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Qui dit vrai avec Éric Messier?

Wednesday, February 17th, 2010

Sur son site Internet, le journaliste Éric Messier raconte en long et en large ses exploits, ses diplômes universitaires et ses voyages comme coopérant dans les pays pauvres et pourtant, sur un autre site et dans un message datant de mars 2009, le même journaliste raconte ses échecs scolaires et suscite encore une fois le doute sur ses qualifications, lui qui s’en prend de façon pathologique à notre groupe média depuis l’automne 2009. Qui dit vrai? Lisez intégralement son message…

N’oublions pas que le même journaleux à incité à l’exécution des femmes du Québec non vierges sur son blog et a associé les kurdes à des “Saddam” sans se soucier un seul instant que les kurdes étaient les victimes d’un terrible génocide de la part du président irakien Saddam Hussein. À quand une pilule rouge pour cet être terriblement troublé?

Éric wroteon March 25, 2009 at 10:31pm
Je veux raconter mon expérience du CFCI pour montrer que ces stages ne vont pas toujours super bien (je ne suis pas le seul), et pour avoir vos commentaires.
Ça fait longtemps mais je l’ai encore sur le bord du coeur.
Je résume le plus possible.
D’abord, j’étais supposé faire un stage en journalisme à Bamako (on en avait assez parlé à RDL!), mais on m’a parachuté à Sévaré, bled perdu pour moi, et dans un stage qui ne me disait rien du tout! Ça commençait mal. Mais j’ai pris pour moi de faire contre mauvaise fortune bon coeur…

Malgré ma difficulté à m’adapter – surtout la chaleur – (ça ne m’a pas empêcher de travailler 1 an au Burkina plus tard), je me suis assez bien installé, fait quelques amis etc.
Au stage ça allait bien avec tout le monde, surtout les Africains, mais moins avec les Européen, dont mon parrain de stage (un Suisse).

Noeud du problème: je faisais un stage en communication, mais il y avait une forte rétention d’information. Autre déception.

À la 8e semaine, j’ai proposé un brouillon de rapport de recommandations à mon parrain. Mon rapport était maladroit et peu diplomate (je rapportais franchement les doléances des nombreux intervenants; mais c’était mon mandat). Ce rapport maladroit était ma 1ère erreur.
Le parrain m’a prévenu de ne montrer ce rapport à personne. Faut pas oublier qu’il menait un projet de l’ONUDI avec un budget de 11 millions US$ (en 98 n’oublions pas). Un autre collègue, un Européen, m’avait pourtant prévenu de “faire attention où je mettais les pieds”.

Ma 2ème erreur: ne pas prendre au sérieux ces avertissements, et j’ai montré (insouciance) le rapport à un collègue Africain qui était aussi mon confident. Hé bien le confident en a parlé au parrain dès le lendemain. La confiance avec le parrain était brisée.

Et voilà le passage rockn roll, dans lequel je ne suis pas le fautif: quelques jours plus tard Roselyne se pointe à Sévaré, elle a une rencontre à huis-clos avec le parrain pendant un bon 45 minutes, et elle en ressort visiblement troublée (le parrain est un intimidateur dominant, que lui a-t-il dit pour lui faire peur, je ne le saurai jamais).

Nous avons quitté Sévaré en vitesse, c’était vraiment bizarre.
Ma conclusion: j’ai piétiné sans le savoir des plates-bandes que je n’avais même pas vues. 11 millions US$…

Je suis donc revenu terminer le séjour à Bamako avec le reste du groupe qui m’a bien accueilli et je les en remercie.

Ce n’est que 3 ans plus tard que j’ai appris que j’avais coulé le stage (car ce n’est que 3 ans après que j’ai eu mon bulletin!), malgré ma solide démonstration que j’avais atteint mes objectifs de stage. Je me suis obstiné avec la direction du cégep, avec Robert Olivier (qui m’a répondu avec une certaine compréhension) mais rien à faire.

Quant à Roselyne, elle n’a jamais plus répondu à mes tentatives de contact. Gé

Je reproche au CFCI plusieurs fautes professionnelles, inquiétant pour un organisme subventionné:

- d’abord et avant tout: ne m’avoir JAMAIS donné la moindre évaluation de mon stage! ; (sur quoi basait-il ma note? Robert ne m’a répondu qu’il y avait des “paramètres”…)
- m’avoir donné mon bulletin que trois ans plus tard;
- je n’ai jamais su un traître mot de ce qui s’était dit entre Roselyne et le parrain, à huis-clos; j’étais pourtant le principal concerné! bref j’ai dénoncé cette attitude pour le moins opaque;
- de n’avoir tenu aucun compte de mon auto-évaluation que j’ai voulue la plus honnête possible.

Bref, un mauvais souvenir du CFCI.
Sans compter que les 4 mois au cégep m’ont été interminables: overdose trop de “je-me-me”, toujours ensemble dans le même local (une pénible thérapie de groupe, j’étais vidé à la fin).

Néanmoins, je me suis arrangé pour que toute cette expérience soit positive pour moi dans l’épreuve.
Ne dit-on pas qu’on apprend le mieux dans l’épreuve, et non dans la ouate?

Merci de m’avoir lu. “Félicitations pour votre beau programme”.
Vos commentaires sont bienvenus.

A canadian journalist attacks a kurdish citizen and associates him to “Saddam”

Monday, February 15th, 2010
A former freedom fighter of Kurdistan, known by the
Canada region as oppressed under the former Iraqi president Saddam
Hussein is dealing with “Saddam” on the website
Quebec journalist Eric Messier after being rewarded
honorary title for his commitment to the autonomy of its
region and its plans for the development of industry
oil by the Kurds.
 

The victim of this heinous act, established in Britain, is
Kurdish and has been active in the resistance against Saddam Hussein
and then it has just a few days ago to run
hanged by Iraqi officials for genocide against the
Kurdish people, the process is a Kurd “Saddam” is
probably a gesture not only inconsiderate to the people
but urges the Canadian criminal code prohibiting crimes
hate this kind and against ethnic minorities.
 

The recipient of two medals of honor awarded by
Academy Ville-Marie is facing racist attacks and
hate a journalist in feud for several months
against its competitor and shoots anything that moves,
demonstrating the pathological nature of his acts.
 

Everyone knows that the Kurds have been a
terrible repression under Iraqi President Saddam Hussein and
that the dead Kurds are hundreds of thousands, including
even those who were gassed by “Chemical Ali” cousin
President Hussein, hanged a few days ago for genocide.
 

The fact that a journalist does not know Quebec history
Contemporary and misery of the Kurdish people will forgive nothing
the treating of “Saddam” a representative of the Kurdish people
simply because he is Kurdish. Ignorance of the major
historical dramas by Eric Messier is equivalent to
caricatures of Mohammed that have caused serious riots
against caricatures of the author.
 

How to respond to Kurdish groups in Canada following the act
racism of hate from a person who in any
Clearly, no longer has control over his reason? It is
hoped that a formal apology be made as
quickly as possible because the authorities will certainly
seized on these gestures. Reporter Eric Messier should
also realize that it is directly the life of the author of these
lines in danger if one were to believe erroneously that
reward was offered a “Saddam” while
reward was an anti-Saddam, the mistake is
voluntary, where the gravity of the act!
 

According to Wikipedia, March 11, 1974, Saddam Hussein attaches
relative autonomy in Kurdistan, with the “Law for autonomy
in the area of Kurdistan, “which states in part that”
Kurdish language should be the official language for education
Kurds. This law also allows the election of a board
Legislative autonomous control its own budget. However
72 of 80 elected members of the council of the first session
October 1974 were selected by Baghdad. In October
1977, the entire board is chosen by the regime. The
relations with the Kurds of Iraq are deteriorating dramatically
thereafter. On April 16, 1987, Saddam Hussein launched a raid
chemical weapons on Balisan Valley. During
“Operation Anfal”, 182 000 people die in
chemical bombardment [8]. In December 2005 a court in The
Hague has described the campaign of “genocide”. On June 24
2007, the Iraqi tribunal sentenced Ali Hassan al
Majid, nicknamed “Chemical Ali” and two other former
dignitaries of the regime of Saddam Hussein, the penalty
death by hanging for genocide against the Kurds
During the Anfal operation.
 

When the American army came to Iraq to depose
Saddam Hussein, according to the American generals, the warriors
peshmerga were everywhere, everything had already been done and
Americans had only bind to the peshmerga to take
control region, which has been done, see the article
Duty on the subject
http://www.offres.ledevoir.com/international/25277/les-
Kurdish peshmerga-are-all -
 

Treat a Kurd and pershmerga moreover, chief of a tribe
Kurdish peaceful “Saddam” is an insult to the Kurdish nation
and a lack of respect for the hundreds of thousands of deaths
caused by Saddam Hussein. Eric Messier will go far in its
Publications incendiary against society?

Un ex-peshmerga Kurde traité de “Saddam” par le journaliste Éric Messier!

Monday, February 15th, 2010

Un ex combattant pour la liberté du Kurdistan, reconnu par le Canada comme région opprimée sous l’ex-président irakien Saddam Hussein, se fait traiter de “Saddam” sur le site Internet du journaliste québécois Éric Messier après avoir été récompensé à titre honorifique pour son engagement envers l’autonomie de sa région et ses projets quant au développement de l’industrie pétrolière par les Kurdes.

La victime de cet acte haineux, établie en Grande-Bretagne, est Kurde et a été actif dans la résistance contre Saddam Hussein et alors qu’on vient justement il y a quelques jours d’exécuter par pendaison les responsables irakiens d’un génocide contre le peuple Kurde, le fait de traiter un Kurde de “Saddam” est probablement un geste non seulement inconsidéré pour ce peuple mais engage le code criminel canadien qui interdit les crimes haineux de cette nature et contre les minorités ethniques.

Le récipiendaire de deux décorations honorifiques décernées par l’Académie Ville-Marie fait face à l’attaque raciste et haineuse d’un journaliste en vendetta depuis quelques mois contre son compétiteur et tire sur tout ce qui bouge, démontrant le caractère pathologique de ses actes.

Tout le monde sait que les kurdes ont fait l’objet d’une terrible répression sous le président irakien Saddam Hussein et que les morts Kurdes se comptent par centaines de milliers, y compris ceux qui ont été gazés par “Ali le chimique” cousin du président Hussein, pendu il ya quelques jours pour génocide.

Le fait qu’un journaliste québécois ne connaisse pas l’histoire contemporaine et la misère du peuple Kurde ne pardonne en rien le fait de traiter de “Saddam” un représentant du peuple Kurde du simple fait qu’il est Kurde. La méconnaissance des grands drames de l’histoire par Éric Messier est équivalente aux carricatures de Mahomet qui sont à l’origine de graves émeutes contre l’auteur des carricatures.

Comment réagiront les groupes kurdes au Canada suite à cet acte de racisme haineux de la part d’une personne qui, de toute évidence, n’a plus le contrôle sur sa raison? Il est à souhaiter que des excuses formelles soient faites le plus rapidement possible car les autorités seront certainement saisies sur ces gestes. Le journaliste Éric Messier devrait aussi réaliser qu’il met directement la vie de l’auteur de ces lignes en danger si on devait croire par erreur qu’une récompense aurait été offerte à un “Saddam” alors qu’il s’agissait de récompenser un anti-Saddam, la méprise est volontaire, d’où la gravité de l’acte!

Selon Wikipédia, le 11 mars 1974, Saddam Hussein accorde une autonomie relative au Kurdistan, avec la « Loi pour l’autonomie dans l’aire du Kurdistan » qui stipule notamment que « la langue kurde doit être la langue officielle pour l’éducation des Kurdes ». Cette loi permet aussi l’élection d’un conseil législatif autonome qui contrôle son propre budget. Cependant 72 des 80 membres élus de ce conseil de la première session d’octobre 1974 ont été sélectionnés par Bagdad. En octobre 1977, la totalité du conseil est choisie par le régime. Les relations avec les Kurdes d’Irak se dégradent considérablement par la suite. Le 16 avril 1987, Saddam Hussein lance un raid à l’arme chimique sur la vallée du Balisan. Au cours de l’opération « Anfal », 182 000 personnes périssent dans des bombardements chimiques[8]. En décembre 2005, une cour de La Haye a qualifié cette campagne de « génocide ». Le 24 juin 2007, le Tribunal pénal irakien a condamné Ali Hassan al Madjid, surnommé « Ali le chimique », et deux autres anciens hauts dignitaires du régime de Saddam Hussein, à la peine de mort par pendaison pour le génocide commis contre les Kurdes au cours de cette opération Anfal.

Lorsque l’armée américaine est arrivée en Irak pour destituer Saddam Hussein, selon les généraux américains, les guerriers peshmergas étaient partout, tout avait déjà été fait et les américains n’avaient qu’à se lier aux peshmergas pour prendre le contrôle de la région, ce qui a été fait, voir l’article du Devoir sur le sujet http://www.offres.ledevoir.com/international/25277/les-peshmergas-kurdes-sont-partout

Traiter un Kurde et pershmerga de surcroît, Chef d’une tribue Kurde pacifique de “Saddam” est une insulte à la nation Kurde et un manque de respect pour les centaines de milliers de morts causés par Saddam Hussein. Jusqu’où ira Éric Messier dans ses publications incendiaires contre la société?