Posts Tagged ‘homophobe’

Mel Gibson: Il ne serait pas homophobe selon son frère gai!

Saturday, July 30th, 2011

Par Yagg.com

Et si en fait Mel Gibson était un incompris? C’est ce que pense son frère adoptif An- drew Gibson. Reconnaissant que Mel s’est laissé aller à un dérapage homophobe lors d’une interview en 1991, An- drew, qui se trouve être lui- même homosexuel, raconte qu’il ne l’a, en dehors de cet écart, jamais entendu pro- noncer de propos anti-gays, et qu’il s’est montré plein d’amour lors du coming-out de son petit frère il y a plus de 20 ans.

Pacte tacite entre l’État et les islamistes autour des tabous de société Est-ce que le Maroc est homophobe?

Saturday, July 30th, 2011

Selon Ali Amar [email protected]

Photo Google

«Ils veulent homosexualiser le Maroc!». Il y a plus d’un an, cette accusation pour le moins étonnante avait fleuri dans la bouche des conservateurs du royaume alors qu’une polémi- que homophobe faisait rage dans la presse marocaine.

Attajdid, l’organe du parti isla- miste Justice et Développement (PJD, principal parti d’opposi- tion), dont les membres se défi- nissent pourtant eux-mêmes comme modérés, était monté au créneau pour dénoncer l’invitation faite par le Palais à la star du pop britannique Elton John. Parce qu’homosexuel, le chanteur, qui s’était produit lors du festival de musique Mawâ- zine de Rabat sous le patrona-

ge du roi Mohammed VI en per- sonne, avait été accusé de vou- loir «pervertir les Marocains».

Depuis, d’autres événements avaient fait rugir les islamistes, qui n’hésitent plus à crier au complot ourdi par l’Occident contre les «valeurs de la socié- té marocaine». Contrairement aux idées reçues, la monarchie —qui a pourtant l’avantage d’être prise pour modèle dans le monde arabe en ces temps incertains— et les islamistes ont, sur ces questions, des inté- rêts convergents.

Les affaires des «rockers sata- nistes» en 2003, des «homos de Ksar El Kébir» en 2008, des «déjeuneurs du Ramadan» en 2009 et, plus récemment, celle suscitée par le lancement de Mithly, le premier magazine gay du monde arabe en sont la par- faite illustration. L’État a du sé- vir pour calmer les islamistes…

En avril 2010, Mithly (maga- zine) était diffusé au Maroc. Sa naissance fut vécue comme l’annonciation de l’apocalypse par les conservateurs, et com- me un défi pour la monarchie, rétive à tout ce qui peut contre- dire son statut religieux. Pour- tant, point d’éphèbes posant nus, ni d’imagerie homosexuel- le explicite dans les colonnes de Mithly, dont le nom signifie «homo» en arabe, mais aussi «comme moi», imitant l’expres- sion apocryphe anglo-saxonne Good As You (GAY).

Mohamed Asseban, mem- bre du conseil des oulémas de Rabat, une sorte de clergé religieux qui vient d’ailleurs d’être officialisé par la nouvelle Constitution, promettait il y a quelques années «le bûcher pour les homos». Et il n’est pas le seul à le dire; la société ma- rocaine est incontestablement homophobe. Les homosexuels sont souvent qualifiés de «déviants sexuels», car, pour beaucoup, l’homosexualité est «contre-nature» puisqu’elle ne mène pas à la procréation. En effet, si le Maroc demeure sou- cieux de son image de moder- nité et d’ouverture aux yeux du monde en se proclamant «rempart contre les islamis- tes», ses positions révèlent sa gêne profonde lorsqu’il s’agit de libertés individuelles. D’ailleurs, la justice marocaine l’a toujours prouvé. Selon Kif-Kif, plus de 5.000 gays et lesbiennes ont séjourné dans les geôles du royaume depuis 1956, date de son indépendance.

Mais depuis quelques années, ces persécutions font grand bruit dans les médias. Au Ma- roc, la société patriarcale et les valeurs islamiques ont imposé un silence pesant sur les rela- tions humaines et, de surcroît, sur la sexualité en général. Un point de vue exacerbé par un regain de religiosité palpable au Maroc.

Les autorités accusées de s’être rendues complices d’une «dérive collective» par les gar- diens de la morale, très en verve, ont multiplié les actions répressives contre les brebis égarées de la foi. Le 10 décem- bre 2008, journée mondiale des droits de l’homme, un tribu- nal condamnait six personnes à des peines de prison ferme pour «perversion sexuelle». A l’origine, une parodie de «mariage gay» à Ksar el Kébir, une petite bourgade agricole du nord du pays où une foule hystériqueavaitfaillilyncherles convives de cette fête après la mise en ligne d’une vidéo sur YouTube. Des prêches enflam- més dans les mosquées fusti- geant «des libations obscènes» et une poussée de fièvre homo- phobe dans des journaux à sensation avaient poussé l’État à sévir. Mais depuis quelques années, en raison des diatribes islamistes et du regain de reli- giosité généralisé, la Gendar- merie royale se livre à des ra- fles dignes d’un autre âge. Un barrage est dressé à l’entrée de la ville, un simple délit de faciès suffit à identifier qui est homo- sexuel et qui ne l’est pas.

55- Ancien préfet, ministre d’État à Monaco et… homophobe

Saturday, December 18th, 2010

À Monaco, l’ambiance n’est pas toujours très gaie. Jean-Paul Proust, ancien préfet de police de Paris, qui siège au conseil national de la principauté, l’a prouvé lors de la réunion du dernier conseil. Pas de chasse aux sorcières ou de bûcher sur la place du palais. Mais surtout, il ne faut pas parler d’homo- sexualité. La preuve : dans ce pays concordataire, lors d’une séance parlementaire, les élus ont frôlé l’excommunication. Le 28 avril, le parlement local, le conseil national, s’apprête à voter bien gentiment un texte de loi incriminant les violences domestiques touchant tous les couples, y compris lesbiens et homosexuels.
« On est en 2008, on parle d’homosexualité et le gouver- nement est gêné… » « Il n’est pas gêné, il est contre », répond du tac au tac l’ancien préfet qui a mis au panier ses idées répu- blicaines et devient le gardien de l’orthodoxie monégasque. En indiquant que clairement, ces foutaises, « ça suffit ».
Les parlementaires sont sciés. L’un d’eux, le progressiste de la bande, Jean-Charles Gardetto, balance : « J’ai honte pour mon pays. Il y a des disposi- tions dans la convention euro- péenne des droits de l’homme qui garantissent le droit à la vie privée et familiale. J’ai l’impres- sion qu’on s’assoit dessus ». « Excusez-moi mais j’ai honte pour vous et pas pour moi », rectifie Proust qui ajoute : « Je représente le prince ici ».
Les débats sur l’homosexualité sont rediffusés sur Internet au www.conseil-national.mc/vi-
deo.php

Le journal Métro pas si homophobe que ça…

Saturday, October 30th, 2010

Numéro
D2006-08-008 (2)

Date de la décision
2007-02-02

Plaignant
M. Damien Girard

Mis-en-cause
Mme Claude-Sylvie Lemery, rédactrice en chef et le quotidien Métro

Résumé de la plainte
M. Damien Girard reproche au quotidien Métro d’avoir été complaisant et complice des propos  homophobes tenus dans une lettre d’opinion publiée le 8 août 2006.

Griefs du plaignant
M. Damien Girard reproche au quotidien Métro d’avoir publié une lettre d’opinion contenant des propos homophobes. Bien que le plaignant reconnaisse que le journal mentionne que « Les opinions exprimées dans cette tribune ne soient pas nécessairement celles de Métro », il considère que le journal a fait preuve de complaisance et de complicité en publiant cette lettre au contenu homophobe, intitulée « Personnes et actes homosexuels sont deux choses ».

L’auteur de cette lettre affirmait que « l’homosexualité est une déviation » et comparait de manière tendancieuse, les homosexuels aux fumeurs qui « nuisent » à la société. Le plaignant juge que ses propos sont rétrogrades et qu’ils insinueraient que la condition des homosexuels serait inutile, voire dommageable aux autres.

Le plaignant conclut en soulignant que les propos publiés ne font qu’attiser les préjugés et le mépris à l’endroit des gais.

Commentaire du mis-en-cause
Mme Claude-Sylvie Lemery fait d’abord une présentation du quotidien et souligne que bien que Métro soit un quotidien gratuit, il offre une information crédible et objective pour ses lecteurs. Leur indépendance journalistique est identique à celle des quotidiens d’information traditionnels.

Mme Lemery fait ensuite une mise en contexte des événements. La publication de la lettre de M. Lizotte faisait suite à un article publié le 25 juillet 2006 intitulé « Une voix discordante à l’approche des Outgames », concernant une conférence de presse organisée par M. Lizotte qui présentait son livre intitulé « L’Homosexualité, les mythes et les faits ». Deux jours plus tard, M. Lizotte demandait à Métro un droit de réplique en réponse à l’article qui lui aurait porté préjudice. Après quelques demandes d’ajustements, la lettre fut publiée dans la page « Opinions », le 8 août 2006. Le lendemain, Métro recevait la lettre de plainte du plaignant. Le journal aurait alors proposé à M. Girard la possibilité de s’exprimer dans les pages du journal, ce qu’il aurait refusé.

Entre temps, la mise-en-cause souligne que le journal a reçu plusieurs lettres de lecteurs en réaction à celle de M. Lizotte. Métro a décidé de les présenter en un seul bloc avec une présentation qui mettait en contexte la parution de ces lettres.

Elle ajoute que dès janvier 2005, Métro a publié plus de 50 articles en prévision des Outgames, en présentant les activités, les manifestations et les nouvelles concernant cet événement.
En conclusion, Mme Lemery souligne que le journal a effectué un travail journalistique irréprochable en publiant la réplique de M. Lizotte, en proposant un droit de réplique au plaignant et en publiant plusieurs lettres en réaction à la lettre de M. Lizotte. Selon elle, il est donc injustifié de déclarer que le journal a fait preuve de complaisance et de complicité en publiant la lettre de M. Lizotte.

Réplique du plaignant
M. Damien Girard rappelle que sa plainte ne concerne pas la couverture des Outgames, mais qu’elle vise une lettre publiée dans la rubrique « Opinions » du journal Métro, le 8 août 2006.

Il mentionne qu’il ignorait l’article paru le 25 juillet 2006 faisant état d’une conférence de presse donnée par M. Lizotte, lorsqu’il a lu la lettre de ce dernier dans la page réservée aux lecteurs. Selon lui, l’article lui paraît acceptable puisqu’il rapporte les réactions d’un porte-parole du groupe visé. Il soulève qu’il est étrange que Mme Lemery, qui qualifie l’article « d’irréprochable », acquiesce à la requête de M. Lizotte. Selon lui, c’est à ce stade que la rédactrice en chef aurait manqué de discernement et que « sa négligence a[urait] fait de ce journal le support momentané des propos discriminatoires de l’auteur ».

M. Girard souligne que l’argumentaire de l’auteur se résume à propager son idée que les gais sont inférieurs sans qu’on l’accuse d’être homophobe. Et pour cela, il utilise à l’aide de sophismes et d’obscures recherches, à séparer l’homosexuel de l’homosexualité. Selon lui, il allait de soi de refuser l’offre de Mme Lemery de justifier, par écrit, comment sa sexualité ne représente pas une menace pour les autres. Selon le plaignant, son invitation ne consistait donc pas à participer à un banal échange d’opinions mais à un débat menant directement à la remise en cause de la légitimité de droits difficilement acquis.

Il termine en mentionnant que c’est avec des propos, comme a tenu M. Lizotte, qu’on ridiculise, torture, incarcère et tue même des homosexuels dans plusieurs pays. Voilà donc pourquoi il a décidé de porter plainte au Conseil de presse en se basant sur un article tiré du guide Droits et responsabilités de la presse. « Selon la Charte des droits et libertés de la personne du Québec, toute personne « a droit à la reconnaissance et à l’exercice, en pleine égalité, des droits et libertés de la personne, sans distinction, exclusion ou préférence fondée sur la race, la couleur, le sexe, la grossesse, l’orientation sexuelle, l’état civil, l’âge […], la religion, les convictions politiques, la langue, l’origine ethnique ou nationale, la condition sociale, le handicap […].

Les médias et les professionnels de l’information doivent éviter de cultiver ou d’entretenir les préjugés. Ils doivent impérativement éviter d’utiliser, à l’endroit des personnes ou des groupes, des représentations ou des termes qui tendent à soulever la haine et le mépris, à encourager la violence ou encore à heurter la dignité d’une personne ou d’une catégorie de personnes en raison d’un motif discriminatoire.

En tout temps, et en toute situation, les reporters, commentateurs et éditorialistes doivent s’obliger aux plus hauts standards professionnels en cette matière. »

Décision
M. Damien Girard reprochait au quotidien Métro d’avoir publié des propos homophobes, tels que « l’homosexualité est une déviation qui ne profite ni à l’individu ni à la société » et en comparant l’homosexualité aux fumeurs qui « nuisent » à la société, dans une lettre publiée dans la rubrique « Opinions », le 8 août 2006. La rédactrice en chef, Mme Lemery, répond que la lettre a été publiée afin d’accorder un droit de réplique à un lecteur et avait invité M. Girard à écrire lui aussi dans la section réservée aux lecteurs, mais que ce dernier aurait refusé.

La latitude dont jouit un média, ses jugements d’appréciation en matière de publication de lettres ouvertes doivent demeurer conformes à sa responsabilité d’informer le public et de veiller à ce que les lettres des lecteurs ne véhiculent pas des propos outranciers, insultants ou discriminatoires pouvant être préjudiciables à des personnes ou à des groupes. Même si la publication de lettres de lecteurs ne constitue pas toujours le meilleur moyen de réparer le préjudice causé, les médias doivent s’ouvrir aux commentaires. Le Conseil note que le journal a consacré sa rubrique « Opinions », du 14 août 2006, à la réaction de plusieurs lecteurs, permettant ainsi d’équilibrer les points de vue.

La jurisprudence du Conseil indique que l’usage en pareil cas est de considérer que même si la publication de lettres de lecteurs ne peut réparer complètement le tort causé, la publication peut libérer les mis-en-cause d’un blâme. Le grief est par conséquent rejeté.

Au deuxième point soulevé par le plaignant à l’effet qu’en publiant des propos homophobes, le journal aurait fait preuve de complaisance et de complicité. Le Conseil est d’avis qu’en ayant considéré que le journal avait respecté ses devoirs quant à la démarche à suivre concernant l’accès du public aux médias, et en ayant fait une recommandation à cet égard, ce serait faire un procès d’intention au journal que de retenir ce grief. Le Conseil estime que les éléments soumis à son analyse ne permettent pas d’établir d’intention malveillante. Le grief est donc rejeté.

Compte tenu des éléments exposés ci-haut, le Conseil de presse rejette la plainte de M. Damien Girard à l’encontre du quotidien Métro.

Analyse de la décision
C08A Choix des textes; C08I Lettres discriminatoires; C18C Préjugés/stéréotypes; C18D Discrimination

Appelant
M. Damien Girard

Décision de la commission d'appel
La commission d’appel du Conseil de presse du Québec a étudié l’appel que vous avez interjeté relativement à la décision rendue par le comité des plaintes et de l’éthique de l’information dans le dossier cité en titre.

Après examen, les membres de la commission ont conclu à l’unanimité de maintenir la décision rendue en première instance.

Par conséquent, conformément aux règles de procédure, nous rejetons votre appel et fermons le dossier cité en titre.

Jean Laroche du Journal de Québec homophobe?

Saturday, March 7th, 2009

Le Journal de Québec cherche le scandale… Dans un article du 4 mars 2009 signé de Jean Laroche et publié dans le journal de Québec, le journaliste a tenté, sans succès, de créer un scandale “homosexuel” en impliquant un confrère journalste dans une prétendue affaire de films pornographiques sur GGTV. Mon confrère a répondu comme il se doit en déclarant que GGTV avait une section adulte, comme TQS avait Bleu Nuit et que le fait de travailler avec un journaliste gai permettrait à ceux qui le croyaient homophobe de se la fermer…

Toutefois, nous pouvons nous questionner sur le manque important de connaissances de la communauté de la part de Jean Laroche et même, de son propre média qui offre lui aussi des services pour adultes. Le journaliste du Journal de Québec n’a pas contacté GGTV mais s’il l’avait fait, au moins pour compléter son dossier, il aurait su que GGTV n’est pas un site pornographique loin de là puisque le terme n’a jamais été utilisé par GGTV. La section adulte de GGTV, le Canal 2, propose en effet des critiques de films pour adultes gais, aucun film n’est diffusé dans son intégralité et il n’y a que des critiques, parfois bonnes, parfois mauvaises avec des extraits de ces films. Le journaliste a aussi oublié de mentionné qu’il était abonné à GGTV depuis plus de 2 ans et qu’il avait accepté les termes quant à la nudité accessible uniquement avec divers mots de passe…

Tous les films en diffusion sur GGTV sont en vente dans les commerces du Québec et ont un permis de la Régie du Cinéma du Québec. Toutes les annonces de prostitution du Journal de Québec, 422 annonces dans l’édition qui parlait de GGTV, 44 pages sur le site web du Journal de Québec sont probablement beaucoup moins légales… En consultant GGTV, personne ne commet d’acte illégal alors qu’en consommant les annonces de prostitution, d’escortes ou de pseudo-masseuses aux grosses poitrines du Journal de Québec, on peut se retrouver en prison, drette-là.

Le Canal 2 ne constitue qu’environ 1% du contenu offert sur GGTV, 99% correspond a des textes santé, économiques et des sujets qui intéressent les gais et lesbiennes. La boutique Basic propose des oeuvres artistiques et culturelles faites par des gais, Le Point est un média magazine santé et affaires pour les hommes gais et a la réputation d’être le média qui offre le moins de nudité masculine en comparaison avec ses concurrents gais. Et comble de désinformation, le journaliste qui a signé ce texte, Jean Laroche, publiait son texte dans un journal publié par Québécor, qui propose quelques pages plus loin, des tonnes d’annonces de prostitution, d’escortes, de masseuses, 44 pages de contenu adulte sur son site web et jamais Le Point ni GGTV ne feraient cela. Pourquoi alors est-ce que le journaliste a autant voulu associer une pseudo-pornographie à l’homosexualité? L’homophobie et sa haine ou peur des homosexuels dans ce qu’ils représentent. J’en suis un, la loi me protège, la loi nous protège collectivement de ce type d’acte.

Le journaliste a voulu humilier et détruire la réputation d’un ami et collègue de travail en utilisant mon orientation sexuelle comme outil négatif sans mentionner que son propre média publiait des annonces de salons de massage et pire, les implications sociales que ces actes causent à la société quant à la prostitution et aux activités connexes comme la drogue et la pauvreté devraient soulever le dégoût chez son propre média. Le journaliste a prouvé qu’il était non seulement homophobe, mais qu’il publiait dans un vrai outil porno, que son journal en tirait des revenus et en cela, les homosexuels sont en droit de réagir. En date du 7 mars 2009, il y a 5214 abonnés à GGTV, 5214 victimes de l’homophobie d’un journaliste de Québec qui a besoin d’être informé et éduqué.

Vous souhaitez réagir? Envoyez-nous un courriel avec vos commentaires sur cette question et nous déciderons de porter ou pas cette affaire devant la Commission des Droits de la Personne du Québec pour discrimination basée sur l’orientation sexuelle de la part du Journal de Québec et de Québécor. À vous de vous exprimer…