Posts Tagged ‘franck’

L’Intermarché Boyer récompensé par la Chambre de Commerce Gaie du Québec

Friday, November 29th, 2013

(Gay Globe Média)

C’est lors de la présentation des récipiendaires du Gala Phénicia, organisé par la Chambre de Commerce Gaie du Québec, que les deux patrons de l’Intermarché Boyer, situé sur la rue Mont-Royal Est à Montréal, ont su qu’ils étaient les grands gagnants d’un prix «Phénicia» le soir même de la présentation. Franck Hénot et Danny Thérrien sont deux patrons très impliqués dans leur communauté via leur vision du commerce, leur infolettre, leur présence dans de nombreux médias sociaux et leur partenariat depuis quelques années avec le Magazine Gay Globe dans lequel ils publient une chronique culinaire exclusive et audacieuse. Bravo À Franck et à Danny!

Exposition de tableaux et de sculptures à la Maison de la Culture du Plateau Mont-Royal

Sunday, March 11th, 2012

Franck Hénot et Danny Therrien, propriétaires de l’Intermarché Boyer sur la rue Mont-Royal Est nous in- formaient récemment qu’ils contribuaient avec quel- ques oeuvres et sculptures à l’exposition “Hommage à Victor Choquet” dans le cadre d’un événement de la Maison de la Culture du Pla- teau Mont-Royal. Gay Globe est fier d’inviter ses lecteurs à aller visiter l’expo du 13 mars au 17 juin à la Maison de la Culture située au 465, avenue du Mont-Royal Est. Infos: Accesculture.com

La bière Métropole

Saturday, February 4th, 2012

La toute nouvelle bière montréalaise, La Métropole, est en train de conquérir le coeur des amateurs de produits locaux de qualité. La pilsner lager, lancée à l’été 2011 par Franck Hé- not, propriétaire de l’Intermarché Boyer à Montréal, voulait associer un goût unique développé spécifiquement pour les montréalais. Le défi était grand! La réussite l’est encore plus!
Gay Globe a voulu savoir quelles étaient les qualités de cet- te bière métropolitaine et suite à notre dégustation, il faut admettre que La Métropole est devenue rapidement, par coup de foudre, la bière officielle des soirées de Gay Globe. Offerte en cartons de 6 bouteilles, La Métropole comporte 5,14% d’alcool (514 pour Montréal) et elle est blonde. Toute- fois, ne vous laissez pas berner par ses beaux airs ambrés car malgré les idées préconçues, une blonde peut avoir du caractère. Strictement dénuée d’arrière-goût quel qu’il soit, La Métropole se boit sans formalités, très froide et elle ac- compagne formidablement les viandes comme les pâtes. En fait, elle est si unique et réussie qu’on ne se lasse pas de la
GAYGLOBE MAGAZINE
consommer été comme hiver. Une telle bière mérite une mention spéciale d’autant qu’elle est conçue par un partenaire de Gay Globe.
En vente à l’Intermarché Boyer situé au 1000, Mont- Royal Est, au Provigo St-Ur- bain, au resto Le Stromboli, dans de nombreux dépan- neurs et chez l’Alchimiste à Joliette. Prix régulier 9,99$ mais souvent en spécial à 7,99$. Essayez-là et écrivez- nous votre opinion!

Peine maximum pour le « tueur d’homosexuels »

Monday, September 12th, 2011

20Minutes.fr
Justice La cour d’assises a condamné Franck Gaud à 30 ans de prison

«Vous ne voulez pas que l’on dise que vous êtes un tueur de pédés, car vous êtes trop soucieux de votre image. Mais je vous le dis : vous êtes homosexuel et vous êtes un tueur. » Malgré le réquisitoire brûlant de l’avocat général Jean-Louis Rey, l’accusé n’a pas craqué. Franck Gaud est resté muet.

« Complexe et torturé »
Hier soir, au terme d’un long débat, la cour d’assises l’a reconnu coupable des meurtres de Daniel Vignolles et Philippe Delacourt. Les corps de ces deux homosexuels avaient été retrouvés en septembre 2006 à Arsac et en mai 2008 à Bouliac, sous le pont François-Mitterrand. Franck Gaud, 38 ans, a écopé de 30 ans de réclusion criminelle, assortis d’une peine de sûreté de 20 ans et d’un suivi socio-judiciaire avec injonction de soins. L’homme est décrit comme « complexe et torturé » par son avocate, et son silence n’aura pas permis de comprendre ce qui s’est réellement passé. « S’il avait lâché un début d’aveu, des circonstances atténuantes auraient pu lui être accordées. C’est un garçon qui ne pourra jamais avancer s’il s’entête à nier ce mélange d’attirance et de répulsion envers l’homosexualité qui le caractérise », observe Me Delthil, avocat de la partie civile. Alors que son sperme avait été retrouvé sur le corps de la première victime, Franck Gaud a toujours réfuté ce meurtre et plaidé l’accident pour le second. « C’est un homme dangereux, dénué d’empathie et qui reconstruit la réalité », a martelé l’avocat général.
Marion Guillot
Défense

Me Julie L’Hospital, avocate de la défense, a demandé aux jurés « de ne pas céder au fantasme du tueur d’homosexuels ». Elle a insisté sur les zones d’ombres du dossier, à savoir « l’absence de scène de crime, d’armes et de mobile ».

Lancement d’une nouvelle bière faite pour les amoureux de Montréal Le secret le mieux gardé de “LA MÉTROPOLE” …

Saturday, July 30th, 2011

Par Franck Hénot [email protected]

Photo

Franck Hénot Intermarché Boyer (Par Gay Globe Magazine)

La célèbre épicerie de la rue Mont-Royal Est coin Boyer annonçait fin juin 2011 le lancement d’une nouvelle bière faite pour les hommes de la métropole, chics et de bon goût. Gay Globe Magazine a invité son concepteur, Franck Hénot, à nous raconter son expérience…

Il était une fois l’histoire d’une bière, j’aurai pu dire aussi l’his- toire de passionnés de bière et de Montréal.

L’automne dernier, avec l’équi- pe de gérants du magasin, nous avons eu l’envie d’avoir notre propre bière, une idée un peu folle parmi plusieurs… Nous sommes une équipe très créative et je n’ai jamais besoin de supplier pour avoir de l’iné- dit.

Mais comment avoir notre pro- pre bière ? Nous nous sommes mis à la recherche d’un bras- seur qui accepterait de nous préparer une recette. Je suis un buveur de Sapporo, de Kro- nenbourg et de Heineken, je voulais donc une bière blonde, rafraîchissante et bien houblon- née.

Et puis, il lui fallait un nom, à notre bière ! Nous sommes des inconditionnels de Mon- tréal, je suis un gars de ville, j’adore mon quartier, j’ai habité plusieurs grandes villes et je n’échangerais pas Montréal

contre aucune autre ville! Nous nous étions mis d’accord sur le nom : 514, la 514, jusqu’à ce que, quinze jours avant la sor- tie de la bière, une compagnie à numéro de l’Ontario dépose lamarque514surInternet.Ça, c’est une autre histoire… Entre- temps, l’équipe Le XV rugby de Montréal nous demande une commandite…

Et si notre bière devenait aussi leur bière officielle?

Après plusieurs messages et rendez-vous, et c’est décidé, sur les shorts des joueurs, il y aura le logo du magasin et sur la bière leur logo à eux !

Il ne faut pas oublier qu’au départ c’est une bière entre chums. Nous voilà sur des shorts de joueur de rugby et, subitement, nous n’avons plus de nom pour notre divin breu- vage !

On retourne chez la graphiste et en cinq heures (merci, Marie Claude !) on arrête notre choix de nom sur LA MÉTROPOLE. Avec une photo de la ville de Montréal, nous concevons les étiquettes, une pour l’avant de la bouteille, une pour l’arrière et une pour la caisse.

“Si j’aurais su, j’aurais pas venu!” Ou plutôt, si j’avais ima- giné l’ampleur de la tâche, j’y aurais pensé un peu plus. (Mer- ci à notre mystérieuse compa- gnie ontarienne qui nous a faci- litée la vie en déposant le nom 514. GGRRRrrr….)

Une bière est en cuve durant trois semaines avant que l’on puisse goûter au résultat. Pas stressé le gars, super stressé!

Avec mon panel de dégus- tateurs (plusieurs sont des connaisseurs de bière dans l’équipe du magasin), la pres- sion était très forte.

Le 3 juin dernier, les commen- taires ont jailli, unanimes: elle est bonne!

J’avais oublié de vous dire que lorsque l’on commande une bière, on commande une cuve, donc 560 caisses de 6. Y était content, le monsieur, qu’elle soit bonne!

En passant et c’est très impor- tant de le souligner, c’est AMB Maîtres Brasseurs qui nous a concocté la recette (merci tout spécial à Richard et Pascal), une brasserie 100% Québec.

Nous sommes donc très fiers de vous annoncer la naissance de LA MÉTROPOLE et comme l’indique l’étiquette arrière de la bouteille :

Noble, blonde, vive et rafraî- chissante à la fois, son goût de houblon saura vous séduire à coup sûr ! Brassée par des passionnés pour les incondi- tionnels de Montréal !

Du Plateau Mont-Royal au Quartier Latin, de la Petite Ita- lie à la Place d’Armes, vous ne résisterez pas à La Métropole, la bière du (514).

1994- RICHARD FRANCK UN TALENT UNIVERSEL

Thursday, January 27th, 2011

On parle souvent des artistes qu’ils soient musiciens, chanteurs, auteurs, comédiens ou danseurs comme des talents uniques, des maîtres pour qui l’exécution d’une oeuvre reste un plaisir facile à créer. Notre invité de ce mois-ci est un “double” artiste qui excelle autant dans la chanson que dans les arts visuels.

Richard FRANCK est déjà connu comme chanteur depuis 1981 mais c’est seulement depuis quelques années qu’il se consacre à l’art visuel du collage et qu’il frappe un coup de maître dans un domaine fort saturé. Richard me recevait en entrevue dernièrement et c’est avec stupéfaction que j’entrais non pas dans une simple maison mais dans l’antre d’un adorateur de beaux corps humains.

C’est par dizaines et même par centaines que les oeuvres s’empilent dans tous les coins de la maison et de voir tant de beauté, en plus de me déconcentrer, me fait demander comment il voit ses oeuvres et ses hommes! Est-ce une simple volonté de voyeurisme ou parlons-nous plutôt d’un vice plus ou moins caché???

C’est sans hésiter qu’il m’avoue aimer le collage érotique pour le côté fantasme de la chose et il va même jusqu’à me confier qu’il est loin d’en être blasé.

Le collage érotique, tel que pratiqué par Richard FRANCK, a plusieurs applications et l’artiste semble être aussi à l’aise dans la création d’une oeuvre murale que dans la réalisation d’un t-shirt. En effet, en mai dernier, Richard exposait quelques-uns de ses tableaux au bar LE RELAXE et la critique, bien que surprise par tant de nudité, a fort appréciée l’aspect nouveau et inusité de cette forme artistique. Depuis peu, il fabrique chez lui des t-shirts plus ou moins érotiques fort colorés que l’on retrouve en vente exclusive chez PRIAPE.

Placer la photo “Maître du monde” ici…

Mais quelle est l’origine du collage érotique?

Cette forme de collage découle directement du Pop Art anglo-saxon, qui en fait, est un mouvement artistique né vers la fin des années 50. Le Pop Art fit ses premières apparitions à Londres et à New-York et bien qu’il suscita à ses débuts une vive controverse dans le monde artistique, il est néanmoins une discipline aujourd’hui très pratiquée et appréciée du grand public.

Par le succès de son nouvel art visuel, il semble bien que Richard FRANCK se détourne de ses premières amours et s’éloigne de la chanson. Je serais bien surpris par contre qu’il n’y revienne pas un jour car son appartement, en plus d’être un temple dédié aux belles formes humaines, regorge d’instruments de musique divers, comme si il ne lui manquait qu’une occasion de refaire de la chanson.

Placer la photo de R. FRANCK ici…

Enfin, chers lecteurs de RG, n’oublions pas que{ les artistes vivent uniquement de leurs oeuvres et que de notre soutient dépend l’avenir de ceux-ci}. Richard FRANCK est un membre important et valorisant de notre communauté, ses T-Shirts se vendent bien et à 23$(+taxes), ils restent très abordables pour tous.

Si vous souhaitez acheter certains T-Shirts plus sobres ou si vous avez une commande particulière, Richard FRANCK se fera un plaisir de vous satisfaire et de créer une oeuvre unique en son genre.

En ce qui me concerne, j’ai trouvé un véritable petit bijoux que je porte le plus souvent possible tellement les couleurs sont magnifiques.

A la prochaine et surtout ne manquez pas l’entrevue exclusive que la grande Madame Alys ROBI offrira à RG d’ici peu. Si vous souhaitez faire des suggestions d’entrevues culturelles ou si vous souhaitez simplement donner de vos nouvelles, n’hésitez pas à m’écrire, je donnerai suite à toutes les lettres.

Roger-Luc CHAYER, 11 août 1993

Décès de Richard Franck

Monday, August 3rd, 2009

Nous apprenions aujourd’hui la triste nouvelle à l’effet que l’artiste Richard Franck était décédé fin juin 09 des suites d’un cancer du poumon. Découvert par RG et moi-même alors qu’il travaillait au resto “Les Entretiens” à Montréal, Richard avait la passion du corps masculin et aimait créer des oeuvres visuelles utilisant le découpage et le collage de photos de modèles de manière à exploiter leur beauté.

Richard Franck était très sincère dans tout ce qu’il accomplissait et son sourire était partie intégrante de sa marque de commerce personnelle qui nous manquera beaucoup. L’article d’origine (1994) sur Richard Franck publié dans le Magazine RG sous la plûme de Roger-Luc Chayer peut être consulté sur Internet au http://www.gayglobe.us/Chayer-rg1994.html, le texte est dans le menu et disponible en PDF.