Posts Tagged ‘claude’

Les plaintes d’Éric Messier au Conseil de Presse du Québec n’existent plus…

Wednesday, October 13th, 2010

COMMUNIQUÉ

Le journaliste montréalais Éric Messier avait déposé en 2010 une longue série de plaintes au Conseil de Presse du Québec contre Gay Globe TV, Gay Globe Média et contre le journaliste Roger-Luc Chayer, responsable des nouvelles pour ces médias. À la demande du Groupe Gay Globe, le Conseil avait déjà suspendu l’étude de ces plaintes vu la possibilité de procédures judiciaires à venir contre M. Messier.

En septembre 2010, une requête en injonction et en diffamation était déposée à la Cour supérieure du district judiciaire de Montréal par Maître Claude Chamberland, avocat de Gay Globe, contre Éric Messier, de manière à permettre au Tribunal d’intervenir dans une série de près de 40 pages d’allégations graves sur la conduite professionnelle de M. Messier et afin de demander à la Cour de mettre fin aux actes du journaliste Messier qui a annoncé dans des milliers de pages, sur Internet et depuis 2009, des fausses nouvelles que nous ne répéterons pas ici.

Or, suite au dépôt de cette requête, le Conseil de Presse du Québec annonçait le 7 octobre 2010, dans une lettre signée du Secrétaire général Guy Amyot, que l’ensemble des plaintes de M. Messier contre le Groupe Gay Globe étaient fermées, le Conseil ne souhaitant pas donner suite aux récriminations du journaliste Éric Messier.

Bien qu’informé de la suspension des plaintes et de la fermeture de ses dossiers, le journaliste Messier persiste à annoncer sur son site Internet que ces plaintes sont actives et que Gay Globe devra répondre des faits soulevés par lui. Rien n’est donc plus faux et nous publions pour l’information légitime du public, la lettre émanant du Conseil qui le prouve.

La lettre peut-être lûe intégralement au http://www.gayglobe.us/cpq131010.jpg


roger-luc, chayer, conseil, presse, québec, éric, messier, plaintes, fermées

-30-

Le Conseil de presse blâme sévèrement Claude Mailhot et Alain Goldberg pour propos méprisants et discriminatoires

Tuesday, July 20th, 2010

D2010-02-060

Date de la décision
2010-06-18

Plaignant
M. Laurent Comeau et als

Mis-en-cause
M. Claude Mailhot, animateur, M. Alain Goldberg, commentateur, M. Gérald S. Frappier, président-directeur général, l’émission « Le réveil olympique » et le réseau RDS et le réseau Vtélé et M. Maxime Rémillard, chef de la direction

Résumé de la plainte
MM. Kévin Albert, Laurent Comeau et Denis Fortier dénoncent les propos qui ont été tenus en ondes par MM. Claude Mailhot et Alain Goldberg, lors de l’émission « Le réveil olympique », du 17 février 2010 et qui visaient le patineur artistique américain Johnny Weir.

Griefs du plaignant
M. Kévin Albert déplore la teneur du commentaire émis par MM. Claude Mailhot et Alain Goldberg sur les ondes de RDS, le 17 février 2010, à l’endroit du patineur artistique américain Johnny Weir.

Le plaignant souligne que la Charte canadienne des droits et libertés reconnaît le droit à l’égalité qui s’applique en dehors des discriminations fondées notamment sur l’orientation sexuelle. À son avis, les commentateurs n’avaient pas à faire en ondes des remarques discriminatoires à l’endroit du patineur. Ce type de commentaire était, pour lui, régressif et portait atteinte aux performances de l’athlète avec pour seul prétexte que ce dernier ne se situe pas dans les standards du sport.

M. Laurent Comeau relève, pour sa part, que les propos tenus par les commentateurs sont homophobes et sexistes.

Enfin, M. Denis Fortier qualifie les commentaires des mis-en-cause d’offensants et de discriminatoires à l’endroit de l’athlète. À son avis, les ondes ne devraient pas servir à véhiculer de tels préjugés.

Commentaire du mis-en-cause
Commentaires de M. Gérald S. Frappier, président et directeur général du réseau RDS :

Le mis-en-cause rappelle que le réseau n’endosse aucun commentaire à caractère discriminatoire et ajoute qu’en tant que diffuseur responsable, il ne souhaitait pas que les commentateurs utilisent les moyens qui étaient mis à leur disposition pour alimenter, publier ou promouvoir des préjugés.

Le 17 février 2010, alors qu’ils échangeaient des commentaires relatifs aux possibles impacts du choix des costumes des patineurs, sur les juges, Claude Mailhot et Alain Goldberg se sont très maladroitement exprimés. Ils ont, par la suite, tenté de faire de l’humour allant jusqu’à insinuer que l’athlète pourrait passer des tests d’identification génétique et même concourir avec les femmes. C’était, à son avis, inapproprié. Bien que l’intention des mis-en-cause n’ait, selon lui, pas été de blesser, le résultat démontre que ce ne fut pas le cas. Le choix des mots et des expressions laissait peu de place à l’interprétation et s’apparentait à de la discrimination.

M. Frappier explique que, lors d’une diffusion en direct, il arrive que des propos malhabiles surgissent. Le rôle du réseau consiste alors à mettre fin au dérapage, à s’excuser et à veiller à ce que la consigne de tolérance zéro soit répétée, comprise et endossée par les employés. Le mis-en-cause explique qu’il a rencontré les deux commentateurs afin de s’assurer que ce type d’erreur ne se reproduise pas. Il ajoute que ces derniers ont d’emblée reconnu le tort causé et l’impact négatif de leurs propos.

M. Frappier mentionne que les deux hommes sont à l’emploi du réseau depuis de longues années et que, par conséquent, il peut affirmer avec confiance que l’intention de ceux-ci n’était pas de discriminer l’athlète. Il ajoute que cela n’enlève rien au fait que les propos qu’ils ont tenus étaient parfaitement déplacés.

Le mis-en-cause rappelle qu’à la suite de ces propos, le réseau a fait parvenir aux médias la note suivante :

« RDS croit que tout propos discriminatoire, ou en apparence discriminatoire ne doit pas avoir de place dans les médias comme dans la société. À l’évidence, messieurs Mailhot et Goldberg ont très maladroitement commenté l’apparence et les manières d’un patineur artistique. Aussitôt mis au courant de la réaction que leurs propos ont suscitée, eux, qui ne souhaitaient aucunement diffamer un individu ou une orientation sexuelle, ont souhaité présenter des excuses à l’écran. »

Au moment de s’excuser, le mis-en-cause explique que M. Mailhot a identifié le segment au cours duquel les propos ont été tenus, soit celui où les deux hommes échangeaient sur les costumes portés par M. Weir. Les excuses présentées référaient ainsi à l’ensemble de l’intervention, sans distinction. M. Frappier reconnaît que ces excuses auraient pu être plus détaillées afin de cibler plus spécifiquement les divers éléments controversés.

Il conclut en expliquant que cet incident servira de balise afin que d’éventuels écarts n’aient plus leur place dans les médias.

Commentaires de M. Maxime Rémillard, président-directeur général du réseau Vtélé :

Le Conseil de presse n’a pas reçu les commentaires du réseau à la présente plainte.

Réplique du plaignant
Les plaignants n’opposent pas de réplique.

Décision
MM. Kévin Albert, Laurent Comeau et Denis Fortier dénoncent les propos qui ont été tenus en ondes par MM. Claude Mailhot et Alain Goldberg, lors de l’émission « Le réveil olympique », du 17 février 2010 et qui visaient le patineur artistique américain Johnny Weir.

Grief 1 : propos méprisants; heurter la dignité d’une personne; propos discriminatoires

Les plaignants reprochent plus précisément aux commentateurs la teneur discriminatoire, offensante, homophobe et sexiste des propos qu’ils ont tenus en ondes :

Claude Mailhot : « J’aime beaucoup le patinage artistique, mais Johnny Weir crée une situation que tout le monde accroche en disant : oui, oui, oui, ceux qui patinent, moi, j’aime pas ça. Est-ce que tu crois qu’il a perdu des points à cause de son costume et de sa gestuelle ou ça ne rentre pas en ligne de compte? »

Alain Goldberg : « Il ne perd pas des points à cause de son costume, il se fait remarquer, il se fait décrier. Et on n’a pas tort de le décrier. Il a du rouge à lèvres. Il s’habille de façon féminine. Il essaie d’être le plus féminin possible sur la glace. Et il a le droit. Il a le droit d’être ce qu’il est, il a le droit d’être comme il veut. Mais évidemment, ça laisse une image assez amère pour le patinage artistique. C’est très ennuyeux parce qu’on pense que tous les garçons qui patinent vont devenir comme lui. Alors, c’est un très mauvais exemple. Mais il a le droit. Il y a des gens qui sont comme ça, il y a des gens qui sont autrement. »

C. Mailhot : « On retombe dans les stéréotypes. »

A. Goldberg : «Exactement. Et on pense que le patinage est une discipline qui se féminise alors que ce n’est absolument pas ça. Il y a de tout dans le monde et il y a de tout sur la glace. C’est le reflet de la société. »

C. Mailhot : « Et Alain, pour être juste, quand on a fait grand état, cet été, de la coureuse d’Afrique du Sud en disant : mmm, peut-être que c’est un homme, peut-être que c’est pas une femme, etc. Moi, j’aimerais ça qu’il passe ces tests-là, lui. »

A. Goldberg : « Tout à fait, on devrait lui faire passer un test de féminité à ce moment-là. Ou de masculinité. »

[…]

C. Mailhot : « On retombe dans les stéréotypes quand on voit un gars comme ça. »

A. Goldberg : « Ça n’aide pas. Vraiment, ce n’est pas l’image du patinage que moi j’aime, mais j’admire quand même le patineur qu’il est […]»

C. Mailhot : « Je l’ai dit, je sais que je suis pas politically correct.»

A. Goldberg : « Pas du tout, c’est ce que tout le monde pense. On le dit à voix basse. Maintenant, on le dit un peu à voix haute. »

Un des mis-en-cause, M. Frappier, reconnaît, quant à lui, le caractère inapproprié des remarques formulées par MM. Mailhot et Goldberg à l’endroit de l’athlète et souligne que ces derniers ont formulé en ondes, dès le lendemain, des excuses :
C. Mailhot : « Il semblerait que, quand on a parlé des vêtements hier, ça a choqué certaines personnes. Ce n’était certainement pas le but. Si vous vous êtes sentis critiqués, on s’en excuse. »

Le Conseil salue cette initiative.

Dans son guide de déontologie intitulé Droits et responsabilités de la presse, le Conseil stipule que : « Les médias […] doivent impérativement éviter d’utiliser, à l’endroit des personnes ou des groupes, des représentations ou des termes qui tendent à soulever la haine et le mépris, à encourager la violence ou encore à heurter la dignité d’une personne ou d’une catégorie de personnes en raison d’un motif discriminatoire. » DERP, p. 41

Le Conseil juge, d’une part, que les animateurs ont fait montre de mépris et considère, d’autre part, que la dignité du patineur a pu être heurtée quand il est fait référence avec indignation au fait qu’il porte du maquillage, à la manière dont il s’habille ou encore au fait qu’il soit suggéré qu’il se soumette à un test de féminité et qu’il soit un mauvais exemple pour le patinage artistique masculin.

Le Conseil considère finalement qu’en suggérant que l’athlète devrait être exclu de la compétition masculine pour ces différents motifs en lien avec son orientation sexuelle, les animateurs ont tenu des propos discriminatoires.

Le Conseil est conscient que MM. Mailhot et Goldberg ont formulé avec diligence des excuses en ondes à la suite de ce dérapage. Il ne peut toutefois passer outre la gravité de la faute qu’ils ont commise et retient en conséquence le grief.

Le Conseil constate, par ailleurs, que MM. Mailhot et Goldberg étaient en direct lorsque leurs propos ont été diffusés. Conscient que le Consortium médiatique canadien de diffusion olympique, dont Vtélé et RDS font partie, a tout de suite fait savoir aux médias qu’il ne cautionnait pas les propos tenus par les deux animateurs, le Conseil ne retient pas la responsabilité du réseau RDS et de Vtélé sur ce grief.

Refus de collaboration

Le réseau Vtélé n’a pas fourni de commentaires à la présente plainte.

Le Conseil de presse tient à insister sur l’importance pour tous les médias, de participer aux mécanismes d’autorégulation qui contribuent à la qualité de l’information et à la protection de la liberté de la presse. Cette collaboration constitue un moyen privilégié de répondre publiquement de leur responsabilité d’informer adéquatement les citoyens.

Le Conseil rappelle l’obligation morale qu’ont les mis-en-cause de collaboration pour avec le Tribunal d’honneur en répondant aux plaintes qui les concernent.

Au vu de ce qui précède, le Conseil de presse retient la plainte de MM. Laurent Comeau, Kévin Albert et Denis Fortier et adresse un blâme sévère à MM. Claude Mailhot et Alain Goldberg pour avoir fait preuve de mépris, porté atteinte à la dignité du patineur artistique, M. Johnny Weir, ainsi que pour avoir tenu des propos discriminatoires à son endroit.

Pour son manque de collaboration en refusant de répondre à la présente plainte, le Conseil de presse blâme le réseau Vtélé.

Le Conseil de presse du Québec rappelle que : « Lorsqu’une plainte est retenue, l’entreprise de presse visée par la décision a l’obligation morale de la publier ou de la diffuser. » (Règlement No 3, article 8. 2)

Scandale Weir : Claude Mailhot et Alain Goldberg out!

Saturday, March 6th, 2010

Malgré son immense talent et sa capacité à entrer dans le club sélect des meilleurs athlètes
au monde, Johnny Weir se fait sauvagement attaquer par deux vieux routiers de RDS, Claude
Mailhot et Alain Goldberg, uniquement pour ses manières…

Le scandale haineux de la décennie
vient de se produire et
les principaux protagonistes
se promènent en toute liberté,
malgré les atteintes illicites à
toutes les lois nous protégeant
contre de tels actes.
Claude Mailhot et Alain Goldberg
sont des noms qui passeront
à l’histoire pour les mauvaises
raisons, pour des raisons
que la société réprouve et pour
leur manque de compassion
envers une minorité protégée.
Mais le débat n’est pas si clair
que ça selon de nombreux intervenants
dont le Conseil Québécois
des Gais et Lesbiennes,
à Montréal.
Selon Steve Foster, président
du CQGL, il ne s’agirait pas
nécessairement d’homophobie
mais bien plus d’intolérance
face à la diversité et la différence.
M. Foster vient d’ailleurs de
déposer une plainte officielle
contre les animateurs de RDS
à l’office fédéral responsable
des normes de diffusion dans
le domaine de la télévision.
Pour résumer les propos à
l’origine de l’affaire, M. Claude
Mailhot, en conversation avec
son analyste Alain Goldberg, a
déclaré sur les ondes de TQS:
ce qui prouve que non seulement
les animateurs ne parlaient
au nom de personne,
mais qu’il agissaient de manière
à blesser le public, choqué
d’entendre de tels propos.
Messieurs Claude Mailhot et
Alain Goldberg devront maintenant
répondre de leurs actes
face à l’autorité canadienne en
matière de télé et les excuses
diffusées le lendemain n’ont
rien fait pour calmer le jeu. En
effet, prétextant s’excuser pour
des propos relatifs à l’habillement
de M. Weir, le réseau RDS
est passé complètement à côté
de la question, sans aborder la
discrimination ni l’intolérance
des animateurs face à ceux qui
ne sont pas comme eux.
Est-ce qu’il nous viendrait à
l’idée de commenter négativement
l’allure de ces animateurs,
gros, chauve pour l’un,
visiblement andropausé pour
l’autre et de juger de leurs
compétences sportives sur la
simple base de leur apparence
grotesque? Absolument pas.
Pour voir l’analyse et les commentaires
de Steve Foster et
de l’auteur de ces lignes sur les
ondes de TVA, rendez-vous au

http://www.gayglobe.us/tvadirect190210.

html
“Tout le monde pense que Johnny
Weir nuit à l’image des patineurs
artistiques”. Tiens, c’est
du nouveau ça car si on se fie
au nombre de plainte déposées
dans tous les médias contre
ces commentaires, peu de gens
pensent comme ces deux animateurs
qui, en plus de médicaliser
l’apparence de M. Weir,
allaient jusqu’à déclarer qu’on
devrait lui faire passer des test
de féminité, qu’il exagérait en
portant du rouge à lèvres alors
que tous les patineurs sont maquillés,
qu’il portait des vêtements
extravagants alors qu’il
est habillé par Versace et que
les autres patineurs font encore
plus dans la paillette que lui bref,
on a attaqué spécifiquement
Johnny Weir en prétextant ses
vêtements et son maquillage,
qui sont des éléments à 100%
dans les normes du sport, alors
qu’en réalité, Claude Mailhot et
Alain Goldberg ont commis un
acte encore pire, on a jugé un
athlète sur la base de ses manières,
de son allure naturelle,
de son apparence et cela est
illégal au Canada.
Le fait de cibler une personne,
au Canada et au Québec, sur la
base de son allure, est discriminatoire
et le public a explosé lors
de la diffusion de ces propos,

Info Crime Québec règle un problème de récompenses non versées!

Wednesday, July 15th, 2009

Info Crime Québec gère et fait la promotion d’un programme de renseignement de sécurité et d’information permettant à des citoyens qui sont les témoins d’actes qui peuvent sembler illégaux, de crimes ou qui souhaitent simplement informer les autorités sur des personnes recherchées par mandat de le faire via une seule porte d’entrée et de façon confidentielle.

Info Crime Québec, comme sa section Montréal, offrent aussi des récompenses dans certains dossiers, ces récompenses qui peuvent aller jusqu’à 2000$ sont indiquées dans les avis de recherche, avec le numéro de téléphone d’Info Crime. Or, dans un dossier récent concernant un avis de recherche contre Alain Morrissette, un important fraudeur s’attaquant principalement à la communauté gaie, un certain nombre de renseignements ont été transmis à ICQ et deux de ces renseignements sont à l’origine même de la localisation et de l’arrestation de M. Morrissette.

Les deux personnes, une fois l’arrestation faite et Morrissette derrière les barreaux, se sont informées sur le mode de paiement des récompenses et c’est à leur plus grande surprise qu’ICQ les informait d’une série de conditions pourtant absentes du site Internet ou des conversations téléphoniques entre les transmetteurs d’information et ICQ avant l’arrestation. Suite à un appel téléphonique d’un responsable d’ICQ, Monsieur Jean Morais, il a été découvert que les mécanismes de communication n’étaient pas adéquats de la part d’ICQ qui n’offrait ni adresse de courrier électronique sur son site Internet ni moyen de rejoindre un administrateur afin de sonner l’alarme. Une série d’informations ont été données aux deux appelants qui, selon M. Morais, ne correspondent en rien au mode de fonctionnement que souhaite avoir l’organisme justement face à ses appelants.

“La confiance du public envers un tel organisme est fondamentale et Info Crime Québec en est pleinement conscient”, déclare M. Morais. “Nous souhaitons mettre en place tous les moyens nécessaires requis par notre mandat qui est d’assister les autorités via un centre d’appel qui certifie l’anonymat et en même temps, nous devons honorer à 100% les récompenses offertes surtout si des criminels sont arrêtés grâce aux appelants”, ajoute le responsable d’ICQ qui en a profité pour annoncer aux deux appelants dans le dossier de M. Morrissette qu’ils allaient recevoir une récompense, comme indiqué dans l’avis de recherche.

Cette affaire soulevait de vives préoccupations autant du côté du public que chez Claude Poirier, animateur de l’émission “Le Vrai Négociateur” sur les ondes de TVA qui en a parlé deux fois dans la semaine du 24 juin 2009, allant jusqu’à déclarer sur les ondes que le paiement des récompenses devait être fait.

En date du 7 juillet, M. Morais informait donc officiellement les deux appelants que leur intervention avait été efficace et qu’il se mériteraient chacun une récompense. Info Crime Québec traite tous les dossiers et les appels de manière strictement confidentielle, c’est garanti. Lors d’un appel, exigez un numéro d’appelant qui vous permettra, si requis, de réclamer la récompense si votre information permet de localiser et d’arrêter un criminel ou une personne recherchée par les autorités.

Claude F. Archambault radié!

Friday, July 10th, 2009

Claude F. Archambault, avocat criminaliste et civil connu de la région de Montréal, vient d’être radié du Barreau pour une durée de 2 mois. Cette petite nouvelle n’est pas en fait la plus importante concernant Claude F. Archambault.

Il a absolument tous les défauts humains qu’un homme peut avoir! Il est arrogant, ARROGANT, imbu de sa personne, il est supérieur, n’aime pas les hommes, pardonne tout aux femmes même aux plus connes, se joue du droit comme on se joue de pécadilles dans son assiette, représente tous et toutes sans savoir la finalité des causes, aspire l’argent autant qu’il le dépense, il est ce qu’il y a de plus détestable et exécrable chez les avocats et les êtres humains et pourtant, on l’aime!

Pourquoi? Parce que les québécois de souche aiment le drame et Claude F. Archambault incarne à la perfection ce drame, il est un des nôtres.

Je l’ai croisé une seule fois dans ma vie et je n’ai absolument pas aimé ce que j’ai vu. Je l’ai consulté vers 2005 sur une question de diffamation, pour voir s’il pouvait contribuer à un dossier de diffamation prévu pour être jugé en 2007 et lorsqu’il m’a eu devant lui, dans son bureau, il m’a simplement demandé, avant même de savoir ce qui se passait: “combien voulez-vous payer pour gagner?” Surpris par cette question, je lui ai répondu qu’il serait peut-être mieux placé que moi pour évaluer le dossier et y mettre un coût… Il m’a demandé une seconde fois avec arrogance et agressivité “Hey, je vous ai demandé combien vous vouliez mettre en argent pour le gagner votre dossier, si vous ne le savez pas, sortiez d’ici et revenez me voir quand vous aurez la réponse”.. Je n’ai pas su quoi répondre, je suis sorti ne sachant pas comment interprêter une telle question qui pouvait dire tant de choses, légales et illégales, et il m’a facturé 150$ pour la consultation! Je ne l’ai jamais revu le bougre!

Je me suis senti très mal dans sa gestion de ma question et de nombreux clients semblent être du même avis que moi, résultant en une radiation de deux mois comme avocat. Je ne suis pas des plaignants.

Est-ce que cela signifie qu’il est un mauvais avocat, corrompu et crosseur? Non! Au contraire peut-être… Claude F. Archambault est vulgaire et donne le sentiment d’être croche, mais est-ce exactement ce que nous voulons d’un avocat pour faire face à des adversaires aussi croches et crosseurs que son apparence? Absolument! OUI!

Claude F. Archambault a été radié, big deal, so what? Il ne sera que plus populaire en revenant et d’ici quelques années, sera peut-être considéré comme un exemple à suivre, pourquoi pas? Moi j’y crois, parce que je ne voulais pas d’un ange bien sucré pour affronter mes ennemis, je voulais leur mettre en pleine face un des leurs, et Claude F. Archambault était ce qui me semblait être ce qu’il y avait de mieux dans le domaine.

Mon dossier s’est réglé avant de le savoir, à suivre…