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Message de l’ex-Président du chapitre montréalais de l’Association Canadienne des Journalistes

Monday, April 2nd, 2012

Il me fait plaisir de communiquer avec vous, exceptionnellement, à la veille de l’assemblée générale annuelle et du congrès national de l’Association Canadienne des Journalistes 2012, afin de vous faire rapport des activités de l’ACJ-Montréal et des découvertes faites dans le cadre de mon mandat comme Président de votre chapitre.

Tout d’abord, je souhaite rappeler que j’ai démissionné en 2011 de mon poste de Président après avoir été élu d’abord comme vice-Président et ensuite Président, par l’Assemblée générale annuelle du chapitre de Montréal, à l’unanimité des membres présents et du Comité Exécutif. Mon expérience avec les membres de ce Comité exécutif a été formidable, motivante et très agréable. Toutefois, ma démission, suivie par plus de la moitié des autres membres du Comité Exécutif, faisait suite à la découverte de nombreuses situations qui sont incompatibles avec les fonctions de journalistes responsables. Je ne souhaitais pas être complice d’actes potentiellement dérogatoires de la part d’une organisation qui ne souhaite pas être transparente.

Le blogue du chapitre de Montréal fait d’ailleurs état de ces situations et la publication des minutes détaillées du Comité Exécutif vous permettra de comprendre exactement ce qui se passe avec notre association nationale. Voici quelques exemples des situations découvertes ou observées par le chapitre de Montréal au fil du temps, qui sont mentionnées dans les minutes:
- Impossibilité d’obtenir des états financiers vérifiées du National (Le Président national Hugo Rodriges déclarant que ces documents étaient perdus ou impossibles à retrouver sur son ordinateur);
- Impossibilité de faire avancer le visage francophone de l’association qui se déclare pourtant bilingue (refus de fournir un logo bilingue ou de publier ses nouvelles en français);
- Publication d’un communiqué annoncant un faux comité incluant le chapitre de Montréal, chargé d’étudier le Rapport Payette, alors que le National savait très bien que le chapitre de Montréal avait annoncé son refus de participer à ce comité;
- Organisation nationale en défaut pour de nombreuses années face à Corporations Canada;
- Fausse fondation de l’ACJ inactive mais présentée comme active par le National;
- Boycotte du Président national Hugo Rodrigues imposé contre le président du chapitre de Montréal du simple fait de son rôle;
- Faux chiffres quant au membership à l’ACJ, la réalité étant loin des chiffres publiés par l’ACJ nationale. Des 1500 membres annoncés il y a 2 ans, seuls quelques 350 membres environs adhéreraient à l’ACJ au niveau de tout le Canada;
- Refus de fournir des cartes de presse, de permettre la création par Montréal de documents favorisant la visibilité de l’ACJ locale etc…
- Poursuite judiciaire contre l’ACJ nationale pour violation de la Charte québécoise des droits et libertés face à la la langue française et au retrait de certains privilèges d’accès à l’ex-Président de Montréal sur la base de sa langue maternelle, le français (ceci étant plus récent mais inscrit au Palais de justice de Montréal);

Et de nombreuses autres situations qui ne font pas honneur à une organisation qui prétend représenter des journalistes professionnels.

Comme le congrès annuel de l’ACJ est dans quelques semaines, il me semblait important de vous communiquer ce rapport afin que la réalité soit connue de toutes et tous, car nous sommes membres d’une organisation qui présente un certain prestige, sa crédibilité dépend de l’exactitude des informations qu’on transmettra à ce congrès. Il s’agissait aussi de mon rôle comme Président du chapitre de Montréal de protéger les membres et de les informer.

Malheureusement, malgré les informations publiées sur le site Internet de l’ACJ nationale, il est faux de prétendre que le chapitre de Montréal est toujours actif car les seuls 3 membres restant ne se réunnissent plus depuis ma démission. Le chapitre de Montréal est effectivement inexistant, aucune assemblée générale annuelle n’est prévue ou n’a été convoquée selon les règles de l’ACJ et il faut le déplorer. Notre représentativité est donc nulle au sein de cette association.

L’ACJ nous demandera de voter sur certaines proposition bientôt, nous demandera de participer à ses activités et surtout, voudra que l’on cotise comme toujours pour la faire vivre. Je crois sincèrement que ces demandes doivent être conditionnelles au respect des décisions du Comité Exécutif de Montréal, à la cessation de tout boycotte de la part du National et à la fourniture d’informations exactes et précises sur son administration financières et sur son membership.

Il s’agit de demandes de notre part qui sont raisonnables, les minutes du Comité Exécutif de Montréal sont très claires à cet effet et je pense qu’il est temps que cette organisation, qui est en fin de vie de toute évidence, fasse preuve d’une plus grande ouverture d’esprit sur la démocratie et réalise ce qui se passe si elle souhaite survivre et continuer à nous représenter professionnellement.

Quand viendra le temps de décider de votre avenir avec cette organisation, je pense qu’il est fondamental que vous ayez les informations présentes en main. Je suis toujours membre en règle de cette organisation, qui me boycotte pour mon élection comme Président du chapitre de Montréal et pour le fait d’être francophone, je ne sais toutefois pas si je vais continuer à adhérer un une telle organisation dans l’avenir.

Merci et recevez, chers membres du chapitre de Montréal, l’expression de toute ma considération. BON CONGRES!!!

Roger-Luc Chayer

L’ex-Président de l’Association Canadienne des Journalistes du Chapitre de Montréal déplore la désinformation et l’unilinguisme de l’ACJ nationale.

Friday, January 6th, 2012

TITRE : L’ex-Président de l’Association Canadienne des Journalistes du Chapitre de Montréal déplore la désinformation et l’unilinguisme de l’ACJ nationale.
(Montréal) Ex-Président du chapitre montréalais de l’Association Canadienne des Journalistes, Roger-Luc Chayer, éditeur du Groupe National, dénonce le refus systématique de la part de l’ACJ nationale de fournir quelque visibilité francophone que ce soit auprès de ses membres.
« J’ai demandé à au moins 10 reprises dans les derniers jours à l’ACJ, via son site Facebook, que les communiqués publiés par l’association soient offerts en français pour le bénéfice des membres francophones et à chaque fois, quand on n’ignore pas mes demandes, on répond que le budget ne permet pas les traductions, ce que je trouve inacceptable en 2012 », déclare l’ex-Président qui a démissionné en 2011 suite au refus de la part du bureau national de donner suite aux nombreux engagements contractés auprès du chapitre de Montréal quant à la bilinguisation des services de l’ACJ et plus d’une dizaine d’autres sujets dont les finances.
Roger-Luc Chayer déclare aussi que malgré les affirmations de l’ACJ publiées sur son site Internet quant au chapitre de Montréal, depuis sa démission, aucun comité exécutif ne s’est réuni à Montréal. « Ce que ne dit pas l’ACJ nationale dans ses communications, c’est que depuis ma démission et celle de la plupart des autres membres de l’Exécutif montréalais, aucun Comité exécutif ne s’est réuni à Montréal et l’ACJ fait comme s’il en existait toujours un, ce qui, combiné aux autres irrégularités constatées lors de ma présence au CE, ressemble à de la désinformation probablement dans le but de chercher une crédibilité. J’attends toujours d’ailleurs les réponses aux questions importantes soulevées par notre exécutif et comme membre personnel à savoir quel est le véritable membership au Québec et au Canada puisque selon mes observations, nous sommes très loin du nombre déclaré par l’ACJ, celle ci refusant de nous donner une réponse et aussi quant à des états financiers vérifiés que le Président national déclare ne pas retrouver dans son ordinateur… », conclut Roger-Luc Chayer qui est toujours membre en règle de l’ACJ.
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Renseignements :
Roger-Luc Chayer, 514-728-6436 [email protected]

Rermerciements à l’Archêvêque de Montréal et à Laura Ieraci

Wednesday, July 20th, 2011

L’Association Canadienne des Journalistes du chapitre de Montréal adoptait une résolution unanime lors de sa réunion du 5 juillet 2011 qui souhaitait ainsi remercier l’Archevêque de Montréal, Monseigneur Jean-Claude Turcotte et Madame Laura Ieraci pour leur aide précieuse et leur soutien aux activités du chapitre montréalais de l’association professionnelle de journalistes canadiens avec le prêt de salles de réunions et l’accès toujours facile à ces salles.

L’Association Canadienne des Journalistes peut ainsi vaquer à la gestion de ses affaires de même qu’à l’organisation de son assemblée générale annuelle 2011 grâce à ce support toujours apprécié. Proposée par le Président montréalais Roger-Luc Chayer qui était secondé de Beryl Wajsman, Vice-président, la résolution a été adoptée à l’unanimité.

Réélection de Roger-Luc Chayer à l’ACJ

Wednesday, April 27th, 2011
Roger-Luc Chayer réélu Président de l’Association Canadienne des Journalistes-Montréal pour 2011-2012 à l’unanimité de l’Assemblée Générale Annuelle http://acjmontreal.wordpress.com/2011/04/27/minutes-de-laga-du-26-avril-2011-minutes-from-the-aga-2011/

Nouvel exécutif à l’ACJ-Montréal

Wednesday, April 20th, 2011
Nouvel Exécutif à l’Association Canadienne des Journalistes et réélection de Roger-Luc Chayer à la Présidence du chapître montréalais. http://www.facebook.com/notes/acj-montr%C3%A9al-caj-montreal/nouvel-ex%C3%A9cutif-%C3%A0-lacj-montr%C3%A9al/192433684134800

Roger-Luc Chayer élu Président par intérim de l’Association Canadienne des Journalistes de Montréal

Saturday, February 26th, 2011

Un nouveau Président par intérim pour l’Association Canadienne des Journalistes de Montréal http://acjmontreal.wordpress.com/2011/02/26/resultats-du-vote-de-lacj-montreal-du-26-fevrier-2011/

1995- L’ALGUQAM prochainement mise sous tutelle?

Thursday, January 27th, 2011

L’Association des Lesbiennes et des Gais de l’Université du Québec à Montréal, présidée par André GAGNON serait prochainement mise sous tutelle par l’université pour des accusations “d’irrégularités”. C’est en effet à la demande de messieurs Alain THIBAULT et Bernard GADOUA que l’Université devrait procéder à une telle mesure en fonction du nombre élevé des preuves. Puisque le président GAGNON cumulait d’autres fonctions dont la présidence du Centre des Gais et Lesbiennes de l’UQAM et la fonction d’éditeur du journal HomoSapiens, on comprendra le choc chez les étudiants et les annonceurs. Selon nos sources, les finances n’étaient pas accessibles et seul monsieur GAGNON contrôlait les revenus et dépenses:<<…Il n’arrivait pas à déléguer!>> de dire notre interlocuteur. <<…Le dernier numéro (#21, juillet 95) avait même été imprimé à 5000 copies au lieu des 10,000 publicisées. C’est la première fois qu’on ment face à la quantité mais on espérait simplement que ca ne se sache pas…>>. En entrevue avec Madame Johanne FORTIN, responsable des services à la vie étudiante, on apprend que le dossier est très accablant et qu’à moins d’un revirement de dernière minute, la tutelle devrait être annoncée d’ici peu. Un représentant de l’ALGUQAM, monsieur Stéphane CASSELOT disait en entrevue à RG qu’une association indépendante ne pouvait être mise sous tutelle, ce que réfute madame FORTIN: <<…En effet, on suggère fortement à l’association d’accepter la tutelle décrétée par l’UQAM sinon l’université pourrait retirer toutes les subventions, le droit d’usage des locaux et du matériel…>> Aux dires de madame FORTIN, les représentants gais de la communauté étudiante siègent à tous les niveaux de l’université et sont très visibles. Il ne faudrait pas à ce moment-çi qu’une mauvaise administration de leur association vienne entacher leur crédibilité.

Réunion de l’exécutif de Montréal le 24 janvier 2011

Tuesday, January 25th, 2011

Le Comité exécutif de l’Association Canadienne des Journalistes de Montréal s’est réuni hier le 24 janvier 2011 pour une réunion ordinaire de gestion et de projets dans les locaux des Centres Stop inc. prêtés pour l’occasion. Une excellente réunion qui s’est soldée par la prise de nombreuses décisions visant à améliorer la présence de l’ACJ auprès des journalistes de la grande région de Montréal et pour reconnaître certaines technologies Internet comme médias officiels.

Comité exécutif ACJ-Montréal

54- Association des auteurs gais

Saturday, December 18th, 2010

Montréal – Réjean Roy, écrivain et journaliste, vient de fonder L’arc-en-ciel littéraire en collaboration avec Richard Bradley, auteur bien connu pour son implication auprès des Archives gaies du Québec. Cet organisme à but non lucratif a pour mandat de regrouper les auteurs gais dans le but de met- tre fin à leur isolement et de leur offrir une meilleure visibilité. L’organisme mettra l’accent sur la recon- naissance des auteurs gais, sur la promotion de leurs titres et sur la diffusion de la littérature gaie. Selon Réjean Roy, le nom L’arc-en-ciel littéraire s’est imposé de lui-même. « D’abord, il faut dire que l’arc-en-ciel fait référence au drapeau gai et, conséquemment, à notre diversité en tant qu’individus. Nos différences sont toutes aussi colorées au niveau individuel qu’au niveau de la création », explique-t-il. « Finalement, comme l’arc-en-ciel, nous, auteurs de la communauté gaie, sommes autant de gouttelettes d’eau réunies pour for- mer un tout, pour créer une synergie autour d’un projet commun, soit celui de promouvoir la littérature gaie ainsi que les écrits d’auteurs gais qui ne publient pas exclusivement de la littérature à thématique gaie.
Pour Réjean Roy, la disparition de la librairie l’Androgyne et, tout dernièrement, de Serge et Réal Libraires et de la succursale de Renaud-Bray dans le village, est une perte immense pour les auteurs gais qui se retrouvent maintenant isolés. Comme les maisons d’édition gaies sont absentes du paysage littéraire québécois, survivre en tant qu’auteur gai est un défi de taille, soutient Monsieur Roy. Il ose espérer que la librairie Ménage à trois saura survivre à ces éternelles intempéries économiques. D’ailleurs, il lui souhaite la meilleure des chances. « De plus, comme la relève se fait toujours attendre au niveau de l’Union des écrivains gais depuis l’exil de son fondateur, L’arc-en-ciel littéraire se veut une alternative pour tous ces auteurs qui travaillent dans l’isolement. Nous leur proposons une structure simple et efficace qui permettra la mise en commun des ressources et des initiatives concrètes pour faciliter le développement et l’affirmation de notre création collective », poursuit-il.
L’arc-en-ciel littéraire s’adresse à tous ceux et celles qui croient à une démarche globale de soutien aux auteurs gais et à l’écriture gaie. Conséquemment, tous sont invités à y participer (peu importe leur orienta- tion sexuelle), autant les auteurs, les lecteurs, les journalistes, les chroniqueurs, les éditeurs et les profes- sionnels de l’industrie du livre. L’adhésion est gratuite. Pour devenir membre en règle, il suffit d’avoir pu- blié un livre. Tous les autres peuvent obtenir le statut d’ami de l’arc-en-ciel. Il suffit d’une simple demande écrite pour devenir membre de L’arc-en-ciel littéraire et pour recevoir la correspondance de l’organisme.
Les membres et amis de L’arc-en-ciel littéraire recevront automatiquement tous les communiqués de pres- se et toutes les offres promotionnelles provenant des membres de l’organisme. De plus, en figurant sur la liste d’envoi, tous recevront automatiquement l’information sur les réalisations, sur les projets et sur les in- terventions de l’organisme. Finalement, Monsieur Roy confirme que les projets à moyen terme incluent la participation à des activités culturelles et artistiques (festivals, foires, lectures publiques, conférences, jour- nées communautaires, fierté gaie), la conception d’un site Internet où les auteurs membres seront mis en vedette, la publication de recueils de textes collectifs sur une base annuelle, la mise sur pied d’une maison d’édition pour promouvoir les écrits de nos membres et la promotion des titres de nos membres. Pour de- venir membre de L’arc-en-ciel littéraire, il suffit de nous envoyer un courriel à arcenciellitteraire@yahoo. ca. Vous pouvez également visiter le site Internet de l’organisme à http://arcenciellitteraire.site.voila.fr/.

LEVON SEVUNTS WAR, REPORTING & REMEMBRANCE

Tuesday, November 9th, 2010

The Montreal chapter of the Canadian Association of Journalists will hold an informal meet & greet social event on Thursday, November 11, starting at 7 p.m.

Levon Sevunts has agreed to be guest of honour.

Currently with Radio Canada International, the award-winning journalist began reporting in 1990, covering wars and civil strife in the Caucasus and Central Asia for a number of independent Russian and Armenian news outlets.

After coming to Canada in 1992, he mastered the English language and began writing a foreign affairs column in The Gazette. His work has since appeared in many newspapers, including the Globe and Mail, the National Post, the Toronto Star, the New York Times and the Washington Times.

In 2004, he was the first Canadian journalist to report from Darfur and, in 2005, he returned to Afghanistan, where he was embedded with Canadian and United States troops.

À L’OCCASION DU JOUR DU SOUVENIR LEVON SEVUNTS : REPORTER DE GUERRE

Tuesday, November 9th, 2010

À L’OCCASION DU JOUR DU SOUVENIR
LEVON SEVUNTS : REPORTER DE GUERRE

Le chapitre montréalais de l’Association Canadienne des Journalistes tiendra une réunion sociale informelle de ses membres le 11 novembre dès 19h.

Levon Sevunts agira à titre d’invité d’honneur.

M. Sevunts est un journaliste s’étant mérité de nombreuses distinctions et qui travaille actuellement à Radio-Canada International (RCI). Il a rédigé ses premiers reportages en 1990 lorsqu’il a fait la couverture des guerres et des insurrections dans le Caucase et en Asie centrale pour des médias d’information indépendants russes et arméniens.

Suite à son arrivé au Canada en 1992 et après avoir fait l’apprentissage de la langue anglaise, le journal The Gazette lui a confié une chronique d’affaires étrangères. Ses reportages sont subséquemment publiés dans plusieurs journaux tels le Globe and Mail, National Post, Toronto Star, New York Times et Washington Times. En 2004, il fut le premier journaliste canadien à réaliser des reportages au Darfour. Il s’est rendu à nouveau en Afghanistan en 2005, où il a été intégré aux troupes canadiennes et américaines.

M. Sevunts aura l’occasion de nous faire part de son expérience de reporter sur les champs de bataille ce jeudi, à l’occasion du jour du souvenir.

Roger-Luc Chayer élu à l’Association Canadienne des Journalistes

Wednesday, October 20th, 2010

Roger-Luc Chayer élu à l’exécutif de l’Association Canadienne des Journalistes
Par Gay Globe Média

Roger-Luc Chayer

Roger-Luc Chayer

Lors de son assemble générale annuelle du 18 octobre dernier, Roger-Luc Chayer, éditeur de Gay Globe Média, qui avait répondu à l’appel du Président du chapitre montréalais afin de se présenter, a été élu par acclamation et son élection ratifiée à l’unanimité par l’assemblée générale annuelle de l’ACJ, chapitre de Montréal. Les autres membres de l’exécutif élus sont Robert Frank, Laura Leraci, Anja Karadeglija, Raphaël Melançon, Jessica Murphy, Raj Naryansingh, Michel Rémy et Corinne Smith.
L’Association Canadienne des Journalistes regroupe plus de 1500 membres partout au Canada et est la seule organisation professionnelle de journalistes bilingue.

Éric Messier ne représente pas la FPJQ

Saturday, March 13th, 2010

Le journaliste québécois Éric Messier, en vendetta privée contre son compétiteur, le Groupe Gay Globe, a fait de nombreuses déclarations depuis le mois de décembre 2009 sur le statut professionnel de l’éditeur du groupe média responsable de la publication de Gay Globe Magazine, de Gay Globe TV et Radio et a impliqué dans ses déclarations, contre son gré, la Fédération Professionnelle des Journalistes du Québec (FPJQ) affirmant que ceux qui ne posséderaient pas leur carte de membre de cette organisation ne seraient pas de vrais journalistes ?!?.

La FPJQ, informée des déclarations de son membre, écrivait à l’éditeur du Groupe Gay Globe, le 8 février 2010 pour confirmer que M. Messier n’était pas porte-parole de la FPJQ “Le seul porte-parole habilité à parler au nom de la FPJQ est notre président, Brian Miles” et ajoutait quant à cette prétendue obligation d’adhérer à la FPJQ, faite et répétée par le membre Éric Messier que “l’adhésion à la FPJQ se fait sur base volontaire”.

Or, l’éditeur du Groupe Gay Globe est pourtant membre de l’Association Canadienne des Journalistes, de l’Investigative Reporters and Editors des États-Unis et de la Fédération Européenne de Presse, des organisations professionnelles pourtant reconnues dans deux cas par la FPJQ mais dont ignore tout le représentant improvisé de l’organisation québécoise de journalistes, Éric Messier.

Sur le site web de la FPJQ, l’Association Canadienne des Journalistes y est décrite comme “une sorte d’homologue de la FPJQ dont les 1500 membres se recrutent en grande majorité au Canada Anglais” et l’Investigative Reporters and Editors des États-Unis y est décrite comme “organisme indépendant voué au développement du journalisme d’enquête. Offre des cours et des ressources et établit progressivement une liste mondiale de journalistes d’enquête“.

Quand vous lirez un texte écrit par Éric Messier dénigrant ces associations et laissant croire que l’adhésion à la FPJQ est un prérequis professionnel au Québec ou qu’il est gage de qualité, souvenez-vous que l’association ne lui permet pas de faire de telles déclarations et qu’elle le confirme publiquement. Quant à la qualité, les actes pathologiques de Messier prouvent qu’une carte de membre de la FPJQ ne signifie rien d’autre que le paiement d’un membership annuel!

Éric Messier fait actuellement l’objet de procédures civiles et pourrait être accusé criminellement pour violations des articles 297 et suivants du code criminel canadien depuis qu’il a annoncé une fausse faillite, qu’il a affirmé qu’une entreprise émettait de faux diplômes, que l’éditeur de GGTV se faisait passer pour juge et qu’il a tenté de mettre la vie d’un journaliste en danger, l’associant à “Saddam”, ces exemples étant partiels. Un procureur est d’ailleurs sur le dossier.