Posts Tagged ‘poursuites’

Recours collectif contre un médecin

Sunday, November 6th, 2011

Canoe
La docteure Christiane Farazli, qui est accusée d’avoir exposé ses patients à l’hépatite et au VIH en ne nettoyant pas correctement le matériel médical, fait maintenant face à un recours collectif de 20 millions $ initié par deux de ses anciens patients.

Le Collège des médecins et des chirurgiens de l’Ontario a mené à une inspection en mai dernier et a constaté que les protocoles de nettoyage et de prévention des infections n’ont pas toujours été respectés à la clinique d’endoscopie de la Dre Farazli.

Santé publique Ottawa a ensuite communiqué avec plus de 6800 patients ayant subi un examen endoscopique à cette clinique, pour les avertir du faible risque d’exposition au virus de l’hépatite B, au virus de l’hépatite C ou au VIH.

Le Collège se penche maintenant sur la possibilité d’engager une procédure disciplinaire à l’encontre de la Dre Farazli.

Raymond Gravel attaque pour des gestes qu’il pose lui-même.

Saturday, February 19th, 2011

La réputation de M. Raymond Gravel auprès des gais est terrible et son comportement dans un dossier récent en Cour supérieure de Montréal a causé de lourds dommages chez les gais et pour notre magazine. Quand il invoque sa réputation pour obtenir 500,000$, je suis préoccupé par les allégués de sa raclamation puisqu’il a posés les mêmes gestes envers nous sans se soucier une seule seconde des impacts sur notre entreprise.

1- Du faux communiqué sur ses collaborations à la revue Gay Le Point
2- Sur le vidéo où il contredit son communiqué sur ses articles dans la revue gay Le Point
3- Des mises en demeures reçus par lui de la part de Gay Globe Média pour fausses déclarations publiques sur ses collaborations à la revue gay Le Point
4- Sur le fait qu’il a déclaré publiquement n’avoir jamais été journaliste pour Le Point alors qu’une entrevue vidéo disponible au http://www.gayglobe.us/gravel060310.html nous félicite pour ces chroniques où il déclare l’importance de ces chronique et qu’il adore les faire. Il a sciemment menti en public sur ses articles dans Le Point et sa réputation chez les gais n’est pas au beau fixe.
5- Une fois confronté à sa fausse information et au vidéo, il a refusé de corriger de façon honorable.
Ne vous laissez pas intimider par un individu qui utilise la cause gaie pour vous menacer, nous répliquerons c’est assuré de notre côté.
Gay Globe Média

42- Mise au point nécessaire par le gérant du 3333 Bélanger Christian-Dominic Éthier s’explique

Wednesday, March 17th, 2010

28 000$ de poursuites judiciaires contre lʼauteur dʼun harcèlement illégal… Christian-Dominic Éthier sʼexplique dans Le Point et Gay Globe TV.
Dans les deux seules éditions de lʼété 2006, une publication gaie montréalaise, sous la plume de son éditeur, révélait des aspects inconnus de lʼancienne vie dʼun commerçant gai connu. Le commerçant décide de sʼexpliquer dans Le Point.
“Je suis simplement outré du fait que pour me forcer à changer mon témoignage ou me punir pour un témoignage que jʼaurai à rendre dans un procès contre ce magazine gai, lʼéditeur de ce magazine décide de publier mon dossier criminel antérieur, comme si on pouvait impunément référer au passé des personnes, publiquement, pour les forcer à penser comme nous!”, voilà ce quʼavait à déclarer Christian-Dominic Éthier lors de sa venue au bureau de la Revue Le Point. “Il mʼa accusé publiquement dʼutiliser des faux noms, des alias, il mʼa accusé de crimes qui nʼont pas fait lʼobjet de jugements criminels et jʼen passe”, déclare Éthier, “Il va devoir prouver au juge quʼil avait le droit de violer ainsi ma vie privée. Jʼai peut-être un passé mais jʼai surtout un présent,
il a mêlé mon conjoint actuel et son commerce à mon passé, en allant jusquʼà insinuer dans ses pages que je portais un faux nom. Ce quʼil nʼa pas dit à ses lecteurs, cʼest quʼil agissait ainsi pour se venger dʼune poursuite judiciaire contre lui pour viol de droits dʼauteur et que je suis témoin dans cette cause. Il est illégal au Canada de faire chanter un témoin, encore plus de divulguer un dossier antérieur avant même le procès, avant quʼun juge ait eu le temps de se pencher sur les faits et gestes de lʼéditeur de cette publication (…) Jʼai décidé de faire une mise au point et de demander à la Revue Le Point de publier mes pièces dʼidentité, ouvertement, pour quʼon sache que jʼutilise un vrai nom, et aussi pour dire, contrairement à ce qui a été publié par ce magazine, que je ne suis pas à lʼemploi du Point depuis 4 ans mais du 3333, Bélanger, un sauna mixte de Montréal (…) À force de crier au loup, il va se faire mordre par ses propres lecteurs qui nʼauront plus jamais confiance en lui sʼil continue à propager de fausses nouvelles. Jʼai aussi décidé de le poursuivre en justice, même chose pour mon employeur et mon conjoint, pour violation grave de ma vie privée et harcèlement pour 21 000$. Mon passé mʼappartient, il nʼappartient pas à André Gagnon, éditeur de ce magazine, qui peut en faire ce quʼil veut selon ses besoins personnels et ponctuels.

Éric Messier ne représente pas la FPJQ

Saturday, March 13th, 2010

Le journaliste québécois Éric Messier, en vendetta privée contre son compétiteur, le Groupe Gay Globe, a fait de nombreuses déclarations depuis le mois de décembre 2009 sur le statut professionnel de l’éditeur du groupe média responsable de la publication de Gay Globe Magazine, de Gay Globe TV et Radio et a impliqué dans ses déclarations, contre son gré, la Fédération Professionnelle des Journalistes du Québec (FPJQ) affirmant que ceux qui ne posséderaient pas leur carte de membre de cette organisation ne seraient pas de vrais journalistes ?!?.

La FPJQ, informée des déclarations de son membre, écrivait à l’éditeur du Groupe Gay Globe, le 8 février 2010 pour confirmer que M. Messier n’était pas porte-parole de la FPJQ “Le seul porte-parole habilité à parler au nom de la FPJQ est notre président, Brian Miles” et ajoutait quant à cette prétendue obligation d’adhérer à la FPJQ, faite et répétée par le membre Éric Messier que “l’adhésion à la FPJQ se fait sur base volontaire”.

Or, l’éditeur du Groupe Gay Globe est pourtant membre de l’Association Canadienne des Journalistes, de l’Investigative Reporters and Editors des États-Unis et de la Fédération Européenne de Presse, des organisations professionnelles pourtant reconnues dans deux cas par la FPJQ mais dont ignore tout le représentant improvisé de l’organisation québécoise de journalistes, Éric Messier.

Sur le site web de la FPJQ, l’Association Canadienne des Journalistes y est décrite comme “une sorte d’homologue de la FPJQ dont les 1500 membres se recrutent en grande majorité au Canada Anglais” et l’Investigative Reporters and Editors des États-Unis y est décrite comme “organisme indépendant voué au développement du journalisme d’enquête. Offre des cours et des ressources et établit progressivement une liste mondiale de journalistes d’enquête“.

Quand vous lirez un texte écrit par Éric Messier dénigrant ces associations et laissant croire que l’adhésion à la FPJQ est un prérequis professionnel au Québec ou qu’il est gage de qualité, souvenez-vous que l’association ne lui permet pas de faire de telles déclarations et qu’elle le confirme publiquement. Quant à la qualité, les actes pathologiques de Messier prouvent qu’une carte de membre de la FPJQ ne signifie rien d’autre que le paiement d’un membership annuel!

Éric Messier fait actuellement l’objet de procédures civiles et pourrait être accusé criminellement pour violations des articles 297 et suivants du code criminel canadien depuis qu’il a annoncé une fausse faillite, qu’il a affirmé qu’une entreprise émettait de faux diplômes, que l’éditeur de GGTV se faisait passer pour juge et qu’il a tenté de mettre la vie d’un journaliste en danger, l’associant à “Saddam”, ces exemples étant partiels. Un procureur est d’ailleurs sur le dossier.