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La bière Métropole

Saturday, February 4th, 2012

La toute nouvelle bière montréalaise, La Métropole, est en train de conquérir le coeur des amateurs de produits locaux de qualité. La pilsner lager, lancée à l’été 2011 par Franck Hé- not, propriétaire de l’Intermarché Boyer à Montréal, voulait associer un goût unique développé spécifiquement pour les montréalais. Le défi était grand! La réussite l’est encore plus!
Gay Globe a voulu savoir quelles étaient les qualités de cet- te bière métropolitaine et suite à notre dégustation, il faut admettre que La Métropole est devenue rapidement, par coup de foudre, la bière officielle des soirées de Gay Globe. Offerte en cartons de 6 bouteilles, La Métropole comporte 5,14% d’alcool (514 pour Montréal) et elle est blonde. Toute- fois, ne vous laissez pas berner par ses beaux airs ambrés car malgré les idées préconçues, une blonde peut avoir du caractère. Strictement dénuée d’arrière-goût quel qu’il soit, La Métropole se boit sans formalités, très froide et elle ac- compagne formidablement les viandes comme les pâtes. En fait, elle est si unique et réussie qu’on ne se lasse pas de la
GAYGLOBE MAGAZINE
consommer été comme hiver. Une telle bière mérite une mention spéciale d’autant qu’elle est conçue par un partenaire de Gay Globe.
En vente à l’Intermarché Boyer situé au 1000, Mont- Royal Est, au Provigo St-Ur- bain, au resto Le Stromboli, dans de nombreux dépan- neurs et chez l’Alchimiste à Joliette. Prix régulier 9,99$ mais souvent en spécial à 7,99$. Essayez-là et écrivez- nous votre opinion!

Lancement d’une nouvelle bière faite pour les amoureux de Montréal Le secret le mieux gardé de “LA MÉTROPOLE” …

Saturday, July 30th, 2011

Par Franck Hénot [email protected]

Photo

Franck Hénot Intermarché Boyer (Par Gay Globe Magazine)

La célèbre épicerie de la rue Mont-Royal Est coin Boyer annonçait fin juin 2011 le lancement d’une nouvelle bière faite pour les hommes de la métropole, chics et de bon goût. Gay Globe Magazine a invité son concepteur, Franck Hénot, à nous raconter son expérience…

Il était une fois l’histoire d’une bière, j’aurai pu dire aussi l’his- toire de passionnés de bière et de Montréal.

L’automne dernier, avec l’équi- pe de gérants du magasin, nous avons eu l’envie d’avoir notre propre bière, une idée un peu folle parmi plusieurs… Nous sommes une équipe très créative et je n’ai jamais besoin de supplier pour avoir de l’iné- dit.

Mais comment avoir notre pro- pre bière ? Nous nous sommes mis à la recherche d’un bras- seur qui accepterait de nous préparer une recette. Je suis un buveur de Sapporo, de Kro- nenbourg et de Heineken, je voulais donc une bière blonde, rafraîchissante et bien houblon- née.

Et puis, il lui fallait un nom, à notre bière ! Nous sommes des inconditionnels de Mon- tréal, je suis un gars de ville, j’adore mon quartier, j’ai habité plusieurs grandes villes et je n’échangerais pas Montréal

contre aucune autre ville! Nous nous étions mis d’accord sur le nom : 514, la 514, jusqu’à ce que, quinze jours avant la sor- tie de la bière, une compagnie à numéro de l’Ontario dépose lamarque514surInternet.Ça, c’est une autre histoire… Entre- temps, l’équipe Le XV rugby de Montréal nous demande une commandite…

Et si notre bière devenait aussi leur bière officielle?

Après plusieurs messages et rendez-vous, et c’est décidé, sur les shorts des joueurs, il y aura le logo du magasin et sur la bière leur logo à eux !

Il ne faut pas oublier qu’au départ c’est une bière entre chums. Nous voilà sur des shorts de joueur de rugby et, subitement, nous n’avons plus de nom pour notre divin breu- vage !

On retourne chez la graphiste et en cinq heures (merci, Marie Claude !) on arrête notre choix de nom sur LA MÉTROPOLE. Avec une photo de la ville de Montréal, nous concevons les étiquettes, une pour l’avant de la bouteille, une pour l’arrière et une pour la caisse.

“Si j’aurais su, j’aurais pas venu!” Ou plutôt, si j’avais ima- giné l’ampleur de la tâche, j’y aurais pensé un peu plus. (Mer- ci à notre mystérieuse compa- gnie ontarienne qui nous a faci- litée la vie en déposant le nom 514. GGRRRrrr….)

Une bière est en cuve durant trois semaines avant que l’on puisse goûter au résultat. Pas stressé le gars, super stressé!

Avec mon panel de dégus- tateurs (plusieurs sont des connaisseurs de bière dans l’équipe du magasin), la pres- sion était très forte.

Le 3 juin dernier, les commen- taires ont jailli, unanimes: elle est bonne!

J’avais oublié de vous dire que lorsque l’on commande une bière, on commande une cuve, donc 560 caisses de 6. Y était content, le monsieur, qu’elle soit bonne!

En passant et c’est très impor- tant de le souligner, c’est AMB Maîtres Brasseurs qui nous a concocté la recette (merci tout spécial à Richard et Pascal), une brasserie 100% Québec.

Nous sommes donc très fiers de vous annoncer la naissance de LA MÉTROPOLE et comme l’indique l’étiquette arrière de la bouteille :

Noble, blonde, vive et rafraî- chissante à la fois, son goût de houblon saura vous séduire à coup sûr ! Brassée par des passionnés pour les incondi- tionnels de Montréal !

Du Plateau Mont-Royal au Quartier Latin, de la Petite Ita- lie à la Place d’Armes, vous ne résisterez pas à La Métropole, la bière du (514).

bière Pride

Saturday, November 14th, 2009

(Dʼaprès Infopresse)
Afin de financer les équipes sportives gaies québécoises no-
tamment pour les 1ers Outgames mondiaux Montréal 2006,
la microbrasserie montréalaise Le Chaudron International et
la Fondation Pride ont lancé au Québec une bière dénommée
Pride. On la retrouve dans divers établissements du Village,
dont les restaurants St-Hubert et Roulé-Boulé ainsi que plu-
sieurs bars, et au marché Metro du quartier, lesquels remettent
5¢ par bière vendue à un organisme sportif gai de leur choix.
«Ce produit est pensé et conçu en fonction de la clientèle gaie
montréalaise, dit François Robert Lemire, président de la Fondation
Pride. Le but était de créer une marque identitaire afin de donner le jour
à un fonds permanent qui serait puisé à même les dépenses des consom-
mateurs gais.»
La fondation a contactée plusieurs microbrasseries afin de trouver
la bière qui conviendrait le mieux à la clientèle ciblée. «Elle de-
vait être douce et régulière, dit François Robert Lemire. Plusieurs
brasseurs nous ont soumis des produits trop alcoolisés ou au goût
trop prononcé. Ce nʼest pas ce que consomment les gais dʼaprès
une étude de marché que nous avons effectuée au préalable.» Le
Chaudron a donc remporté la partie avec une ale blonde classique.Pour en savoir plus sur la bière Pride, absolument unique dans le
marché gai québécois, nous vous proposons un  petit quiz en com-
pagnie de François-Robert Lemire, président de la compagnie, qui
accepte de répondre à nos questions.
Pourquoi le mot PRIDE? Mot international, nous voulions que tous les
gais puissent sʼy identifier.
Est-ce que PRIDE fabrique sa propre bière? Non, nos produits sont
fabriqués sous licence, en sous-traitance.
Qui fait fortune avec ça? Personne.
Alors pourquoi fabriquer de la bière gaie? Pour financer les athlètes
gais et lesbiennes qui désirent participer aux Outgames® de Montréal ou
aux Jeux gais de Chicago en 2006.
Avez-vous une idée de ce que vous allez donner? 1.20$ la caisse ven-
due au Québec
Et quand pouvons-nous espérer avoir un don aux athlètes? En avril
2006 au plus tard.
Qui est supposé recevoir cet argent au Québec? Chaque commerçant-
distributeur décide à quelle équipe ira lʼargent. Toutes les équipes et
athlètes du Québec sont éligibles.