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Jean-Luc Romero vecteur de l’échec du dossier de Florence Cassez

Sunday, March 25th, 2012

Il faudrait se questionner sur la responsabilité de Jean-Luc Romero quant aux refus continuels de la part des autorités mexicaines de libérer Madame Cassez, d’autant que Jean-Luc Romero s’est posé en Président de son comité de libération, qu’il a une crédibilité nulle en France depuis quelques affaires scandaleuses récentes et surtout suite à ses insultes répétées et franchement coloniales contre le système de justice et les juges mexicains dont ceux de la Cour Suprême. Je me demande si les actes de Jean-Luc Romero ne seraient pas à l’origine de la réaction des autorités mexicaines, souveraines tout de même face à la France. J’en arrive personnellement à croire que Romero est directement la cause du sort de Cassez, à moins que sa culpabilité ne fasse l’objet de doutes seulement dans la tête de Romero, ce qui est aussi possible.

Jean-Luc Romero se donne gain de cause en Cour (faussement)

Saturday, July 4th, 2009

Jean-Luc Romero, le fonctionnaire français de troisième ordre connu pour se prendre pour la Président de la République, a dépassé toutes les limites normales de la bonne foi en se déclarant vainqueur d’un procès impliquant le député français Christian Vanneste, faussement, alors que le Tribunal a justement donné gain de cause à Vanneste sans lui octroyer toutefois de compensations financières à cause d’un bogue technique dans la poursuite.

Seul Jean-Luc Romero, selon les procédés qu’il connait très bien et qui ne causent plus de surprise à qui que ce soit, pouvait annoncer publiquement une victoire alors qu’en fait, un Tribunal venait de lui donner toute une giffle.

La question jugée par le Tribunal était simple: Est-ce qu’il y avait eu diffamation sur le site de Jean-Luc Romero à l’endroit de Christian Vanneste? Réponse du Tribunal: OUI!

Est-ce que le député Vanneste se méritait une compensation financière pour la diffamation commise par Romero: Non! Uniquement parce que le rédigé de l’acte d’accusation comportait une erreur à l’effet que la diffamation n’était pas orientée vers un personnage politique mais un individu.

Conclusion: Il a avait bien eu diffamation, cela Romero est assez malhonnnête pour ne pas l’admettre mais le Tribunal l’aura fait à sa place. Est-ce que M. Romero aide sa cause en mentant à l’opinion publique sur les conclusions d’un tel procès, bien sur, mais est-ce qu’il existe encore une seule personne au monde qui ne sache pas que Jean-Luc Romero déforme la réalité pour servir les causes qu’il défend?

Selon 20minutes.fr

Christian Vanneste a bien été diffamé, mais pas « en tant que député ». Comme en première instance, la cour d’appel de Paris a débouté, hier, le député (UMP-CNI) du Nord de ses poursuites contre le conseiller régional (DVD) Jean-Luc Romero. Il lui reprochait simplement d’avoir diffusé sur son blog des propos désobligeants à son encontre, en 2006. Ces écrits émanaient d’un internaute qui disait au sujet de Christian Vanneste : « Il va vous faire le coup de son habituelle démagogie : “Non mais je n’ai rien contre les homos (je souhaite juste leur extermination dans des chambres à gaz)”. » Hier, la cour d’appel de Paris a jugé que ces propos étaient bien diffamatoires.

Pour autant, elle a débouté Christian Vanneste estimant qu’il n’avait pas été diffamé « en tant que député » mais en tant que personne. Or, la poursuite concernait « une diffamation publique envers un citoyen chargé d’un mandat public »

Selon le site Internet de Jean-Luc Romero

Le député UMP Christian Vanneste, qui m’avait poursuivi pour un message déposé sur mon blog par un jeune mineur, a été débouté de son recours contre moi par la cour d’appel de Paris ce jeudi 2 juillet 2009. J’ai appris la bonne nouvelle à Porto où j’intervenais à la conférence internationale sur la RDR. Après avoir déjà été débouté en première instance, M. Vanneste l’est donc en appel.
Alors que M. Vanneste estime que dire que l’homosexualité est inférieure à l’hétérosexualité fait partie de la liberté d’expression, ce monsieur est moins tolérant dès qu’il est lui-même mis en cause. La liberté d’expression l’intéresse quand cela l’arrange. M. Vanneste vient aussi d’être débouté dans le procès qui l’opposait à Bertrand Delanoë. Amusant de constater que M. Vanneste a en peu de temps poursuivi deux élus gays et a aujourd’hui dans le collimateur des associations LGBT comme SOS Homophobie et Act Up… Mais jeudi, pas de chance pour lui, la justice est allée dans le sens d’élus… inférieurs car gays !

Jean-Luc Romero ometant comme toujours de mentionner un fait important: le Tribunal a bein déterminé qu’il y avait eu diffamation, Est-ce que cet oubli a été fait de bonne foi? Posons-lui la question…

“Le Saint”: lancement couverture sur l’ouvrage consacré à Jean-Luc Romero

Saturday, January 17th, 2009

” Les vérités qu’on aime le moins à apprendre sont celles que l’on a le plus d’intérêt à savoir. ”
Proverbe Chinois

Résultat d’une enquête de plus d’un an sur les dessous du militantisme d’une personnalité politique homosexuelle connue de la France et très active au Canada, la conférence de presse de la semaine dernière a été la première de deux et annonçait la publication prochaine de l’ouvrage destiné à renseigner le public sur les dessous d’un militantisme agressif et parfois agressant pour ceux qui croisent Jean-Luc Romero. “Le Saint” est un document d’enquête basé sur des faits précis et permet à ceux qui voudraient mieux comprendre l’action militante homosexuelle de cette personnalité autrefois décorée à de nombreuses reprises, d’avoir la version de ceux qui sont interpellés par ce militant. Cet ouvrage est un outil de contre-pouvoir démocratique, un droit de réplique que Romero refuse à ses opposants, une défense que Romero refuse aux défendeurs qu’il attaque et un manifeste d’opposition politique que Romero refuse à ceux qui s’opposent politiquement à lui.

L’enquête sur les dessous du militantisme de Jean-Luc Romero, comportant des milliers de pages de documents, de nombreuses entrevues et nécessitant la collaboration de journalistes et de personnes liées au milieu judiciaire français et canadien, mettra en évidence la réalité sous le militantisme d’un homme politique qui semble avoir perdu le contrôle sur son discours. Les voyages, les séjours en hôtels de luxe, les bénéfices marginaux, les fréquentations, les établissements visités et surtout les techniques utilisées par ce type de militantisme seront dévoilés. Tout ce que le public devrait savoir sur “Le Saint” y sera abordé. Du double discours aux témoignages de témoins privilégiés des activités secrètes du militant connu pour épouser de très nombreuses causes allant du SIDA à l’euthanasie et à la libération de détenus, la conférence de presse permettait d’annoncer la fin proche de l’enquête, le début de la rédaction finale et la publication d’un ouvrage sous peu.

Cet ouvrage, publié et diffusé tout à fait gratuitement pour le bénéfice du public sera exclusif et ne sera publié que sur Gay Globe TV et dans la Revue Le Point par les Éditions Basic Enr. Lors de la conférence de presse, l’éditeur a procédé au dévoilement et au lancement officiel de la couverture de l’ouvrage “Le Saint”.

Vif débat sur la contagion du SIDA

Thursday, January 8th, 2009

Grand dictionnaire terminologique (http://www.granddictionnaire.com)
CONTAGIEUX: adj. Toutes les maladies contagieuses sont forcément infectieuses, mais toutes les maladies infectieuses ne sont pas nécessairement contagieuses. À l’origine, l’adjectif contagieux s’appliquait, au sens strict, à l’agent pathogène infectieux qui se transmet par la contagion. L’usage de l’adjectif était d’abord réservé aux termes suivants : microbe contagieux; bactérie contagieuse; virus contagieux; germe contagieux. Avec le temps, l’adjectif contagieux a subi des extensions de sens qui nous permettent de qualifier aussi la maladie transmise par la contagion et les personnes qui en sont atteintes. On parle alors de maladie contagieuse et de personnes contagieuses.

Le militant français Jean-Luc Romero, dans une déclaration publiée à deux reprises sur son site Internet et sur le site d’Élus Locaux Contre le SIDA, voulant s’indigner d’une loi française, lançait à la grande surprise du monde que le SIDA n’était pas une maladie contagieuse, voulant ainsi donner plus de poids à sa revendication. Il n’en fallait pas plus pour que les groupes de défense des droits des personnes atteintes du VIH-SIDA dénoncent à leur tour les “déclarations absolument irresponsables et loufoques” de Romero. Romero étant lui-même atteint depuis longtemps du VIH-SIDA.

Ce qui semble le plus choquer dans cette déclaration, est surtout le fait que Jean-Luc Romero, de façon gratuite et égoïste, détruise des années de campagnes de prévention qui ont justement comme objectif de faire comprendre aux jeunes que le SIDA est une maladie contagieuse et qu’elle s’attrape justement par contagion simplement pour essayer de gagner un point dans son militantisme personnel. “Nous connaissons depuis longtemps M. Romero mais il dépasse clairement les limites de la bonne foi en contredisant la science et en jouant sur les mots”, déclare le Président d’une association française oeuvrant dans l’information SIDA qui souhaite garder l’anonymat. M. Romero ayant la mauvaise habitude de s’en prendre personnellement à ceux qui le contredisent.

Le Point a consulté une vingtaine de groupes et d’individus, français et canadiens, liés à la cause du SIDA et même si certains comprennent la méprise faite par M. Romero, tous s’insurgent contre le fait qu’il puisse laisser croire que le SIDA ne serait pas contagieux, même si certaines conditions doivent être réunies pour que la maladie se transmette. Le SIDA est et a toujours été le résultat d’un virus qui se transmet, contagieux et infectieux, selon que l’on aime un mot plus que l’autre, laisser croire le contraire relève d’une forme de négationnisme sur la réalité de la maladie que seul une personne trop mal informée ou de mauvaise foi peut transmettre. Est-ce que M. Romero restera longtemps président de son association SIDA? Certains responsables devront prendre les décisions qui s’imposent face à un militant qui a clairement perdu le sens des responsabilités. Nous ferons le suivi de cette affaire car le dossier est important.

Jean-Luc Romero, homme politique et militant français, fait l’objet de nombreuses controverses depuis deux ans tant sur la question du SIDA que sur l’euthanasie.

M. Romero a d’abord été questionné sur son logement fourni par la ville alors qu’il se paie de somptueux voyages dans le monde, sur la question de l’euthanasie à l’aide de sacs de plastiques dans les stationnements et maintenant sur le SIDA qui ne serait pas, selon lui, une maladie contagieuse…

Déclaration meurtrière sur le SIDA: Jean-Luc Romero fera face à la communauté gay française

Tuesday, December 30th, 2008

Jean-Luc Romero, militant de nombreuses causes et en particulier de celle du SIDA, étant atteint lui-même depuis de nombreuses années et qui se présente comme homme politique en France vient de faire la gaffe de sa carrière en déclarant cette semaine, à deux reprises, “que le SIDA n’était pas contagieux!!!”… !?!

Voilà tout une nouvelle! Et dire que depuis 25 ans, on ne parle que de contagion de cette maladie, que l’humanité cherche des moyens de traiter la maladie contagieuse que l’on croyait se transmettre par voie sexuelle. Si le SIDA n’est pas contagieux, qu’on me change immédiatement en citrouille.

Jean-Luc Romero, qui cumule les déclarations nocives depuis 2 ans était collaborateur à la Revue Le Point et a été congédié pour avoir utilisé la victimisation continuelle au nom des gays pour obtenir par la mutilation des réputations d’autrui, ce qu’il ne pouvait obtenir autrement de la part des autorités ou de ceux qui croisent malheureusement son chemin.

Très controversé depuis quelques mois en particulier sur la question de l’euthanasie (avec des sacs de plastique dans les terrains de stationnement), le “politicien” français a fait sa plus récente déclaration par voie de communiqué publié sur le site de Élus Contre le SIDA le 29 décembre et sur son propre site Internet le même jour. Souhaitant dénoncer l’application d’une loi française qui interdit de pratiquer certaines opérations funèbres sur le corps des personnes séropositives décédées, Romero y allait de la déclaration meurtrière du siècle suivante, “Jean-Luc Romero dénonce cette disposition discriminante et incroyable – le sida n’est pas une maladie contagieuse !!! –  : même face à la mort, les séropositifs sont discriminés ! Membre du Conseil national du sida, il saisira aussi début janvier le CNS afin qu’il demande au gouvernement de retirer cet arrêté ainsi que devant la Halde.”

Le fait de déclarer avec énergie que le SIDA n’est pas une maladie contagieuse relève du négationnisme le plus outrageant pour les victimes, les personnes atteintes et leurs proches, démontre une méconnaissance grave de la réalité de cette maladie et confirme définitivement que Jean-Luc Romero n’a plus les idées claires, qu’il est incohérent et qu’il en est à dire n’importe quoi.

Le SIDA EST une maladie contagieuse qu’on se le dise. Il se transmet par contamination. Selon la plupart des dictionnaires, la contagion est la transmission de maladies, généralement involontairement.

Les groupes de défense des droits des personnes atteintes du SIDA, informés de cette déclaration, veulent d’une part se dissocier de telles déclarations qui sont à la fois fausses et très dangereuses puisqu’elles peuvent laisser croire que cette maladie ne serait pas contagieuse alors que c’est le contraire. Certains groupes veulent même organiser une conférence de presse pour dénoncer Jean-Luc Romero et pour faire une mise au point urgente sur cette question de santé publique. Le Point encourage évidemment une telle initiative et y contribuera.

Un dossier spécial sera d’ailleurs publié dans la prochaine édition de la Revue Le Point (Canada) car la question est grave et les propos absurdes. Cette situation replonge Jean-Luc Romero dans l’actualité et certains se questionnent sur la possibilité d’exiger la démission de Romero de l’organisation qu’il représente, afin, selon ces mêmes organisation gays, de “sauver des vies face à des déclarations insensées”… À suivre.