Posts Tagged ‘découverte’

SIDA Nouvel espoir sérieux!

Sunday, October 27th, 2013

Purebreak

Sida : un nouvel espoir de guérison grâce à une
crème pour les pieds ?

Et si le remède au Sida se trouvait dans une crème pour les pieds? L’idée a de quoi surprendre et pourtant… Une étude menée par de jeunes chercheurs américains avance que le Ciclopirox et le Deferiprone, deux médicaments utilisés pour lutter contre les champignons, permettraient de lutter contre le virus du VIH. Et si le remède pour lutter contre le virus du Sida se trouvait dans une crème pour les pieds? L’idée parait complètement folle et pourtant c’est la découverte que viennent de faire des chercheurs de l’école médicale Rutgers dans le New Jersey, rapporte le Huffington Post qui cite une étude parue dans la revue PLOS One. Selon cette étude, le Ciclopirox et le Deferiprone, deux médicaments antifongiques utilisés pour traiter les champignons qui germent sur les orteils, seraient efficaces contre le VIH. «D’une part ils inhiberaient l’expression du gène VIH. D’autre part ils réactiveraient le processus d’auto-destruction des cellules» explique le Huff Post. Ils permettraient notamment de réactiver l’apoptose (absent en cas de VIH), mécanisme génétique grâce auquel les cellules infectées se suicident pour éviter qu’elles ne contaminent les autres.

Le gros avantage de ces médicaments est qu’une fois l’arrêt des applications, le virus ne réapparaîtrait pas. Le traitement ne serait donc pas à prendre à vie. L’efficacité de ces médicaments sur des personnes humaine est encore à déterminer.

Mais si les tests s’avéraient concluants, les choses pourraient aller très vite puisque le Ciclopirox et le Deferiprone sont déjà approuvés par l’Agence européenne des médicaments.
Sida: le CNLS-Centrafrique perd son financement

Pour cause de résultats insuffisants, le Fonds Mondial de lutte contre le sida, a retiré la gestion de ses financements pour la lutte contre le Vih-Sida au Comité national de lutte contre le sida de la République centrafricaine, une décision rendue publique jeudi 3 octobre à Bangui par la coordination nationale de l’organisme mondial.

Percée majeure dans la lutte contre le VIH

Sunday, October 27th, 2013

La Presse

Une équipe chinoise a pour la première fois décrit comment le virus du sida parvient à infecter une cellule. Cette avancée mènera à une pléthore de nouveaux médicaments. «C’est une étape très très importante», explique Mark Wainberg de l’Université McGill. «Il y a deux corécepteurs, et comprendre comment le virus interagit avec l’un d’entre eux est
crucial.
Nous avons déjà un médicament qui vise le récepteur décrit mais nous ne savions pas comment il fonctionnait. Nous allons pouvoir mieux l’utiliser.»

VIH/sida : une autre percée significative

Thursday, August 18th, 2011

Radio-Canada

De nouveaux anticorps très puissants efficaces contre le VIH/sida ont été découverts par des chercheurs américains.

Le Pr Dennis Burton et ses collègues du Scripps Research Institute ont isolé 17 anticorps qui deviennent de nouvelles pistes dans la recherche de vaccins.

Les anticorps sont en quelque sorte les « armes » du système immunitaire contre les agents infectieux, virus ou bactéries.

Dans le cas du VIH, ses multiples et rapides mutations lui permettent d’échapper aux anticorps.

Les nouveaux anticorps ont été isolés à partir de prélèvements provenant de quatre individus séropositifs, qui se trouvent dotés d’une forte réponse immunitaire naturelle conte le virus (VIH).

Selon les chercheurs, la plupart de ces nouveaux anticorps sont de 10 à 100 fois plus puissants que ceux récemment décrits (PG9, PG16 et VRC01).

Le Pr Burton estime que certaines combinaisons de ces anticorps offrent une bonne protection contre une grande proportion de variations du virus.

En juillet dernier, deux études menées en Afrique avaient démontré que la prise quotidienne d’une pilule d’antirétroviral réduisait de deux tiers le risque d’infection au VIH chez les hétérosexuels. Ces résultats confirmaient des résultats obtenus chez les homosexuels.

48- Découverte: le Maraviroc

Saturday, April 17th, 2010

Santé Canada accepte de
soumettre à un examen prio-
ritaire le maraviroc de Pfi zer,
nouveau médicament contre
le VIH
Plutôt que de sʼattaquer au virus
à lʼintérieur des leucocytes, le
maraviroc lʼempêche de pénétrer
dans les cellules non infectées en
bloquant leur porte dʼentrée prin-
cipale, soit le corécepteur CCR5.
Sʼil est homologué, le maraviroc
sera le premier agent dʼune nou-
velle classe de médicaments pris
par voie orale à être lancé sur le
marché depuis plus de dix ans; il
contribuerait ainsi à combler le
besoin urgent des patients infec-
tés par le VIH pour de nouvelles
approches en matière de prise
en charge de cette affection.
Pour faire lʼobjet dʼun examen
prioritaire, les médicaments
doivent pouvoir offrir, sʼils sont
homologués, un tableau général
risques-avantages plus favora-
ble dans la prise en charge dʼune
Montréal, le 20 mars 2007 – Plus tôt cette semaine, Santé Canada a accepté de soumettre à un examen prio-
ritaire le maraviroc, médicament administré par voie orale qui empêche le VIH de pénétrer dans les cellules
humaines.
Sʼil est homologué, le ma-
raviroc sera le premier médi-
cament anti-VIH destiné à la
voie orale lancé sur le marché
depuis plus de dix ans.
maladie ou dʼun état qui ne ré-
pond pas dʼune manière appro-
priée à un médicament actuelle-
ment commercialisé au Canada.
« Nous sommes très satisfaits
de la décision de Santé Canada
dʼévaluer le maraviroc en prio-
rité », déclare le Dr Bernard Pri-
gent, vice-président et directeur
médical de Pfi zer Canada.
« Nous croyons que les antago-
nistes du CCR5 deviendront rapi-
dement une classe thérapeutique
très importante pour les patients
qui présentent une résistance ou
une intolérance aux traitements
actuels », ajoute le Dr Prigent. La
décision de Santé Canada de sou-
mettre le maraviroc à un examen
prioritaire fait suite à la présenta-
tion, cette semaine, des résultats
dʼune étude déterminante sur le
Cette annonce fait suite à la
publication de nouveaux ré-
sultats cliniques qui montrent
que le maraviroc réduit signi-
fi cativement la charge virale
chez les patients déjà traités
par dʼautres médicaments.
maraviroc, lors de la XIVe
Conférence sur les rétrovirus
et les infections opportunistes
(CROI), une des plus impor-
tantes réunions dans le monde
portant sur la recherche en ma-
tière de VIH/sida. Ces résultats
montrent quʼenviron deux fois
plus de patients qui ont reçu le
maraviroc en plus de leur traite-
ment habituel affi chent des taux
sanguins de virus non détecta-
bles, comparativement à ceux
qui nʼont reçu que le traitement
optimisé. « Les données pro-
venant des études sont remar-
quablement constantes et mon-
trent que lʼajout du maraviroc
au traitement habituel entraîne
une réduction signifi cative de la
charge virale ainsi quʼune aug-
Le Programme dʼaccès
étendu permettra aux Cana-
diens dʼavoir accès à des mé-
dicaments expérimentaux qui
sʼattaquent au VIH dʼune ma-
nière entièrement différente.
mentation des taux de cellules
CD4 », affi rme le Dr Trottier,
médecin et directeur médical de
la recherche à la Clinique médi-
cale lʼActuel.
En décembre 2006, Pfi zer Inc a
annoncé quʼelle prévoyait met-
tre sur pied un programme mul-
tinational dʼaccès étendu, grâce
à un protocole dʼétude clinique
qui offrira le maraviroc à des
patients qui nʼont aucun ou pra-
tiquement aucun médicament
homologué à leur disposition en
raison dʼune résistance ou dʼune
intolérance aux traitements ac-
tuels. Santé Canada vient dʼap-
prouver ce programme, et lʼins-
cription des patients canadiens
devait sʼamorcer au cours des
prochaines semaines.

Un bâtonnet pour détecter la caféine

Monday, February 22nd, 2010

SAINT-LOUIS (AP) – Des chercheurs américains travaillent à la conception dʼun bâtonnet qui pourrait mesurer le niveau de caféine dans nʼimporte quelle tasse de café, et ce grâce aux propriétés des anticorps des camélidés.
Le chimiste Jack Ladenson, de lʼuniversité de Washington, qui ne supporte plus la caféine, souhaite élaborer un bâtonnet similaire au test de grossesse vendu dans le commerce. Mais aucun test ne permettait jusquʼà présent de mesurer le taux de caféine dans une boisson chaude.
Les scientifiques américains pensent avoir trouvé une solution grâce aux chameaux et lamas: leurs anticorps résistent en effet aux très hautes températures. Après avoir reçu des dérivés de caféine dans leur corps pendant plusieurs mois, ces animaux ont produit des anticorps en réponse à la substance étrangère. Les chercheurs ont alors copié ces anticorps en laboratoire et étudié leurs réactions à la caféine.
Ces anticorps se sont collés à la caféine, permettant ainsi de mesurer le niveau de la substance, a expliqué Jack Ladenson. Les résultats seront publiés le 1er juin dans “Le Journal de la société américaine de chimie, chimie analytique”. Ce test donnerait des résultats comparables à ceux réalisés par des équipements sophistiqués. Jack Ladenson nʼa pas pu indiquer quand ce bâtonnet pourrait être commercialisé mais il en a déposé un brevet.

Découverte sur la lymphocytopénie

Saturday, January 23rd, 2010

La lymphocytopénie T CD4 idiopathique est une pathologie ayant de fortes similitudes avec le sida mais dont la cause reste inconnue. Elle est caractérisée par un important déficit immunitaire des lymphocytes T CD4 entraînant des infections opportunistes graves.

La lymphocytopénie T CD4 idiopathique est une pathologie ayant de fortes similitudes avec le sida mais dont la cause reste inconnue. Elle est caractérisée par un important déficit immunitaire des lymphocytes T CD4 entraînant des infections opportunistes graves. A ce jour, aucun agent infectieux n’a été détecté chez les patients qui en sont atteints. Pour la première fois, des équipes de chercheurs et de cliniciens de l’Institut Pasteur, de l’AP-HP, de l’Inserm, du CNRS et de l’université Paris-Descartes ont mis en évidence un mécanisme physiopathologique commun à tous les patients étudiés. Ces équipes ont également montré l’efficacité d’un traitement par l’Interleukine-2 (molécule messagère du système immunitaire) chez les mêmes patients.

La lymphocytopénie idiopathique est une pathologie rare mais grave dont la cause n’est pas connue : elle est caractérisée par une importante diminution du nombre de lymphocytes T CD4 circulants et l’apparition d’infections opportunistes graves, voire mortelles (cryptoccocose, la plus fréquente, pneumocystose, mycobactérioses, infections à cytomégalovirus) évoquant le sida, mais aucun agent infectieux étiologique n’a jamais été caractérisé chez les patients.

Les équipes de chercheurs et de cliniciens de l’Institut Pasteur, de l’AP-HP, de l’Inserm, du CNRS et de l’université Paris-Descartes, sous la coordination du Pr Olivier Lortholary, unité de Mycologie Moléculaire de l’Institut Pasteur, Centre d’Infectiologie Necker-Pasteur et chef du service des Maladies infectieuses et tropicales à l’hôpital Necker, ont étudiés 6 cas français. Ils ont pu mettre en évidence, pour la première fois, un mécanisme associé à l’immunodéficience des lymphocytes T, commun à tous ces patients.

Des études de biologie cellulaire réalisées à l’Institut Pasteur ont révélé chez ces 6 patients une anomalie d’expression membranaire d’un récepteur majeur du système immunitaire, appelé CXCR4 (co-récepteur d’entrée du VIH) qui s’accumule à l’intérieur des lymphocytes T CD4 au lieu de s’exprimer à leur surface. Ce dysfonctionnement perturbe l’homéostasie des CD4 et favoriserait l’apparition d’infections opportunistes.

Les chercheurs ont également montré, in vitro et chez les patients, que l’administration d’Interleukine-2 restaurait l’expression de CXCR4 à la surface de ces cellules et augmentait le nombre des lymphocytes T CD4.

Ces résultats ouvrent, pour la première fois, la voie à la compréhension et à un traitement de la lymphocytopénie T CD4 idiopathique par immunothérapie.

Un programme de recherche clinique sera débuté en collaboration entre l’AP-HP et l’Institut Pasteur afin de poursuivre les investigations sur une cohorte nationale de patients.

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SIDA: Une avancée importante

Saturday, January 23rd, 2010

Des chercheurs canadiens ont fait une découverte importante concernant une protéine virale, indispensable à la propagation des virus. Dans le mécanisme de propagation de certains types de virus, la protéine Rev joue un rôle essentiel.

Dans la revue Journal of Virology, les chercheurs de l’Université du Québec, à Montréal, évoque leurs travaux sur une molécule Rev, très différente des autres protéines du même type étudiées jusqu’à maintenant.

Ils ont utilisé comme modèle d’étude la protéine Rev du virus de l’immunodéficience bovine (VIB), un rétrovirus apparenté au virus du SIDA chez l’homme. Cette protéine, en se fixant aux ARN viraux qui se trouvent dans le noyau d’une cellule infectée, contribue au passage de la phase précoce à la phase tardive de l’infection.

Pour remplir cette fonction, elle doit d’abord pouvoir pénétrer dans le noyau. Pour y arriver la protéine Rev a besoin d’une « clef » : c’est une structure d’acides aminés nommée « signal de localisation nucléaire».

Au fil des ans, plusieurs chercheurs se sont intéressés au SNL de différentes protéines Rev. Jusqu’à maintenant, l’étude de ces protéines démontrait la présence d’un SNL monopartite, c’est-à-dire réparti en une seule séquence continue d’acides aminés. À leur grande surprise, les chercheurs ont découvert que la protéine Rev du VIB contenait plutôt un SNL bipartite – composé de deux motifs d’acides aminés séparés par une séquence d’autres acides aminés – une première mondiale pour ce type de protéines présentes chez tous les rétrovirus étudiés jusqu’à ce jour, incluant le virus du SIDA.

Nous disposons maintenant d’un modèle particulier qui nous permet d’étudier davantage la relation entre la localisation d’une protéine et son effet sur la cellule hôte, et possiblement sur l’organisme en entier. »

Les séropositifs peuvent à nouveau séjourner aux USA
Par : Lemonde.fr

Obama l’avait annoncée en octobre et la mesure est entrée en vigueur lundi 4 janvier. Les Etats-Unis ne restreignent désormais plus l’accès à leur territoire aux personnes contaminées par le sida. Cette mesure avait été prise en 1987, quatre années après la découverte du virus. Jusqu’à présent, les personnes séropositives pouvaient obtenir un visa de séjour de trente jours, ce qui les empêchait toutefois d’effectuer un séjour d’études ou de travail.

Les associations de défense des droits de l’homme ainsi que le Programme commun des Nations unies sur le sida (Onusida) ont salué la levée officielle des restrictions à l’entrée aux Etats-Unis des personnes contaminées par le virus du sida.

Un vaccin contre le VIH

Tuesday, October 20th, 2009

Le 24 septembre dernier, on annonçait sur le fil de presse une nouvelle qui prenait par surprise la communauté scientifique internationale. Un vaccin contre le VIH venait de faire ses preuves et résultait d’une expérimentation de phase III réussie. Les auteurs, deux compagnies pharmaceutiques réputées, publiaient des résultats concrets après 25 ans de recherches.

Résultat d’une combinaison expérimentale de deux vaccins déjà étudiés dans le monde mais jusqu’ici relativement inefficaces si injectés séparément, ce cocktail, lorsque combiné, permettrait de réduire de plus de 31% le risque d’infection ai VIH chez les personnes à risque.

Les deux vaccins, l’un produit par VaxGen et l’autre par Sanofi Pasteur, étaient à l’étude en Thaïlande chez plus de 16000 volontaires et ceci dans le cadre d’une étude de phase 3 pilotée par le groupe “Global Solutions for Infectious Diseases”. Non seulement le cocktail, administré en 6 doses sur une période de 6 mois, a démontré des résultats très intéressants, 51 personnes infectées dans un groupe traité avec le vaccin et 74 dans le groupe témoin traité avec un placebo, bref, ce vaccin a résisté aux mutations du virus et a gardé son efficacité au fil du temps, ce qui est une première dans le monde.

“Cinq minutes de santé font du bien au malade.” (Proverbe Breton)

“Il s’agit de la première démonstration concrète, depuis la découverte du virus en 1983, qu’un vaccin contre le VIH peut un jour devenir une réalité” a déclaré Michel DeWilde, vice-président senior Recherche & Développement de Sanofi Pasteur dans un communiqué publié sur l’Express.fr

Les chercheurs impliqués dans cette recherche souhaitent toutefois ajouter que les résultats actuels ne concernent que la prévention de la maladie ou de l’acquisition du virus chez les personnes saines. Il ne s’agit pour le moment pas d’un vaccin qui semble avoir une quelconque efficacité chez les personnes déjà porteuses du VIH, des recherches plus poussées doivent toutefois être faites bientôt afin de déterminer si le nouveau vaccin peut répondre aux besoin de ces personnes.

Les résultats complets de cette expérimentation de phase 3 seront dévoilés à la conférence international AIDS Vaccine 2009 qui doit se tenir à Paris sous peu. Fait important à noter, une expérimentation de phase 3 signifie que les étapes sont suffisantes pour prouver l’efficacité d’un médicament ou d’un vaccin et que la mise en marché est envisageable dans l’année qui suit, selon la rapidité qu’auront les autorités à homologuer la découverte dans les différents pays. Même si les chercheurs souhaitent améliorer le produit, il serait donc possible de commencer à vacciner contre le SIDA en 2010, un véritable miracle qui pourrait bien faire chuter globalement le taux de transmission du SIDA.

L’Actuel aurait soumis une étude intéressante au sujet du VIH

Thursday, August 27th, 2009

Une étude menée par des médecins de la clinique médicale l’Actuel, de Montréal, semble avoir trouvé une oreille attentive auprès des communautés scientifiques qui s’intéressent à la lutte au SIDA.

Dans un communiqué que la clinique fait paraître, mercredi, il est écrit que l’étude menée par le Dr Benoît Trottier auprès de 100 patients démontre qu’il est possible de diminuer le nombre de médicaments pris par des personnes infectées qui résistent à la trithérapie.

Réjean Thomas, médecin fondateur de la Clinique médicale l’Actuel, signale que l’hypothèse reste à confirmer avec d’autres études, mais il rappelle que si l’efficacité du traitement n’est pas directement proportionnel au nombre de médicaments pris, cela aura des conséquences énormes pour les malades, les scientifiques et les gouvernements dans le monde.

Le Dr Thomas ajoute que médication trop forte peut avoir de mauvaises conséquences pour la toxicité et les effets secondaires chez les patients.

L’Actuel affirme que son étude est jugée très pertinente par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) et qu’elle a été citée dans le “Medscape Medical News”.

Un nouveau variant du VIH identifié

Thursday, August 27th, 2009

Une équipe de virologues français a rapporté le 2 août qu’elle avait identifié un nouveau variant du VIH de type 1, qui est à l’origine de la plupart des cas de Sida.

Il existe deux types de virus du sida, le VIH-1, majoritaire, et le VIH-2 peu fréquent. Le VIH-1 est divisé en trois groupes : M, à l’origine de la pandémie mondiale et deux autres groupes très rares, O et N.

Le séquencement génétique du virus a démontré qu’il ne ressemblait à aucune forme connue du VIH, et il a finalement été lié au virus qui touche les gorilles, lui même découvert en 2006.

La malade touchée par ce virus assure n’avoir jamais eu de contact avec des gorilles, mais avoir connu plusieurs partenaires sexuels. Selon Marie Leoz, la patiente “va bien” et suit actuellement un traitement auquel “elle a très bien répondu”. “C’est une souche qui se traite”.