis quelques années pourtant, Michaël Jackson nʼest plus que lʼombre
de lui-même. Son dernier album est sorti le jour de son arrestation en
2003. Et depuis un an et demi, on ne parlait du chanteur plus que pour les
accusations dont il faisait lʼobjet. «Même sʼil est sur le déclin en termes
de ventes dʼalbums et de réputation sur le plan musical, les gens sont fas-
cinés par Michaël parce que cʼest une célébrité», remarque Jack Isquith,
un dirigeant dʼAOL Music. «Il a tellement de fans que je suis sûr quʼil va
enregistrer à nouveau», croit pour sa part lʼacteur Colin Ferrell.
Depuis, Michaël Jackson nʼa réalisé que deux albums qui se sont vendus à
environ deux millions dʼexemplaires: un excellent chiffre pour la plupart des
artistes mais un «bide» pour Michaël Jackson si lʼon se réfère aux ventes précé-
dentes. A noter pourtant, à titre de comparaison, que lʼalbum «America Life» de
Madonna, sorti en 2003, sʼest vendu à seulement… un million dʼexemplaires.
2- Lʼanalyse
logique qui doit
suivre
(Le Point) Laissons tomber toute la campagne liée aux rumeurs et ana-
lyses de pacotilles pour nous concentrer uniquement sur la logique des
choses. Le Point avait déclaré, dans une édition datant dʼun an, que nous
avions tous le devoir de respecter la présomption dʼinnocence dans le cas
de Michaël Jackson parce que cʼest ce que nous exigerions et que nous
serions en droit dʼespérer si nous étions nous mêmes dans sa position.
Michaël Jackson avait le droit dʼêtre traité, considéré et réputé innocent
parce que la loi est ainsi faite aux États-Unis comme au Canada en matière
de justice criminelle. Que certaines personnes pensent ce quʼils veulent de
lʼhomme dans sa vie privée, face aux allégations de pédophilie et dʼabus
dʼenfants auxquelles il faisait face, Jackson avait le droit fondamental
dʼêtre innocent jusquʼà ce quʼun jury le condamne, ce qui nʼest pas arrivé
fi nalement. Il a clâmé son innocence dès le début et a répété, directement
ou par la bouche de ses avocats, quʼil entendait faire la preuve de cette
innocence. Il avait donc raison. Il nʼa jamais commis de crimes contre des
enfants, le jury qui a entendu plus de preuves que tout ce que lʼon a pu
voir ou entendre à la télé en est arrivé à la seule conclusion qui sʼimposait
à lui.
Michaël Jackson a été acquitté. lʼacquittement est une déclaration dʼun
tribunal qui a pour objet dʼinnocenter entièrement la personne acquit-
tée. Il ne sʼagit pas, comme on peut lʼentendre dans diverses émissions
dʼinformations, dʼune situation où il y aurait eu manque de preuves ou
impossibilité dʼen venir à un jugement de culpabilité. Une personne
acquittée est réputée vierge de toute offense et il est interdit de laisser
croire autrement. Lʼacquittement signifi e que rien ne sʼest produit un
point cʼest tout. Michaël jackson a donc le droit, plus que jamais, de
recevoir un traitement équitable et surtout respectueux des médias et du
public. Ceux qui lʼaiment comme musicien à la base peuvent maintenant
acheter ses disques et ses billets de concert sans avoir peur du jugement
des autres et ont presque le devoir de le supporter. Vivement le retour du
Roi de la pop à la radio et à la télé et vivement que Michaël relève la tête!

Jean-Luc Romero se donne gain de cause en Cour (faussement)

Saturday, July 4th, 2009

Jean-Luc Romero, le fonctionnaire français de troisième ordre connu pour se prendre pour la Président de la République, a dépassé toutes les limites normales de la bonne foi en se déclarant vainqueur d’un procès impliquant le député français Christian Vanneste, faussement, alors que le Tribunal a justement donné gain de cause à Vanneste sans lui octroyer toutefois de compensations financières à cause d’un bogue technique dans la poursuite.

Seul Jean-Luc Romero, selon les procédés qu’il connait très bien et qui ne causent plus de surprise à qui que ce soit, pouvait annoncer publiquement une victoire alors qu’en fait, un Tribunal venait de lui donner toute une giffle.

La question jugée par le Tribunal était simple: Est-ce qu’il y avait eu diffamation sur le site de Jean-Luc Romero à l’endroit de Christian Vanneste? Réponse du Tribunal: OUI!

Est-ce que le député Vanneste se méritait une compensation financière pour la diffamation commise par Romero: Non! Uniquement parce que le rédigé de l’acte d’accusation comportait une erreur à l’effet que la diffamation n’était pas orientée vers un personnage politique mais un individu.

Conclusion: Il a avait bien eu diffamation, cela Romero est assez malhonnnête pour ne pas l’admettre mais le Tribunal l’aura fait à sa place. Est-ce que M. Romero aide sa cause en mentant à l’opinion publique sur les conclusions d’un tel procès, bien sur, mais est-ce qu’il existe encore une seule personne au monde qui ne sache pas que Jean-Luc Romero déforme la réalité pour servir les causes qu’il défend?

Selon 20minutes.fr

Christian Vanneste a bien été diffamé, mais pas « en tant que député ». Comme en première instance, la cour d’appel de Paris a débouté, hier, le député (UMP-CNI) du Nord de ses poursuites contre le conseiller régional (DVD) Jean-Luc Romero. Il lui reprochait simplement d’avoir diffusé sur son blog des propos désobligeants à son encontre, en 2006. Ces écrits émanaient d’un internaute qui disait au sujet de Christian Vanneste : « Il va vous faire le coup de son habituelle démagogie : “Non mais je n’ai rien contre les homos (je souhaite juste leur extermination dans des chambres à gaz)”. » Hier, la cour d’appel de Paris a jugé que ces propos étaient bien diffamatoires.

Pour autant, elle a débouté Christian Vanneste estimant qu’il n’avait pas été diffamé « en tant que député » mais en tant que personne. Or, la poursuite concernait « une diffamation publique envers un citoyen chargé d’un mandat public »

Selon le site Internet de Jean-Luc Romero

Le député UMP Christian Vanneste, qui m’avait poursuivi pour un message déposé sur mon blog par un jeune mineur, a été débouté de son recours contre moi par la cour d’appel de Paris ce jeudi 2 juillet 2009. J’ai appris la bonne nouvelle à Porto où j’intervenais à la conférence internationale sur la RDR. Après avoir déjà été débouté en première instance, M. Vanneste l’est donc en appel.
Alors que M. Vanneste estime que dire que l’homosexualité est inférieure à l’hétérosexualité fait partie de la liberté d’expression, ce monsieur est moins tolérant dès qu’il est lui-même mis en cause. La liberté d’expression l’intéresse quand cela l’arrange. M. Vanneste vient aussi d’être débouté dans le procès qui l’opposait à Bertrand Delanoë. Amusant de constater que M. Vanneste a en peu de temps poursuivi deux élus gays et a aujourd’hui dans le collimateur des associations LGBT comme SOS Homophobie et Act Up… Mais jeudi, pas de chance pour lui, la justice est allée dans le sens d’élus… inférieurs car gays !

Jean-Luc Romero ometant comme toujours de mentionner un fait important: le Tribunal a bein déterminé qu’il y avait eu diffamation, Est-ce que cet oubli a été fait de bonne foi? Posons-lui la question…

Jean-Luc Romero débouté de ses fausses accusations

Thursday, December 4th, 2008

Jean-Luc Romero, qui accusait depuis de nombreux mois le député français Christian Vanneste d’être homophobe sur la base d’un jugement dans une affaire de propos sur une nouvelle législation vient d’être débouté par la Cour Suprême de la  France qui donne totalement et clairement raison au député Vanneste.

Le Point avait suspendu la collaboration de Jean-Luc Romero suite à ses attaques incessantes contre ceux qui ne pensent pas comme lui et suggérait la prudence face à la victimisation à outrance de Romero quant à la question gay. Le plus haut tribunal français a considéré que les propos de Vanneste n’étaient pas homophobes et que Romero aura eu tort sur toute la ligne.