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Lockheed-Martin, ami des gays

Saturday, December 28th, 2013

dedefensa.org

Le conglomérat Lockheed-Martin (LM) est le premier contractant du Pentagone et le premier vendeur d’armement du monde, notamment producteur des fameux F-16 et F-35/JSF, de divers drones, d’éléments fondamentaux des réseaux antimissiles, de nombreuses munitions sophistiquées, etc. ; LM, essaimant largement dans d’autres domaines allant de la participation dans des entreprises privées produisant des machines automatiques pour le vote à des activités de relations publiques d’influence politique majeure, aux USA même en faveur des neocons aussi bien que dans nombre de pays étrangers, européens notamment (voir le 9 novembre 2002, le 29 janvier 2003, le 11 janvier 2007, etc.).

LM a toujours été, depuis sa création en tant qu’entité (1994, fusion de Lockheed et de Martin-Marietta), un leader à l’“excellence” acclamée dans l’industrie d’armement, dans son adaptation aux dynamiques d’influence et de communication du Système, voire un inspirateur dans certains cas. C’est le cas avec l’annonce d’une nouvelle qui, a contrario, permet de mesurer la vigueur de son engagement et de son soutien aux mouvements “sociétaux” (voir le 30 avril 2013), notamment le mouvement en faveur de la “communauté gay” et apparentées, officiellement labellisée LGBT (“Lesbian, Gay, Bisexual, Transgender”, précise LM). Comme on le sait maintenant, la dynamique LGBT représente, dans la manipulation qu’on en fait, une force d’influence politique incontestable du point de vue de ce qu’on nommerait l’“idéologie-Système”, en même temps que sa branche opérationnelle représente elle-même une force importante dans le mouvement de déstructuration et de dissolution du Système.

McClatchy.News annonce (le 19 décembre 2013) la nouvelle position de LM concernant son soutien financier à l’association des Boy Scouts of America, qui est supprimée parce que cette association impose des restrictions par rapport aux LGBT, – ce qui nous permet d’avoir un écho de l’engagement de LM en faveur de l’esprit et du mouvement LGBT : «The Boy Scouts of America’s ban on gay leaders is losing the organization more money. This week, Bethesda, Md.-based Lockheed Martin Corp. announced it will no longer provide philanthropic support to the Boy Scouts because of the nonprofit organization’s “policies that discriminate on the basis of sexual orientation and religious affiliation.”

»The defense contractor announced its decision in a statement to the Atlanta Journal-Constitution on Wednesday. The same statement was shared with The Baltimore Sun on Thursday. “Lockheed Martin is committed to building strong partnerships with non-profit organizations that value diversity and align with our policies. And we believe engaging with and funding an organization that openly discriminates is in conflict with our policies,” read the statement from spokesman Gordon Johndroe.

»Lockheed Martin follows other large companies that have cut their giving to the Boy Scouts in recent years over its controversial ban on gays among its ranks. The companies include some that had been among the Boy Scouts’ largest donors, like the United Parcel Service and the Intel Foundation…» [...]

»Lockheed Martin, a government contractor known for its fighter jets, has a record of supporting LGBT diversity among its ranks. “Diversity and inclusion are woven throughout our culture and reflect our values of doing what’s right, respecting others and performing with excellence,” its website says. The company has a Lesbian, Gay, Bisexual, Transgender Leadership Forum and is a sponsor of the Maryland Corporate Council, a LGBT business and corporate networking organization in the state. The company also just made the Human Rights Campaign’s 2014 “Best Places to Work for LGBT Equality” list.»

On doit connaître les liens nullement incestueux à la réflexion, mais logiques et extrêmement naturels au contraire, entre le corporate power et le mouvement de type-LGBT, autant dans l’esprit dit-sociétal de ce mouvement qu’au travers de ses associations officielles et structures institutionnalisées qui opérationnalisent son action. L’affaire de la Gay Pride à San Francisco, cette année, l’a montré d’une façon claire et précise (voir le 29 avril 2013). Mais, avec le cas Lockheed Martin, on entre dans le domaine où toutes les connexions-Système les plus démonstratives sont exposées. LM, qui est le principal armurier et par conséquent l’un des principaux “faiseurs-de-guerre” industriels, est le principal financier du mouvement belliciste, hégémoniste et déstructurant-dissolvant, des néoconservateurs-neocons depuis l’activation de ce mouvement en une force politique de très grande influence. C’est dire que LM est à l’œuvre à cet égard depuis le milieu des années 1990 avec des hommes tels que Bruce P. Jackson et Tom Donnelly, issus de l’organigramme de LM (Jackson y avait rang de vice-président) et directement intégrés dans celui des mêmes neocons. Ces mêmes activistes ont joué un rôle prépondérant dans les divers troubles antirusses en Europe de l’Est (“révolutions de couleur”), ramassant au passage l’une ou l’autre commande pour LM (les F-16 pour la Pologne [voir le 19 octobre 2004]). (Bien entendu, ces observations doivent être placées en corrélation avec ce qu’on décrit par ailleurs, ce même 23 décembre 2013, de l’entourage et des influences actives du dirigeant politique ukrainien Klitschko.)

Le rôle politique subversif de LM apparaît ainsi comme un facteur fondamental de l’activité de la première entreprise du complexe militaro-industriel (CMI) US, suivant en cela une des orientations fondamentales du CMI lui-même pour maintenir une situation propice au développement de sa production, aussi bien que pour développer des conceptions qui sont évidemment une part importante de son idéologisation américaniste. C’est évidemment dans ce cadre qu’il faut comprendre la position de LM comme fer de lance du CMI en faveur des facteurs “sociétaux” type-LGBT, aux États-Unis bien entendu, mais aussi, au travers d’organisation frontistes que soutient LM, dans divers pays européens, surtout à l’Est, et en Russie même, – puisque le facteur LGBT est un axe d’attaque privilégié de l’“agression douce”. Il apparaît donc clairement que le mouvement LGBT, dans sa composante institutionnalisée et idéologisé, a une fonction politique et structurelle de type déstructurant et dissolvant incontestable, quoiqu’il en soit assuré à cet égard. (Au reste et pour bien fixer le débat dans sa forme et dans sa nature, on doit également savoir que nombre de gays se défient de ces mouvements officiels et de tout ce qui est institutionnalisation-Système des LGBT, et que certains, placés dans des positions d’observation et de commentaire politiques adéquats et dissidents, les dénoncent avec vigueur comme des relais-Système, – tel, bien sûr, l’excellent Justin Raimondo, directeur de la rédaction d’Antiwar.com. On sait également que l’un des plus fameux journalistes antiSystème, Glenn Greenwald, est un homosexuel affiché.)

Le rôle du corporate power ne cesse donc d’apparaître de plus en plus décisif et puissant dans le sens de la politique-Système, en utilisant absolument tous les artifices et montages du Système, jusqu’aux plus grotesques pour certains de ses membres (la proximité de LM et des gays devrait à cet égard figurer comme un archétype de la susdite grotesquerie lorsqu’on a une connaissance normale des activités de LM). Pour autant la politique-Système et sa stratégie de type dd&e n’en acquiert pas plus de cohérence hégémonique, ou tout autre construction apte à rencontrer les exigences de la raison de ceux qui voient dans l’action du Système une entreprise à la fois constructive (même d’un point de vue maléfique) et cohérente de domination, capable d’imposer un ordre stable d’oppression et de contrôle totalitaire. Du point de vue des résultats nets sur les dix ou quinze dernières années, et jusqu’au cas ukrainien actuel, les actions subversives à l’est de l’Europe n’ont fait que provoquer des désordres ou des affaiblissements de pays objectivement “alliés” du bloc BAO, et que renforcer la Russie dans sa volonté de résister à cette agression douce en identifiant parfaitement l’ennemi et en rendant cette défense de plus en plus efficace. Quant au développement des mouvements LGBT au sein des pays du bloc BAO lui-même, ils contribuent à installer la division, au cœur même de la Grande République, comme on l’a vu en France bien sûr ; comme en témoigne récemment, par exemple, la prise de position si extrême d’un conservateur réputé comme Buchanan qui s’exprime désormais par un engagement politique actif en faveur de Poutine, – Buchanan soutenu dans sa dernière extraordinaire intervention (le 18 décembre 2013) par un Paul Craig Roberts le 19 décembre 2013 :

«Recently, Pat Buchanan, Mr. Conservative himself, made a case that Russia’s Putin better represents traditional American values than does the President of the United States. Buchanan has a point. It is Washington, not Moscow or Beijing, that threatens to bomb countries into the stone age, that forces down airplanes of heads of state and subjects them to searches, and that refuses to honor grants of political asylum.

»Certainly, Washington’s claim to be “exceptional” and “indispensable” and, therefore, above law and morality contrasts unfavorably with Putin’s statement that “we do not infringe on anyone’s interests or try to teach anyone how to live.”»

Ricky Martin “tyrannisait les homosexuels”

Sunday, September 8th, 2013

Paris Match

Dans une interview accordée à l’édition australienne de «GQ», Ricky Martin a déclaré qu’il «tyrannisait les personnes qu’[il] savait homosexuelles»: «J’avais une certaine homophobie intériorisée. Il fallait que je le réalise. Je voulais m’en éloigner.» Désormais en couple avec Carlos Gonzalez Abells, et père des jumeaux Matteo et Valentino, il assure que cette paternité a changé sa vie: «Je ne voulais pas que mes fils grandissent dans une maison où l’on mentait, ou qu’ils pensent qu’être gay est un problème». Le chanteur de 41 ans a fait son coming-out en 2010, écrivant sur son site Internet: «Je suis fier de dire que je suis un homosexuel chanceux. Je suis très heureux d’être comme je suis.»

Ricky Martin traite Miss Pérou d’ignorante

Monday, July 23rd, 2012

Canoe

Cindy Mejia, Miss Pérou depuis quelques jours, a affirmé que tous les homosexuels sont le produit d’une enfance abusive ou d’une famille dysfonctionnelle.

Cindy Mejia, la jeune reine de beauté de 23 ans, étudiante en sciences sociales, a été couronnée Miss Pérou Univers à Lima le weekend dernier.

Désormais, elle est couronnée «honte nationale», à la suite de sa déclaration publique discriminatoire sur l’homosexualité.

Selon Mejia, elle aura des enfants « normaux » puisque « les homosexuels reflètent le passé d’enfants violés, agressés, ou provenant de familles dysfonctionnelles. Ce sont les garçons qui vivent uniquement avec leurs sœurs et leur mère qui deviennent efféminés ».

Ce à quoi le chanteur gai portoricain Ricky Martin a répliqué sur sa page Twitter: «Quels commentaires insensés de la part d’une personne complètement ignorante».

Ricky Martin est « sorti du placard » en 2010, en annonçant publiquement son homosexualité. Il est également le père de deux enfants, Valentino et Matteo, nés en 2008 grâce à une mère porteuse.

Martin souhaite désormais épouser son conjoint, Carlos Gonzalez Abella, un homme d’affaires du domaine des finances.

http://www.gayglobe.us

What did MLK think about gay people?

Monday, January 16th, 2012

religion.com
(CNN)– Rev. Martin Luther King Jr. was writing an advice column in 1958 for Ebony magazine when he received an unusual letter.

“I am a boy,” an anonymous writer told King. “But I feel about boys the way I ought to feel about girls. I don’t want my parents to know about me. What can I do?”

In calm, pastoral tones, King told the boy that his problem wasn’t uncommon, but required “careful attention.”

“The type of feeling that you have toward boys is probably not an innate tendency, but something that has been culturally acquired,” King wrote. “You are already on the right road toward a solution, since you honestly recognize the problem and have a desire to solve it.”

We know what King thought about race, poverty and war. But what was his attitude toward gay people, and if he was alive today would he see the gay rights movement as another stage of the civil rights movement?

That’s not the type of question most people will consider on this Monday as the nation celebrates King’s national holiday. Yet the debate over King’s stance toward gay rights has long divided his family and followers. That debate is poised to go public again because of the upcoming release of two potentially explosive books, one of which examines King’s close relationship with an openly gay civil rights leader, Bayard Rustin.

The author of both books says King’s stance on gay rights is unclear because the Ebony advice column may be the only public exchange on record where he touches on the morality of homosexuality.

Yet King would have been a champion of gay rights today because of his view of Christianity, says Michael Long, author of, “I Must Resist: Bayard Rustin’s Life in Letters,” who shared the story of King’s Ebony letter.

“Dr. King never publicly welcomed gays at the front gate of his beloved community. But he did leave behind a key for them – his belief that each person is sacred, free and equal to all to others,” says Long, also author of the upcoming “Keeping it straight? Martin Luther King, Jr., Homosexuality, and Gay Rights.”

Did King’s dream include gay people?

One person close to King, though, would disagree.

Rev. Bernice King led a march to her father’s graveside in 2005 while calling for a constitutional ban on gay marriage. She was joined by Bishop Eddie Long, senior pastor of New Birth Missionary Church in Georgia, where she served as an elder at the time. Long, who recently settled out of court with four young men who filed lawsuits claiming he coerced them into sexual relationships, publicly condemned homosexuality.

King did not answer an interview request, but she has spoken publicly about her views.

During a speech at a church meeting in New Zealand, she said her father “did not take a bullet for same-sex marriage.”

Yet her mother, Coretta Scott King, was a vocal supporter of gay rights. One of her closest aides was gay. She also invoked her husband’s dream.

Ravi Perry, a political science professor at Clark University in Worcester, Massachusetts, said King’s widow once said in a public speech that everyone who believed in her husband’s dream should “make room at the table of brother and sisterhood for lesbian and gay people.”

There is no private or public record of King condemning gay people, Perry says. Even the FBI’s surveillance of King’s private phone conversations didn’t turn up any moment where King disparaged gay people, she says.

“If Dr. King were anti-gay, there would likely be a sermon, a speech, a recording of some kind indicating such,” she says. “And knowing how closely his phones were tapped; surely there would be a record of such statements.”

Those who say King did not condemn gays and would have supported gay rights today point to King’s theology.

Though King was a Christian minister, he didn’t embrace a literal reading of the Bible that condemns homosexuality, some historians say. King’s vision of the Beloved Community – his biblical-rooted vision of humanity transcending its racial and religious differences – expanded people’s rights, not restricted them, they say.

Rev. C.T. Vivian, who worked with King at the Southern Christian Leadership Conference, says King would have championed gay rights today.

“Martin was a theologian,” Vivian says. “Martin starts with the fact that God loves everybody, and all men and all women were created by God. He based his whole philosophy on God’s love for all people.”

King’s relationship with ‘Brother Bayard’

Those who say King would have championed gay rights also point to King’s treatment of one of the movement’s most important leaders, Bayard Rustin.

Rustin was an openly gay civil rights leader who is widely credited with organizing the 1963 March on Washington. He was an organizational genius, the man who insisted that King speak last on the program, giving his “I Have a Dream” speech the resonance it would not have had otherwise, says Jerald Podair, author of “Bayard Rustin: American Dreamer.”

“He was the kind of guy who could tell you how many portable toilets you needed for 250,000 people in a demonstration,” Podair says. “He was a details guy. King needed him for that march.”

But Rustin could do more than arrange a demonstration. He was also a formidable thinker and debater. He was born to a 15-year-old single mother and never graduated from college.

The movement was led by intellectual heavyweights like King, but even among them, Rustin stood out, Podair says. He read everything and was a visionary. One aide to President Lyndon Johnson described him as one of the five smartest men in America, says Podair, a history professor at Lawrence University in Appleton, Wisconsin.

“People who heard him speak were transfixed,” Podair says.

Rustin became one of the movement’s most eloquent defenders of its nonviolent philosophy, says Saladin Ambar, a political scientist at Lehigh University in Pennsylvania.

“He was one of the few individuals not afraid to debate with Malcolm X in public,” Ambar says. “Rustin more than held his own and really challenged Malcolm to push his thinking.”

Rustin was a special assistant to King and once headed the Southern Christian Leadership Conference. During the planning of the March on Washington, King resisted calls to jettison Rustin because he was gay, Podair says.

King, though, didn’t speak out on behalf of gay rights because he was doing all he could to hold the movement together, historians say.

He had to constantly fend off rumors that the movement was infiltrated by communists. He was also criticized for expanding the movement to take on poverty and oppose the Vietnam War.

“The movement superseded any discussion of gay rights,” Ambar says. “King was dedicated to the cause at hand.”

With all that was going on, King couldn’t afford to wage a public campaign defending Rustin’s homosexuality, says Vivian, a SCLC colleague of King’s.

“Any employee that would employ a gay person at the time who was outwardly gay would have problems,” Vivian says. “I don’t care if you were the president of the Untied Sates, you would have trouble doing that.”

After the 1963 March on Washington, Rustin remained as King’s adviser. The two, however, drifted apart when King became more radical during the last three years of his life, says Adair, Rustin’s biographer.

When Rustin died in 1987, he was starting to receive attention from gay and lesbian activists who linked civil rights with gay rights, Podair says.

Rustin was a late convert to their cause.

“He never put it [homosexuality] front and center,” Podair says. “He never politicized it until the end of his life. He didn’t want to make a big deal out of it.”

It’s no longer unusual today for gay and lesbian activists to draw parallels between their struggles and King’s legacy. Vivian, King’s SCLC colleague, says the comparison is apt.

“There was a time when black people were afraid to be themselves among white people,” he says. “You had to fit a stereotype in order to be accepted. They’re going through the same thing but now they feel better about themselves.”

Vivian says the movement shouldn’t be limited to race.

“As we were freeing up black people, we’re freeing up the whole society.”

Long, author of the upcoming books on King and Rustin, says King’s vision transcended his personal limitations. Maybe he could have said more to that anonymous boy who wrote him at Ebony. But he did leave him a key to the Beloved Community– even if he didn’t realize it at the time, Long says.

Now, Long says, it’s up to those who claim King today to use that key.

“A turn of that key and a gentle push on the gate, swinging it wide open so everyone can enter into the Beloved Community,” he says. “That’s the best way to advance the legacy of Martin Luther King.”

Ricky Martin communautariste : plus gay que patriote

Friday, November 11th, 2011

24heuresactu.com
Le chanteur latino Ricky Martin va changer de nationalité pour pouvoir épouser son compagnon. Quand une communauté organisée autour des préférences sexuelles est privilégiée à la Nation…

Ricky Martin a donc accédé à la nationalité espagnole dans le seul but de pouvoir épouser son amoureux, le financier Carlos González Abella, avec qui il a adopté des jumeaux en 2008.

De la bouche même de la star, cette accès à la nationalité espagnole permet de « reconnaître le travail du gouvernement de José Luis Zapatero en matière de défense de droits des gays ».

En gros, apatride, le chanteur se définit uniquement par sa préférence sexuelle. Une forme de communautarisme de plus en plus fréquente qui menace peu à peu le patriotisme, la nation, les états et qui favorisent donc le marché et l’avènement du libéralisme sauvage sous couvert de tolérance. Mais chut, il est interdit d’en parler…

Maison Martin Margiela : Un tee-shirt contre le sida

Thursday, September 1st, 2011

Comme à chaque collection Automne-Hiver depuis 1994, la Maison Martin Margiela lance son tee-shirt contre le sida. Une collaboration avec l’association AIDES qui confirme l’engagement de la maison de couture dans la lutte contre ce fléau.

La Maison Martin Margiela – connue pour son anticonformisme, son goût pour l’artisanat et l’expérimentalisme – renouvelle depuis 1994 son engagement dans la lutte contre le sida. Et 2011 ne dérogera pas à la règle. En collaboration avec l’association AIDES et à l’occasion de la journée mondiale du SIDA le premier décembre prochain, le collectif sort un tee-shirt exclusif en édition limitée. Une simple pièce blanche à col en V, sur lequel est imprimée en noir une simple phrase : “Il y a plus à faire pour combattre le sida que de porter ce t-shirt mais c’est un bon début”.

Le tee-shirt sera disponible dans toutes les boutiques de Maison Martin Margiela, ainsi que sur l’e-shop de la marque, pour la modique somme de 65 euros. Une façon d’ajouter une pièce de collection à son dressing et de faire une bonne action car une partie du prix du tee-shirt sera reversée à AIDES. Depuis le début de cette collaboration entre l’association et la maison de couture, 170 000 tee-shirts ont été vendus, ce qui a rapporté plus de 700 000 euros à AIDES.

Ricky Martin et la Fondation Émergence…

Thursday, August 25th, 2011

http://www.gayglobe.us

Ricky Martin : Il a eu du
mal à accepter son homosexualité
Ricky Martin a avoué son
homosexualité en mars
2010. Cependant, le chanteur
avoue avoir eu beaucoup
de mal à accepter le
fait qu’il soit gay.
Ricky Martin fera l’objet
d’un reportage sur la chaîne
américain VH1 le 14 août
prochain. Intitulé Behind
The Music, ce documentaire
reviendra sur la carrière
du chanteur mais aussi sur
la révélation de son homosexualité
en mars 2010. Il
a accepté de se faire interviewer
à cette occasion et
avoue qu’il a eu beaucoup
de mal à se faire à l’idée qu’il
soit gay. “J’essayais si fort de
croire au fond de moi que je
n’étais pas homosexuel, parce
que tout ce que je présentais
sur scène était loin de ça. Donc j’étais très confus”,
explique-t-il sur VH1.
Aujourd’hui, Ricky Martin
est prêt à être honnête même
avec ses deux enfants nés
par mère porteuse en août
2008.
“Mes bébés sont nés, je les
tenais et je me disais que je
devais être fort, que j’avais
besoin d’être heureux, de
faire tout ce qu’il faut pour
eux, de les voir grandir dans
une maison pleine d’amour,
de transparence et que vaisje
leur apprendre, à mentir ?
Mes enfants auront des
questions sur moi et je leur
dirais juste : Oui, papa est
gay”, avoue-t-il. Pleinement
heureux, Ricky Martin
continue sa carrière dans la
musique avec un nouvel album
sorti en février dernier
et est actuellement en tournée
mondiale.

Une campagne contre
le racisme chez les homosexuels
La Fondation LGBT québéquoise
Émergence a lancé
jeudi une campagne de lutte
contre le racisme au sein des
communautés homosexuelles.
Baptisée “Non à l’homophobie,
non au racisme!”,
la campagne prévoit aussi
de l’information à destination
des nouveaux arrivants
originaires de pays où l’homosexualité
est illégale ou
sanctionnée. 5.000 immigrants
LGBT rejoindraient le
Québec pour s’y établir chaque
année.
NDLR: Cet article a soulevé
une vive interrogation de la
part de la rédaction de GGMag
qui a interrogé le Ministère
de l’immigration sur le
chiffre avancé de 5000 immigrants
LGBT qui s’établiraient
au Québec. Non seulement Immigration
Québec ne pouvait trouver
trace d’un tel chiffre, assez
spectaculaire vous en
conviendrez, mais les données
disponibles du ministère
ne permettent pas de qualifier
l’orientation sexuelle
des immigrants puisque
cette question n’est pas traitée
dans les documents statistiques
sur le portrait des
immigrants du Québec.
La Fondation Émergence,
qui avait été pointée du doigt
dans le dossier des déportés
homosexuels sous Hitler
avec des chiffres ne reposant
sur aucune statistique
vérifiable et contredisant les
regroupements des victimes
du nazisme, continue avec
la publication de chiffres
tout aussi incohérents et
gratuits. Au risque de nous
répéter, on ne sert pas la
cause gaie en exagérant la
réalité pour avoir des subventions
publiques…

Martin Matte fait de l’argent avec des enfants éventrés vivants!

Tuesday, July 19th, 2011

Blague de Martin Matte: Quand il se sert de cette blague sur la mort des deux enfants du Dr. Turcotte, éventrés, ÉVENTRÉS VIVANTS EN CRIANT, M. Matte qui déclare aujourd’hui qu’il voulait passer un message se trompe. Il a vendu des billets pour son show, il a fait commerce, cette blague avait été préparée comme contenu de son show. Il a voulu commercer et faire de l’argent avec deux enfants éventrés vivants. Martin Matte doit être sanctionné ou boycotté. Il devrait verser 1000$ à la CAVAC (actes criminels) pour montrer qu’il est hors de question de faire commerce avec le sang des enfants.

Le chanteur a eu peur de révéler son homosexualité Ricky Martin ne regrette absolument rien

Wednesday, June 15th, 2011

Par RTL.be
[email protected]

On apprend aujourd’hui que Ricky Martin était stressé à l’idée de faire son coming out car il pensait que l’homosexualité était diabolique.

Le chanteur latin a caché durant des années son attirance pour la gent masculine car il croyait que ses fans féminines allaient le laisser tomber. “J’étais en fait un tout autre Ricky Martin”, explique-t-il à la presse américaine.”

“Je jouais juste un rôle car je ne voulais pas décevoir mes fans. Elles me voyaient comme un sex symbol.

A chaque fois que j’étais sur le podium en train de danser sensuellement et de rendre les femmes folles, je me rendais compte que c’était impossible de faire mon coming out. J’avais vraiment des problèmes avec moi-même à ce moment-là. C’était une vraie bataille”.

Aujourd’hui, le chanteur, qui sera chez nous le 8 juillet prochain pour un concert unique, se dit très heureux d’avoir fait son coming out.

L’Irlande autorise le mariage homosexuel

Un grand pas de franchi ce mois-ci en Irlande : le pays autorise depuis le début du mois le mariage homosexuel, accordant ainsi les mêmes droits aux homosexuels qu’aux hétérosexuels. Du jamais vu dans une Irlande pourtant connue pour ses convictions conservatrices, et ses prises de positions inflexibles sur les questions familiales. Il y a moins de 25 ans, l’homosexualité en Irlande était en effet punie par la loi. Pays profondément religieux,et traditionaliste, l’Irlande avait toutefois été contrainte en 1993 à dépénaliser l’homosexualité, suite aux pressions de la Cour des Droits de l’Homme. Seul bémol : la question des droits de garde des enfants issus de ces mariages reste en suspens. En cas de décès du parent direct, la loi irlandaise prévoit que l’enfant soit placé.

1996- Martin LEFEBVRE Un artiste nouvel âge

Thursday, January 27th, 2011

Martin est un jeune artiste visuel de 20 ans qui déjà, ne laisse personne indifférent quand il décide de créer. Sous des airs durs et voyous se cache une âme très timide, sensible mais surtout déterminée à aller jusqu’au bout de son objectif. En fait, ce qu’il aimerait par dessus tout c’est de pouvoir vivre de la création et de la vente de ses oeuvres.

Tout a commencé à Val d’Or où le jeune Martin habitait mais ne vivait pas. Il était continuellement confronté à la déprime, au vide et ses aspirations étaient toujours bloquées par l’isolement de sa ville:<<…Quand on décide de faire quelque chose à val d’Or, il faut toujours se prendre à l’avance car dès que ca implique l’achat de quoi que ce soit, il faut le faire venir de loin. Il n’y a qu’un seul cinéma, certes plusieurs magasins grande surface mais rien de bien spécialisé. Quand on souhaite approfondir des arts tels que la danse, la sculpture ou la peinture, il faut en avoir les moyens financiers…>>

C’est donc en 1993 que Martin décide de venir s’installer seul à Montréal pour “retrouver son véritable milieu”. Il arrive sans argent mais avec une détermination qui ne s’est pas encore effritée en deux ans. Martin a eu l’occasion d’étudier le graphisme pendant deux années car il voulait mieux maîtriser les outils au service de l’art. Il aurait bien pu décrocher un D.E.C. mais l’idée d’entreprendre une dernière année de C.E.G.E.P. ne lui plaisait guère.

Aujourd’hui Martin se consacre à la création d’oeuvres autant peintes que sculptées de même qu’à l’expérimentation de nouveaux matériaux. J’ai eu l’occasion de visiter son appartement et mon attention a tout de suite été captée par la richesse des couleurs dans la plupart de ses tableaux. Les rouges sont vifs et loin d’être vulgaires, les bleus d’une profondeur immense et tout le reste est d’une beauté éclatante. Même avec peu de lumière, on arrive à entrer dans les tableaux tellement ils sont illuminés.

Toutefois, il faut aimer les images crues car toutes ses oeuvres représentent le corps humain dans des situations plus ou moins confortables. Ici un bras coupé, là une main tranchée et plus loin, un oeil sans orbite. Les cadres reprennent les thèmes de l’oeuvre et on y retrouve des couteaux et des yeux accrochés ça et là. Martin explique qu’il ne faudrait pas penser que ses oeuvres sont violentes loin de là. C’est une sorte d’hommage au corps humain. Il le dissèque, montre ce qu’il y a derrière la peau mais toujours d’une façon très esthétique.

Martin est visiblement nerveux face à la critique mais cela ne le décourage pas, il consacre pratiquement tout son temps à ses oeuvres. Les amateurs de toiles colorées seront ravis de se procurer une de ses oeuvre et on pourra aussi admirer des oeuvres en trois dimensions de même que des toiles à reliefs.

Martin LEFEBVRE aimerait beaucoup exposer ses oeuvres soit dans des lieux tels que les bistros spécialisés ou directement, dans une galerie qui voudrait bien lui consacrer un peu de place pour se faire connaître. N’est-ce pas là le véritable rôle des galeries d’art?

Les intéressés pourront rejoindre Martin au 522-4316 ou au 530-5818.