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Christian Vanneste relaxé pour ses propos sur les homosexuels

Monday, April 7th, 2014

Le Monde

L’ancien député du Nord Christian Vanneste (ex-UMP), poursuivi pour complicité de provocation à la haine envers les homosexuels pour des propos tenus dans une vidéo diffusée en 2012, a été relaxé jeudi 3 avril par le tribunal correctionnel de Paris. Le parquet avait requis une amende, sans en préciser le montant.

Dans la vidéo diffusée sur Internet le 10 février 2012, M. Vanneste avait entre autres déclaré que « l’un des fondements principaux de l’homosexualité (…), c’est le narcissisme », et qu’il y a « de plus en plus » d’homosexuels en politique.

« Il y en a de plus en plus à droite, d’ailleurs je remarque qu’ils se font la courte échelle. C’est bien mais je ne pense pas que ce soit en ayant une vie différente de celle de la plupart des gens que l’on peut les diriger. (…) Vous en avez beaucoup dans le domaine de la culture (…), des médias, (…) par là-même il y a un renversement (…) de la proportion, du poids de l’homosexualité dans la société. »

UNE SUCCESSION D’IDÉES REÇUES ET DE PONCIFS

Le tribunal a estimé que :

« Si les personnes visées peuvent s’estimer choquées par les propos poursuivis, il convient cependant de considérer qu’aucun véritable crédit ne peut sérieusement s’attacher à des propos que l’auteur ponctue lui-même de rires satisfaits et qui, pour l’essentiel, constituent une succession d’idées reçues et de poncifs, formulés sous un habillage pseudo-psychanalytique et sociologique. »

Pour les juges, « ainsi dénués de toute véritable portée, les propos incriminés n’apparaissent pas de nature à inciter les internautes à la haine, la violence ou à la discrimination envers les homosexuels ».

En raison d’autres propos, évoquant « la fameuse légende de la déportation des homosexuels », cette vidéo avait fait un tollé, à gauche comme à droite. Pour des raisons juridiques, ces propos ne font pas l’objet de poursuites, selon une source judiciaire.

M. Vanneste avait été exclu de l’UMP et avait perdu son investiture aux législatives de juin 2012, éliminé dès le premier tour de ce scrutin. Déjà en 2005, M. Vanneste avait déclaré que « l’homosexualité est une menace pour la survie de l’humanité », lui valant une condamnation en première instance et en appel, mais l’arrêt de la cour d’appel avait finalement été annulé par la Cour de cassation à la fin de 2008.

Jean-Luc Romero se donne gain de cause en Cour (faussement)

Saturday, July 4th, 2009

Jean-Luc Romero, le fonctionnaire français de troisième ordre connu pour se prendre pour la Président de la République, a dépassé toutes les limites normales de la bonne foi en se déclarant vainqueur d’un procès impliquant le député français Christian Vanneste, faussement, alors que le Tribunal a justement donné gain de cause à Vanneste sans lui octroyer toutefois de compensations financières à cause d’un bogue technique dans la poursuite.

Seul Jean-Luc Romero, selon les procédés qu’il connait très bien et qui ne causent plus de surprise à qui que ce soit, pouvait annoncer publiquement une victoire alors qu’en fait, un Tribunal venait de lui donner toute une giffle.

La question jugée par le Tribunal était simple: Est-ce qu’il y avait eu diffamation sur le site de Jean-Luc Romero à l’endroit de Christian Vanneste? Réponse du Tribunal: OUI!

Est-ce que le député Vanneste se méritait une compensation financière pour la diffamation commise par Romero: Non! Uniquement parce que le rédigé de l’acte d’accusation comportait une erreur à l’effet que la diffamation n’était pas orientée vers un personnage politique mais un individu.

Conclusion: Il a avait bien eu diffamation, cela Romero est assez malhonnnête pour ne pas l’admettre mais le Tribunal l’aura fait à sa place. Est-ce que M. Romero aide sa cause en mentant à l’opinion publique sur les conclusions d’un tel procès, bien sur, mais est-ce qu’il existe encore une seule personne au monde qui ne sache pas que Jean-Luc Romero déforme la réalité pour servir les causes qu’il défend?

Selon 20minutes.fr

Christian Vanneste a bien été diffamé, mais pas « en tant que député ». Comme en première instance, la cour d’appel de Paris a débouté, hier, le député (UMP-CNI) du Nord de ses poursuites contre le conseiller régional (DVD) Jean-Luc Romero. Il lui reprochait simplement d’avoir diffusé sur son blog des propos désobligeants à son encontre, en 2006. Ces écrits émanaient d’un internaute qui disait au sujet de Christian Vanneste : « Il va vous faire le coup de son habituelle démagogie : “Non mais je n’ai rien contre les homos (je souhaite juste leur extermination dans des chambres à gaz)”. » Hier, la cour d’appel de Paris a jugé que ces propos étaient bien diffamatoires.

Pour autant, elle a débouté Christian Vanneste estimant qu’il n’avait pas été diffamé « en tant que député » mais en tant que personne. Or, la poursuite concernait « une diffamation publique envers un citoyen chargé d’un mandat public »

Selon le site Internet de Jean-Luc Romero

Le député UMP Christian Vanneste, qui m’avait poursuivi pour un message déposé sur mon blog par un jeune mineur, a été débouté de son recours contre moi par la cour d’appel de Paris ce jeudi 2 juillet 2009. J’ai appris la bonne nouvelle à Porto où j’intervenais à la conférence internationale sur la RDR. Après avoir déjà été débouté en première instance, M. Vanneste l’est donc en appel.
Alors que M. Vanneste estime que dire que l’homosexualité est inférieure à l’hétérosexualité fait partie de la liberté d’expression, ce monsieur est moins tolérant dès qu’il est lui-même mis en cause. La liberté d’expression l’intéresse quand cela l’arrange. M. Vanneste vient aussi d’être débouté dans le procès qui l’opposait à Bertrand Delanoë. Amusant de constater que M. Vanneste a en peu de temps poursuivi deux élus gays et a aujourd’hui dans le collimateur des associations LGBT comme SOS Homophobie et Act Up… Mais jeudi, pas de chance pour lui, la justice est allée dans le sens d’élus… inférieurs car gays !

Jean-Luc Romero ometant comme toujours de mentionner un fait important: le Tribunal a bein déterminé qu’il y avait eu diffamation, Est-ce que cet oubli a été fait de bonne foi? Posons-lui la question…

Quelques remarques innocentes à la veille d’une gay pride

Monday, June 29th, 2009

Ce texte a été d’abord publié sur le blog du député Christian Vanneste le 26 juin 2009

Suite à l’arrêt sans renvoi (rarissime donc) de la Chambre criminelle de la Cour de Cassation du 12 novembre dernier concernant ce qu’il est convenu d’appeler « l’Affaire Vanneste », j’ai demandé à mon avocat de procéder à l’exécution de la décision, c’est-à-dire récupérer des sommes payées aux lobbies de promotion du comportement homosexuel qui m’avaient attaqués. En effet, l’arrêt rendu par des juges de la Cour d’Appel de Douai (très durement censurés d’ailleurs par les magistrats de la Cour suprême) m’avait condamné à verser 3000€ à chacune des associations plaignantes : Act-Up, SOS Homophobie et le SNEG.

Si ce dernier s’est rapidement exécuté -et je tiens à les remercier pour cet acte républicain et tolérant…-, je ne peux que m’étonner que des associations, pourtant si généreusement fournies en deniers publics, vraisemblablement mauvais joueurs, rechignent à rembourser mes injustes amendes.

C’est pourquoi, dès la réception de la copie exécutoire de l’arrêt de la Cour de Cassation, j’ai fait procéder à l’exécution forcée de la décision, ce qui aurait dû être fait depuis longtemps.

Et afin que tout soit transparent, voici ce qu’il en est, à ce jour :

  • Un huissier, requis par mon avocat, a donc saisi les comptes d’Act-Up et une somme a été réglée. Néanmoins, un solde de frais reste encore en attente.
  • En ce qui concerne SOS Homophobie, l’huissier a procédé à une saisie de ses biens mobiliers. A l’expiration d’un délai d’un mois, la vente pourra être réalisée…

Je n’ai jamais admis le versement d’argent public au profit d’associations qui ne me paraissent pas remplir une mission d’Intérêt général, et qui leur a notamment permis de poursuivre en justice un représentant du peuple pour délit d’opinion. Qu’aujourd’hui encore, par leur propos, leur attitude, ils refusent de se soumettre à une décision de justice, est assez révélateur de leur conception de la République.

Jean-Luc Romero

Sunday, May 10th, 2009

Jean-Luc Romero, fonctionnaire français qui aime jouer au Président de la République, persiste à mentionner sur son blogue, que je serais devenu le collaborateur bien involontaire de son pire ennemi le député français Christian Vanneste suie à la publication sur le blogue de Vaneste d’un texte contre Romero ou, du moins, qui expliquait publiquement ma théorie sur Jean-Luc Romero.

Or, il faut savoir et c’est là ma propre conclusion sur la base d’observations faites pendant plusieurs années, que Jean-Luc Romero est un fabulateur. Il s’invente des mandats, des vies, des amis et des combats pour se donner une raison d’être, pour pouvoir dire qu’il est quelqu’un et c’est ainsi qu’il obtient de partout, un certain intérêt, quitte à détruire ceux qui se défendent de ses actions, qui ont fait d’ailleurs l’objet de procédures judiciaires en France tant au civil qu’au pénal. Afin d’être le plus précis sur mon intervention d’aujourd’hui, voici comment Jean-Luc Romero annonce le sujet en parlant de moi: “L’éditeur canadien Roger-Luc Chayer est devenu, bien involontairement (?) l’allié de Christian Vanneste puisque ce dernier utilise une précaution éditoriale de la publication québécoise Le Point pour faire valoir ses propres arguments. Roger-Luc Chayer à n’en pas douter, rectifiera ses propos sur le blog du député du Nord.”

Je ne suis pas devenu le collaborateur ou l’allié involontaire de M. Christian Vanneste, voilà pour la première fausse affirmation. Ensuite, M. Vaneste a décidé de publier un texte de la Revue Le Point sur son blogue en respectant la loi sur le droit d’auteur, c’est-à-dire en obtenant mon autorisation au préalable pour publier, ce que j’ai accepté puisque M. Vaneste était lui-même mentionné dans mon texte.

Enfin, Jean-Luc Romero, qui se sert continuellement du nom et de la notoriété des autres pour se construire une raison d’être, ose parler pour moi et déclare qu’à n’en pas douter, je ferai un rectificatif.. Qu’il aille au diable ce Jean-Luc Romero car si il ose parler en mon nom, j’ose répondre en mon propre nom, rien de plus normal.

M. Vanneste n’a violé aucune loi ni règle en publiant un texte qu’il était autorisé à publier. Jean-Luc Romero par contre a fait la même chose, il a copié et coller mon texte sur son blogue, sans mon autorisation, sans m’avoir demandé la permission au préalable et violait ainsi les aspects civils et criminels de la loi sur le droit d’auteur. Non seulement je n’ai rien à rectifier sur le site de M. Vaneste puisque ce qui a été publié vient directement de moi, quel fou de dire une telle chose, en plus, j’ai été obligé d’exiger du serveur de blogue de Jean-Luc Romero, ce grand politicien au poignard bien affuté, que mon texte soit retiré de ce site qui n’avait pas mon autorisation de publication, le site de Romero, ce qui a été fait à son grand désarroi!

Voilà qui répond aux propos faux, mensongers, malicieux, malfondés et malhonnêtes de l’individu Romero, dont la carrière est sur le déclin à force de pedre sa crédsibilité sur de tels dossiers.

“Le Saint”: lancement couverture sur l’ouvrage consacré à Jean-Luc Romero

Saturday, January 17th, 2009

” Les vérités qu’on aime le moins à apprendre sont celles que l’on a le plus d’intérêt à savoir. ”
Proverbe Chinois

Résultat d’une enquête de plus d’un an sur les dessous du militantisme d’une personnalité politique homosexuelle connue de la France et très active au Canada, la conférence de presse de la semaine dernière a été la première de deux et annonçait la publication prochaine de l’ouvrage destiné à renseigner le public sur les dessous d’un militantisme agressif et parfois agressant pour ceux qui croisent Jean-Luc Romero. “Le Saint” est un document d’enquête basé sur des faits précis et permet à ceux qui voudraient mieux comprendre l’action militante homosexuelle de cette personnalité autrefois décorée à de nombreuses reprises, d’avoir la version de ceux qui sont interpellés par ce militant. Cet ouvrage est un outil de contre-pouvoir démocratique, un droit de réplique que Romero refuse à ses opposants, une défense que Romero refuse aux défendeurs qu’il attaque et un manifeste d’opposition politique que Romero refuse à ceux qui s’opposent politiquement à lui.

L’enquête sur les dessous du militantisme de Jean-Luc Romero, comportant des milliers de pages de documents, de nombreuses entrevues et nécessitant la collaboration de journalistes et de personnes liées au milieu judiciaire français et canadien, mettra en évidence la réalité sous le militantisme d’un homme politique qui semble avoir perdu le contrôle sur son discours. Les voyages, les séjours en hôtels de luxe, les bénéfices marginaux, les fréquentations, les établissements visités et surtout les techniques utilisées par ce type de militantisme seront dévoilés. Tout ce que le public devrait savoir sur “Le Saint” y sera abordé. Du double discours aux témoignages de témoins privilégiés des activités secrètes du militant connu pour épouser de très nombreuses causes allant du SIDA à l’euthanasie et à la libération de détenus, la conférence de presse permettait d’annoncer la fin proche de l’enquête, le début de la rédaction finale et la publication d’un ouvrage sous peu.

Cet ouvrage, publié et diffusé tout à fait gratuitement pour le bénéfice du public sera exclusif et ne sera publié que sur Gay Globe TV et dans la Revue Le Point par les Éditions Basic Enr. Lors de la conférence de presse, l’éditeur a procédé au dévoilement et au lancement officiel de la couverture de l’ouvrage “Le Saint”.

Jean-Luc Romero débouté de ses fausses accusations

Thursday, December 4th, 2008

Jean-Luc Romero, qui accusait depuis de nombreux mois le député français Christian Vanneste d’être homophobe sur la base d’un jugement dans une affaire de propos sur une nouvelle législation vient d’être débouté par la Cour Suprême de la  France qui donne totalement et clairement raison au député Vanneste.

Le Point avait suspendu la collaboration de Jean-Luc Romero suite à ses attaques incessantes contre ceux qui ne pensent pas comme lui et suggérait la prudence face à la victimisation à outrance de Romero quant à la question gay. Le plus haut tribunal français a considéré que les propos de Vanneste n’étaient pas homophobes et que Romero aura eu tort sur toute la ligne.

Christian Vanneste gagne contre Jean-Luc Romero

Thursday, November 13th, 2008

(Intégralement selon 20minutes.fr)

Dire que «l’homosexualité est inférieure à l’hétérosexualité» relève de la liberté d’expression. C’est la décision que vient de rendre ce mercredi la Cour de cassation. Elle a en effet blanchi le député UMP du Nord Christian Vanneste et annulé sa condamnation pour injure envers la communauté homosexuelle, estimant qu’il n’avait pas dépassé les limites de la liberté d’expression. Le Syndicat national des entreprises gaies envisagerait déjà un recours devant la Cour européenne de Justice.

Le député a cependant tenu à exprimer ses regrets. «Je regrette le mot “inférieure”», a-t-il assuré, avant de se lancer dans une tentative d’explication de sa «maladresse»: «je voulais dire: “l’homosexualité c’est moins bien parce que ça ne peut pas être universalisé, tout le monde ne peut pas être homosexuel, sinon la société serait mal partie”».

Il se félicite cependant de ce revirement de situation. «Cette décision de justice me satisfait car elle me fait retrouver deux idées sur lesquelles j’avais de sérieux doutes depuis quatre ans, a déclaré à 20minutes.fr Christian Vanneste. La première est une certaine idée de mon pays. Car depuis quatre ans, on empêchait tout de même un citoyen, et qui plus est, un parlementaire de s’exprimer. La seconde chose, c’est que cette décision de justice prouve qu’il y a une vérité… »

>> A lire, trois questions à Jean-Luc Romero, conseiller régional (divers droite) d’Ile-de-France

Le 25 janvier 2007, la cour d’appel de Douai avait confirmé sa condamnation à 3.000 euros d’amende pour «injure envers les homosexuels». Christian Vanneste avait été condamné en janvier 2006 pour avoir affirmé deux ans plus tôt que l’homosexualité était «inférieure à l’hétérosexualité». Estimant qu’«un parlementaire est investi d’une parcelle de la souveraineté nationale» et que «sa liberté d’expression est une condition de la démocratie et de l’Etat de droit», le député s’était pourvu en cassation.

«La décision de la Cour de cassation ne peut pas s’appuyer sur l’immunité parlementaire dans la mesure où Christian Vanneste n’a pas tenu ces propos dans l’hémicycle», réagit Agnes Tricoire, juriste à la Ligue des Droits de l’homme. «Dans les affaires de presse, la Cour de cassation se montre vigilante et se prononce souvent sur le contenu des jugements et non sur leur forme», ajoute-t-elle.

Contre l’avis de l’avocat général

L’affaire était née de la vive opposition de Christian Vanneste à la loi du 30 décembre 2004, réprimant les injures et discriminations homophobes au même titre que les injures et discriminations racistes ou sexistes.

Il avait notamment affirmé dans la presse régionale que l’homosexualité était «inférieure à l’hétérosexualité. Si on la poussait à l’universel, ce serait dangereux pour l’humanité.»

Allant contre l’avis de l’avocat général, qui avait conclu au rejet de ce pourvoi le 14 octobre, la chambre criminelle a «cassé» ce mercredi la décision de la cour d’appel, sans même renvoyer le dossier devant une autre cour d’appel. «Cela siginifie qu’elle estime qu’il n’y a pas d’autre qualification des faits que la sienne. C’est une décision autoritaire», commente Agnès Tricoire.

«Une décision de grande ampleur»

«Si les propos litigieux, qui avaient été tenus dans la suite des débats et du vote de la loi du 30 décembre 2004, ont pu heurter la sensibilité de certaines personnes homosexuelles, leur contenu ne dépasse pas les limites de la liberté d’expression», a considéré la Cour.

«C’est une décision de grande ampleur dans la mesure où la plus haute juridiction sanctionne l’ensemble de la procédure et des poursuites au regard de la protection de la liberté d’expression», a réagi l’avocat de Christian Vanneste, Eric Morain, saluant «l’aboutissement d’un long combat judiciaire».

Jean-Luc Romero définitivement compromis dans la diffamation

Wednesday, November 12th, 2008

Le politicien gai français Jean-Luc Romero, qui fait l’objet d’une dénonciation de plus en plus importante tant en France qu’à l’étranger pour ses actes incohérents et son style de vie princier vient de recevoir toute une claque de la Cour de Casation de France dans une affaire où, justement, Romero invoquait depuis longtemps l’homophobie du député Christian Vanneste.

Alors qu’il criait depuis des années à qui voulait l’entendre que sa haine du député Vanneste reposait sur de prétendus propos homophobes à son endroit et contre les homosexuels en général, voilà que le 12 novembre 2008, le tribunal suprême français, la Cour de Cassation, annulait les jugements antérieurs et déclarait que le député Vaneste n’avais pas dépassé les limites de la liberté d’expression et que les propos du député n’étaient pas homophobes.

Comme il ne sont pas homophobes et que Romero en fait sa campagne de haine personnelle, associant du coup toutes les personnes qui s’intéressent à la question Romero-Vanneste d’alliés homophobes de M. Vanneste comme il l’a fait pour l’auteur de ces lignes et éditeur d’un média homo (Oui, invraissemblable mais vrai), ce jugement met dorénavant en évidence l’incapacité totale de M. Romero d’agir publiquement et surtout au nom des gais.

Son incohérence et sa haine aveugle de la différence fait de M. Romero un dénonciateur sans contenu, qui accuse sans justification et qui se sert comme toujours de ses accusations montées de toutes pièces pour faire carrière et, bien sur, créer les conditions de la haine envers ceux qui le contredisent.

Jean-Luc Romero s’expose maintenant à un appel dans un procès en diffamation qui pourrait résulter de la décision de ce jour de la Cour suprême française. Il a encore une fois crié à l’injustice mais depuis quelques mois, c’est tout ce qu’il est capable de faire, crier au loup face à ses moutons, en l’absence de la moindre substance.

Jean-Luc Romero est fini, il est devenu incohérent, non pertinent à la cause gaie, il n’a plus la crédibilité politique ou morale pour parler au nom des gais, qu’il se taise donc…