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Plainte Gilles Proulx et CKAC

Friday, June 13th, 2014

Le Conseil de Presse Gai du Québec
C.P. 172, Succ. Rosemont
Montréal, Québec
H1X 3B7
Téléphone et Fax: (514) 728-6436          Courriel: [email protected]
http://www.lenational.qc.ca/cpgq.html
Montréal, le 5 septembre 1999

OBJET: Plainte de Monsieur Pierre Chouinard contre Monsieur Gilles Proulx de CKAC

COMMUNIQUÉ

Lors de son assemblée régulière du 3 septembre 1999, le Conseil de Presse Gai du Québec a étudié une plainte contre Monsieur Gilles Proulx de CKAC suite à la diffusion d’un certain nombre de propos offensants le 19 juillet 1999. D’après le plaignant, l’extrait contenait un certain nombre de propos préoccupants sur la communauté gaie et lesbienne dans son ensemble.

Dans sa plainte, le demandeur écrit: «La présente est pour porter plainte contre Gilles Proulx pour des propos haineux qu’il a tenus sur les ondes de CKAC… parce que je crois que ce qu’il a dit est une incitation flagrante à la haine contre les homosexuels. Si suggérer d’envoyer les “maudites tapettes” se faire tuer à la guerre plutôt que de donner du sang à Héma-Québec n’est pas une incitation à la haine, je ne sais pas ce qui le sera».

Le plaignant dépose avec sa plainte une cassette contenant les propos en question et une transcription qui résume ainsi les propos de Monsieur Proulx:«…Vous avez vu aussi cette belle tapette qui, au nom de la liberté, ah ah ah (sur un ton efféminé) “on est dans un pays de liberté icitte, bon, ah oui moi je vaux y aller, je veux donner du sang à tout prix”, oui mais on n’accepte pas les tapettes, oui parce  que vous avez des relations entre vous autres dans le derrière (sur un ton efféminé) ça fait rien, au nom de la liberté… Mais si tu veux donner du sang, ma maudite tapette, on va t’envoyer sur un champ de guerre, tu donneras ton sang pour la patrie au moins, ça va être beaucoup plus utile sans doute».

Le 4 août 1999, Monsieur Proulx était informé de l’existence de cette plainte et était invité à nous expliquer sa position en nous donnant sa version de l’événement. Monsieur Proulx, à la réception de notre courrier, a commenté la situation sur les ondes de CKAC, en direct, ne permettant pas malheureusement à tous les membres du Conseil d’entendre cette explication.

Devant la collaboration de Monsieur Proulx, le Conseil a décidé exceptionnellement d’écrire à nouveau à Monsieur Proulx et de lui demander une copie audio ou une transcription de son commentaire pour compléter le dossier.

Monsieur Proulx a alors choisi d’inviter Roger-Luc Chayer, secrétaire du CPGQ, à l’émission et de répondre à ses questions en direct, pendant le Journal du Midi, ce que le Conseil a accepté à l’unanimité.

Quelques jours plus tard, le secrétaire du CPGQ accordait une entrevue à Monsieur Proulx d’une durée de plus de 7 minutes. Cette entrevue, cordiale et ouverte, a été enregistrée et soumise en guise de réplique aux membres du Conseil grâce à la collaboration de Madame Kim Larouche, recherchiste du mis en cause Proulx.

Le Conseil a d’abord statué sur la recevabilité de la cassette comme réplique, ce qui a été accepté et a ensuite débattu longuement de la plainte de Monsieur Chouinard.

D’abord, il semble évident à tous les membres du CPGQ que les propos à l’origine de la plainte sont injurieux, haineux, portent au ridicule et sont irrespectueux pour les gais et lesbiennes du Québec.

Toutefois, la collaboration de Monsieur Proulx dans cette affaire ne doit pas être négligée, surtout que cette collaboration comportait un élément de réparation important et un engagement ferme. En effet, dans la conversation en direct sur les ondes de CKAC avec le secrétaire du CPGQ, Monsieur Proulx a déclaré ne pas avoir voulu faire mal aux homosexuels et disait faire une différence entre les tapettes et les homosexuels. À la fin de l’entrevue, Monsieur Proulx s’est engagé fermement, devant tous ses auditeurs, à ne plus répéter de tels propos d’ici la fin de sa carrière.

Le Conseil a considéré l’explication et les engagements de Monsieur Proulx dans sa décision. Comme le plaignant souhaitait une rétractation, des excuses et la non répétition de tels propos, nous sommes d’avis que le plaignant, grâce à l’intervention du CPGQ et à la collaboration de Monsieur Proulx, a obtenu ce qu’il souhaitait.

Lors du vote, le Conseil a décidé à la majorité de NE PAS BLAMER Monsieur Gilles Proulx tout en constatant une dissidence importante (2 non, 1 oui et une abstention).

Les commentaires du Conseil se résument ainsi:

-Quant au vote d’abstention, le membre considère que les propos méritent un blâme sévère mais considère les excuses et les engagements comme positifs;
-Quant au vote POUR un blâme, le membre affirme que ce qui a été dit a été dit et que les excuses ne sont pas à la hauteur de la gravité des propos. Monsieur Proulx ne devrait jamais utiliser un tel ton pour faire valoir son propos autrement légitime;
-Quant aux deux votes CONTRE le blâme, les membres considèrent que le rôle du CPGQ est d’éduquer et de conscientiser les responsables de l’information sur une réalité qu’il ne connaissent pas toujours. À l’audition de l’entrevue entre Messieurs Proulx et Chayer (CPGQ), les membres considèrent que le plaignant a obtenu gain de cause avant même la réunion du Conseil et que l’engagement mérite d’être considéré.

Le Conseil, devant l’ensemble du dossier, a donc décidé, à la majorité, DE NE PAS BLAMER Monsieur Gilles Proulx.

Il est aussi de l’opinion du Conseil que le plaignant avait le devoir de porter à notre attention ce dossier et qu’il aura sûrement contribué à mieux faire comprendre notre réalité à la population.

Si une partie à ce dossier souhaite faire appel de cette décision en soumettant de nouveaux documents susceptibles de changer la décision, la demande, accompagnée des documents pertinents, doit arriver aux bureaux du CPGQ dans les 14 jours de la présente.

Pour connaître le mandat du Conseil de Presse Gai du Québec et nos procédures en général, nous vous invitons à visiter notre site web au: http://www.lenational.qc.ca/cpgq.html

-30-

Références: CPGQ
(514) 728-6436

Bernard Bigras renvoyé, Le Point l’avait dénoncé

Wednesday, May 4th, 2011
Pendant 4 ans j’ai dénoncé les magouilles de Bernard Bigras dans Rosemont, de Gilles Duceppe dans le Village gai et de Christiane Gagnon dans Québec, les 3 sont défaits. MERCI LES GAIS, voilà le vrai pouvoir d’une communauté qui se respecte.

Appel à tous: 500$ pour une photo

Wednesday, May 4th, 2011
500$ pour une photo de Duceppe en train de faire ses boites. Simplement aviser Gay Globe que vous avez une photo à vendre et on trouvera un arrangement. [email protected]

Le Village gai de Montréal veut la tête de Gilles Duceppe

Wednesday, May 4th, 2011
J’ai passé l’après-midi dans Laurier-Ste-Marie, le comté de l’ex-chef du Bloc québécois. Les gens veulent sa peau (figuré), certains parlent de le poursuivre pour l’obliger à rembouser ce qu’il a reçu d’Ottawa sous de fausses représentations. Un chose est claire, personne n’a confirmé que Gilles Duceppe était le grand homme qu’on disait hier.

Le Point en parlait déjà à propos de Gilles Duceppe

Wednesday, May 4th, 2011
Le Point et Gay Globe Média publiaient depuis des années les actes invraissemblables commis par certains attachés politiques de Gilles Duceppe dans le comté, qui validaient la thèse selon laquelle la souveraineté allait se faire sous la force et la menace. Lisez les archives…

Gilles Duceppe risque de s’enfarger

Wednesday, May 4th, 2011
77% des québécois mettent à la porte Duceppe, si cela lui permet de marcher la tête haute, qu’il fasse attention de ne pas s’enfarger.

Gilles Duceppe: Donneriez-vous la souveraineté à cet homme?

Saturday, April 30th, 2011

Commentaire: Roger-Luc Chayer

Personne… Je ne connais strictement personne qui répond oui à cette question depuis quelques mois. Personne ne semble vouloir donner à Gilles Duceppe la souveraineté du Québec sur un plateau d’argent! Pourquoi? Les raisons sont si nombreuses qu’il devient presque impossible d’en faire état de façon détaillée ici mais quelques pistes s’offrent à moi quand je demande aux lecteurs de Gay Globe pourquoi ils ne voudraient jamais de Gilles Duceppe au pouvoir d’un Québec indépendant.

Tout d’abord, personne n’est duppe au point de ne pas réaliser que ce type a juré fidélité à la Reine du Canada, à l’État canadien donc, qu’il retire un salaire de cette Reine du Canada comme député, il est d’ailleurs le député fédéral qui recevra la plus importante pension à vie une fois à la retraite et qu’une fois qu’il a juré fidélité, il trahit son engagement au quotidien pour se battre pour la souveraineté du Québec. Incohérent vous direz? Parfaitement…

Rien dans les actes de Gilles Duceppe ne permet au peuple québécois, loin d’être duppe, d’avoir confiance en un tel personnage pour diriger l’avenir d’un Québec souverain. S’il est capable de trahir le Canada en lui jurant fidélité pour avoir un salaire et en même temps en voulant le casser, qu’est-ce qui nous dit que ce personnage ne se laissera pas tenter par la tyrannie et le despotisme une fois arrivé au pouvoir?

Qu’est-ce qui nous protégerait, nous peuple du Québec, contre les exécutions massives d’opposants à un Ducceppe rendu fou du pouvoir? Car c’est la question qui revient dans les conversations même avec des bloquistes qui songent maintenant à passer au NPD. Un individu qui trahit l’autorité et son propre serment dans un pays aussi démocratique que le Canada peut certainement devenir un danger et une menace dans un nouveau pays qu’il contrôlerait.

La plupart des souverainistes que je connais ne veulent rien savoir de Duceppe dans un Québec souverain. On donne toujours Jacques Parizeau en exemple de grand démocrate, Bernard Landry aussi mais Gilles Duceppe est plutôt associé à un risque réel et tout à fait possible de despotisme et de dictature québécoise ayant pour objectif de faire disparaitre ou de régler les comptes de ceux qui seraient responsables d’un NON à un référendum gagnant du OUI.

Moi je dis NON mais pour d’autres raisons. Non au tyran, non à la dictature, le Bloc nous a démontré qu’il était souvent à la frontière de cette dictature, dans son discours du moins et dans les gestes de certains députés et si le Québec est encore en train de se battre pour accéder à son indépendance, ce n’est pas, selon moi, parce que la population n’est pas encore convaincue sur la question mais qu’elle a terriblement peur qu’elle se fasse sous un Gilles Duceppe. Il nuit à la cause de par sa simple présence.

Lundi le 2 mai, le Canada et le Québec voteront pour un nouveau gouvernement fédéral. Tout est encore possible afin de débarasser définitivement le Québec d’un danger comme celui incarné par Gilles Duceppe. Peut-être qu’alors, on pourra parler de souveraineté de façon plus logique et convenable.

Gilles Duceppe s’effondre lamentablement

Thursday, April 21st, 2011

Le Bloc québécois s’effondre dans les intentions de vote au Québec, il ne semble plus représenter un quelconque intérêt pour les québécois qui veulent de l’action politique au Canada et qui réalisent que le Bloc, depuis 20 ans, n’a rien fait, rien, nada, nothing, niente!

Le Bloc ne pourra jamais régler la question de l’amphithéâtre de Québec ni participer à quelque décision que ce soit pour le Québec puisqu’il ne sera jamais au cabinet.

Quand Monsieur Duceppe commence à parler comme un éleveur de porc, alors qu’il vit au Centre-Ville de Montréal, qu’il sort son français de la rue, qu’il se met à baragouiner dans un joual qui ne fait pas honneur à la culture de son père le grand comédien, c’est que tout va mal!!!

Hommage à Caroline Gréco

Monday, January 31st, 2011

Dimanche dernier, la famille de l’auteure Caroline Gréco (Julien toi qui préfères les hommes et À Dieu, Julien), décédée avant les fêtes, se réunissait afin de lui rendre un hommage tout spécial et de remettre ses cendes à la mer, juste devant le port de Marseille en France. C’est sur un voilier que son époux lui a rendu un hommage dont voici le texte:

Caroline, ma toute belle, ce qui reste de toi, nous allons le confier à la mer, comme tu le désirais. Tu aimais la cérémonie du 2 Novembre, où on rendait en rade de Marseille, par un jet de couronnes, hommage aux morts que la mer avait accueillis. Aujourd’hui, tu les rejoins. Ce sont des cendres, et que peut-on dire de cendres ? Peuvent-elles servir de support à la mémoire ? Peuvent-elles évoquer ce qui fut vie et lumière ? Ce ne sont qu’un résidu terne et anonyme qui ne porte aucune image. Et pourtant cela reste encore un symbole de ce que tu fus, car sinon, pourquoi leur accorder une dispersion entourée d’un certain décorum, d’un certain cérémonial ? Ce bateau, ces amis rassemblés, ce recueillement, cette évocation, ces souvenirs qui jaillissent …

Et voilà qu’un instant tu revis. Tu revis dans toute la force de mon amour, tu revis dans les images que tu as laissées dans nos cœurs. Tu étais forte et douce, tu te donnais sans compter, tu étais providence et bonté , tu savais aimer et consoler au delà de toute raison. Moi qui ai partagé ta vie, je savais combien tu étais bonne et quel exemple tu me donnais quand je rechignais à te suivre. Je savais qu’avec toi, la vie valait la peine d’être vécue, et nous l’avons vécu dans la joie et la complicité. Ce que nous avons bâti, nous l’avons bâti ensemble, les liens que nous avons tissés, nous les avons tissés ensemble, ce que nous avons donné, nous l’avons donné ensemble. Mais tu étais la pointe de la flèche, et moi l’empennage, qui suivais la trajectoire.

Nos amis sont là, pour te rendre un dernier hommage, et je sais que tu resteras vivante dans leur souvenir. Ils m’ont entouré avec constance dans les heures douloureuses de ta maladie, ils m’ont entouré de leur affection quand j’en avais tant besoin, ils m’ont témoigné combien ils t’avaient aimé, et leurs témoignages m’ont bouleversé : j’ai ainsi découvert qui tu étais, non seulement pour moi, mais aussi pour ceux qui t’entouraient. Qu’ils en soient profondément remerciés.

Ma Caroline, ma douce femme, que la mer soit accueillante à ces pauvres restes, comme le Paradis où tu vis maintenant dans la présence du Père et dans la joie éternelle l’a été pour ton âme resplendissante. Veille sur nous de là-haut, intercède pour nous, et dis bien à la Vierge Marie de nous ouvrir grand ses bras miséricordieux. Et que la mer, la mer éternelle, prenne, quand nous la regarderons, un peu de ton sourire.

Hommage à Caroline Gréco par Gilles Schaufelberger

Hommage à Caroline Gréco par Gilles Schaufelberger

Hommage à Caroline Gréco

Hommage à Caroline Gréco

72- Pascal, Caroline, Gilles et Julien!

Sunday, December 5th, 2010

Par
Roger-Luc Chayer
Photo
Gracieuseté de Pia,
Claire et Gilles
Schaufelberger
En ce mois international du
SIDA, le destin a voulu que je
vous parle à la fois d’un être
très spécial, Pascal Coste et
de sa mère Caroline Gréco non
pas pour vous raconter le récit
d’une relation parent-enfant gai
mais pour vous raconter l’histoire
d’une famille qui, dans les
pires moments, a été capable
de convertir son tragique destin
en avancement majeur pour la
société dans son ensemble. Je
vais vous parler de ma famille
adoptive, de Pascal, d’un formidable
papa, de Caroline et
d’une contribution majeure à la
société et à la vie gaie.
Pascal Coste a été mon amoureux
secret pendant quelques
années, à la fin des années
80 jusqu’à son décès en 1995
des suites du SIDA. Pascal se
savait atteint depuis longtemps
mais n’a jamais voulu me le
dire ou me le faire savoir. C’est
uniquement après son décès,
absolument imprévu pour moi,
que j’ai appris, par l’entremise
de sa mère l’auteure Caroline
Gréco, que celui que j’aimais
était parti pour toujours et qu’il
avait vécu difficilement son état
sérologique, interdisant totalement
à quiconque de m’en informer.
Pascal avait toujours voulu
faire une couverture de magazine,
Gay Globe honore sa
mémoire en lui consacrant
sa couverture
Le deuil de Pascal a été terrible.
J’ai cessé de manger pendant
des semaines, j’ai perdu 50 livres,
rien ne fonctionnait dans
ma tête et c’était causé d’une
part par le choc de l’annonce
de son décès, moi qui étais à
Montréal et qui devais le recevoir
en visite mais aussi par
la fatalité et l’impossibilité de
lui dire comme je l’avais aimé.
Nous sommes 15 ans plus tard
et je vis encore avec ce deuil.
Mais voilà, le décès de Pascal
a été le point de départ ou
presque, d’une magnifique relation
avec ses parents l’auteure
Caroline Gréco et Gilles Schaufelberger.
Ce lien significatif
avec la mémoire de Pascal
Caroline Gréco
a été vital pour moi et au fil des
années, j’ai trouvé chez cette
famille la continuité d’une affection
qui a fait de moi en partie
ce que je suis devenu.
Depuis quelques mois les lecteurs
de Gay Globe savent que
l’auteure Caroline Gréco, ma
“belle-mère” et mère adoptive
devenue amie très intime combat
une maladie grave qui l’empêche
maintenant de parler ou
de marcher.
J’étais avec Caroline au téléphone
il y a quelques jours et
bien que silencieuse à cause de
la maladie, je pouvais l’entendre
respirer et cette simple présence
remplissait mon coeur d’une
immense joie. Caroline vient de
recevoir un diagnostic très sombre
et le pronostic est négatif,
catastrophique même selon
son époux Gilles qui a réussi à
trouver la force de partager la
nouvelle avec moi. C’est donc
avec le coeur blessé et brisé
que je me rend à l’évidence que
Caroline nous quittera peut-être
bientôt. Contrairement aux derniers
moments pour Pascal, j’ai
encore la possibilité de lui parler
et je vais conclure ce texte
avec ma “Lettre à Caroline”.
Salut Caroline, je sais que le
combat contre la maladie que
tu mènes depuis quelques mois
est difficile mais je veux que tu
saches que chaque instant que
tu nous donnes est un privilège.
Tu sais déjà comme les lecteurs
de Gay Globe et la société en
général te sont reconnaissants
pour ce que tu as fait par le passé
et pour les deux magnifiques
oeuvres que tu lègues à l’humanité
et dont tu peux être fière.
En nous racontant l’expérience
de parents qui apprennent
l’homosexualité de leur enfant
et en nous revenant avec
ton expérience de la fin de vie
d’un enfant atteint du SIDA, tu
nous donnes les moyens de
sortir de l’isolement, de mieux
comprendre que chaque instant
dans la vie doit être vécu
au maximum. Tu es pour moi
une source quotidienne de sagesse
et d’admiration, Gilles le
sait, j’ai grandi comme homme
avec tes bons conseils, ma
sagesse me vient de toi et je
veux que tu saches que pour
moi tu sera toujours éternelle.
Si aujourd’hui je signe toujours
“Roger-Luc” et non R.L. comme
avant, c’est grâce à toi quand tu
disais à la fin des années 90,
“tu es un être complet et entier,
signe toujours de ton prénom
complet”, tu te souviens?
Merci Caroline, merci Maman,
je t’aime tendrement et ta mémoire
survivra à tout tu verras…

68- Argus: La recherche serait un échec

Wednesday, May 5th, 2010

Par : Gay Globe Magazine

La recherche financée par l’Agence de la santé et des services sociaux du Québec, et l’Agence de la santé publique du Canada serait un échec selon son principal porte-parole Iodé Miangotar. À l’origine, il s’agissait d’effectuer une recherche sur la santé des hommes gais, via Internet et de remettre 1$ pour chaque formulaire rempli à une organisation communautaire. Or, M. Miangotar déclarait à GGMAG en décembre dernier que l’étude ne produisait pas de résultats intéressants et qu’il fallait au plus vite changer de stratégie.

Toujours selon le représentant de la Régie Régionale de Montréal, dont le responsable supérieur est le Dr. Gilles Lambert, les médias gai sélectionnés (excluant GGMAG) ne produiraient pas les résultats escomptés. Nous reviendrons d’ailleurs sur le mode de sélection de ces médias bientôt.

Gilles Duceppes critiqué

Saturday, November 14th, 2009

Une saine critique ne nuit jamais Gilles…
Quand on ne peut plus approcher son député à cause des intermédiaires, il devient urgent de réévaluer le
message que lʼon souhaite transmettre à la population.
Par: Roger-Luc Chayer, Éditeur
À partir de quand est-ce que lʼon peut, comme citoyen, se questionner quant
à lʼimage projetée par un député? La question est bonne nʼest-ce pas? Cer-
tains de vous diront que cʼest quand il exprime une position, une décision
ou quʼil agit au Parlement, dʼautres diront que cʼest dans sa gestion quoti-
dienne quʼun député montre son leadership… À mon avis, la critique face à
un député devrait se faire uniquement pour sa gestion quotidienne, dans sa
façon de gérer son comté, surtout quand cʼest le personnel politique qui re-
présente le député en question, qui agit en son nom et qui prend les décisions.
Dans le cas présent, déléguer des responsabilités au personnel politique du
comté est ce quʼil y a de plus normal pour un homme qui est non seulement
lʼélu de Laurier-Sainte-Marie à Ottawa mais aussi le chef du parti le plus
populaire au Québec en 2005.
Toutefois, dans la gestion quotidienne et dans les gestes posés par les re-
présentants du comté de M. Duceppe à Montréal, un membre du personnel
a décidé de créer artificiellement une relation difficile et ardue entre notre
rédaction et son bureau, même si récemment, M. Duceppe considérait le trai-
tement journalistique de lʼauteur de ces lignes, en période électorale, comme
exemplaire. Cette personne est Mélanie Houle. Une dame, responsable
des relations avec les médias pour le bureau de M. Duceppe (incroyable
mais vrai) qui, franchement, nʼa peut-être plus sa place puisque depuis des
mois, elle manifeste un mépris envers toutes nos demandes dʼentrevues, de
rencontres, nos offres de présence dans Le Point etc.  La question nʼest plus
de savoir si les relations entre Le Point et Monsieur Duceppe sont bonnes?
Elle sont exécrables et nous savons pourquoi: Mélanie Houle! À moins
dʼun changement radical dans la façon de faire du personnel de Monsieur
Duceppe, nous pouvons déjà anticiper des mois difficiles car en agissant
ainsi à notre endroit, Mélanie Houle nuit non seulement aux relations avec
les médias homosexuels, ce qui est en soi surprenant pour un député élu par
une majorité dʼhomosexuels, mais elle arrive à créer un climat tellement
méprisant que nous pouvons nous questionner sur les conséquences dʼun
tel comportement. Est-ce que Le Point changera sa position politique à
cause dʼune mauvaise représentation locale? Lʼidée mʼest passée par la tête.
Serions-nous mieux représentés localement par le représentant dʼun autre
parti, même si cela devait aller contre nos aspirations? Je pense que nous
devrons répondre à cette question dʼici les prochaines élections.

Les vraies questions

Thursday, October 1st, 2009

Par: Gilles Schaufelberger

Pourquoi peux-tu avoir une pizza à ta maison plus vite qu’une ambu-

lance?

Pourquoi y a-t-il a un stationnement pour handicapés en face des

patinoires?

Pourquoi les gens commandent un double cheeseburger, des grosses frites

et un coke light?

Pourquoi achetons-nous des saucisses à hot dog en paquet de 10 et des

pains à hot dog en paquet de 12?

Par ailleurs, vous êtes-vous jamais demandé…

Pourquoi les femmes ne peuvent se mettre du mascara la bouche fermée?

Pourquoi le mot «abréviation» est si long?

Pourquoi pour arrêter Windows on doit cliquer sur Démarrer?

Pourquoi le jus de citron est fait de saveurs artificielles et le liquide à

vaisselle est fait de vrais citrons?

Pourquoi il n’y a pas de nourriture pour chat à saveur de souris?

Pourquoi la nourriture pour chien est «nouvelle avec un goût amé-

lioré»? Qui l’a testée?

Pourquoi ils stérilisent l’aiguille qui sert à l’euthanasie?

Vous connaissez ces boîtes noires indestructibles dans les avions….

Pourquoi est-ce qu’ils ne fabriquent pas l’avion au complet dans ce

matériau?

Pourquoi, si voler est si sécuritaire, l’aéroport s’appelle le «terminal»?

Et toujours…

Pourquoi est-ce qu’on appuie plus fort sur les touches de la télécommande

quand les piles sont presque à plat?

Pourquoi est-ce qu’on lave nos serviettes de bain : est-ce qu’on n’est

pas sensés être propres quand on s’essuie avec?

Pourquoi les pilotes kamikazes portent-ils un casque?

Quand on étrangle un Schtroumpf, il devient de quelle couleur?

Comment les panneaux « DEFENSE DE MARCHER SUR LA PELOU-

SE «arrivent-ils au milieu de celle-cl?

Est-ce que les analphabètes ont du plaisir à manger un bouillon aux

nouilles en forme de lettres?

Quand l’homme a découvert que la vache donnait du lait, que cherchait-

il exactement à faire à ce moment-là?

Si un mot dans le dictionnaire est mal écrit, comment s’en apercevra-

t-on?

Est-ce que les ouvriers de chez Lipton ont aussi une pause café?

Pourquoi les moutons ne rétrécissent pas quand il pleut?

Pourquoi «séparés» s’écrit-il en un mot, alors que «tous ensemble»

s’écrit en deux mots séparés?

Je veux acheter un boomerang neuf: comment puis-je me débarrasser

de l’ancien?

Pourquoi les établissements ouverts 24 heures sur 24 ont-ils des serrures

et des verrous?

La nature huimaine est ainsi faite qu’il n’existe

aucune réponse à ces questions!!