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Elle recevrait des dons du public!

Friday, December 9th, 2011

Même fermée et inopérante,
la Fondation SIDA-Montréal
recevrait des dons…
Photo: Gay Globe Média
Suite à nos récentes recherches portant sur des organisa- tions SIDA à Montréal, et dans le cadre de nos dossiers sur la prudence face à certaines organisations qui ne respectent pas toujours les règles et la Loi face aux fonds récoltés pour le SIDA, nous tombions récemment sur le CV d’une jeune avocate montréalaise qui, se targuant de faire des dons pour le SIDA, annonçait avoir versé tous les profits générés par une parade de mode à la Fondation SIDA-Montréal.
Dans sa page de présentation, l’avocate, qui n’est plus em- ployée par la firme qui publie le CV, mentionne en anglais: “In 2005, she helped organized a variety show of which eve- ry penny went to the Sida-Montréal Foundation.”
Vérifications faites, il appert que selon le Registraire des Entreprises du Québec, la Fondation SIDA-Montréal était non seulement radiée et non opérationnelle en 2005, elle l’était depuis 1999!
Curieux de savoir comment on pouvait faire un don en ar- gent à un organisme qui n’existe plus et surtout de la part d’une avocate, Gay Globe a demandé par courriel à l’avocate de nous fournir le montant donné et de nous indiquer si des vérifications avaient été faites au préalable sur cet organis- me. Nous recevions comme réponse que le don avait en fait été fait à une autre fondation, maintenant toutefois le nom de la Fondation SIDA-Montréal sur sa présentation même après avoir été informée de notre dossier.
De plus, impossible de vérifier les dires de la généreuse avocate auprès de la Fondation SIDA-Montréal puisque le registre ne fait plus état d’aucun administrateur. De plus, l’avocate sentant la soupe chaude, nous mettait rapidement en demeure de ne pas publier notre dossier faute de quoi elle nous poursuivrait en diffamation.
Ceci confirme la nature de nos appels à la prudence. Dans des causes comme celle du SIDA, les dons du public peuvent être détour- nés grâce à des situations confuses. Pendant qu’on se sert de cette cause pour faire mousser son CV et sa réputation, quand vient le temps d’expliquer les irrégu- larités, qui émanent pour- tant de l’avocate elle-même, voilà qu’on nous demande de nous taire. Il n’a pas été possible de vérifier avant publication si un tel don avait été fait ou pas à la Fondation SIDA-Montréal ce qui démontrerait aussi la facilité avec laquelle on peut dire n’importe quoi pour faire mousser sa réputation. Nous recommandons donc fortement à nos lecteurs de toujours être prudents avant de donner et de nous consulter en cas de doute. Nous supportons depuis des années la Fondation d’Aide Directe SIDA-Montréal, qui est tout à fait sérieuse, si ja- mais vous souhaitiez poser un geste de générosité!

Gay Globe Média recommande un organisme!

Friday, December 9th, 2011

Comme à chaque année, GGMag recommande à ses lecteurs de donner à une seule organisation SIDA, la Fondation d’Aide Directe SIDA-Montréal, reconnue et efficace. Voir le www. fadsm.org/

La Fondation Québécoise du SIDA coûte cher!

Friday, December 9th, 2011

Elle serait endettée au max!
Photo: Frequencevih
Seule une portion minime des milliers de dollars collectés chaque année par la Fondation québécoise du sida (COCQ- SIDA) revient à la lutte contre le VIH. L’immense majorité des dons sert plutôt à recruter de nouveaux donateurs, nous a appris Radio-Canada.
Selon les rapports financiers déposés ces quatre dernières années auprès de Revenu Canada, 80 % des dépenses de la Fondation sont consacrés aux campagnes de collecte des dons ainsi qu’au règlement des factures de l’organisme. Seul un cinquième de l’argent amassé est donc alloué aux activi- tés de bienfaisance.
Le groupe Charity Intelligence considère en l’occurrence que les sommes consacrées au recrutement de nouveaux dona- teurs sont beaucoup trop élevées. « Plusieurs organisations font le choix de s’adresser à des firmes de sollicitation pour trouver des donateurs et cela les avantage », explique Greg Thomson, directeur de recherche du groupe basé à Toronto, spécialisé dans la surveillance des organismes de charité. « Mais, dans le cas de la Fondation québécoise du sida, il semble que ce soit un mauvais choix », souligne-t-il.
Le directeur général de la Fondation reconnaît que cette solution est coûteuse, mais qu’elle devrait s’avérer payante d’ici deux ans. « C’est très difficile, je reconnais que ça coûte cher… Mais, à long terme, ça va rapporter », argue Ken Mon- teith, soulignant que les dons sont la seule source de finan- cement de l’institution. Le directeur songe toutefois à recou- rir à une autre firme de sollicitation pour réduire ses coûts.
La Fondation québécoise du sida présente un budget défi- citaire depuis quatre ans. Dans les prochaines années, elle devra rembourser un prêt de plusieurs centaines de milliers de dollars que lui avait accordé le lobby français du sida afin de payer la firme de recrutement.

Journée mondiale de lutte contre le sida 1er décembre 2011 – Le virus du VIH était découvert il y a 30 ans : La Fondation l’Actuel marque le coup avec un événement-bénéfice exceptionnel mettant en vedette Diane Dufresne et les Violons du Roy

Tuesday, November 15th, 2011

CNW
MONTRÉAL, le 15 nov. 2011 /CNW Telbec/ – La Journée mondiale de lutte contre le sida du 1er décembre prochain marque également cette année le 30e anniversaire de la découverte scientifique de la maladie. Afin de souligner l’importance de cet anniversaire marquant, la Fondation l’Actuel présente un événement-bénéfice exceptionnel réunissant l’incomparable Diane Dufresne et l’ensemble à corde renommé Les Violons du Roy.

« Nous souhaitons sensibiliser les gens et mobiliser la communauté d’affaires, tout en saluant le combat mené ici par des milliers de personnes, porteuses du VIH ou non», a souligné André Boisclair, président de la Fondation l’Actuel. «L’événement placé sous le signe de l’espoir se veut aussi une occasion de souligner le dévouement dont font preuve les professionnels de la santé, chercheurs et associations de tous horizons, de toutes missions dans cette lutte quotidienne qui, malgré ce que beaucoup croient, est encore très loin d’être gagnée», a-t-il ajouté.

Pour le porte-parole de la Fondation, le Dr Réjean Thomas, il est important de continuer la sensibilisation parce que malgré certaines croyances malheureusement répandue, le SIDA demeure une maladie mortelle et les nombreuses statistiques démontrent que le VIH et les ITSS se transmettent encore beaucoup au Québec. Il rappelle également que l’objectif d’éradiquer la maladie d’ici 10 ans a été proclamé récemment par le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-Moon. «Profitons du 30e anniversaire de la découverte scientifique de la maladie pour faire le point et surtout, de nouveau, faire de la sensibilisation», a-t-il déclaré.

Un triste anniversaire… mais de l’espoir !
Depuis son apparition il y a 30 ans, le sida a fait 25 millions de victimes. Aujourd’hui, 7000 personnes par jour contractent le VIH à travers le monde, 33 millions de personnes vivent avec le virus alors que 10 millions d’entre elles n’ont pas accès à des traitements.

Au Canada, environ 65 000 Canadiens vivaient avec le VIH en 2008 et le nombre de nouveaux cas d’infection par année a augmenté depuis 2005. Au Québec, 280 cas d’infection ont été enregistrés au premier semestre 2010 et on estime à environ 700 le nombre de nouvelles infections par année.

Un spectacle unique au profit d’une organisation essentielle
Rendu possible avec le soutien de Bristol-Myers Squibb, ce spectacle sera précédé d’un cocktail. Dirigé pour l’occasion par Simon Leclerc, Les Violons du Roy, fleuron de la musique québécoise, accompagneront la grande Diane Dufresne pour offrir, le temps d’une soirée magique, une première prestation montréalaise exclusive et originale. BMO Groupe financier a accepté, au grand plaisir de la Fondation, d’agira à titre de commanditaire principal.

Fondation l’Actuel
Créée en 2006, la Fondation L’Actuel a pour objectifs d’assurer le bien-être des personnes atteintes du VIH/sida, des ITS et des hépatites, de favoriser l’accès à la recherche, au dépistage, aux traitements ainsi qu’aux soins de ces mêmes personnes et, finalement, de favoriser la prévention du VIH/sida, des ITSS et des hépatites dans la population. Elle lance d’ailleurs aujourd’hui, avec le soutien de Bristol-Myers-Squibb et de l’initiative Une Vie (www.unevie.ca) une toute nouvelle campagne de dépistage du VIH afin d’en prévenir la transmission. Cette offensive permettra aux clientèles cibles d’avoir accès gratuitement à un test de dépistage rapide.

De plus, La Fondation l’Actuel complète notamment une étude afin de mieux cerner la réalité des personnes de plus de 50 ans vivant avec le VIH. Finalement, grâce à un partenariat fructueux avec la Fondation canadienne du foie, elle a pu se procurer un appareil Fibroscan, l’un des seuls au Québec et le premier à être disponible à l’extérieur du milieu hospitalier.

Se procurer des billets pour « Diane Dufresne et les Violons du Roy », un événement BMO Groupe Financier, le 1er décembre 2011 à 20 h (cocktail à 18h30) au Monument-National :

Billetterie du Monument-National – 514-871-2224 ou sans frais au 1-866-844-2172
Réseau Admission – 514-790-1245 ou admission.com
Succursales de la pharmacie Martin Duquette – 1001, boul. de Maisonneuve Est et 600, Sherbrooke Est
Boutiques Duo – 24-30, rue Prince Arthur Ouest
Auprès des membres du conseil d’administration et amis de la Fondation l’Actuel

Pour de plus amples renseignements ou faire un don consultez : fondationlactuel.ca

Renseignements :

Source :
Martin Roy
Martin Roy / Consultation, Communications, Solutions
[email protected]
438-580-6830

Pour renseignements :
Isabelle Pelletier
HKDP
[email protected]
514-238-4178

¨Ça Marche de la Fondation Farha

Sunday, September 18th, 2011

PC
La Fondation Farha tient dimanche, à Montréal, la 19e édition de l’événement «CA MARCHE».

Cet événement annuel est un marchethon de 7 km à travers le centre-ville, au cours duquel les participants amassent des fonds afin de soutenir la Fondation Farha.

L’argent recueilli est par la suite versé à une quarantaine d’organismes qui s’occupent des personnes vivant avec le VIH/SIDA au Québec.

Plus de 5000 marcheurs étaient inscrits pour la marche de dimanche. L’objectif est d’amasser 400 000 $.

Depuis 1993, l’événement a permis de recueillir plus de 8 millions $, pour aider les personnes atteintes mais aussi pour des activités de prévention.

Ricky Martin et la Fondation Émergence…

Thursday, August 25th, 2011

http://www.gayglobe.us

Ricky Martin : Il a eu du
mal à accepter son homosexualité
Ricky Martin a avoué son
homosexualité en mars
2010. Cependant, le chanteur
avoue avoir eu beaucoup
de mal à accepter le
fait qu’il soit gay.
Ricky Martin fera l’objet
d’un reportage sur la chaîne
américain VH1 le 14 août
prochain. Intitulé Behind
The Music, ce documentaire
reviendra sur la carrière
du chanteur mais aussi sur
la révélation de son homosexualité
en mars 2010. Il
a accepté de se faire interviewer
à cette occasion et
avoue qu’il a eu beaucoup
de mal à se faire à l’idée qu’il
soit gay. “J’essayais si fort de
croire au fond de moi que je
n’étais pas homosexuel, parce
que tout ce que je présentais
sur scène était loin de ça. Donc j’étais très confus”,
explique-t-il sur VH1.
Aujourd’hui, Ricky Martin
est prêt à être honnête même
avec ses deux enfants nés
par mère porteuse en août
2008.
“Mes bébés sont nés, je les
tenais et je me disais que je
devais être fort, que j’avais
besoin d’être heureux, de
faire tout ce qu’il faut pour
eux, de les voir grandir dans
une maison pleine d’amour,
de transparence et que vaisje
leur apprendre, à mentir ?
Mes enfants auront des
questions sur moi et je leur
dirais juste : Oui, papa est
gay”, avoue-t-il. Pleinement
heureux, Ricky Martin
continue sa carrière dans la
musique avec un nouvel album
sorti en février dernier
et est actuellement en tournée
mondiale.

Une campagne contre
le racisme chez les homosexuels
La Fondation LGBT québéquoise
Émergence a lancé
jeudi une campagne de lutte
contre le racisme au sein des
communautés homosexuelles.
Baptisée “Non à l’homophobie,
non au racisme!”,
la campagne prévoit aussi
de l’information à destination
des nouveaux arrivants
originaires de pays où l’homosexualité
est illégale ou
sanctionnée. 5.000 immigrants
LGBT rejoindraient le
Québec pour s’y établir chaque
année.
NDLR: Cet article a soulevé
une vive interrogation de la
part de la rédaction de GGMag
qui a interrogé le Ministère
de l’immigration sur le
chiffre avancé de 5000 immigrants
LGBT qui s’établiraient
au Québec. Non seulement Immigration
Québec ne pouvait trouver
trace d’un tel chiffre, assez
spectaculaire vous en
conviendrez, mais les données
disponibles du ministère
ne permettent pas de qualifier
l’orientation sexuelle
des immigrants puisque
cette question n’est pas traitée
dans les documents statistiques
sur le portrait des
immigrants du Québec.
La Fondation Émergence,
qui avait été pointée du doigt
dans le dossier des déportés
homosexuels sous Hitler
avec des chiffres ne reposant
sur aucune statistique
vérifiable et contredisant les
regroupements des victimes
du nazisme, continue avec
la publication de chiffres
tout aussi incohérents et
gratuits. Au risque de nous
répéter, on ne sert pas la
cause gaie en exagérant la
réalité pour avoir des subventions
publiques…

1997- La Fondation d’aide Directe SIDA-MTL et Nourri-Bêtes, Une campagne pour nourrir les animaux domestiques des personnes vivant avec le VIH!

Thursday, January 27th, 2011

En juin 1994, Gilbert MORIN, propriétaire de Nourri-Bêtes ouvrait son petit commerce d’animaux de compagnie sur la rue Amherst, dans le village. Trois ans plus tard, le petit commerçant est en passe de devenir le sauveteur des animaux des personnes atteintes. En effet, Gilbert Morin annonçait dernièrement son association avec la Fondation d’aide Directe SIDA-MTL (522-1993) afin de permettre aux propriétaires d’animaux vivant avec le VIH de pouvoir mieux nourrir leurs animaux et ultimement, de les conserver plus longtemps:<< Ce qui m’inquiétait depuis quelques années, c’était de voir des personnes malades se séparer de leur compagnon chien ou chat. Comme les revenus des personnes atteintes sont plutôt bas, ils ne pouvaient pas nourrir leurs animaux et devaient souvent s’en débarrasser…>> de nous raconter Gilbert Morin en entrevue.

<<…Ce qu’il faut comprendre, c’est que le chien ou le chat chez la personne atteinte a un effet thérapeutique certain. Les propriétaires d’animaux domestiques sont généralement plus calmes, ils reçoivent l’affection que leurs procurent leurs animaux et généralement, leur qualité de vie est grandement améliorée. Il fallait absolument penser à ces animaux et c’est là que j’interviens…>>

En effet, Gilbert Morin, qui contribuait déjà depuis plus de 2 ans en donnant régulièrement de la nourriture pour animaux à la Fondation se félicite de cette nouvelle union qui viendra soulager de nombreux propriétaires. Comment ça se passe? Très simple…

Chaque client qui souhaite faire un don dans la boite de la Fondation (aucun achat requis) pourra remplir un coupon lui donnant la chance de gagner 50$ de produits et nourriture chez Nourri-Bêtes. Les tirages se font le 15 du mois, la durée de cette campagne est indéterminée. À noter que toutes les sommes amassées dans la boite située chez Nourri-Bêtes serviront exclusivement à acheter de la nourriture pour animaux à la Fondation. Cette dernière invite donc les bénéficiaires à mentionner qu’ils ont un animal domestique, une aide pourra leur être offerte si nécessaire.

Enfin, Nourri-Bêtes n’offre pas que de la compassion à la communauté mais aussi une vaste gamme de marques de nourriture pour chiens et chats. Premier Choix, Pro Nature, Iams, Science diet, Natural Choice, Canine plus et plusieurs autres. À noter que Nourri-Bêtes est le seul qui offre un service de livraison sans frais. Nourri-Bêtes vend aussi de magnifiques chiots et minets, je vous invite à visiter cette charmante boutique de la rue Amherst sans tarder.

R.L.C.

1997- La Fondation de l’Assistance Sidatique Québécoise: 60% des sommes amassées restent dans les coffres!

Thursday, January 27th, 2011

On a beau lui donner un nom a teneur sociale, une image et un discours prônant l’aide aux personnes gaies défavorisées du Québec, il n’en reste pas moins que cette nouvelle fondation, du moins dans le paysage de notre communauté, est en passe de se faire connaître pour ses onéreux “frais administratifs”. Comme pour les autres fondations similaires telles l’Astre ou Stop-SIDA qui sont connues pour leur utilisation très questionnable des sommes que l’on prétend amasser au nom des sidéens, cette dernière en plus d’utiliser le mot “sidatique” pour qualifier nos amis sidéens, est connue pour se garder la majorité des sommes qu’elle amasse.

C’est justement samedi le 25 janvier dernier que l’on pouvait voir les solliciteurs de cette fondation à l’oeuvre au dans un grand centre commercial de Montréal, la Place Maisonneuve. La préposée à la collecte, sans savoir qu’elle parlait à un journaliste averti, vantait l’aide que sa fondation offrait sous forme de soutien financier aux “sidatiques”. Notre journaliste a toutefois été en mesure de vérifier qu’il est difficile voire pratiquement impossible de recevoir une aide financière de quelque nature que ce soit (comme annoncé dans le dépliant). Nous avons bien tenté à deux reprises de faire une demande par téléphone mais la réceptionniste avait toujours une raison pour ne pas donner les informations nécessaires.

Nous avons toutefois été en mesure de confirmer que la Fondation donnerait des sommes d’argent à un autre organisme communautaire (Centre d’Action SIDA Montréal Femmes) mais de fortes réserves étaient émises par la Coalition des Organismes Communautaires Québécois de lutte contre le SIDA, la COCQ-SIDA. En effet, la Fondation de l’Assistance Sidatique Québécoise garderait plus de 60% des sommes amassées pour ses frais administratifs, on entend par administratifs les “salaires”. Ce chiffre est d’autant plus inquiétant que Centraide (le plus gros organisme de collecte du Québec) et la Fondation Farhat (aide aux sidéens) ne dépassent pas les 20%, ce qui serait considéré comme un ratio acceptable.

Somme toute, il est conseillé à toute personne désireuse de faire un don aux sidéens de le faire à des organismes reconnus, par chèque et de ne jamais déposer de l’argent liquide à des solliciteurs qui reçoivent d’ailleurs de fortes commissions pour leur travail “bénévole”. À noter que la COCQ-SIDA est à préparer sa visite à une commission parlementaire fédérale visant à étudier la possibilité de modifier la loi sur les fondations afin de mieux encadrer mais surtout, de placer les assises d’un plus grand contrôle de l’argent recueilli au nom des personnes séropositives du Canada.

1995- La Fondation Farha, ça marche!

Thursday, January 27th, 2011

C’est sans hésitation que l’on peut qualifier de succès le troisième marcheton québécois pour vaincre le SIDA, Ca marche, qui a eu lieu le 1er octobre dernier dans les rues du centre-ville de Montréal et au parc Lafontaine. Succès au niveau du nombre de marcheurs, on s’entend pour évaluer la foule à près de 25,000 personnes! Encore une fois, une foule très diverse “gaie, pas gaie” de tous les âges et milieux. Il y a de quoi être fier, l’événement organisé par la Fondation Farha est le plus grand rassemblement parmi toutes les marches similaires au Canada. C’est même plus gros que pour certaines villes américaines telle Los Angeles.

A la Fondation Farha, on est d’autant plus heureux que la diversité et le nombre impressionnant de marcheurs traduisent de façon concrète le message que sous entend toute activité de sensibilisation, à savoir qu’aujourd’hui, le SIDA concerne bel et bien tout le monde. Un immense succès donc. Mais

On n’avait de cesse lors de la promotion de Ca marche 95 de mettre l’accent sur l’importance de non seulement marcher mais également et surtout, de recueillir des fonds… Ces fonds sont distribués à travers 45 organismes de 15 villes du Québec offrant soins et services aux personnes vivant avec le VIH-SIDA et à leurs proches. On parle ici de services d’hébergement, de médicaments, de soins à domicile, d’accompagnement, d’éducation, de prévention, de recherche, etc. Si on voulait faire un parallèle intéressant, on pourrait comparer la Fondation Farha à Centraide et le ratio des frais d’administration VS des revenus est excellent chez les deux organismes soit entre 12 et 20%.

Les sommes amassées annoncées le 1er octobre étaient de 545,000$. Les besoins sont croissants, on le sait. Chaque jour, la Fondation Farha reçoit de nouvelles demandes de subventions. L’objectif de 750,000$ fixé pour l’édition 1995 de la marche semblait donc non seulement réaliste mais également essentiel.

La Fondation Farha lance donc un dernier appel dans le cadre de Ca marche 1995: Si vous n’avez pas retourné votre formulaire pour recueillir des dons, S.V.P. faites-le en postant le tout à l’adresse au bas de cette page. Si vous désirez faire un don, vous pouvez le faire en tout temps, imaginons que chacun des 25,000 marcheurs donne personnellement 10$, l’objectif serait atteint!

Grâce à la générosité des donateurs, la Fondation a distribué en deux ans et demi plus de 1,000,000$ aux organismes québécois oeuvrant dans le domaine du SIDA. Dans le cadre de la structure d’organisation de Ca marche 1995, vous pouvez choisir vous-même l’organisme qui bénéficiera de vos dons. Quant à l’argent recueilli le reste de l’année, la distribution en est assurée par un comité multidisciplinaire et bénévole qui a pour tache d’évaluer l’urgence, la pertinence et la bonne gestion administrative de chacune des demandes d’argent adressés à la Fondation Farha. :<<…Chaque pas fait à combattre la terrible maladie du SIDA nous rapproche de la victoire…>> -Michel Bélanger, coordonateur de Ca marche.

Fondation FARHA, 7080 avenue du Parc, Montréal H3N 1X6 (514) 270-5010

1995- La Maison l’Astre et la Fondation de l’Astre… Une situation inquiétant!

Thursday, January 27th, 2011

RG a récemment procédé à une série d’enquêtes dans le milieu des fondations venant en aide aux séropositifs et au sidéens dans le but de mieux informer la population sur l’utilisation des dons. Malheureusement, au fil des enquêtes, on a constaté un nombre important de ces “fondations” qui en plus de mal gérer les fonds du public, détournent carrément l’argent destiné aux malades.

Un astre mort!

La Fondation l’Astre est devenue célèbre non pas par sa vocation d’aide aux malades mais plutôt pour une plainte de fraude actuellement classée “sans suites faute de preuves”. En 1994, alors qu’elle était très active dans la recherche d’argent, un scandale financier a fait son apparition portant sur des détournements de sommes destinées aux sidéens. Le directeur général, monsieur Pierre RIVEST, alors accusé de fraude, vivait en même temps que les faits allégués un divorce et un certain nombre de problèmes au sein de son conseil d’administration. La Maison l’Astre a du fermer ses portes, étant saisie par l’épouse qui possédait 50% des parts. Il faut tout de suite dire que ni la Fondation l’Astre ni la maison du même nom n’ont reçues à quelques moments que ce soit des subventions des gouvernements autres que des programmes d’emplois. Tout était géré à même les dons reçus.

A la même période, un employé de la fondation, organisateur d’un tournoi de golf devant rapporté près de 10,000$, disparaissait le soir de l’événement avec les profits. Jean-Marc MICHAUD, alors bénéficiaire d’un programme paie pour les assistés sociaux, est actuellement recherché dans plusieures villes du Québec pour des fraudes similaires.

Une faillite troublante

En entrevue, monsieur RIVEST raconte à RG ses déboires personnels envers les membres de son conseil d’administration pour expliquer la chute de son entreprise. Il a d’ailleurs du déclarer une faillite personnelle car il ne pouvait plus rencontrer ses obligations envers les malades logeant dans sa maison d’hébergement.

Dans le dépliant publicitaire de la fondation, on se vante toutefois d’avoir hébergé 15 personnes en 2 ans qui sont “décédées dans la dignité”. Quoi penser de la dizaine de malades qui ont été expulsés de la maison alors qu’ils étaient probablement en phase terminale et qui ont eu à vivre des angoisses supplémentaires?

Et aujourd’hui?

Plusieurs personnes ont rapportées avoir vu des représentants de la Fondation l’Astre solliciter de l’argent dans les rues de Montréal pour la maison qui n’existe plus. Le directeur RIVEST affirme que les solliciteurs font simplement de la prévention, que la fondation existe toujours, qu’elle doit se financer et que les solliciteurs sont payés par un programme paie du gouvernement provincial. Pourtant, RG a interrogé un de ces solliciteurs et il n’a jamais parlé de la fondation mais bien de la Maison que nous savions fermée. La personne se disait bénévole et non payée. Quant aux allégations à l’effet que des solliciteurs recevraient une commission de 30% sur les dons recueillis, RIVEST admet la chose tout en expliquant que seuls ceux qui sont à l’extérieur de Montréal bénéficient de ce privilège. A noter que RG a appris qu’un ex-conseiller en gestion de l’organisation, monsieur Bernard LEVEILLE, présent lui aussi à l’époque des faits reprochés, dirige maintenant une autre fondation du nom de “Rêves pour la VIH”. Cette seconde fondation se propose de ramasser de l’argent pour réaliser les rêves de personnes atteintes. Monsieur LEVEILLE explique que sa seule présence aux réunions de la fondation l’Astre avait pour but de conseiller l’organisme dans sa gestion quotidienne. Il affirme n’avoir été qu’un simple contractuel. Toutefois, un don de 1000$ a été versé à “Rêves pour la VIH” par l’Astre alors que cette dernière faisait l’objet d’une saisie. Mauvaise gestion? Détournement de fonds? Au public de décider.

La Loi elle?

En entrevue avec le sergent-détective Thibault de la section des fraudes de la Police de la CUM, on apprend que la loi sur les fondations et organismes charitables ne définie nulle part ce qui pourrait être une fraude:…<< Une fondation pourrait ne verser qu’un dollars par année à un sidéen et ce serait considéré comme légal. C’est peut-être immoral mais légal!…>>

Pour le COCQ-SIDA (Mtl), RIVEST et Astre = ATTENTION!

La Coalition des Organismes Communautaires Québécois de lutte contre le SIDA et sa directrice générale, madame Lyse PINAULT, dirigent actuellement une enquête sur l’organisme en question. D’après madame PINAULT:<<…Nous avons de sérieuses inquiétudes sur l’efficacité de la Fondation l’Astre. Quoique nous ayons rencontré les responsables de la Fondation, nous ne disposons pas de toutes les informations nécessaires pour renseigner la population sur l’utilisation des fonds receuillis (ex.: états financiers vérifiés). Nous souhaitons fortement que les personnes sollicitées pour des dons par des groupes qu’elles ne connaissent pas, nous téléphonent au (514) 844-2477. Si nous avons l’information nous la donnerons, sinon nous effectuerons les recherches nécessaires…>>

La Coalition prépare d’ailleurs une liste des organismes reconnus pour leur honnêteté et on nous assure que le nom de la Fondation l’Astre n’y paraîtra pas.

Au public de se responsabiliser.

Le monde du SIDA ne manque pas d’exemples de fondations et d’organismes bidon. Le public en général a une très grande sympathie pour les personnes atteintes et c’est ce qui fait la richesse des fraudeurs. Ce qui est incompréhensible, c’est que les donateurs ne se soucient absolument pas des antécédents de l’organisme qu’ils souhaitent aider. On prendra tout le temps nécessaire pour comparer les prix d’un supermarché à l’autre, on magasinera le temps voulu pour trouver un pantalon au meilleur prix mais paradoxalement, on versera des sommes importantes à des organisations dont on ne connaît strictement rien. Si on prenait autant de temps à magasiner sa fondation que l’on prend pour d’autres situations journalières, il est à parier que pour les faussaires, le climat serait bien malsain. N’ayons pas peur de questionner, de demander les états financiers, de regarder les ratios revenus VS dépenses car après tout, ce que les donateurs souhaitent véritablement, c’est une meilleur qualité de vie pour les personnes séropositives et sidéennes.

53- Fondation Gates : 50 millions en Chine

Saturday, December 18th, 2010

La Fondation Bill et Melinda Gates a annoncé jeudi à Bei- jing s’être engagée à contri- buer à hauteur de 50 millions de dollars au cours des cinq prochaines années à établir un programme de coopération avec la Chine pour améliorer la prévention et le contrôle du VIH-SIDA.
Le programme mettra l’accent sur les groupes à haut risque dans les lieux de divertisse- ment, surtout les homosexuels, les prostituées et les toxico- manes, selon Hao Yang, di- recteur adjoint du bureau de prévention et de contrôle des maladies relevant du ministère chinois de la Santé publique.
La cérémonie de lancement se tiendra dans 13 moyennes et    du
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grandes villes et une province de la Chine, dont Beijing, Shan- ghai et la province de Hainan.
“Nous ne pouvons pas nous permettre de retard dans l’allo- cation aux politiques et mesu- res concernées pour contrôler la fréquence du VIH-SIDA en Chine”, a souligné Hao, s’en- gageant à ce que la Chine ne ménage aucun effort pour soutenir l’application du pro- gramme.    À
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À m Le d’
Le nombre des séropositifs et des sidéens en Chine a été estimé à 650 000, selon une enquête menée en 2005 par le ministère chinois de la Santé publique, le Programme com- mun des Nations Unies sur le VIH-SIDA et l’Organisation    D Mondiale de la Santé. Le nom-
bre actuel est sans doute plus élevé.
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Traitements au laser doux – www.centresstop.com
: Orlando et Roger-Luc Chayer    Photo : Popular-picts.com, Google.com et Le Point
ertrand Delanoë est maire de Paris et est le premier homme politique national français à avoir vertement annoncé son homosexualité et à avoir été élu par un électorat au fait de sa situation rsonnelle.
ertrand Delanoë a aussi été un proche de Dalida et n’a pas hésité à mettre les ressources de la le de Paris disponibles pour les organisateurs de la grande exposition gratuite sur Dalida, à l’été 07 le tout, à l’occasion de la grande exposition gratuite « Dalida, une vie » consacrée à l’artiste
11 mai au 8 septembre 2007 à l’Hôtel de Ville de Paris.
ertrand Delanoë, ami de Dalida, a souhaité participer à la publication d’une série de documents sque-là inédits. Aujourd’hui, grâce à la collaboration d’Ornaldo, son frère, Le Point et GGTV pu- ent au Canada ce qui a été vu par des centaines de milliers de personnes à Paris lors de cette
ande exposition.
aris rend hommage à la grande diva
nfant de la Méditerranée, artiste éblouissante, personnalité émouvante, Dalida n’a jamais cessé envoûter son public, établissant avec lui un rapport à la fois singulier et intemporel. Il faut sans ute rechercher l’explication d’une telle permanence dans l’authenticité de sa démarche et dans
xtrême sensibilité de son être.
Paris, sa présence demeure palpable, dans chacun de ces lieux mythiques, de l’Olympia à Mont- artre, où sa voix et son élégance, ont imprimé leur marque. Ses chansons, signatures graves ou tillantes, sont une part de notre mémoire. Mais Dalida n’est pas qu’une figure de l’art populaire :
e est aussi l’interprète inoubliable du Sixième jour, réalisé par son ami Youssef Chahine.
travers ce rôle magistral, elle « casse » son image, assume des risques et donne à son talent une anière inédite de s’exprimer. Ce faisant, elle installe une passerelle supplémentaire entre Paris et
Caire, exprimant les blessures universelles d’une femme confrontée à la solitude, en puisant évidence au plus profond de son âme…
alida n’a jamais voulu quitter notre capitale, qu’elle avait faite sienne au début des années 50.

71- Rhétorique de la survictimisation sur les déportés homosexuels Est-ce que la Fondation Émergence exagère?

Wednesday, October 13th, 2010

Enquête par
Roger-Luc Chayer
Photos Rosa Hilfe Freibourg

Cette semaine se déroulait en Europe un événement visant à honorer la mémoire des personnes déportées par le régime nazi pour cause d’homosexualité.

Les responsables de la Fondation pour la mémoire de la déportation, dans un communiqué diffusé en marge du dévoilement d’une plaque dédiée aux déportés homosexuels, déclaraient que le nombre de personnes déportées était établi à 215 pour le camp de Struthof et règle générale, on s’accorde pour dire que les déportations ne concernaient que les homosexuels des territoires annexés par l’Allemagne comme l’Alsace et non toute la France occupée qui vivait sous le code Napoléon et non la loi allemande même pendant l’occupation.

Toutefois, dans un communiqué publié par la Fondation Émergence, basée à Montréal et présidée par Laurent Mc Cutcheon, datée du 23 septembre 2010, on déclare, citant le Président Mc Cutcheon <<Si le monde entier ne pourra jamais oublier les horreurs de cette guerre et les châtiments imposés aux Juifs, il faut rappeler que 10 000 personnes homosexuelles ont aussi été envoyées dans les camps nazis et que 6 000 n’en sont jamais ressorties>> de dire le président de la Fondation Émergence, monsieur Laurent Mc Cutcheon. Et il donne comme source la United States Holocaust Memorial Museum. (Le communiqué peut être lu au http://www.fondationemergence.org/default.aspx?scheme=4017)

Encore une fois dans cette affaire, on doit se questionner sur les motifs de la Fondation Émergence à exagérer des informations factuelles pourtant reconnues. Si on vérifie la source, le site de la United States Holocaust Memorial Museum mentionne clairement à la fin de sa page réservée aux homosexuels déportés la phrase suivante: On ne dispose d’aucune donnée statistique concernant le nombre des homosexuels qui moururent dans les camps. On peut prendre connaissance de cette page à l’adresse suivante http://www.ushmm.org/wlc/fr/article.php?ModuleId=74

Le chiffre avancé par M. Mc Cutcheon ne trouve donc aucun justificatif dans la source qu’il offre dans son communiqué et semble être exagéré.

De plus, un vaste débat a cours actuellement en Europe sur le nombre réel des personnes homosexuelles décédées dans des camps de concentration car si personne ne nie la déportation des homosexuels, on ne semble pas trouver les chiffres avancés par M. Mc Cutcheon à quelque endroit que ce soit.

Sur le site de l’Observatoire du Communautarisme au http://www.communautarisme.net/Manipulations-autour-de-la-deportation-homosexuelle_a337.html, on consacre un dossier bien documenté sur les manipulations autour de la déportation homosexuelle et on y affirme que les seuls français qui ont été déportés pour leur homosexualité -on estime leur nombre à environ 200- étaient originaires d’Alsace et de Lorraine, deux régions soumises au joug nazi après avoir été annexées par le IIIème Reich en 1940. On peut cependant en douter. En effet, le “conseiller historique”  recruté par la production sur ce téléfilm (Un amour à taire) était Jean Le Bitoux, un personnage pour le moins controversé. Fondateur du magazine homosexuel Gai Pied, et président du Mémorial de la Déportation Homosexuelle, Jean Le Bitoux a été récemment écarté pour incompétence du projet d’archives homosexuelles de la Ville de Paris. Auparavant, il avait notamment fait paraître le livre de souvenirs de Pierre Seel, un homosexuel alsacien rescapé des camps. Bien que Pierre Seel n’ait pas porté le fameux triangle rose (il était marqué du triangle bleu des catholiques au camp de Schirmeck) et qu’il ait par la suite été enrôlé par la Wehrmacht pour combattre sur le front de l’Est, Le Bitoux a donné à son livre d’entretiens le titre ambigu de Moi, Pierre Seel, déporté homosexuel.

Si M. Mc Cutcheon et la Fondation Émergence exagèrent des données factuelles pourtant reconnues et multiplient le nombre réel de victimes, on peut se demander d’abord pourquoi et ensuite à qui sert cette survictimisation?

Rhétorique de la
survictimisation
Par Gay Globe Magazine

Selon les auteurs Pierre Tremblay, Éric Boucher, Louise Biron et Marc Ouimet du Journal Canadien de Criminologie #40, l’hypothèse d’une survictimisation des homosexuels semble plausible. On a peut-être exagéré la portée de cette attraction et dramatisé l’ampleur de cette forme particulière de violence. La survictimisation peut aussi être un outil pour certains militants afin de revendiquer des fonds publics sur la base d’exagérations.

La Banque TD, division du Québec, fait un don à la suggestion de Gay Globe Média

Tuesday, July 13th, 2010

Par Gay Globe Magazine

La division québécoise de la banque canadienne TD annonçait à la rédaction, dans un courriel daté du 30 juin dernier, que suite à la recommandation de l’éditeur du magazine gay québécois, une somme de 500$ allait être versée à la Fondation d’Aide Directe Sida-Montréal afin de l’aider dans sa mission. La FADSM offre une aide alimentaire aux personnes atteintes du VIH et le sujet a été abordé lors d’une rencontre récente entre l’éditeur du groupe média gay et M. Jean-François Laurin, Directeur Principal ventes TD.

68- Dons du Saint-So Live Aid

Wednesday, May 5th, 2010

Par : Gay Globe Magazine

L’événement organisé au Sauna Ste-Cath de Montréal en avril, d’une durée de deux jours et qui avait pour objectif d’amasser des dons volontaires à l’entrée d’un immense party a fait ses comptes et pour une première, il s’agit d’un succès selon son organisateur.

Le Saint-So Live Aid remettra donc un chèque de 500$ à la Fondation d’Aide Directe SIDA Montréal, recommandée par Gay Globe Magazine comme organisation sérieuse du domaine du SIDA et un autre 500$ ira à “Dans la rue” pour aider les jeunes toxicomanes.

44- Fondation d’Aide Directe Sida-Montréal

Saturday, April 3rd, 2010

La Fondation dʼAide Directe – SIDA Montréal, située en plein coeur du quartier centre sud et du village, invite la population à ses «JOURNÉES PORTES OUVERTES» qui se tiendront les 2 et 3 décembre 2006 de 10h à 15h30 au 1442 rue Panet, métro Beaudry. La redistribution des paniers de Noël débutera le 1er décembre et se terminera le 24 décembre. Près de 500 paniers seront distribués.
Par:
FADSM et Roger-Luc Chayer
Photo:
Google.images
Article
Actualités
Régulières
Résumé:
La seule fondation dʼaide aux personnes atteintes du VIH-SIDA reconnue par Le Point ouvre ses portes et invite la population à venir visiter…
La participation de la population et des organismes VIH-sida est souhaitable pour le succès de la cueillette de denrées non périssables et de produits dʼhygiène. La confection dʼun panier de Noël coûte environ 60$; nous offrons donc aussi la possibilité de faire un don de 60$, à lʼattention de la Fondation dʼAide Directe – SIDA Montréal, qui
servira à la confection dʼun panier. Bien sûr, le public peut également se présenter en tout temps dʼici Noël, afin dʼy apporter toute contribution. Cette initiative permettra à de nombreuses personnes démunies, vivant avec le VIH-sida, de passer un temps des Fêtes plus heureux. Lʻéquipe est prête à vous recevoir. Info : (514) 522-1993.
Elton John en visite en Zambie
Ne pas manger cʼest mourir aussi!
Est-ce que cʼest si difficile à comprendre comme titre? Depuis les années ʻ95, après lʼapparition de la trithérapie, les recherches médicales démontraient quʼune alimentation de qualité était très importante pour lʼabsorption et lʼeffet optimum des traitements. La FADSM est LA SEULE organisation reconnue par Le Point qui vient directement en aide aux personnes atteintes en leur donnant ce quʼil faut dans lʼassiette pour quʼils puissent avoir lʼespoir de mieux aller. Il nʼexiste actuellement AUCUN médicament contre le SIDA, le SIDA cʼest 20 maladies en même temps, seul le réconfort offert par la FADSM peut aider. Ils ont la volonté, donnons-leur 60$ et ne laissons pas le SIDA avoir le dernier mot!

La Fondation d’Aide Directe Sida Montréal a besoin d’un coup de main Le Point demande à ses lecteurs d’aider

Wednesday, March 17th, 2010

Chers lecteurs, lectrices,
Je ne vous écris pas ce texte de gaieté de coeur, loin de là, mais jʼirai droit au but comme vous me connaissez. Les organisations communautaires qui viennent en aide directement aux personnes atteintes du VIH-SIDA ne sont pas nombreuses. Le Point ne reconnaît que la Fondation dʼAide Directe SIDA-Montréal parce que nous avons été les témoins privilégiés au fil des années de lʼaide directe et généreuse quʼelle offre aux personnes de notre communauté. De la nourriture de qualité en grande quantité, des meubles et surtout, des interventions rapides et efficaces.
Le SIDA se transmet encore et toujours au Québec et 85% des cas sont à Montréal, pas besoin dʼaller en Afrique pour voir le drame humain en couleurs, allez sur la rue Panet et vous verrez. La Fondation a actuellement besoin dʼaide. Des personnes atteintes sans ressources nʼont pas de meubles, allez donc leur porter tous vos meubles qui ne servent plus, on leur donnera une nouvelle vie. Vous savez que si vous donnez de lʼargent par chèque, un reçu de charité vous sera remis? Tant quʼà payer de lʼimpôt au gouvernement qui continue dʼignorer la crise du SIDA au Québec, donnez donc directement à lʼorganisation qui en a le plus besoin. Enfin, vous avez des conserves et de la nourriture non périssable, faites donc comme moi et allez donc porter quelques sacs directement à la Fondation, vous verrez des yeux reconnaissants et surtout, vous aiderez les personnes atteintes à mieux se nourrir pour que les médicaments fassent leur effet. Merci!

Fondation d’Aide Directe SIDA-Montréal à l’oeuvre

Thursday, December 4th, 2008

À Montréal, une seule fondation offre des services directs aux personnes atteintes du VIH ou du SIDA et leur permet de se nourrir avec des aliments de première qualité, c’est la FADSM au www.fadsm.org.
L’objectif est d’assurer aux personnes atteintes admissibles une aide alimentaire visant à maximiser les effets de la trithérapie et de soulager ces personnes dans le besoin.
La FADSM n’oeuvre toutefois pas sans l’aide du public et ce dernier est invité à soutenir l’organisation par des dons. Le Point commandite cette organisation, nous invitons le public à faire de même en les contactant au 514-522-1993.