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68- Consommation: La fraude sur Ebay au maximum!

Wednesday, May 5th, 2010

L’Internet semble être devenu malheureusement et depuis quelques mois, le vecteur le plus important de fraudes dans le monde et à tous les niveaux. Est-ce que les autorités y peuvent quelque chose? Un constat d’échec sur fond de milliards…

Je ne sais pas si, comme moi, vous avez des adresses de courrier électronique affichées sur des sites Internet, dans mon cas c’est sur Gay Globe, mais jamais je n’ai reçu autant d’annonces d’héritages que depuis quelques mois. Comme si je me découvrais une famille élargie, qui décèdent tous en même temps ou presque et qui me lèguent leurs millions. Je ne savais d’ailleurs pas que j’avais autant de famille riche au Mali, au Nigeria ou au Bangladesh…

Même chose avec les 10 annonces quotidiennes qui m’arrivent et m’informent que j’ai gagné à la loto de Belgique, la loterie spéciale de MSN ou la loterie nationale des États-Unis qui cherche à me joindre de toute urgence car ils ont un chèque de 220 Millions de dollars à me remettre.

Le volume de ces messages est tel que 80% de mon courrier électronique est actuellement constitué de ces messages qui, je dois l’admettre, sont insultants pour moi car on semble vraiment prendre les gens pour des imbéciles. Tous ces messages demandent la même chose: On demande vos numéros de comptes bancaires, on demande de remplir un formulaire avec vos noms, adresse, et autres renseignements confidentiels et dans tous les cas, que cela vienne de sources apparemment sures comme Paypal ou MSN, on demande une contribution aux frais d’envoi ou le paiement de pseudo taxes pour obtenir le prix.

Selon le département des enquêtes et fraudes de la Gendarmerie Royale du Canada, ces messages sont des classiques et toutes ces organisations sont de fausses compagnies qui sont généralement basées dans des pays où les accords internationaux en matière de mandats d’arrestation ne sont pas respectés et plus de 10,000 personnes en moyenne par année se font prendre ainsi leur argent au Canada sans jamais recevoir les prétendus prix.

Selon nos sources policières, il est inutile de porter plainte car on ne retrace jamais ces fraudeurs organisés, les assurances ne couvrent pas ces pertes et il est surtout recommandé de ne jamais répondre à ces courriels, aussi crédibles qu’ils soient car c’est ce qu’attendent les fraudeurs. L’abstention est encore la meilleure prévention.

Ebay
Le cas de Ebay est devenu particulièrement inquiétant quand on parle de fraudes ou de tentatives de fraudes car la compagnie, qui bénéficiait jusqu’ici d’une relative bonne réputation, est maintenant impliquée malgré elle à des actes répréhensibles et elle s’en lave un peu les mains. Par exemple, à deux reprises dans les six derniers mois, j’ai regardé les voitures à vendre et à deux reprises, j’ai trouvé des véhicules, un Chevrolet Avalanche et un Nissan Armada qui affichaient des prix très intéressants.

Lorsque je me suis informé auprès des vendeurs déclarés sur le site comme canadiens on m’a servi les deux fois le même email. Il s’agissait d’un véhicule qu’une personne divorcée voulait vendre rapidement pour ne pas qu’il se retrouve saisi. Les deux véhicules étaient à l’opposé du continent, à Vancouver et à Los Angeles et les vendeurs en Europe. L’argent devait être envoyé par Western Union, en totale contradiction avec les règles de Ebay. Le plus préoccupant est que Ebay, informé de ces deux situations, n’a pas réagi et, pire, sur son site web, n’offre aucun moyen de communiquer avec la compagnie…

Ma visite dans un centre de réinsertion

Sunday, May 2nd, 2010

Vendredi dernier, je me suis retrouvé en visite dans une résidence hébergeant des criminels de longue durée en liberté post-détention. Des meurtriers ou des gens à l’origine de crimes très graves nécessitant entre 15 et 25 ans de prison qui ont fait leur temps y résident.

Je me suis retrouvé là pour visiter un ex-détenu que je connais et qui y habite en dépannage, c’est-à-dire qu’il n’est pas un criminel de longue durée à l’origine d’un crime violent mais qu’il avait besoin d’un hébergement à sa sortie de prison le 1er avril dernier le temps de se remettre sur pieds.

Une fois entré dans l’établissement, où les pensionnaires circulaient tout à fait librement, sans surveillance et qui sont totalement libres, je remarque que contrairement à de nombreuses résidences communautaires dans le milieu gai/sida, l’endroit est superbe, propre, moderne, rénové et on procure aux locataires des conditions de vie très agréables.

Lors de mon court passage de 30 minutes et après avoir visité toutes les pièces, je me suis demandé pourquoi ce type d’établissement devait se cacher et ne pas afficher ouvertement qu’il sert de réinsertion pour des meurtriers. On peut répondre par la logique en se disant qu’après tout, il est normal d’être nerveux quand on y entre ou quand on sait que nous avons de tels voisins car les crimes commis sont graves et violents. Mais voilà, moi je ne ressentais pas cette nervosité, rien, au contraire, je me sentais bien mieux que quand je vais visiter un malade du sida qui est hébergé dans un des taudis communautaires qui prétendent procurer un agréable hébergement de fin de vie pour les notres.

Et après réflexion, j’ai peut-être trouvé le pourquoi du fait que je ne me sentais absolument pas terrorisé dans cette maison. Ceux qui y sont hébergés sont des meurtriers ok, soit… Mais entre le meurtrier qui a tué une fois, à coup de révolver ou autre et un chasseur qui, à chaque année astique son fusil en anticipant la jouissance que lui procure le fait de tuer un orignal, un caribou ou un ours et qui n’attend que la saison de la chasse pour aller tuer à coup de carabine des animaux 8 fois plus gros que lui, j’ai moins peur du meurtrier que du chasseur. Le chasseur lui n’a aucun contrôle, canalise ses pulsions meurtrières en les validant sous le prétexte d’une chasse légale, d’un sport, alors que l’ex-meurtrier lui, qui a tué il y a 25 ans, qui n’a pas ressenti de plaisir et qui n’a aucune pulsion à recommencer est certainement plus sécuritaire, du moins dans mon esprit.

Il y a des ces contradictions dans la société parfois… J’étais bien en visitant mon ami et j’y retournerai. Pensez-y!

Éric Messier ne représente pas la FPJQ

Saturday, March 13th, 2010

Le journaliste québécois Éric Messier, en vendetta privée contre son compétiteur, le Groupe Gay Globe, a fait de nombreuses déclarations depuis le mois de décembre 2009 sur le statut professionnel de l’éditeur du groupe média responsable de la publication de Gay Globe Magazine, de Gay Globe TV et Radio et a impliqué dans ses déclarations, contre son gré, la Fédération Professionnelle des Journalistes du Québec (FPJQ) affirmant que ceux qui ne posséderaient pas leur carte de membre de cette organisation ne seraient pas de vrais journalistes ?!?.

La FPJQ, informée des déclarations de son membre, écrivait à l’éditeur du Groupe Gay Globe, le 8 février 2010 pour confirmer que M. Messier n’était pas porte-parole de la FPJQ “Le seul porte-parole habilité à parler au nom de la FPJQ est notre président, Brian Miles” et ajoutait quant à cette prétendue obligation d’adhérer à la FPJQ, faite et répétée par le membre Éric Messier que “l’adhésion à la FPJQ se fait sur base volontaire”.

Or, l’éditeur du Groupe Gay Globe est pourtant membre de l’Association Canadienne des Journalistes, de l’Investigative Reporters and Editors des États-Unis et de la Fédération Européenne de Presse, des organisations professionnelles pourtant reconnues dans deux cas par la FPJQ mais dont ignore tout le représentant improvisé de l’organisation québécoise de journalistes, Éric Messier.

Sur le site web de la FPJQ, l’Association Canadienne des Journalistes y est décrite comme “une sorte d’homologue de la FPJQ dont les 1500 membres se recrutent en grande majorité au Canada Anglais” et l’Investigative Reporters and Editors des États-Unis y est décrite comme “organisme indépendant voué au développement du journalisme d’enquête. Offre des cours et des ressources et établit progressivement une liste mondiale de journalistes d’enquête“.

Quand vous lirez un texte écrit par Éric Messier dénigrant ces associations et laissant croire que l’adhésion à la FPJQ est un prérequis professionnel au Québec ou qu’il est gage de qualité, souvenez-vous que l’association ne lui permet pas de faire de telles déclarations et qu’elle le confirme publiquement. Quant à la qualité, les actes pathologiques de Messier prouvent qu’une carte de membre de la FPJQ ne signifie rien d’autre que le paiement d’un membership annuel!

Éric Messier fait actuellement l’objet de procédures civiles et pourrait être accusé criminellement pour violations des articles 297 et suivants du code criminel canadien depuis qu’il a annoncé une fausse faillite, qu’il a affirmé qu’une entreprise émettait de faux diplômes, que l’éditeur de GGTV se faisait passer pour juge et qu’il a tenté de mettre la vie d’un journaliste en danger, l’associant à “Saddam”, ces exemples étant partiels. Un procureur est d’ailleurs sur le dossier.

Un ex-peshmerga Kurde traité de “Saddam” par le journaliste Éric Messier!

Monday, February 15th, 2010

Un ex combattant pour la liberté du Kurdistan, reconnu par le Canada comme région opprimée sous l’ex-président irakien Saddam Hussein, se fait traiter de “Saddam” sur le site Internet du journaliste québécois Éric Messier après avoir été récompensé à titre honorifique pour son engagement envers l’autonomie de sa région et ses projets quant au développement de l’industrie pétrolière par les Kurdes.

La victime de cet acte haineux, établie en Grande-Bretagne, est Kurde et a été actif dans la résistance contre Saddam Hussein et alors qu’on vient justement il y a quelques jours d’exécuter par pendaison les responsables irakiens d’un génocide contre le peuple Kurde, le fait de traiter un Kurde de “Saddam” est probablement un geste non seulement inconsidéré pour ce peuple mais engage le code criminel canadien qui interdit les crimes haineux de cette nature et contre les minorités ethniques.

Le récipiendaire de deux décorations honorifiques décernées par l’Académie Ville-Marie fait face à l’attaque raciste et haineuse d’un journaliste en vendetta depuis quelques mois contre son compétiteur et tire sur tout ce qui bouge, démontrant le caractère pathologique de ses actes.

Tout le monde sait que les kurdes ont fait l’objet d’une terrible répression sous le président irakien Saddam Hussein et que les morts Kurdes se comptent par centaines de milliers, y compris ceux qui ont été gazés par “Ali le chimique” cousin du président Hussein, pendu il ya quelques jours pour génocide.

Le fait qu’un journaliste québécois ne connaisse pas l’histoire contemporaine et la misère du peuple Kurde ne pardonne en rien le fait de traiter de “Saddam” un représentant du peuple Kurde du simple fait qu’il est Kurde. La méconnaissance des grands drames de l’histoire par Éric Messier est équivalente aux carricatures de Mahomet qui sont à l’origine de graves émeutes contre l’auteur des carricatures.

Comment réagiront les groupes kurdes au Canada suite à cet acte de racisme haineux de la part d’une personne qui, de toute évidence, n’a plus le contrôle sur sa raison? Il est à souhaiter que des excuses formelles soient faites le plus rapidement possible car les autorités seront certainement saisies sur ces gestes. Le journaliste Éric Messier devrait aussi réaliser qu’il met directement la vie de l’auteur de ces lignes en danger si on devait croire par erreur qu’une récompense aurait été offerte à un “Saddam” alors qu’il s’agissait de récompenser un anti-Saddam, la méprise est volontaire, d’où la gravité de l’acte!

Selon Wikipédia, le 11 mars 1974, Saddam Hussein accorde une autonomie relative au Kurdistan, avec la « Loi pour l’autonomie dans l’aire du Kurdistan » qui stipule notamment que « la langue kurde doit être la langue officielle pour l’éducation des Kurdes ». Cette loi permet aussi l’élection d’un conseil législatif autonome qui contrôle son propre budget. Cependant 72 des 80 membres élus de ce conseil de la première session d’octobre 1974 ont été sélectionnés par Bagdad. En octobre 1977, la totalité du conseil est choisie par le régime. Les relations avec les Kurdes d’Irak se dégradent considérablement par la suite. Le 16 avril 1987, Saddam Hussein lance un raid à l’arme chimique sur la vallée du Balisan. Au cours de l’opération « Anfal », 182 000 personnes périssent dans des bombardements chimiques[8]. En décembre 2005, une cour de La Haye a qualifié cette campagne de « génocide ». Le 24 juin 2007, le Tribunal pénal irakien a condamné Ali Hassan al Madjid, surnommé « Ali le chimique », et deux autres anciens hauts dignitaires du régime de Saddam Hussein, à la peine de mort par pendaison pour le génocide commis contre les Kurdes au cours de cette opération Anfal.

Lorsque l’armée américaine est arrivée en Irak pour destituer Saddam Hussein, selon les généraux américains, les guerriers peshmergas étaient partout, tout avait déjà été fait et les américains n’avaient qu’à se lier aux peshmergas pour prendre le contrôle de la région, ce qui a été fait, voir l’article du Devoir sur le sujet http://www.offres.ledevoir.com/international/25277/les-peshmergas-kurdes-sont-partout

Traiter un Kurde et pershmerga de surcroît, Chef d’une tribue Kurde pacifique de “Saddam” est une insulte à la nation Kurde et un manque de respect pour les centaines de milliers de morts causés par Saddam Hussein. Jusqu’où ira Éric Messier dans ses publications incendiaires contre la société?

Syndrôme de Guillain-Barré selon le Dr. Barrette

Tuesday, October 27th, 2009

Le Président d’une association de médecins du Québec déclarait le 27 octobre dernier sur les ondes de TVA à l’émission de Denis Lévesque que le Guillain-Barré était acceptable à comparer aux risques de la grippe.

Voici exactement ce qu’est le Guillain-Barré, est-ce que le Dr. Barrette est de bonne foi?

Syndrome de Guillain-Barré

Un article de Wikipédia, l’encyclopédie libre.

Le syndrome de Guillain-Barré ou syndrome de Guillain-Barré-Strohl est une maladie auto-immune inflammatoire du système nerveux périphérique. C’est une maladie acquise. On l’appelle également polynévropathie aiguë inflammatoire démyélinisante, polyradiculonévrite aiguë idiopathique, polynévrite aiguë idiopathique ou paralysie ascendante de Landry.

Sommaire

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Généralités [modifier]

Le trouble, communément appelé syndrome de Guillain-Barré est une maladie rare qui affecte les nerfs périphériques de l’organisme. Il se caractérise principalement par une faiblesse, voire une paralysie et s’accompagne souvent de sensations anormales. Le syndrome se manifeste de manière sporadique. Il est imprévisible et peut survenir à tout âge, indépendamment du sexe. Sa gravité peut varier considérablement d’un cas moyen pouvant même ne pas être porté à la connaissance d’un médecin, à celui d’une maladie dévastatrice liée à une paralysie presque totale plaçant le patient entre la vie et la mort. On pense aujourd’hui que c’est de cette maladie que souffrait le président américain Franklin D. Roosevelt, paralysé des jambes à partir des années 20, et non de la polio, comme avancé à l’époque.

Historique [modifier]

En 1859, un médecin français, Jean Landry, décrivit en détails un trouble nerveux paralysant les jambes, les bras, le cou et les muscles respiratoires. Plusieurs rapports d’un trouble similaire arrivèrent d’autres pays. La preuve de Quinke en 1891, après un prélèvement du liquide céphalo-rachidien au moyen d’une aiguille placée dans le bas du dos, a ouvert la voie à trois médecins parisiens, Georges Guillain, Jean Alexandre Barré et André Strohl qui montrèrent en 1916, l’anomalie caractéristique d’une augmentation des protéines du liquide céphalo-rachidien avec numération normale des cellules chez deux soldats avec paralysie généralisée transitoire. Depuis lors, plusieurs chercheurs ont rassemblé des informations supplémentaires à ce sujet. Afin de faciliter la communication entre médecins et patients, on utilise simplement le terme « Syndrome de Guillain-Barré ».

Épidémiologie [modifier]

Elle est de 0,4 à 4 pour 100 000 habitants par an[1]. Elle est légèrement plus fréquente chez l’homme et les formes familiales sont exceptionnelles[2]. La récidive est également rarissime.

Cause [modifier]

L’origine du syndrome de Guillain-Barré n’est pas connue. Un certain nombre de manifestations semblent déclencher la maladie. La moitié des cas survient quelques jours, voire quelques semaines après une infection virale[3]. Ces infections peuvent se manifester de diverses manières, d’un refroidissement banal, à des maux de gorge en passant par des douleurs gastriques et intestinales, accompagnées de diarrhées. Certains cas ont été associés à des agents infectieux spécifiques : des infections à Campylobacter jejuni précèdent souvent le syndrome de Guillain-Barré et sont associées avec une dégénérescence des axones avec récupération lente, et un sévère handicap résiduel [4]. Il semble exister une parenté entre certains antigènes du Campylobacter Jejuni et certains gangliosides, molécules présentes dans le système nerveux, ce qui pourrait expliquer l’auto-immunité[5].

Certains cas sont apparus simultanément à une maladie rare des globules rouges, la porphyrie. D’autres sont survenus après des événements apparemment non rapportés tels qu’une chirurgie, une piqûre d’insectes ou diverses injections. Des cas ont été décrits durant l’hiver 1976-77 chez des personnes qui avaient été vaccinées contre la grippe porcine, la vaccination commune anti-grippale elle-même étant responsable d’exceptionnels cas [6].

Le syndrome de Guillain-Barré peut également survenir durant la grossesse. Heureusement, des épisodes répétés ne se représentent habituellement pas lors des grossesses ultérieures.

Quelques éruptions ou cas groupés de ce syndrome ont été rapportés : épidémies estivales chez des enfants du Nord de la Chine, une en Jordanie en 1978 suite à une exposition à de l’eau polluée, une en Finlande à la suite d’une campagne nationale de vaccination orale contre le virus de la poliomyélite. La preuve d’un facteur causal reste cependant difficile à identifier.

Le syndrome de Guillain-Barré et la neuropathie idiopathique chronique peuvent, en de rares occasions, se développer chez des patients atteints d’autres maladies systémiques.

Ce syndrome reste toujours exceptionnel vis-à-vis des différents facteurs causals suspectés, faisant émettre l’hypothèse d’une susceptibilité particulière de certains individus. La possibilité d’une prédisposition génétique unique est assez peu probable car le syndrome de Guillain-Barré ne se manifeste pas au sein d’une même famille.

Bien que le syndrome de Guillain-Barré apparaisse souvent après une maladie virale, il n’ y a aucun argument pour dire que l’atteinte est contagieuse.

Physiopathologie [modifier]

Les nerfs du patient atteint du syndrome de Guillain-Barré sont attaqués par son propre système immunitaire. À la suite de cette attaque, dite auto-immune, la gaine de myéline est endommagée et les signaux sont ralentis ou modifiés. Cette forme concerne presque la totalité des Guillain-Barré des pays occidentaux[7]. Rarement l’axone est lui-même atteint, cette forme étant plus fréquente en Asie[2].

Signes et symptômes [modifier]

La gravité du syndrome de Guillain-Barré peut varier considérablement. Dans sa forme légère, il peut provoquer un gonflement ou une démarche de canard et éventuellement des fourmillements et une faiblesse des membres supérieurs pouvant gêner, brièvement ou durant des jours ou des semaines, le patient dans sa vie de tous les jours. Ces signes, accompagnant ou suivant une maladie virale, comme des maux de gorge ou des diarrhées peuvent être évocateurs de ce syndrome.

À l’inverse de ces formes, un patient peut, à l’autre extrême, être paralysé à un degré plus important et présenter de nombreuses complications, parmi lesquelles l’incapacité de respirer, un pouls anormal, une tension artérielle anormale, une congestion pulmonaire, des infections, et des caillots de sang, le tout pouvant mettre en danger la vie du patient.

Typiquement il existe une apparition rapide, de quelques jours à trois (ou quatre) semaines d’une faiblesse, conduisant parfois à une franche paralysie, affectant les deux côtés du corps de manière relativement identique, et typiquement ascendante pour toucher les jambes, ensuite les bras, et parfois même les muscles respiratoires et le visage.

L’examen clinique montre souvent des anomalies sensorielles, telles que des sensations réduites, des engourdissements, des fourmillements ou des douleurs. Les réflexes ostéo-tendineux sont diminués ou abolis.

Fréquemment, il existe une accélération du pouls (tachycardie), une hypertension artérielle. La difficulté respiratoire peut être latente (sans essoufflement marqué) et peut témoigner d’une forme grave.

Diagnostic [modifier]

Une hyperprotéinorachie (augmentation de la concentration en protides dans le liquide céphalo-rachidien prélevé au cours d’une ponction lombaire) est habituelle au 10e jour suivant l’apparition des symptômes, accompagné d’un compte normal de cellules du liquide céphalo-rachidien (c’est la « dissociation albumino-cytologique »). Sa constatation constitue l’élément de diagnostic le plus discriminant.

L’électromyographie consiste en la mesure de la vitesse de conduction nerveuse (VCN-EMG) et met en évidence un ralentissement ou une absence de conduction nerveuse dans près de 85% des cas[7].

Traitement [modifier]

La prise en charge dans un centre de soins aigus est souhaitable, avec selon les cas, une convalescence dans un centre de rééducation, et un suivi par un programme de rééducation hors hôpital durant 3 à 12 mois.

Les plasmaphérèses [modifier]

Les plasmaphérèses (échanges ou soustractions plasmatiques) ont été utilisées dans plusieurs cas graves du syndrome de Guillain-Barré avec une efficacité démontrée[8].

Les gammaglobulines [modifier]

En 1988 et 1989, quelques chercheurs ont rapporté les effets bénéfiques de doses élevées de gammaglobulines (ou immunoglobulines) dans le traitement de la maladie. Ce traitement serait au moins aussi efficace que la plasmaphérèse, tout en étant plus simple d’administration (absence de nécessité d’un équipement spécialisé et de personnel qualifié)[9].

Autres traitements [modifier]

La cortisone n’a pas démontré d’efficacité[2]. Les immunosuppresseurs (ou immunodépresseurs) comme l’azathioprine sont proposés en cas de corticorésistance ou cortico-dépendance ainsi que dans les cas chroniques.

La plupart des autres traitements ont pour but de prévenir ou de traiter les complications du syndrome : embolie pulmonaire (anticoagulants, bas de contention), complications de l’alitement prolongé…

Les douleurs peuvent nécessiter l’emploi de médicaments morphiniques.

L’indication de la mise sous respirateur artificiel dépend de la gravité de l’atteinte, la décision pouvant être aidée par l’objectivation d’une forte diminution de la capacité vitale mesurée lors d’épreuves fonctionnelles respiratoires[10].

Un traitement antibiotique ou antiviral ciblé sur le germe suspecté comme responsable est inutile, ce dernier ayant, en règle générale, disparu de l’organisme lorsque les premiers signes apparaissent.

Pronostic [modifier]

Le quart des patients requiert une ventilation assistée en raison de la faiblesse des muscles respiratoires[11].

La mortalité est d’un peu moins de 10%[11]. Elle est essentiellement secondaire à des troubles du rythme cardiaque, une infection ou à une embolie pulmonaire[12]. Pour les formes sévères (troubles de la déglutition et paralysie des muscles respiratoires nécessitant une ventilation mécanique), elle atteint 20%[13].

Il existe un risque de séquelles à long terme : de 5 à 15 % des patients demeureront invalides à plus ou moins long terme. 35 % environ se plaignent d’anomalies légères à long terme comme des étourdissements.

Témoignages [modifier]

Claude Pinault a été atteint d’un syndrome de Guillain Barré de forme axonale sévère. De cette maladie, il en a tiré un récit Le Syndrome du bocal, publié chez Buschet Chastel.

Un site internet belge propose un groupe de soutien aux malades et leurs proches : www.guillainbarre.be

Alain Morrissette: il vole des millions par amour

Sunday, February 1st, 2009

Une ombre déambule seule, sur la rue Mont-Royal, tout près du métro du même nom. Il a froid et faim, il est sans le sou et pourtant, il vaut des millions. Il pourrait bien manger et dormir dans le meilleur hôtel de Montréal ce soir mais pourtant, il n’a pas envie de faire une nouvelle victime, c’est Noël, un peu de nostalgie…

Alain Morrissette, un nom qui fait frémir de peur des centaines de personnes, peut à sa guise vider vos poches, vos comptes de banque, vous endetter pour la vie, prendre une hypothèque sur votre tête et vivre comme un Roi s’il le souhaite. Il n’y a rien à son épreuve et il l’a prouvé depuis plus de 20 ans. Par amour et pour impressionner l’homme avec qui il voudra passer quelques moments, quelques heures ou quelques jours, il vous fera miroiter une vie fictive qu’il devra financer et toujours, c’est avec l’argent de ses victimes qu’il y arrive. Alain Morrissette n’est pas un nom fictif, il existe, il est recherché par toutes les polices du monde, il veut votre bien… Et il peut l’avoir!

Le Service Correctionnel du Canada aimerait bien mettre la main sur lui, mais comble de malheur, Alain Morrissette, mieux connu sous le nom de 981135B (son numéro d’identification de prisonnier fédéral) est plus intelligent que 10 de leurs meilleurs agents réunis. Pendant qu’ils le cherchent dans Hochelaga, Alain est bien au chaud au Mexique en train de siroter un Margarita. Quand ils pensent l’avoir cerné à Québec dans un hôtel, il est en train de danser en Belgique en excellente compagnie, se faisant passer pour un associé de Céline Dion ou un grand chanteur connu. Alain, qui a construit son empire sur le mensonge et une imagination très fertile, a tenté de réintégrer honorablement la société mais lorsqu’il essaie de se prendre une emploi à 7$ l’heure, la nostalgie des millions reprend vite le dessus et comme il ne peut vivre sans tenter d’impressionner quelques instants celui en face de lui, la rechute est inévitable.

Alain Morrissette est actuellement en liberté illégale, en fuite quoi, il est recherché, dangereux, mais malgré tous les dangers que représentent Alain Morrissette, il n’est pas un violent, aucun crime n’a été perpétré avec violence. Il s’agit simplement d’un être gravement malade, qui coûte cher à ceux qui le croisent.

Criminel gai très dangereux recherché: Alain Morrissette

Monday, December 8th, 2008

AVIS DE RECHERCHE

CRIMINEL TRÈS ACTIF CHEZ LES GAIS

Un individu du nom de Alain Morrissette est recherché par la police canadienne pour être en liberté illégale et pour de nombreuses fraudes importantes. Alain Morrissette se spécialise dans la fraude d’hommes de la communauté homosexuelle québécoise et a fait des victimes dans toutes les régions du Québec de Montréal à la Gaspésie en passant par les Laurentides, Québec, l’Estrie, Granby et son mode d’opération consiste à toujours frauder les personnes qui croisent son chemin pour des sommes très importantes.

Il se fait passer pour un chanteur connu, lié à Garou, se prétendant ami de la joueuse de tennis Amélie Mauresmo et dès qu’il en a l’occasion, il prend possession des comptes bancaires et des cartes de crédit de ses victimes pour les vider complètement sans jamais rembourser les sommes volées et fraudées. Il fraude aussi les hôtels afin de se loger et de se nourrir en se faisant passer pour un fonctionnaire de passage et utilisant des comptes du Gouvernement.

ALAIN MORRISSETTE change souvent de look mais on peut le reconnaître par ses yeux bleux clairs et son obésité.

Charmeur, attirant mais absolument sans pitié, il a extorqué des sommes énormes à ses victimes de la communauté gaie et peut aussi être actif en France ou en Europe. ALAIN MORRISSETTE était en libération conditionnelle depuis près d’un an et ne s’est pas présenté à son rendez-vous auprès de son agent de libération comme prévu tout en recommencant ses fraudes. La population est bien avisée de garder l’oeil ouvert et de rapporter les activités et les mouvements de cet individu à la police dès qu’il est vu.

Info-Crime Montréal
Alain Morrissette – 42 ans
1,75 m – 123 kg
Liberté illégale – Fraude
28 novembre 2008
Nom: Alain Morrissette
Âge: 42 ans
Taille: 1,75 m
Poids: 123 kg
Date: 28 novembre 2008

Il affectionne les saunas gais et se sert des sites de rencontre sur Internet comme Gay411.com pour recruter ses victimes. Il prétend tomber en amour pour gagner la confiance de sa victime homosexuelle, son dossier criminel actuel et antérieur démontre des milliers d’actes frauduleux et mandats d’arrestation, ses antécédants sont énormes, depuis la fin novembre 2008, il est redevenu très actif et constitue un danger pour toute personne qui le croiserait.
Contacter Info-Crime Montréal No de Téléphone 514 393-1133

Contactez la Revue Le Point si vous préférez au 514-728-6436 ou par courriel de manière à nous aider à le retracer en toute urgence.
Monsieur Morrissette est en liberté illégale depuis le 28 novembre 2008. Fraude
La police de Montréal et le service correctionnel du Canada demandent à toute personne ayant des renseignements qui permettraient de retracer cet individu de communiquer de façon anonyme avec Info-Crime Montréal au 514 393-1133.

Drogues = VIH = Hépatite = Danger

Thursday, December 4th, 2008

Avec près d’1,5 million d’usagers, la consommation d’opiacés, notamment d’héroïne, devient préoccupante en Europe. La production en hausse et les prix qui baissent n’améliorent pas la situation.Même si le cannabis reste la drogue la plus consommée en Europe, ce sont les opiacés tels que l’héroïne qui inquiètent le plus les autorités sanitaires européennes.

Selon l’agence européenne des drogues et des toxicomanies (OEDT), il y aurait de 1,3 à 1,7 million d’usagers « problématiques » d’opiacés dans l’Union européenne. L’agence, qui il y a quelque temps parlait encore de « diminution du problème » a revu son jugement. La situation est « stable », mais la conjonction de plusieurs facteurs pourrait la faire empirer. Le nombre de saisies d’héroïne a ainsi augmenté de 10 % au cours de la période 2003-2006 dans la plupart des pays, atteignant un total de 19,4 tonnes en Europe en 2006.

Le prix du gramme en constante baisse
En 2007, la production mondiale d’opium a augmenté de 34 % pour atteindre, selon les estimations, un volume de 8.870 tonnes. Une évolution essentiellement alimentée par la croissance de la production en Afghanistan (8.200 tonnes en 2007). Dans le même temps, le prix de vente au détail d’un gramme d’héroïne a constamment chuté depuis 2001, oscillant en 2006 entre 14,5 € en Turquie à 110 € en Suède.

La poussée des drogues synthétiques
La situation est d’autant plus préoccupante que l’héroïne est responsable de la majorité des décès liés à la prise de drogue. 80 % des surdoses mortelles en Europe sont liées à la consommation d’opiacés (sur au moins 7.000 à 8.000 décès liés à la consommation de drogue chaque année en Europe). Par ailleurs, la prise d’héroïne est à l’origine de 3.000 nouveaux cas de VIH chaque année en Europe et, généralement, plus de 40 % des usagers pratiquant l’injection sont infectés par le VHC (virus de l’hépatite C).

Dernière sujet d’inquiétude pour l’agence européenne des drogues et des toxicomanies : les opioïdes synthétiques, comme le 3-methylfentany (fentanyl beaucoup plus puissant que l’héroïne), fabriqué illégalement hors du territoire de l’UE. Il a provoqué, en 2006, 70 intoxications mortelles en Estonie.