Posts Tagged ‘prince’

William to fly in Sea King as royal couple tour P.E.I.

Monday, July 4th, 2011

The National Post

CHARLOTTETOWN — Prince William will be in the cockpit of a Sea King helicopter Monday as he takes part in a training session and makes an “emergency landing” in the waters of Prince Edward Island.

William, who serves in the Royal Air Force, and his wife, Kate, are in Prince Edward Island — home of Anne of Green Gables — as their criss-cross Canadian tour continues.

After a morning welcome at the provincial legislature in Charlottetown, the royals will head to Dalvay By-The-Sea, where William is to take part in a Sea King drill that’s meant to “highlight the innovative contributions made by Canada’s miliary to the training of search-and-rescue pilots,” according to the tour’s media guide.

The aircraft will simulate an emergency situation that requires it to set down on the water.

After the high-profile training session, the royal couple is scheduled to head to a dragonboat race before making their way to Summerside for further festivities.

Kate has apparently been looking forward to their visit to Canada’s smallest province because of what media reports say is her childhood love of the books of the red-headed orphan Anne of Green Gables.

After leaving Quebec, where a smattering of anti-monarchy protesters did their best to disrupt the royal tour, Prince Edward Island is expected to be a much less controversial leg of the royals’ nine-dayCanadian adventure.

At the Charlottetown airport on Sunday, there was a crowd of nearly 1,000 admirers waiting to greet Will and Kate when their jet landed, the prince’s newly created flag flying in the cockpit.

Sophia Best and Bridget Keedwell, both 10 years old, had been waiting to give their flowers to Kate.

“So excited. And so nervous! I can’t wait to see what she’s going to be wearing,” said Best.

There was a roar as Will and Kate, now wearing a jacket over her dress, appeared and descended the stairs.

Sophia then got a bit over-excited and tried to give her flowers to Will, who reached her first.

But the prince, now an expert at handling such matters with grace, gently shook her hand and redirected her to his wife.

After spending most of Monday in Prince Edward Island, the royals will take off in the evening for a long flight back across the country to Yellowknife.

Mariage d’Albert de Monaco et Charlene : A table avec Alain Ducasse !

Saturday, July 2nd, 2011

Purepeople

Un avant-goût des saveurs méditerranéennes du dîner le plus prestigieux du week-end à venir ? Loupé ! Un mois après avoir livré les lignes de force de ce que serait sa composition pour le dîner final du mariage du prince Albert et de Charlene Wittstock, le chef franco-monégasque Alain Ducasse a tenu sa langue à quelques heures de servir les assiettes pour près de 500 convives conviés sur les terrasses de l’Opéra Garnier et du Casino. En l’occurrence, une terrasse éphémère de 1400m² sur pilotis face à la Méditerranée, avec vue imprenable sur le feu d’artifice concocté par Jacques Couturier.

Vendredi matin, à 11 heures, le patron trois étoiles du Louis XV apparaissait en conférence de presse au côté de Bernard Lambert, Directeur Général de la Société des Bains de Mer, pour évoquer le dîner officiel du mariage princier (menu, décor, produits….). Et il a été avare en vraies confidences, laissant planer le mystère jusqu’au bout, comme l’ont rapporté nos confrères de Monaco Matin. Entre les Eagles et Jean-Michel Jarre, la partition des saveurs aussi soigne ses nuances.

Il a en revanche confirmé ce que l’on savait déjà : “Trois plats, un dessert, pas de viande, un menu végétal et marin.” Parmi les rares indiscrétions, on salive sur “la courgette de mer, cueillie une heure avant, avec un filet d’huile d’olive” et on savoure la précision : “l’harmonie parfaite, ce n’est pas que le goût, c’est la brillance du navet. Le navet, on a décidé de l’enduire d’huile d’olive avec un peu de pistou d’herbes amères.” Le chef entend répondre avec tout le panache de sa cuisine aux doléances du prince Albert, qui avait souhaité que soit mis l’accent sur les produits méditerranéens, et de sa fiancée Charlene Wittstock, qui avait demandé d’oublier les produits gras et de luxe. Alain Ducasse avait donc d’emblée rayé de sa liste le foie gras nommément ciblé par la Sud-Africaine de 33 ans, lui l’ambassadeur de la gastronomie française et l’enfant des Landes qui n’a jamais perdu de vue les spécialités de la ferme familiale gasconne de la Chalosse.

Secondé par son complice de toujours Frank Cerutti, Alain Ducasse sera entouré d’une soixantaine de chefs le soir crucial, mais c’est dans le secret des cuisines de son restaurant monégasque qu’il s’est attelé à la tâche.

Pour le végétal, les produits viendront du Mont Agel la résidence privée du Prince Albert au-dessus de la Principauté. Une partie des 17 fruits, légumes et herbes qui composeront le menu a été cueillie ce matin, le reste le sera samedi matin pour être le plus frais possible“, a-t-il lâché aux journalistes ce vendredi. Le prince Albert tenait beaucoup à ce que la propriété de Rocagel, qu’aimait tant sa mère la princesse Grace, fournisse la matière première du repas. Malgré la grêle qui s’est abattu en Principauté il y a 48 heures, détruisant 10% de la récolte, les provisions ne font pas défaut. La sensation est venue du dessert, qui nécessitera la traite, samedi matin, de neuf vaches pour fournir les 35 litres de lait utiles à la fabrication de la “glace cassonade, fleur de sel”.

Un Chardonnay blanc en provenance d’Afrique du Sud, pays de la mariée, arrosera l’entrée, avant que soit servi un “Copeaux de poutargue, légumes de Roc Agel” composé de poissons de roche, mets apprécié d’Albert II. Pour ce menu entre terre et mer où ne figurera aucune viande, la pêche a été confiée aux Rinaldi, dernière famille de pêcheurs de la Principauté.

Le dîner, pensé depuis des semaines dans les moindres détails pour satisfaire les requisit du prince et de sa belle, mais aussi les spécificités (médicales, religieuses…) de chacun, sera servi sur les terrasses du Casino, où les 500 convives, attablés par dix, occuperont un espace de 1400 m² magnifié par un décor aux allures de jardin méditerranéen réalisé par Bernard Lambert et tourné vers la mer. Le protea, fleur symbole de l’Afrique du Sud, y trouvera une place de choix, et ornera la pièce montée. La table d’honneur sera la seule dressée en T. Ce sont en tout près de 350 personnes, dont 200 maîtres d’hôtel, qui veilleront à tout.

Mariage Albert et Charlene : Stéphanie de Monaco entourée de ses trois enfants

Saturday, July 2nd, 2011

A occasion unique, situation unique ! Pour le mariage de son frère avec Charlene Wittstock, Stéphanie de Monaco avait réussi à réunir ses trois enfants auprès d’elle. Il est vrai qu’il est fort rare de voir la fille cadette de Rainier et Grace Kelly avec Louis et Pauline Ducruet et Camille Gottlieb, les trois en même temps ! D’autant plus que le 1er juillet n’est pas un jour comme les autres : ce même jour, en 1995, Daniel Ducruet épousait la princesse rebelle Stéphanie avant d’en divorcer une année plus tard pour de bien tristes raisons.

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Mais, hier, la fête était de mise pour célébrer le mariage civil de son Altesse Sérénissime le Prince Albert avec celle qui a réussi à lui passer la corde au cou, la nageuse Sud-Africaine Charlene Wittstock. Aussi Stéphanie était très épanouie entourée de ses trois “petits” devenus grands : Louis a désormais 18 ans, la grande sportive Pauline a 17 ans et Camille fêtera ses 13 ans le 15 juillet.

Non loin d’elle sa soeur Caroline de Hanovre n’était pas en reste puisqu’elle aussi avait rassemblé sa progéniture : Alexandra, 11 ans et demi, était collée à sa maman et à son téléphone portable, la divine Charlotte, 24 ans, (habillée par Chanel comme sa mère) était accompagnée par son amoureux Alex Dellal, Pierre, 23 ans, était au côté de sa douce Beatrice Borromeo. Quant à Andrea, l’aîné de la fratrie âgé de 27 ans, il était présent mais ans sa compagne Tatiana Santo Domingo.

Le spectacle a été une véritable réussite. Tout ce petit monde a été ébloui par la magie de Jean-Michel Jarre et a bien dansé au rythme de la musique électronique. La pression qui entourait les jeunes mariés a pu doucement retomber avant qu’elle ne revienne pour le grand mariage religieux de cet après-midi.

Un nouveau drapeau dévoilé en l’honneur du prince William

Thursday, June 30th, 2011

Canoe

OTTAWA – Un drapeau officiel a été créé exceptionnellement en l’honneur du prince William, à l’occasion de la visite du jeune couple royal au Canada.

Il s’agit du premier drapeau que le Canada crée pour la royauté depuis celui de la reine Élisabeth II, en 1962. Il arbore à la fois les armoiries royales du Canada et l’emblème monogramme personnel du duc.

Le ministre fédéral de la Citoyenneté, de l’Immigration et du Multiculturalisme, Jason Kenney, a souligné l’importance de la visite au Canada du couple royal.

« On doit respecter les traditions et les liens avec le passé, comme avec le 400e anniversaire de la fondation du Québec par Champlain, premier gouverneur général du Canada à avoir représenté un monarque ».

Kate et William arriveront demain pour une tournée de neuf jours au pays. Ils s’arrêteront à Montréal et à Québec, les 2 et 3 juillet.

Le couple séjournera à Rideau Hall où les chefs cuisiniers s’affairent à préparer le menu royal. Ils dégusteront, entre autres, des légumes du Québec et des oursins.

Des navettes seront notamment offertes aux touristes afin d’accéder à la cérémonie de bienvenue.

Plus de 1300 journalistes du monde entier suivront le couple royal lors de leur voyage.

L’écuyer québécois du prince

Thursday, June 30th, 2011

Cyberpresse

(Québec) Tout au long de la visite royale au Canada, le bras droit du prince William ne sera pas un énigmatique dignitaire britannique, mais un pilote d’hélicoptère de 37 ans de Québec.

Depuis le début mai, le capitaine Jean Leroux, qui fait partie du 442e Escadron de transport et sauvetage de la Force aérienne canadienne, à Comox, sur l’île de Vancouver, occupe la fonction d’écuyer du duc de Cambridge.

Autrefois attribué à la personne qui s’occupait des chevaux de la royauté ou des officiers supérieurs, le titre d’écuyer désigne aujourd’hui «l’assistant personnel» des membres de la famille royale lorsqu’ils sont en visite ou effectuent des sorties publiques.

Après deux mois de préparation entre Ottawa et Londres, le capitaine Leroux sera à l’avant-scène dès demain. Durant les neuf jours de la visite officielle de William et Kate au Canada, il sera toujours à proximité du couple royal et devra s’assurer que les «chorégraphies» prévues pour leurs différentes visites soient respectées.

«Lorsqu’on arrive quelque part, le temps est tellement compté qu’il faut savoir exactement où on s’en va, à telle place. Tout est minuté», explique le capitaine Leroux, joint à Londres. «Moi, je m’assure qu’on est à temps, à la bonne place et au bon moment.»

Jean Leroux, qui a grandi dans une famille de quatre enfants à Charlesbourg, dispose maintenant d’un bureau à Saint-James Palace, la résidence administrative officielle de la Couronne britannique à Londres, et côtoie régulièrement le prince William et sa nouvelle épouse, Katherine Middleton. En public, il appelle le prince «Son Altesse Royale» ou «Monsieur». Mais quand ils sont les deux seuls, c’est «William».

Pour le militaire, marié et père de deux petites filles, cette assignation est arrivée sans prévenir. Jean Leroux n’a jamais postulé pour devenir écuyer. Son major à Comox lui a appris sa nomination au téléphone, la veille du 1er avril.

«Je pensais que c’était un poisson d’avril, se souvient-il. Mais le lendemain, le commandant de l’escadre est venu me féliciter et, à ce moment-là, j’ai compris que ce n’était pas une farce!»

Avant de choisir son écuyer canadien, le prince William avait imposé trois critères de sélection. Il voulait qu’il soit un pilote de recherche et de sauvetage (comme lui dans la Royal Air Force), qu’il soit à peu près de son âge et soit bilingue.

Jean Leroux a rencontré le prince pour la première fois le 10 juin, au palais Saint-James. «C’était très amical comme discussion, raconte le capitaine. On a parlé environ une minute de ma fonction en tant qu’écuyer. Tout de suite après, on a changé de conversation et on a parlé de pilotage et de recherche et secours.»

Les deux hommes sont peut-être issus de milieux très différents, mais ce point en commun leur a permis de «cliquer».

«Je passe tellement de temps avec lui, à ses côtés, que c’est aussi bien qu’on ait une affinité», dit Jean Leroux. «Même s’il est né dans la royauté et que moi, je suis né dans la ville de Québec, en bout de ligne, on fait le même travail, on veut faire une différence dans la vie des autres et sauver des vies.»

En côtoyant le couple princier, le capitaine Leroux a appris à connaître l’homme et la femme derrière l’image. Il décrit William et Kate comme des gens calmes, chaleureux, décontractés, terre à terre et très efficaces.

Il a eu l’occasion de discuter avec les nouveaux mariés de leur façon de voir leur statut monarchique. «Ils font partie d’une famille privilégiée, mais ils se servent de cette position-là pour faire le bien autour d’eux», dit M. Leroux, citant en exemple la fondation du prince William et de son frère, Harry, qui soutient de nombreuses oeuvres de charité.

Le capitaine Leroux a maintenant hâte que les Canadiens et les Québécois fassent connaissance avec William et Kate. «C’est comme si tu connais quelqu’un qui est vraiment gentil et super, et t’as le goût de le présenter à tes amis», illustre-t-il.

Quant à son incroyable aventure royale, qui prend fin le 8 juillet, Jean Leroux se dit conscient de sa chance. «Je me sens très privilégié, dit-il. C’est une expérience qui n’arrivera qu’une fois, c’est sûr.»

Accusations criminelles contre Amir Khadir?

Wednesday, June 1st, 2011

Commentaire par
Roger-Luc Chayer
[email protected]

Photo Wikimédia

Le 30 mai dernier, le seul député provincial de Québec Solidaire y allait de quelques déclarations, à propos de tout et de rien, qui ont tôt fait de mettre en évidence sa possible inhabilité à siéger à l’Assemblée nationale.

Son plus gros coup a certainement été de traiter le Prince William et Catherine Middleton de parasites alors que le Prince représente le chef d’État du Canada et deviendra possiblement un jour chef d’État lui-aussi du Canada tant et aussi longtemps que notre pays sera une monarchie constitutionnelle.

En affirmant par la suite être un souverainiste républicain, Khadir commettait un acte dérogatoire au code criminel canadien pour deux raisons:

Tout d’abord,  le code criminel canadien prévoit que toute personne qui perturbe la paix en alarmant sa Majesté (Article 49) est coupable d’un acte criminel, de même, pour l’article 59, est coupable de sédition une personne qui incite à renverser le Gouvernement du Canada et de sa Majesté.

En décidant de devenir député, pour recevoir son salaire, il a prêté serment à l’Assemblée nationale en présence du Lieutenant-Gouverneur et a déclaré: « Je, Amir Khadir, déclare solennellement que je serai fidèle et porterai vraie allégeance à Sa Majesté la Reine Elizabeth II. »

Est-ce que Amir Khadir aurait menti à la Reine? Est-ce qu’il aurait porté un faux serment? Les déclarations de M. Khadir le forcent maintenant à faire des choix difficiles quant à son avenir comme député puisque visiblement, le serment prêté à été violé le 30 mai, il occupe désormais illégalement le poste qui devrait revenir à un député légitime qui ne violera pas son serment. Espérons qu’il n’insistera pas pour rester uniquement que pour retirer son salaire, auquel cas le Québec aurait raison de crier à l’imposture d’un individu qui, en plus de parler pour lui seul, se permet de parasiter une institution démocratique prestigieuse, se contredisant encore une fois.

Amir Khadir:
Le député de Mercier perd le contrôle…
Par Gay Globe Magazine

Outre le fait de violer son serment à la Reine, le député de Québec Solidaire, en l’espace de quelques jours, s’en prend à toute la nomenclature de la société, allant jusqu’à se faire mettre en demeure par le Président d’une commission parlementaire de se faire expulser s’il devait persister à mépriser les règles de l’institution.

Le 30 mai, M. Khadir a attaqué la réputation de Lucien Bouchard, ex-Premier ministre du Québec alors qu’il était entendu par l’Assemblée nationale. Le même jour, il explique aux médias qu’il est souverainiste-républicain, montrant son vrai visage et prouvant qu’il avait violé le serment fait à son assermentation comme député.

Sédition, troubler la paix, diffamation, accusations, insultes, le député Khadir n’est finalement peut-être pas apte à assumer le poste que les électeurs de Mercier lui confiaient. Est-ce que la seule solution est sa démission?

1996- Le chat, Prince des animaux!

Thursday, January 27th, 2011

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Vous vous souvenez de notre dossier chiens dans le RG du mois d’août 1995? ne voulant pas faire de jaloux parmi les propriétaires d’animaux domestiques, voici un dossier sur nos amis les chats et tout ce qu’il faut savoir sur le prince des animaux.

D’abord, contrairement aux chiens, le chat est sans doute l’animal le plus sauvage et le moins domestiqué qui puisse vivre avec l’homme. Subalterne du roi des animaux le Lion, prince minet sait se faire respecter et n’hésite pas à nous faire savoir que de vivre près de lui est un privilège.

Comment choisir son nouveau chat?

Comme pour tout animal que l’on destine à vivre près de l’homme, il faut bien s’assurer que le chaton soit en santé. Nous vous suggérons l’inspection en cinq points suivante afin de déterminer si votre nouvel ami sera un bon achat:

1- Examiner les selles et déterminer si elles sont solides ou molles. Une diarrhée peut être causée par des vers ou une infection intestinale qui sera difficile à diagnostiquer et à soigner.

2- Examiner les yeux et vérifier s’il y a des traces d’écoulements. Une infection causée par certains virus peut être difficile à soigner et peut être récurrente à vie.

3- Est-ce que minet a un bon appétit? Le goinfre nous coûtera une fortune en bouffe mais comme chez l’humain, on mange davantage quand on est en bonne santé que malade!

4- Est-ce que minet est enjoué? Tous les chatons de moins de 6 mois sont très actifs. Pour eux, rien n’est impossible et il n’est pas rare de les voir voler comme des oiseaux, à la poursuite d’une petite poussière taquine. Un chaton faible et aux airs blafards à la Alain Bouchard sera signe de maladie.

5- Vérifiez l’état de propreté des oreilles. N’acceptez jamais un chaton dont les oreilles présenteraient des écoulements noirâtres ou de la cire. Un chaton en bonne santé devrait présenter des oreilles d’un brillant immaculé et sans odeurs.

Enfin, est-ce nécessaire de vous parler des puces? N’utilisez jamais de produits chimiques commerciaux sur les chats. Peu importent les marques ou les garanties du fabricant, ça reste du poison et ça peut tuer votre nouvel ami. Si vous souhaitez ne pas prendre de risque avec d’éventuelles puces, donnez un bain à minou en commençant toujours par mouiller la tête et en allant doucement vers la queue. Les poux détestent le shampooing et se noient dans l’eau, un traitement devrait suffire à astiquer le chaton. La vaccination est recommandée et pour aussi peu qu’une trentaine de dollars, votre chat sera immunisé contre la plupart des infections courantes et surtout contre la rage.

Oh, le petit chat abandonné!

Quand on pense que plus de la moitié des propriétaires de chats le sont devenu en voulant sauver un petit chat abandonné, il est important de prendre connaissance des quelques trucs suivants pour vous aider à domestiquer un chaton aux origines douteuses.

Quand vous trouvez un petit chaton à l’extérieur, toujours lui offrir un espace bien chaud. Ça pourrait être une vieille couverture qu’il pourra garder comme lit, un vieux coussin, et beaucoup d’amour. Assurez-vous que chaton ne soit pas déshydraté, offrez-lui de l’eau tiède, il devrait boire goulûment. Ne donnez jamais du lait à un chat. Contrairement à la croyance populaire, ceux-ci n’ont pas les enzymes nécessaires à la digestion des produits laitiers et risquent de faire une diarrhée ou de douloureux gaz intestinaux. La nourriture devrait être molle au début et progressivement sèche après six mois.

Tôt ou tard, minet aura envie de faire pipi-caca et il faudra s’attendre à quelques dégâts. Les chats ne vont pas automatiquement dans la litière et il faudra les aider pendant quelques jours. Un bon truc pour faire comprendre à minou qu’il ne faut pas faire ses besoins sur l’ordinateur de papa ou sur la veste de cuir du chum à papa est de prélever le caca frais et le placer dans la litière. le chat cherche toujours à faire ses besoins au même endroit, il considérera vite la litière comme sa toilette. Essayez de ne pas enlever les besoins dans la litière systématiquement après chaque livraison, donnez la chance à votre poupon de bien localiser son coin toilette, vous ne le regretterez pas. N’oubliez pas de toujours vérifier pendant les premiers jours l’état des selles. Après que chaton eut laissé sa carte de visite, vérifier s’il présente des traces de diarrhée, de sang rouge ou noir ou de vers. Pour ceux qui voudraient apprendre a leur chat à faire ses besoins directement dans la toilette et proprement, rendez vous au site Internet http://www.greyware.com/authors/karawynn/toiletcap.htp vous rigolerez un bon coup.

Je t’aime minou!

Les animaux domestiques ne devraient jamais être considérés comme des jouets ou des objets de domination pour des maîtres frustrés. N’oublions pas qu’ils sont nos prisonnier, ces petites bêtes ne veulent que votre affection et savent nous la redonner en abondance. Même si minou était un peu entêté et s’il lui arrivait de faire des mauvais coups, il ne servirait à rien de le frapper ou de le brutaliser. Il ne comprendra pas et aura simplement peur de vous, sans changer son comportement. Patience et douceur sont encore les meilleures méthodes. Un animal qui n’aura pas peur de son maître sera plus susceptible de faire ce qu’on attend de lui. Si votre chat vous cause des tourments, parlez-en à votre vétérinaire ou téléphonez à un technicien de la S.P.C.A., on se fera un plaisir de vous donner des conseils précis, cas par cas.

Est-ce que l’Empire doit payer pour le mariage du Prince William?

Wednesday, November 17th, 2010

Par Roger-Luc Chayer

La question se pose évidemment au lendemain de l’annonce des fiançailles du Prince William, 2ème dans la lignée des successeurs au trône du Canada car ne l’oublions pas, notre pays est une monarchie dirigée actuellement par une Reine et la Reine est le chef d’état du Canada, au dessus du Premier ministre fédéral et encore plus loin des premiers ministres provinciaux. Tant et aussi longtemps que notre système sera monarchique, nous aurons à nous prononcer sur les décisions du chef de l’état et de ses successeurs.

À l’heure actuelle, le successeur au trône du Canada est le Prince Charles, fils ainé de la Reine, suivi de son petit-fils le Prince William qui vient d’annoncer son intention de se marier en 2011 avec Kate Middleton. Si le Prince Charles décide de ne pas accepter le poste de Roi du Canada lors du départ de sa mère, le poste reviendra au Prince William qui deviendra alors Roi du Canada. Comme on se prépare à une noce importante au niveau politique en 2011, pour la gouvernance du Canada du moins, la question se pose maintenant à savoir si le Canada devrait payer en partie les frais de ce mariage princier.

Historiquement le Canada a rarement défrayé le cout des événements monarchiques lorsqu’ils s’inscrivent dans les affaires familiales de notre famille royale. Le Canada paie toutefois pour la présence royale lorsque la Reine est au pays et pour sa représentation officielle via le Gouverneur Général du Canada et les Lieutenant-gouverneurs provinciaux. Comme le mariage du Prince William s’inscrit dans une affaire strictement familiale, qui n’a rien à voir avec la gouvernance du Canada et que les personnes impliquées résident actuellement en Angleterre, il me semble que la facture du mariage princier devrait revenir totalement à la famille plutôt qu’aux états membres de l’Empire ou des états qui ont pour chef la Reine actuelle.

Toutefois et selon la même logique, lorsque le Prince William deviendra Roi du Canada, il sera alors logique que nous assumions une partie des frais du couronnement, en proportion de notre population, avec les autres pays de l’Empire qui ont pour chef d’État celui qui deviendra Roi du Canada et des autres pays comme l’Angleterre, l’Écosse, l’Irlande du Nord, l’Australie et la Nouvelle-Zélande.

Certains se questionneront toutefois sur cette responsabilité qui incombe en partie au Canada arguant que la monarchie n’est plus aussi populaire que par le passé, que le Québec aspire à son indépendance et qu’il ne devrait pas payer même en partie pour ces cérémonies etc. etc… Nous avons un chef d’état, qui est actuellement une Reine et qui sera un jour un Roi, c’est sur cette base qu’existe notre pays et tant qu’il sera ainsi composé, et tant que le Québec ne se sera pas séparé du reste du Canada pour voler de ses propres ailes, nous devons accepter de vivre avec ce chef d’état. À moins que nous préférions avoir des Présidents comme on en retrouve en Afrique en remplacement de la monarchie? Et qui dit qu’un Québec souverain ne choisirait pas de déclarer son indépendance sous la couronne, en conservant un Roi comme chef d’État? Un éventuel Québec souverain n’a pas l’obligation, en plus de son indépendance, de faire la révolution et de devenir une République… Il me semble que le Roi William serait un excellent chef d’état du futur pays du Québec, c’est mieux qu’un Président André Boisclair avouons-le…

70- Un nouveau magazine gay en Inde Le prince gai Manvendra Singh Gohil en est le fondateur

Thursday, August 19th, 2010

Par Yagg
Photo Yagg

Le célèbre prince indien ouvertement gay, Manvendra Singh Gohil, activiste des droits LGBT et de la lutte contre le VIH, lance un nouveau magazine gay en Inde.

Après le premier magazine gay Bombay Dost et le lancement le mois dernier d’un premier magazine lesbien Fantasy, le prince rose (comme il était surnommé en Inde lorsqu’il était petit, parce qu’il ne voulait porter que des tenues de cette couleur sur les photos officielles de la famille royale) propose un nouveau magazine intitulé Fun, tiré à 75 000 exemplaires, qui se veut un peu différent.

Le premier magazine gay, Bombay Dost, parle des droits LGBT et des questions liées au VIH. Mais ce nouveau magazine parlera plutôt des modes de vie des hommes gays.

L’Inde n’a dépénalisé l’homosexualité qu’en 2009, et le prince Manvendra Singh Gohil n’est pas étranger aux évolutions de son pays ces dernières années sur les questions LGBT.

Dès 2000, il s’engage dans le militantisme LGBT en lançant Lakshya Trust, une ONG dédiée à la prévention sida/VIH chez les hommes gais. Il organise alors également de façon annuelle un festival pour soutenir de jeunes artistes et musiciens homos.

En 2006, il provoque la surprise en révélant publiquement son homosexualité, devenant ainsi le seul membre de la descendance royale indienne moderne ouvertement gay. Une action qui a valu à ce membre de l’une des plus riches familles de l’ancienne Principauté du Rajpipla, dans l’État du Gujarat, d’être déshérité par ses parents (auprès de qui il avait déjà fait son coming-out quatre ans plus tôt) qui n’ont pas supporté cette révélation publique.

Une réaction qui ne l’a pas dérangé puisqu’il affirmait alors que son héritage ne l’intéressait pas et qu’il avait « fondé une famille au sein de la communauté ». « En tant que militant, j’ai pensé qu’il était juste que je sorte du placard, autrement cela aurait été vivre dans le mensonge (…) et cela permettra aux gens de parler plus ouvertement d’homosexualité puisque c’est encore un sujet tabou » ajoutait-il. Quelques semaines plus tard, sa famille revenait sur sa décision et déclarait publiquement que le fils unique serait rétabli dans ses droits. Quelque mois plus tard, le prince annonçait qu’il soutenait le droit pour les couples de même sexe d’adopter et qu’il souhaitait lui-même adopter un enfant ou un adolescent et peut-être se marier au Népal.

Manvendra Singh Gohil est ainsi devenu une véritable célébrité à l’international. De nombreux reportages lui ont été consacrés, il a également participé à plusieurs show-télévisés, dont celui d’Oprah Winfrey, ou encore une émission de télé-réalité britannique intitulée The Uncover Princes. Il était enfin l’invité d’honneur de l’EuroPride 2008 à Stockholm:

La vie gay à Monaco

Saturday, October 10th, 2009

Le Prince Rainier s’est éteint alors que la Principauté s’allume…
Par: Roger-Luc Chayer, Éditeur
Le plus petit état indépendant du monde après le Vatican vient de vivre un
énorme drame qui met en  émoi la communauté internationale: le Prince
Rainier, adoré de tous, a succombé à la maladie, dans un climat sociale
qui pourrait faire exemple dans de nombreux autres pays qui se prétendent
aussi riches.
La Principauté de Monaco, avec ses 1,95 km carrés, se traverse à pied en
quelques minutes pour les jeunes et en une à deux heures pour les plus
vieux. Petit vous dites? Certainement en superficie mais pas en impact
social ou en réputation. Ce petit paradis fiscal situé au sud de l’Europe,
enclavé par la France, entre les villes de Nice et la frontière italienne,
a toujours été indépendant, ce qui n’aura pas toujours contribué à aider
certaines causes sociales dans le passé, comme l’épanouissement des
homosexuels.
En fait, il faudrait surtout parler ici de militantisme gay puisque nous
sommes loin de parler ici d’un état totalitaire privant ses citoyens des
droits les plus fondamentaux. Au contraire la Principauté de Monaco a
été, et ce particulièrement depuis la seconde guerre mondiale, un exemple
en matière de droits individuels et les observations contenues dans cet
éditorial ne sont rien de plus qu’une critique sympathique de la situation
d’une autre époque..
Bref, en 2000-2001, alors que Le Groupe National (www.le-national.com)
tentait une percée médiatique web vers l’Europe, j’ai tenté, comme res-
ponsable de ce site internet, de créer des liens avec les autorités politiques
locales pouvant mener vers la création d’un espace convivial pour que les
gais et lesbiennes puissent partager leurs réalités avec d’autres comme
eux.
Un centre communautaire, une agora ou un simple espace prêté par la ville
de Monte-Carlo (Capitale de Monaco), l’espace importait peu puisque
nous n’anticipions pas une masse de participants puisque le pays en entier
ne compte que 35,000 habitants et que la cohabitation étant à l’étroit, nous
ne pouvions qu’espérer quelques dizaines de personnes qui viendraient à
visage découvert dire qu’ils étaient gais.
Comme éditeur et préoccupé par la situation sociale des gais d’une région
où j’ai personnellement habité à une autre époque, je n’ai peut-être pas
eu le succès escompté puisque non seulement il n’aura pas été possible
d’ouvrir un centre d’épanouissement pour les homosexuels de Monaco
mais je n’aurai même pas eu un suivi des politiciens locaux. Il faut bien
comprendre qu’à l’époque, comme tout le monde habitait aux sur un ro-
cher et que les probabilités de croiser un voisin étaient mathématiquement
très élevées, contrairement aux pays de grands espaces comme le Canada,
même les politiciens et les autorités locales pouvaient ressentir un certain
malaise à parler de la question gay de peur de passer pour gay.
Monaco est toutefois un pays, comme je le disais plus tôt dans cet article,
qui est capable de surprendre bien du monde et la Principauté, dans le cas
du traitement et de la prévention du SIDA, marquait la cadence en y allant
de la fondation d’un organisme absolument fascinant, l’Association Fight
Aids Monaco!
Présidée par une Princesse, fort populaire dans son pays pour ses actions
humanitaires, la FAM organise depuis quelques années des événements
de financement qui font rêver les autres associations européennes et nord
américaines. Certains diront que c’est facile de réussir avec brio dans un
si petit pays, je suis de ceux qui croient qu’il est effectivement facile de
réussir avec brio mais pas pour les mêmes raisons. Voyez-vous, la FAM
est administrée par la Princesse qui préside le Conseil d’Administration
et qui veille à ce que la vocation de l’association soit non seulement res-
pectée, mais que l’argent serve exactement à ce à quoi il a été récolté: La
recherche et l’aide aux personnes atteintes de la Principauté.
Pourquoi en parler à partir de Montréal dans un magazine qui n’a rien
à voir, ou si peu, avec Monaco? C’est que nous croyons qu’il est tou-
jours possible de faire mieux avec les ressources disponibles et que
d’autres, ailleurs, y arrivent au prix de certains efforts. Ce n’est pas
demain que le SIDA sera guéri au Canada comme à Monaco ou ailleurs,
mais la qualité de vie des personnes atteintes, le coût des médicaments,
la qualité de la nourriture à être consommée par les personnes vivant
avec la maladie et la réputation de la cause, parfois malmenée à cause
de quelques individus qui voient en elle une entreprise trop lucrative
pour ne pas être exploitée, tout cela demande que nous mettions toutes
nos énergies à faire de la question, une affaire bien gérée et propre, les
personnes atteintes le méritent et de toute façon, elles en ont besoin
pour survivre. La visite du site monacosida.org en vaut le détour…
Revue Le Point – 33 – 2005
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