Posts Tagged ‘prostate’

Cancer de la prostate Le dépistage systématique re- mis en cause…

Saturday, April 28th, 2012

La Haute Autorité de santé, qui n’était pas favorable au dépistage systématique du cancer de la prostate pour les hommes mûrs mais sans aucun symptôme, considère main- tenant qu’il n’y a aucun intérêt à dépister systématiquement par dosage de PSA des hommes sans symptômes mais qui appartiennent à des groupes à haut risque. Le président de la HAS a déclaré mercredi : “Il n’y a pas d’arguments actuel- lement pour recommander un dépistage y compris dans les populations considérées comme a haut risque”.

Les facteurs de risque génétiques et environnementaux de survenue de cancer de la prostate reconnus sont les anté- cédents familiaux de cancer de la prostate chez des parents très proches (père, frère), l’origine africaine, les expositions à certains agents chimiques. Chez les personnes qui ne sont pas à risque, l’âge est en revanche l’un des facteurs qui aug- mente le risque de cancer de la prostate.

Le dépistage de ce cancer repose sur deux examens : le dosage du PSA, protéine sécrétée par cette glande, et le toucher rectal qui permet de la palper. Le diagnostic n’est posé qu’après biopsie. Selon la HAS, il n’est pas possible de mesurer scien- tifiquement le niveau de risque. Rien ne permet non plus d’affirmer que les hom- mes avec des antécédents familiaux ou d’origine afri- caine présenteraient des for- mes de cancers plus graves ou d’évolution plus rapide.

Cancer de la Prostate La vit. E et le sélénium inefficaces

Wednesday, October 26th, 2011

Le National Cancer Institute (NCI) américain vient d’interrompre un vaste essai clinique visant à évaluer l’efficacité de la vitamine E et du sélénium pour prévenir le cancer de la prostate. Selon les résultats préliminaires, les suppléments n’ont eu aucun effet bénéfique mesurable pour réduire l’incidence de ce cancer chez les 35 000 sujets participant à l’essai, a indiqué le NCI par voie de communiqué.

En fait, les chercheurs ont plutôt observé une tendance inverse, non significative toutefois sur le plan statistique, soulignent-ils : parmi les sujets qui prenaient la vitamine E, le nombre de cas de cancer de la prostate était légèrement plus élevé.

Et ceux qui prenaient du sélénium auraient été légèrement plus nombreux à souffrir du diabète de type 2. Bien que ces données pourraient être un effet du hasard, puisque la différence entre les groupes n’atteignait pas un niveau significatif, les autorités du NCI ont préféré interrompre le traitement. Les sujets seront suivis durant trois ans, par mesure de prudence. Les données recueillies à ce jour dans le cadre de cet essai clinique permettent de conclure que ces suppléments n’ont pas d’effet protecteur significatif contre le cancer de la prostate. Cette étude, Selenium and Vitamin E Cancer Prevention Trial, avait été entreprise en 2001 après que les résultats d’autres essais aient établi un lien entre la vitamine E et le sélénium, et la prévention du cancer de la prostate.

L’étude se déroulait simultanément aux États-Unis, à Porto Rico et au Canada. Les participants étaient divisés en quatre groupes de plus de 8 000 sujets chacun : les uns prenaient de la vitamine E et du sélénium, un autre groupe prenait de la vitamine E et un placebo, un troisième du sélénium et un placebo, tandis que le dernier groupe recevait deux placebos.

La Société canadienne du cancer estime à 24 700 le nombre d’hommes qui recevront un diagnostic de cancer de la prostate en 2008 et à 4 300 le nombre de ceux qui en mourront.

Santé Canada interdit des tests du VIH à la maison
(PC)

Santé Canada met en garde les consommateurs contre un test de dépistage du VIH pouvant être effectué à la maison, un produit vendu par l’entreprise torontoise ACCU-METRICS. Ni les tests de salive Accu-VIH 1 et 2 ni la trousse de tests VIH pour la maison n’ont été évalués par Santé Canada quant à leur sécurité et efficacité.

Des résultats inexacts fournis par de telles trousses sans permis peuvent induire en erreur des Canadiens. Les tests pourraient ne pas indiquer à une personne infectée qu’elle a le VIH, ou au contraire donner un résultat positif à une autre qui ne l’est pas. Santé Canada a recommandé aux consommateurs ayant acheté ces tests de s’adresser à un professionnel de la santé.

Les plaintes en lien avec les trousses peuvent être déposées auprès du ministère en composant le: 1-800-267-9675.

Prostate Le test de dépistage déconseillé!

Wednesday, October 26th, 2011

Un groupe de travail mis
sur pied par le gouvernement
américain a prévenu
que le test de dépistage de
l’antigène prostatique spécifique
(APS) utilisé pour
déceler un éventuel cancer
de la prostate peut faire plus
de tort que de bien chez les
hommes en santé.
Le groupe de travail recommandait
déjà aux hommes
de plus de 75 ans de ne plus
se soumettre à ce test, une
recommandation qui s’applique
dorénavant à tous les
hommes en santé de tous
les âges. La recommandation
formulée par le Preventive
Services Task Force des
États-Unis a été rendue publique
vendredi, mais elle ne
surprendra pas les experts
du cancer.

Pourtant, une majorité
d’hommes âgés de plus de
50 ans ont déjà subi un
test de dépistage de l’APS,
puisqu’on croyait que la détection
hâtive d’un cancer
était toujours préférable.
Il n’en est rien, a dit la directrice
du groupe de travail,
la docteure Virginia Moyer
de la faculté de médecine de
l’université Baylor.
«Nous avons consacré énormément
de temps, d’efforts
et d’énergies au dépistage
de l’APS mais ce temps, ces
efforts et ces énergies devraient
être consacrés à la
mise au point d’un nouveau
test plutôt qu’à l’utilisation
d’un test qui ne fonctionne
pas», a dit la docteure Moyer
à l’Associated Press.
Un taux d’APS trop élevé
dans le sang ne garantit pas
qu’un cancer s’est installé.
Cela peut simplement témoigner
d’une prostate hypertrophiée
ou de la présence
d’une infection. Pire encore,
le dépistage pourrait déceler
des tumeurs dont la croissance
sera si lente qu’elles
ne menaceront jamais la vie
du patient. Et il est impossible
de prédire qui aura
besoin d’une thérapie agressive.
Le groupe de travail a
épluché toutes les études
déjà réalisées sur le sujet,

dont cinq grandes études,
pour déterminer si un dépistage
courant réduit la mortalité
associée au cancer de
la prostate. Sa conclusion:
les avantages, s’ils existent,
sont minimes. Par contre,
un dépistage courant comporte
des dangers bien réels,
puisque la chirurgie et la radiothérapie
pourront provoquer
l’impuissance sexuelle,
l’incontinence, des infections
et même la mort, a dit
Mme Moyer.
Une étude estime que 40
pour cent des hommes dont
le cancer de la prostate a été
décelé par un test de dépistage
de l’APS souffraient
de tumeurs à la croissance
si lente qu’elles n’auraient
jamais présenté de menace.
Pourtant, poursuit la docteure
Moyer, 30% des hommes
traités après un tel test
de dépistage doivent composer
avec les effets secondaires
néfastes associés aux
thérapies. Environ le tiers
des hommes âgés entre 40 et
60 ans souffrent d’un cancer
de la prostate mais «la très
vaste majorité d’entre eux ne
l’apprendront jamais de leur
vivant s’ils ne subissent pas
un test de dépistage», a-t-elle
ajouté. La docteure Moyer a
précisé que la recommandation
signifie simplement que
les médecins ne devraient
pas proposer un test de dépistage
de l’APS aux hommes
en santé.

La recherche avance rapidement en matière de prostate Santé: Le cancer de la prostate attaqué!

Wednesday, June 15th, 2011

Par Gay Globe Média
[email protected]

Photo Urofrance.org

Cancer de la prostate : les bienfaits du paracétamol

Après le café à haute dose, prendre du paracétamol serait un bon moyen de prévenir les risques de développer un cancer de la prostate. Après un réajustement prenant en compte différentes données relatives à chaque patient (ethnie, niveau d’étude, IMC, etc.), les chercheurs ont constaté que la prise d’une trentaine de comprimés de paracétamol par mois pendant une durée supérieure à 5 ans réduisait d’au moins 38% les risques d’apparition d’un cancer. Toutefois, ils restent très prudents sur leur conclusion et estiment que d’autres études devront être menées pour confirmer l’effet bénéfique du paracétamol.

Un champignon efficace à 100 % contre le cancer de la prostate !

Une substance naturelle extraite d’un champignon, le polysaccharopeptide, semble parfaite pour le traitement du cancer de la prostate, puisqu’elle permet d’inhiber à 100 % son développement chez la souris, sans aucun effet secondaire !

Le café bon pour la prostate

Une étude scientifique américaine publiée ce mardi affirme que les hommes qui boivent du café à haute dose ont moins de risques de développer un cancer de la prostate. Les hommes qui boivent six tasses de café par jour ou davantage voient diminuer de 60% leur risque de développer le type de cancer de la prostate le plus mortel et de 20% leur risque de contracter un cancer de la prostate, quel qu’il soit, selon cette étude de la Harvard School of Public Health.

Ne boire même qu’une à trois tasses quotidiennes semble faire baisser d’un tiers les risques de développer un cancer de la prostate particulièrement mortel.

54- Un nouveau test pour le dépistage du cancer de la prostate

Saturday, December 18th, 2010

Warnex inc. a annoncé aujourd’hui que sa division de laboratoires médicaux a lancé un nouveau service de dépistage pour le cancer de la prostate, soit l’analyse PCA3. Le service de dépis- tage PCA3 de Warnex pour le cancer de la prostate utilise la technologie avancée de PCR afin de détecter l’ARNm du gène 3 du cancer de la prostate (PCA3). Warnex est le premier laboratoire à offrir ce service au Canada.
“Nous sommes heureux d’of- frir cette nouvelle analyse pour le dépistage du cancer de la prostate, qui est haute- ment spécifique et plus pré- cise que les autres tests de dépistage disponibles pour la détection du cancer de la prostate” a affirmé Mark Bus- gang, président et chef de la direction de Warnex. “L’ajout de ce service à la gamme de services offerts par Warnex laboratoires médicaux fait partie de notre stratégie de se concentrer sur les tests médicaux spécialisés pour l’industrie de la santé utili- sant des technologies avan- cées.”
Le test PCA3 est une ana- lyse de biologie moléculaire qui    mesure    l’expression de l’ARNm du PCA3 dans les échantillons d’urine. Le PCA3 est spécifique à la prostate et surexprimé de façon significative (60 à 100 fois) lors d’un cancer de la prostate. Le test mesure quantitativement l’ARNm du PCA3 ainsi que l’ARNm de l’APS et détermine leur ratio. Il a été démontré qu’un ratio élevé est indicatif du cancer de la prostate.

Lait = cancer de la prostate

Saturday, January 23rd, 2010

Walter Willett, responsable du département de nutrition de l’école de santé publique d’Harvard, a réalisé de nombreuses études sur les liens entre alimentation et santé.

Le lait est souvent considéré comme une solution nutritionnelle pour apporter du calcium. C’est cependant un mélange complexe de nutriments, d’hormones favorisant la croissance et d’autres protéines. Ce n’est donc pas surprenant que sa consommation provoque des effets complexes sur la santé. Contrairement aux convictions de nombreux nutritionnistes, il n’existe pas de preuves réelles qu’une consommation importante de lait réduise les risques de fractures.

En fait, les grandes études prospectives sur l’homme montrent systématiquement qu’il n’y a pas de bénéfice lié à une consommation élevée de lait. Au contraire, de nombreuses études montrent qu’une consommation importante de lait, telle que trois verres par jour, contribue à un risque élevé de cancer de la prostate.

Toutes les études ne montrent pas cela, mais le lien statistique a été confirmé si l’on fait une analyse statistique pour l’ensemble des données. Pour les femmes, trois portions ou plus de lait par jour pourraient augmenter le risque de cancer des ovaires, mais le lien n’est pas aussi évident que pour le cancer de la prostate.

La majorité des adultes ont besoin de moins de calcium que ce qui est recommandé aux Etats-Unis et dans de nombreux autres pays : 1 200 mg par jour pour les plus de 50 ans. L’OMS a statué que 500 mg par jour représentaient un apport suffisant, et cet apport peut être obtenu avec moins d’un verre de lait par jour ou avec le calcium contenu dans un régime équilibré sans produits laitiers. En fait, la plupart des adultes à l’échelle mondiale ne consomment pas de produits laitiers et leur taux de fractures est plus faible que ceux observés aux Etats-Unis et en Europe où pourtant l’apport en calcium est bien supérieur.

Je pense que l’apport du lait n’est pas une partie essentielle de l’alimentation, et si une personne souhaite consommer des produits laitiers, il est préférable de limiter sa consommation à une ou deux parts par jour.

Il existe deux importantes études de 2006 et 2008 reliant la consommation de lait et le cancer de la prostate. Mais nous ne disposerons sans doute jamais d’une étude aussi vaste et aussi bien faite que nous le souhaiterions.

LISEZ GAY GLOBE MAGAZINE SUR LE WEB
WWW.GAYGLOBE.US

WWW.GGLOBETV.COM

WWW.LE-NATIONAL.COM

Émission de GGTV sur le nouveau donjon du
Ste-Cath
Par : GGMAG

À venir en février sur GGTV au www.gayglobe.us, une émission spéciale tournée entièrement au Sauna Ste-Cath de Montréal et portant sur l’ouverture de son nouveau donjon, de classe internationale.

Le donjon, conçu et pensé en collaboration avec Donjon Lachenaie est une formidable aire de jeux offrant les équipements les plus sophistiqués de type donjon et fétichiste. Le donjon du Ste-Cath sera inauguré le 23 janvier 2010 et l’émission de GGTV sera offerte en février 2010. À ne pas manquer!

Cancer de la prostate : une surveillance active suffit parfois

Saturday, December 5th, 2009

Les médecins devraient sans doute se montrer moins “interventionnistes” face à des patients âgés qui présentent un cancer de la prostate à faible risque d’évolution. Une surveillance active semble alors sans danger et elle permet de réduire le surtraitement induit par le dépistage de ce cancer au moyen de la mesure du taux de PSA – et ses conséquences, parfois très lourdes -, selon une étude prospective publiée jeudi en ligne par le Journal of Clinical Oncology.

Un essai européen a récemment montré que le dépistage permettait une réduction de 20% de la mortalité par cancer de la prostate dans un groupe de patients dépistés. Globalement, il fallait dépister plus de 1.400 personnes et en traiter 48 pour éviter un décès.

La survie spécifique du cancer de la prostate à 10 ans était de 97,2 %. Tous les décès liés au cancer de la prostate sont intervenus chez des patients qui ont été reclassés à haut risque pendant le suivi et qui ont reçu un traitement pour leur cancer. La mortalité par cancer de la prostate était faible (1 %).

Une nouvelle cause au cancer de la prostate

Saturday, December 5th, 2009

Il semblerait que les gros mangeurs de viandes transformées, de type charcuteries notamment, ont plus de chances de développer un cancer de la prostate. Les gros mangeurs de viande rouge également, mais dans une moindre mesure.

Une récente étude a été menée auprès de 175 343 hommes âgés de 50 à 71 ans. Au départ, aucun d’entre eux n’avait le cancer. Neuf ans plus tard, on a diagnostiqué 10 313 cas de cancer de la prostate, dont 1 102 étaient à un stade avancé avec métastases.

Ceux qui mangeaient beaucoup de charcuteries avaient 32 % plus de chances d’être atteints du cancer. Chez les mangeurs de viande rouge, le taux était de 12 % et chez les amateurs de viandes grillées, 11 %.

L’adenome de la prostate

Saturday, November 14th, 2009

Quʼest-ce quʼun adénome ?
Cʼest une tumeur bénigne qui est responsable dʼune augmentation du
volume de la prostate. Comme la prostate est située à la base de la vessie
et quʼelle est traversée par le canal (lʼurètre) qui permet lʼévacuation de
celle-ci, lʼaugmentation du volume de la prostate peut entraîner une obs-
truction du canal et des difficultés à uriner.
Lʼadénome est-il vraiment bénin ?
Tout à fait. Lʼadénome se développe dans la prostate à partir de 35 ans et
entraîne une augmentation du volume de la prostate chez la moitié des
hommes de 50 ans. A 60 ans, la moitié des hommes ont des troubles uri-
naires en rapport avec une augmentation du volume prostatique. Il sʼagit
donc dʼune évolution quasi-normale de la prostate, essentiellement liée à
lʼâge.
Quels sont les troubles causés par lʼadénome ?
Lʼadénome entraîne des troubles urinaires qui peuvent être stables pen-
dant de nombreuses années, sʼaméliorer parfois ou souvent sʼaggraver très
progressivement avec le temps.
Il sʼagit surtout dʼenvies dʼuriner fréquentes, de jour et surtout de nuit,
dʼune faiblesse du jet, dʼune difficulté à démarrer le jet, dʼune sensation
de mauvaise vidange vésicale, de gouttes retardataires … Ces symptômes
peuvent être plus ou moins gênants. Parfois, des complications peuvent
survenir : infections urinaires, présence de sang dans les urines, blocage
vésical avec impossibilité dʼuriner …
Quels sont les risques de lʼadénome ?
En dehors du risque des complications évoquées plus haut, le risque
est surtout une dégradation progressive de la qualité de vie du fait de
lʼaugmentation des symptômes et de leur retentissement sur la vie quo-
tidienne.
Comment fait-on le diagnostic dʼadénome ?
Le diagnostic repose sur lʼinterrogatoire et lʼanalyse des symptômes, le
toucher rectal qui permet dʼapprécier le volume et la consistance de la
prostate, des examens de sang et dʼurine. Une échographie de la prostate
et de la vessie est habituellement faite.
Lʼantigène spécifique prostatique (PSA) est une substance dosée dans le
sang, spécifique de la prostate. Son dosage permet en particulier dʼappré-
cier le risque de cancer de la prostate. Lʼadénome et le cancer sont deux
maladies tout à fait différentes. Lʼadénome ne se transforme pas en cancer
mais les deux maladies peuvent coexister au sein dʼune même prostate.
Comment traite-t-on lʼadénome ?
Si les troubles sont minimes et stables, une simple surveillance est néces-
saire avec un examen annuel. En cas de troubles modérés, un traitement
par des médicaments peut être indiqué. En cas de troubles gênants non
améliorés par le traitement médical, ou en cas de complications, un traite-
ment chirurgical est souvent nécessaire.

Nouveau: Tout sur les troubles de la prostate

Saturday, August 8th, 2009

Il nous fait plaisir de lancer ce tout nouveau service dédié exclusivement aux hommes qui souhaitent contribuer à mieux connaître les troubles de la prostate et à suggérer diverses pistes de gestion de tels troubles. Il s’agit d’une catégorie qui sera permanente et qui permetra la discussion autour de ce thème par les personnes qui voudraient contribuer à mieux comprendre la situation et parfois, à raconter leur vécu afin que l’ensemble de la communauté puisse y trouver des pistes de solutions.

Ce blogue est offert par Gay Globe TV et toute contribution y est encouragée.

À noter que les messages n’engagent que leurs auteurs et peuvent faire l’objet de modération. Nous invitons donc les utilisateurs à discuter ouvertment du sujet en respectant les règles de la nétiquette qui proscrivent les attaques personnelles. Merci. GGTV

Le piment contre le cancer de la prostate

Wednesday, July 15th, 2009

Une étude récemment menée par l’Institut de cancérologie de l’hôpital Cedars-Sinaï, tend à démontrer les bienfaits du piment sur le cancer de la prostate. Une substance contenue dans ce légume combattrait ce cancer. Depuis longtemps, on attribuait au piment des vertus bénéfiques pour la santé. Déjà utilisé en pharmacie et en cuisine, il pourrait bien être élevé au rang de traitement contre le cancer de la prostate. Les plus touchés étant les hommes de plus de 45 ans.

Le piment se compose de capsaïcinoïdes, qui lui donne ce goût et cette sensation de brûlure. C’est cet élément qui pourrait tuer certaines cellules cancéreuses. L’expérience a été menée sur des souris. Les experts ont alors constaté la mort de 80% des cellules cancéreuses, mais pas des cellules saines.