Posts Tagged ‘taylor’

Taylor Lautner gay People magazine cover is ’100 percent fake,’ spokesperson says

Wednesday, December 28th, 2011

Nationalpost
People magazine said on Tuesday that a cover apparently featuring Twilight actor Taylor Lautner coming out as a gay man was “100 percent fake.”

“The cover in question is 100 percent fake. This began as a ridiculous Twitter joke that went viral,” said People magazine spokeswoman Julie Farin.

The fake People cover, dated January 7, 2012, was circulated on the Internet over the holidays. It featured a picture of Lautner, 19, with text saying “Tired of rumors, the Twilight star opens up about his decision to finally come out.”

Social media sites circulated the fake cover, with celebrities like Def Jam’s co-founder Russell Simmons tweeting their congratulations to the Twilight actor before realizing the hoax.

“Disappointed that people would joke about someone coming out about their sexuality. Let Taylor Lautner be whoever he wants to be,” Simmons said in a later tweet Monday.

A representative for Lautner, who previously dated country singer Taylor Swift, did not respond to requests for comment.

The authors of the hoax were not immediately known.

Sandra Bullock rend hommage à Liz Taylor

Monday, November 7th, 2011

Rtl.be
andra Bullock était présente à la soirée de l’amfAR Inspiration LA Gala dimanche soir pour rendre hommage à Liz Taylor. L’actrice décédée était à la tête de l’amfAR, The Foundation for AIDS Research (ndlr : l’association pour la recherche contre le SIDA), qui est devenu Founding National Charman au milieu des années 80 lorsque la maladie est passée au stade d’épidémie.

Sandra a une profonde admiration pour le courage d’Elizabeth.
« [Elizabeth] a décidé de mettre en place cela à une époque où ce n’était pas à la mode, lorsque personne ne le faisait et elle est devenue la voix, a raconté Sandra à ET Online. De nombreuses autres personnes auraient pu avoir sa voix, mais elle a décidé de défendre cette cause. C’est vraiment incroyable. »

L’actuel directeur de l’amfAR Kevin Frost pense qu’Elizabeth aurait été ravie de savoir que Sandra a rendu hommage à ses efforts lors de la soirée. Avant qu’elle ne décède, Elizabeth admirait profondément le travail de Sandra.
« Elizabeth, lorsqu’elle était en vie, était une grande fan de Sandra et avait l’habitude de louer ses films à la maison, a confié Kevin à ET. C’est vraiment formidable cet hommage que lui rend Sandra. »

Depuis sa création en 1985, l’amfAR a investi plus de 325 millions de dollars dans des programmes. L’association a également récompensé plus de 2 000 équipes de recherche à travers le monde.

Selma Blair, Deborah Harry, Josh Duhamel et Sinead O’Connor étaient aussi présentes à la soirée.

Taylor Lautner gay ? Il répond !

Wednesday, October 19th, 2011

public.fr
T aylor Lautner a beau avoir déjà plusieurs jolies conquêtes à son actif, Taylor Swift, Lily Collins… l’acteur de Twilight est toujours l’objet de rumeurs qui le disent gay. Le loup-garou de Twilight répond dans le numéro de novembre du GQ australien.

Taylor Lautner veut mettre les choses au clair : non il n’est pas gay. Ces rumeurs à son sujet remontent à juin dernier lorsque l’acteur de Twilight, actuellement à l’affiche du film d’action Identité Secrète, a dîné avec le réalisateur Gus Vant Sant et le producteur, réalisateur et scénariste Dustin Lance Black, qui a reçu l’Oscar du Meilleur Scénario Original en 2009 pour Harvey Milk, produit par Gus Vant Sant.

Tous les deux gays, les réalisateurs avaient semble-t-il particulièrement apprécié leur sortie à Los Angeles avec le beau Taylor, de quoi déclencher de folles rumeurs auxquelles il répond dans le numéro de novembre du GQ australien.

“Pas du tout. Je pense qu’ils savent tous les deux que je ne suis pas gay. Mais ce sont des types très sympas. Ils sont très drôles” explique le loup-garou de Twilight. Que toutes les filles sont donc rassurées, vous avez toutes vos chances, surtout que Taylor est à nouveau célibataire depuis peu.

Vente d’objets d’Elizabeth Taylor

Sunday, September 25th, 2011

Près de 400 robes et ac- cessoires ayant appartenu à Elizabeth Taylor vont être vendus par Christie’s à New York à compter du 14 décembre. On y trouve les deux robes portées pour ses deux mariages en 1964 et 1975, et celle portée quand l’actrice avait reçu un Oscar spé- cial pour son engagement dans la lutte contre le sida.

400 objets d’Elizabeth Taylor en vente

Wednesday, September 21st, 2011

LeFigaro
Près de 400 robes et accessoires ayant appartenu à l’actrice Elizabeth Taylor vont être vendus aux enchères par Christie’s à New York à compter du 14 décembre, a annoncé hier la maison de ventes. Les robes, chaussures ou sacs à main, qui retracent 50 ans de la vie de la star hollywoodienne, sont notamment signés Chanel, Christian Dior, Gianfranco Ferré, Givenchy, ou encore Valentino, Versace ou Yves St Laurent, a précisé la maison d’enchères.

On y trouve notamment les deux robes portées pour ses deux mariages avec Richard Burton en 1964 et 1975, et celle portée en 1992, quand l’actrice avait reçu un Oscar spécial pour son engagement dans la lutte contre le sida.
La plus chère (celle de son premier mariage) est estimée entre 40.000 et 60.000 dollars. “Beaucoup de ces pièces étaient de la haute couture, faite spécialement pour Elizabeth Taylor par des créateurs devenus ses amis” a souligné Meredith Etherington-Smith, conservatrice chez Christie’s America.

La ventes des robes (les 14 et 15 décembre) se conjugera à la vente aux enchères de ses bijoux, annoncée le 7 septembre par Christie’s. Cette vente (13 et 14 décembre) rassemblera 269 colliers, bagues en diamant, broches ou boucles d’oreilles d’une valeur estimée à plus de 30 millions de dollars. Un collier en rubis et diamants, imaginé par Elizabeth Taylor et incorporant une perle du XVIe siècle ayant appartenu à la couronne d’Espagne, est notamment estimé entre 2 et 3 millions de dollars.

La bague de diamant et rubis que lui avait offerte Richard Burton durant leur mariage est également mise aux enchères. Elizabeth Taylor, l’une des dernières légendes de l’âge d’or du cinéma hollywoodien, est décédée le 23 mars dernier à 79 ans. Elle est enterrée au cimetière Forest Lawn de Los Angeles.

Victoria Beckham portera les bijoux de Liz Taylor

Tuesday, September 20th, 2011

Trenditude.fr
David Beckham compte offrir à sa femme la collection de bijoux d’Elizabeth Taylor
Le 20/09/2011 à 10h41 par Ariane
Commentaires sur ce sujet Réagissez !
Victoria et Brooklyn Beckham sur Hollywood Boulevard robe noire et pochette beige
Victoria et Brooklyn Beckham sur Hollywood Boulevard robe noire et pochette beige
Victoria Beckham Robe Sac à main

Elizabeth Taylor nous a quittés en mars dernier, en laissant derrière elle une flopée de fans en pleurs. Mais l’actrice n’est pas partie vainement, elle a aussi laissé la fondation qui porte son nom et qui lutte contre le SIDA, ainsi que sa collection de bijoux pour subvenir aux besoins celle-ci. Cette collection sera mise aux enchères en décembre prochain, chez Christies, au prix de départ de trois millions de dollars.

Si de nombreuses personnalités sont intéressées par ces joyaux, David Beckham l’est encore plus que les autres. En effet, le footballeur compte offrir les bijoux d’Elizabeth Taylor à sa femme Victoria qui vient de donner naissance à leur fille Harper Seven.

Selon un proche du couple, David est retombé amoureux de son épouse depuis l’arrivée de la petite fille et veut constamment lui faire plaisir avec des cadeaux aussi somptueux les uns que les autres.

On aurait dit que la petite Harper a ravivé la flamme du footballeur car en plus des présents, il est aussi très attentionné envers la mère de ses enfants, allant jusqu’à lui préparer des dîners romantiques, choses qu’il n’avait jamais faites auparavant. Ce n’est en tout cas pas Victoria qui va s’en plaindre, d’autant qu’en portant les bijoux de Liz Taylor, elle fait en même temps une bonne action.

Elisabeth Taylor : ses objets personnels bientôt en vente

Sunday, July 3rd, 2011

Newsdestars

Les effets personnels de Liz Taylor seront bientôt mis aux enchères

L’actrice Elizabeth Taylor, décédée en mars dernier d’une insuffisance cardiaque à l’âge de 79 ans, va voir ses objets personnels mis en vente par la société Christie’s dès septembre prochain. Les bénéfices seront reversés à la fondation Elizabeth Taylor AIDS Foundation, venant en aide aux victimes du VIH et du Sida.

Cette grande actrice du cinéma et grande amie de Michael Jackson, disparue en mars dernier, avait un grand cœur. C’est donc tout naturellement que sera bientôt organisée une vente aux enchères de ses effets personnels par Christie’s. Comme l’a déclaré Marc Porter, président de Christie’s Amérique, au magazine People : “Cette collection de ses possessions les plus estimées permettront de capter encore plus l’essence de l’esprit unique d’Elizabeth Taylor et cela va certainement susciter une certaine admiration, joie et à un moment, de la légèreté, à tous ceux qui viendront la voir“. Une déclaration qui ne peut que nous mettre l’eau à la bouche !

Pour notre plus grand bonheur cette collection va faire le tour du monde afin de donner à tous la chance d’admirer les bijoux de l’actrice, ses habits et ses objets d’art. L’argent récolté sera reversé à la fondation Elizabeth Taylor AIDS Foundation, que la star a fondé en 1993 pour soutenir les victimes du VIH et du Sida.

Marc Porter ajoute également que la vente permettra de découvrir les différentes facettes de l’actrice “le monde de la vrai icône, une femme rare qui était à la fois une star de cinéma internationale, une star de la mode, une mère aimante, une brillante femme d’affaires et une femme généreuse.

Vivement septembre !

Des nouvelles de Gay Globe TV: Cléopâtre

Thursday, April 14th, 2011

Par
Roger-Luc Chayer
[email protected]
Photo
Gay Globe TV
Comment rendre un hommage
absolument spécial à la plus
grande dame du cinéma et idole
de très nombreux gais de par
le monde?

On peut publier un dossier spécial,
Gay Globe Magazine l’a
fait. On peut aussi publier des
témoignages personnels de
gens qui la connaissaient, le
Blogue du Point l’a fait. On peut
enfin faire la démonstration
de son immense talent en diffusant
un des films phares de
sa carrière et c’est ce que Gay
Globe TV fait depuis quelques
jours. Cléopâtre, en version intégrale
et originale, d’une durée
de près de 4h30 est actuellement actuellement
en présentation spéciale
permanente sur GGTV
au www.gayglobe.us. Toutes
les émissions de GGTV sont
d’ailleurs offertes gratuitement
et ne nécessitent aucun abonnement.
Allez écouter dès
maintenant le film qui a fait de
Elizabeth Taylor la plus grande
dame du cinéma.
Deux nouvelles
productions
Gay Globe TV propose aussi
depuis peu deux nouveaux
documents, le film Soleil Vert
(1973) avec Charlton Heston
et un large extrait du documentaire
La Marche de l’Empereur
avec les plus belles images
jamais filmées de l’Antarctique.
GGTV c’est aussi une multitude
de films anciens et d’émissions
culturelles comme de nombreux
documentaires sur la création
des films les plus populaires
d’Hollywood et de France, des
actualités mensuelles qui proposent
des commentaires sur
l’actualité gaie internationale
et de nombreux films anciens
ou séries télévisées du passé
comme The Golden Girls, Ma
Sorcière Bien-Aimée, les séries
Classical Arts Showcase,
James Bond, Louis de Funès
ou La Cage aux Folles avec
Michel Serrault. Gay Globe TV
c’est le divertissement des gais
qui aiment la culture par excellence
et c’est 100% gratuit.
L’abonnement aussi est gratuit
et permet de recevoir les nouvelles
en primeur.

Elizabeth Taylor et la lutte au VIH/SIDA

Thursday, April 14th, 2011

Par
Roger-Luc Chayer
Selon
Wikipédia
[email protected]
Photo
Wikimédia
…Suite de la page 6
Malgré ses nombreux problèmes
de santé, Elizabeth Taylor
demeure plutôt active (elle n’a
que 50 ans et paraît immortelle),
surtout à la télévision dans
les années 1980. Elle participe
ainsi à des séries télévisées
comme Hôpital central (elle se
propose en tant que fan), La
Force du destin et même Les
Simpson où elle prête sa voix
à Maggie Simpson mais également
à sa propre personne.
En 2001, le téléfilm Drôles de
retrouvailles associe Taylor
à Joan Collins, Shirley Mac
Laine et Debbie Reynolds, trois autres survivantes du
Hollywood des années 1950:
l’événement rencontre peu
d’écho, et en 2003, après avoir
tourné dans un épisode de la
série Dieu, le diable et Bob elle
annonce qu’elle va mettre un
terme définitif à sa carrière.
Elizabeth Taylor a consacré
beaucoup de temps et d’énergie
à la collecte de fonds pour
la lutte contre le SIDA. « Je regardais
toutes les actualités sur
cette nouvelle maladie et je me
demandais pourquoi personne
ne faisait rien. Et ensuite je me
suis rendue compte que j’étais
comme eux. Je ne faisais rien
pour aider » se souvient l’actrice
qui a également aidé au
lancement de l’American Foundation
for AIDS Research (amfAR),
aux côtés du Dr Mathilde
Krim et de médecins et scientifiques[,
après la mort de son
ami et partenaire (au cinéma)
Rock Hudson en 1985. Aimée
du public, elle a réussi à attirer
l’attention des médias et à toucher
des millions de personnes.
En 1986, elle est apparue dans
quelques spots télévisés dont
Men, Women, Sex & AIDS dans
le but de sensibiliser sur son action.
En 1991, les photos de son
huitième mariage avec Larry
Fortensky ont été vendues 1
million de dollars, somme reversée
ensuite à l’association.
Depuis sa retraite progressive
du cinéma, elle touche
115 million d’euros par an de
royalties grâce à de nombreux
produits dérivés, notamment sa gamme de parfums. En
1991, elle a fondé sa propre organisation
The Elizabeth Taylor
AIDS Foundation qui a pour
but de recueillir des fonds pour
lutter contre la maladie dans le
monde entier. Elle a également
apporté son soutien à plusieurs
événements majeurs dont à la
revue gaie québécoise Le Point
devenue Gay Globe Magazine
en 2005, ou à la Journée mondiale
de lutte contre le SIDA
ainsi qu’aux soirées organisées
au Festival de Cannes
chaque année. Depuis 2004,
c’est Sharon Stone qui préside
le gala. On estime qu’en 1999,
elle avait contribué à la collecte
d’au moins 50 millions de dollars
pour financer la recherche
contre le SIDA. Elle a été honorée
de plusieurs récompenses
pour ses activités caritatives.
(Selon Canoë) Elizabeth Taylor
aurait laissé une grande partie
de sa fortune de 600 millions$
à des oeuvres caritatives qui se
battent contre le SIDA. Souvent
plébiscitée pour son rôle
dans le combat contre le SIDA,
elle continue son travail caritatif
en laissant une grande part de
sa richesse à ses oeuvres caritatives
préférées.
D’après Fox News, sa collection
de bijoux sera vendue aux
enchères au profit de la Elizabeth
Taylor AIDS Foundation,
de l’amfAR, et d’oeuvres caritatives
qu’elle a fondées en 1985.
En 2002, sa collection avait été
estimée à 150 millions de dollars.

Elizabeth Taylor en Cinémascope

Thursday, April 14th, 2011

Par
Roger-Luc Chayer
Selon
Wikipédia
[email protected]
Photo
Wikimédia
La grande dame du cinéma
international qui avait en horreur
qu’on l’appelle Liz, vient de
nous quitter suite à une longue
maladie. Elizabeth Taylor naît
le 27 février 1932 à Hampstead,
situé en Angleterre dans
la banlieue cossue de Londres,
avec la nationalité britannique,
de parents tous deux américains
et originaires de Kansas
City (Missouri). Elle est la seconde
enfant de l’actrice Sara
Viola Warmbrodt (de son nom
de scène Sara Sothern, 1895–
1994), et de Francis Taylor
(1897–1968), propriétaire d’une
galerie d’art.

Ses deux prénoms, Elizabeth
et Rosemond lui ont été donnés
en l’honneur de sa grand
mère paternelle Elizabeth Mary
(Rosemond).
Peu avant le début de la
Deuxième guerre mondiale,
fuyant les hostilités, les parents
d’Elizabeth décident de rentrer
aux États-Unis. Sara part la
première avec les enfants. Elle
débarque à New York au mois
d’avril 1939. Le père, resté momentanément
à Londres pour
emballer les oeuvres d’art de
son magasin, arrive à son tour
au mois de novembre.
La famille choisit de s’établir à
Los Angeles, Californie, ville
dont Sara est originaire et où
elle possède de la famille.
Francis Taylor y ouvre une gallerie
où il expose les peintures
qu’il a rapportées du Royaume
Uni. Son magasin attire rapidement
de nombreuses célébrités
du tout-Hollywood.
D’après Walter, la galerie
«ouvre grand les portes aux
Taylor, leur donnant accès à la
société argentée et prestigieuse
» du cinéma hollywoodien.
Elizabeth découvre le milieu
du cinéma lorsque sa mère la
présente aux studios de Hollywood.
Elizabeth bénéficie de la double
nationalité. Américaine par
ses parents, elle est aussi citoyenne
britannique car elle est
née sur le sol du Royaume Uni.

Lors de sa venue à Hollywood,
la jeune femme n’était pas
croyante. Néanmoins, lorsqu’elle
commence à fréquenter Nicky
Hilton, son premier mari, elle
se convertit au catholicisme.
Début 1959, elle se convertit
au Temple Israël à Hollywood,
au grand désespoir de ses parents,
et reçoit le nom hébreu
de Elisheba Rachel. Dans son
autobiographie Elizabeth Takes
Off, elle déclare que «ça n’a absolument
rien à voir avec mon
passé. Mes deux maris Mike
Todd et Eddie Fisher étaient
tous les deux juifs, mais j’avais
voulu le devenir avant».
Cependant la passion qu’elle
a pour cette religion diminue
rapidement, et elle n’est allée
qu’une fois à la synagogue,
sans jamais renoncer pour
autant à porter sa croix.
Mis à part sa longue « amitié
amoureuse » avec l’acteur
Montgomery Clift mais sans
lendemain en raison de l’homosexualité
de l’acteur, Elizabeth
Taylor s’est mariée huit fois
avec sept hommes différents:
Conrad Nicholson Hilton Jr.,
Michael Wilding, Michael Todd,
Eddie Fisher, Richard Burton
(deux mariages), John Warner,
et Larry Fortensky. Lorsqu’on
lui demande pourquoi elle a
épousé tant d’hommes, elle
répond: « Je ne sais pas, chéri.
Cela chasse sûrement le démon
qui est en moi!»
…Suite à la page 6

Éditorial Gay Globe Magazine 74

Thursday, April 14th, 2011

Nous apprenions le 23 mars dernier le décès
d’Elizabeth Taylor aux petites heures du matin
et c’est sous le choc que la journée à commencer
à Gay Globe Média car la grande Dame
du cinéma était aussi une supporter de notre
publication depuis de nombreuses années.
Présidente de la Fondation Elizabeth Taylor
contre le SIDA, elle avait été de tous les combats
visant la recherche de nouveaux traitements
et l’amélioration au quotidien de la qualité
de vie des personnes atteintes. Elle voulait
surtout que les gais n’aient plus honte d’être
atteints du VIH car elle se sentait personnellement
visée par leur sort, que si elle s’associait
visuellement et physiquement à la lutte contre
le SIDA, il serait plus difficile pour la société de faire la vie dure aux personnes atteintes. Elizabeth
Taylor était d’ailleurs une ardente partisane
de la lutte contre les autres préjugés face à la
communauté gaie et avait été une des premières
personnes aux États-Unis à reconnaître certains
droits aux homosexuels comme l’union, la rente
de conjoint survivant et l’adoption. Elle était de
tous nos combats et n’y voyait strictement rien de
mercantile, c’était l’amour de son public qui l’adorait
qui la motivait et elle démontrait par son soutien
aux gais sa reconnaissance envers une communauté
qui vouait à Dame Taylor un culte de tous
les instants et n’avait jamais diminué l’ardeur de
son affection, même dans les dernières années.
Elizabeth Taylor a été une ambassadrice de premier
ordre pour les homosexuels du monde, nous
la remercions au nom de tous avec cette édition
spéciale qui lui est consacrée et qui fait un peu le
tour de la carrière et de la vie de cette irremplaçable
personne. Merci Elizabeth Taylor.

Spécial Elizabeth Taylor à Gay Globe Média

Wednesday, March 23rd, 2011

Suite à l’annonce du décès de la grande dame du cinéma Elizabeth Taylor, peu de gens au Québec connaissaient son implication auprès du SIDA et son appui pour Gay Globe Magazine (Le Point).

Afin de souligner et de célébrer son passage dans nos vies, Gay Globe Média a décidé de lui consacrer un spécial à volets multiples en commençant par la diffusion intégrale du film Cléopâtre (1963) d’ici quelques jours sur GGTV, suivi d’une édition spéciale de Gay Globe Magazine avec superbe couverture qui lui est consacrée de même qu’un dossier spécial sur sa vie, son implication dans la lutte contre le SIDA et un éditorial plus personnel.

Découvrez avant tout le monde la couverture spéciale de Gay Globe Magazine consacrée à Elizabeth Taylor: Pour télécharger la couverture exclusive Elizabeth Taylor cliquez sur ce lien

Couverture Elizabeth Taylor #74

Couverture Elizabeth Taylor #74

Elizabeth Taylor by Wikipedia

Sunday, March 13th, 2011

Elizabeth Taylor

From Wikipedia, the free encyclopedia
Jump to: navigation, search
Elizabeth Taylor

Taylor photographed for Argentinean Magazine in 1947
Born Elizabeth Rosemond Taylor
27 February 1932 (1932-02-27) (age 79)
Hampstead, London, England
Nationality British-American
Other names Liz Taylor
Occupation Actress
Years active 1942–2003
Spouse Conrad Hilton, Jr. (1950–1951)
Michael Wilding (1952–1957)
Mike Todd (1957–1958)
Eddie Fisher (1959–1964)
Richard Burton (1964–1974, 1975–1976)
John Warner (1976–1982)
Larry Fortensky (1991–1996)
Parents Francis Lenn Taylor (deceased)
Sara Sothern (deceased)

Dame Elizabeth Rosemond Taylor, DBE (born 27 February 1932), also known as Liz Taylor, is an English/American actress.[1] A former child star, she grew to be known for her acting talent and beauty, as well as her Hollywood lifestyle, including many marriages. Taylor is considered one of the great actresses of Hollywood’s golden age. The American Film Institute named Taylor seventh on its Female Legends list.

Contents

[hide]

Early years (1932–1942)

Elizabeth Rosemond Taylor was born in Hampstead, a wealthy district of North West London, the second child of Francis Lenn Taylor (1897–1968) and Sara Viola Warmbrodt (1895–1994), who were Americans residing in England. Taylor’s older brother, Howard Taylor, was born in 1929.[citation needed]

Her parents were originally from Arkansas City, Kansas. Her father was an art dealer and her mother a former actress whose stage name was ‘Sara Sothern’. Sothern retired from the stage when she and Francis Taylor married in 1926 in New York City. Taylor’s two first names are in honor of her paternal grandmother, Elizabeth Mary (Rosemond) Taylor. A dual citizen of the UK and the U.S., she was born a British subject through her birth on British soil and an American citizen through her parents.[citation needed] She reportedly sought, in 1965, to renounce her United States citizenship, to wit “Though never accepted by the State Department, Liz renounced in 1965. Attempting to shield much of her European income from U.S. taxes, Liz wished to become solely a British citizen. According to news reports at the time, officials denied her request when she failed to complete the renunciation oath, refusing to say that she renounced ‘all allegiance to the United States of America’.”[2]

At the age of three, Taylor began taking ballet lessons with Vaccani. Shortly before the beginning of World War II, her parents decided to return to the United States to avoid hostilities. Her mother took the children first, arriving in New York in April 1939,[3] while her father remained in London to wrap up matters in the art business, arriving in November.[4] They settled in Los Angeles, California, where Sara’s family, the Warmbrodts, were then living.

Through Hopper, the Taylors were introduced to Andrea Berens, a wealthy English socialite and also fiancée of Cheever Cowden, chairman and major stockholder of Universal Pictures in Hollywood. Berens insisted that Sara bring Elizabeth to see Cowden who, she was adamant, would be dazzled by Elizabeth’s breathtaking dark beauty; she was born with a mutation that caused double rows of eyelashes, which enhanced her appearance on camera.[5] Metro-Goldwyn-Mayer soon took interest in the British youngster as well but she failed to secure a contract with them after an informal audition with producer John Considine had shown that she couldn’t sing. However, on 18 September 1941, Universal Pictures signed Elizabeth to a six-month renewable contract at $100 a week.

Taylor appeared in her first motion picture at the age of nine in There’s One Born Every Minute, her only film for Universal Pictures. Less than six months after she signed with Universal, her contract was reviewed by Edward Muhl, the studio’s production chief. Muhl met with Taylor’s agent, Myron Selznick (brother of David), and Cheever Cowden. Muhl challenged Selznick’s and Cowden’s constant support of Taylor: “She can’t sing, she can’t dance, she can’t perform. What’s more, her mother has to be one of the most unbearable women it has been my displeasure to meet.”[6] Universal cancelled Taylor’s contract just short of her tenth birthday in February 1942. Nevertheless on 15 October 1942, Metro-Goldwyn-Mayer signed Taylor to $100 a week for up to three months to appear as “Priscilla” in the film Lassie Come Home.

Career

Adolescent star

Lassie Come Home featured child star Roddy McDowall, with whom Taylor would share a lifelong friendship. Upon its release in 1943, the film received favourable attention for both McDowall and Taylor. On the basis for her performance in Lassie Come Home MGM signed Taylor to a conventional seven-year contract at $100 a week but increasing at regular intervals until it reached a hefty $750 during the seventh year. Her first assignment under her new contract at MGM was a loan-out to 20th Century Fox for the character of Helen Burns in a film version of the Charlotte Bronte novel Jane Eyre (1944). During this period she also returned to England to appear in another Roddy McDowall picture for MGM, The White Cliffs of Dover (1944). But it was Taylor’s persistence in campaigning for the role of Velvet Brown in MGM’s National Velvet that skyrocketed Taylor to stardom at the tender age of 12. Taylor’s character, Velvet Brown, is a young girl who trains her beloved horse to win the Grand National. National Velvet, which also costarred beloved American favorite Mickey Rooney and English newcomer Angela Lansbury, became an overwhelming success upon its release in December 1944 and altered Taylor’s life forever. Also, many of her back problems have been traced to when she hurt her back falling off a horse during the filming of National Velvet.

National Velvet grossed over US$4 million at the box office and Taylor was signed to a new long-term contract that raised her salary to $30,000 per year. To capitalize on the box office success of Velvet, Taylor was shoved into another animal opus, Courage of Lassie, in which a different dog named “Bill”, cast as an Allied combatant in World War II, regularly outsmarts the Nazis, with Taylor going through another outdoors role. The 1946 success of Courage of Lassie led to another contract drawn up for Taylor earning her $750 per week, her mother $250, as well as a $1,500 bonus. Her roles as Mary Skinner in a loan-out to Warner BrothersLife With Father (1947), Cynthia Bishop in Cynthia (1947), Carol Pringle in A Date with Judy (1948) and Susan Prackett in Julia Misbehaves (1948) all proved to be successful. Her reputation as a bankable adolescent star and nickname of “One-Shot Liz” (referring to her ability to shoot a scene in one take) promised her a full and bright career with Metro. Taylor’s portrayal as Amy, in the American classic Little Women (1949) would prove to be her last adolescent role. In October 1948, she sailed aboard the RMS Queen Mary travelling to England where she would begin filming on Conspirator, where she would play her first adult role.

Transition into adult roles

In Father of the Bride

When released in 1949, Conspirator bombed at the box office, but Taylor’s portrayal of 21-year-old debutante Melinda Grayton (keeping in mind that Taylor was only 16 at the time of filming) who unknowingly marries a communist spy (played by 38-year-old Robert Taylor), was praised by critics for her first adult lead in a film, even though the public didn’t seem ready to accept her in adult roles. Taylor’s first picture under her new salary of $2,000 per week was The Big Hangover (1950), both a critical and box office failure, that paired her with screen idol Van Johnson. The picture also failed to present Taylor with an opportunity to exhibit her newly-realized sensuality. Her first box office success in an adult role came as Kay Banks in the romantic comedy Father of the Bride (1950), alongside Spencer Tracy and Joan Bennett. The film spawned a sequel, Father’s Little Dividend (1951), which Taylor’s costar Spencer Tracy summarised with “boring…boring…boring”. The film was received well at the box office but it would be Taylor’s next picture that would set the course for her career as a dramatic actress. In late 1949, Taylor had begun filming George StevensA Place In The Sun. Upon its release in 1951, Taylor was hailed for her performance as Angela Vickers, a spoiled socialite who comes between George Eastman (Montgomery Clift) and his poor, pregnant factory-working girlfriend Alice Tripp (Shelley Winters).[citation needed]

The film became the pivotal performance of Taylor’s career as critics acclaimed it as a classic, a reputation it sustained throughout the next 50 years of cinema history. The New York Times’ A.H. Weiler wrote, “Elizabeth’s delineation of the rich and beauteous Angela is the top effort of her career”, and the Boxoffice reviewer unequivocally stated “Miss Taylor deserves an Academy Award“. She later reflected: “If you were considered pretty, you might as well have been a waitress trying to act – you were treated with no respect at all.”[citation needed]

Taylor became increasingly unsatisfied with the roles being offered to her at the time. While she wanted to play the lead roles in The Barefoot Contessa and I’ll Cry Tomorrow, MGM continued to restrict her to mindless and somewhat forgettable films such as: a cameo as herself in Callaway Went Thataway (1951), Love Is Better Than Ever (1952), Ivanhoe (1952), The Girl Who Had Everything (1953) and Beau Brummel (1954). She had wanted to play the role of Lady Rowena in Ivanhoe, but the part was given to Joan Fontaine. Taylor was given the role of Rebecca. When Taylor became pregnant with her first child, MGM forced her through The Girl Who Had Everything (even adding two hours to her daily work schedule) so as to get one more film out of her before she became too heavily pregnant. Taylor lamented that she needed the money, as she had just bought a new house with second husband Michael Wilding and with a child on the way things would be pretty tight. Taylor had been forced by her pregnancy to turn down Elephant Walk (1954), though the role had been designed for her. Vivien Leigh, almost two decades Taylor’s senior, but to whom Taylor bore a striking resemblance, got the part and went to Ceylon to shoot on location. Leigh suffered a nervous breakdown during filming, and Taylor reclaimed the role after the birth of her child Michael Wilding, Jr. in January 1953.[citation needed]

Taylor’s next screen endeavor, Rhapsody (1954), another tedious romantic drama, proved equally frustrating. Taylor portrayed Louise Durant, a beautiful rich girl in love with a temperamental violinist (Vittorio Gassman) and an earnest young pianist (John Ericson). A film critic for the New York Herald Tribune wrote: “There is beauty in the picture all right, with Miss Taylor glowing into the camera from every angle…but the dramatic pretenses are weak, despite the lofty sentences and handsome manikin poses.”[citation needed]

Taylor’s fourth period picture, Beau Brummell, made just after Elephant Walk and Rhapsody, cast her as the elaborately costumed Lady Patricia, which many felt was only a screen prop—a ravishing beauty whose sole purpose was to lend romantic support to the film’s title star, Stewart Granger. The Last Time I Saw Paris (1954) fared only slightly better than her previous pictures, with Taylor being reunited with The Big Hangover costar Van Johnson. The role of Helen Ellsworth Willis was based on that of Zelda Fitzgerald and, although pregnant with her second child, Taylor went ahead with the film, her fourth in twelve months. Although proving somewhat successful at the box office, she still yearned for meatier roles.[citation needed]

1955–1979

In Cleopatra (1963)

Following a more substantial role opposite Rock Hudson and James Dean in George Stevens‘ epic Giant (1956), Taylor was nominated for an Academy Award for Best Actress for the following films: Raintree County (1957)[7] opposite Montgomery Clift; Cat on a Hot Tin Roof (1958)[8] opposite Paul Newman; and Suddenly, Last Summer (1959)[9] with Montgomery Clift, Katharine Hepburn and Mercedes McCambridge.

In 1960, Taylor became the highest paid actress up to that time when she signed a one million dollar contract to play the title role in 20th Century Fox‘s lavish production of Cleopatra,[9] which would eventually be released in 1963. During the filming, she began a romance with her future husband Richard Burton, who played Mark Antony in the film. The romance received much attention from the tabloid press, as both were married to other spouses at the time.[10]

Taylor won her first Academy Award, for Best Actress in a Leading Role, for her performance as Gloria Wandrous in BUtterfield 8 (1960),[11] which co-starred then husband Eddie Fisher.

Her second Academy Award, also for Best Actress in a Leading Role, was for her performance as Martha in Who’s Afraid of Virginia Woolf? (1966),[12] playing opposite then husband Richard Burton. Taylor and Burton would appear together in six other films during the decade – The V.I.P.s (1963), The Sandpiper (1965), The Taming of the Shrew (1967), Doctor Faustus (1967), The Comedians {1967} and Boom! (1968).

Taylor appeared in John Huston‘s Reflections in a Golden Eye (1967) opposite Marlon Brando (replacing Montgomery Clift[13] who died before production began) and Secret Ceremony (1968) opposite Mia Farrow. However, by the end of the decade her box-office drawing power had considerably diminished, as evidenced by the failure of The Only Game in Town (1970), with Warren Beatty.[14]

Taylor continued to star in numerous theatrical films throughout the 1970s, such as Zee and Co. (1972) with Michael Caine, Ash Wednesday (1973), The Blue Bird (1976) with Jane Fonda and Ava Gardner, and A Little Night Music (1977). With then-husband Richard Burton, she co-starred in the 1972 films Under Milk Wood and Hammersmith Is Out, and the 1973 made-for-TV movie Divorce His, Divorce Hers.

1980–2003

Taylor starred in the 1980 mystery film The Mirror Crack’d, based on an Agatha Christie novel. In 1985, she played movie gossip columnist Louella Parsons in the TV film Malice in Wonderland opposite Jane Alexander, who played Hedda Hopper. Taylor appeared in the miniseries North and South. Her last theatrical film to date was 1994′s The Flintstones. In 2001, she played an agent in the TV film These Old Broads. She appeared on a number television series, including the soap operas General Hospital and All My Children, as well as the animated series The Simpsons—once as herself, and once as the voice of Maggie Simpson, uttering one word “Daddy”.

Taylor has also acted on the stage, making her Broadway and West End debuts in 1982 with a revival of Lillian Hellman‘s The Little Foxes. She was then in a production of Noel Coward‘s Private Lives (1983), in which she starred with her former husband, Richard Burton. The student-run Burton Taylor Theatre in Oxford was named for the famous couple after Burton appeared as Doctor Faustus in the Oxford University Dramatic Society (OUDS) production of the Marlowe play. Taylor played the ghostly, wordless Helen of Troy, who is entreated by Faustus to “make [him] immortal with a kiss”.[citation needed]

2003–present

In November 2004, Taylor announced that she had been diagnosed with congestive heart failure, a progressive condition in which the heart is too weak to pump sufficient blood throughout the body, particularly to the lower extremities: the ankles and feet. She has broken her back five times, had both her hips replaced, has survived a benign brain tumor operation, has survived skin cancer, and has faced life-threatening bouts with pneumonia twice. She is reclusive and sometimes fails to make scheduled appearances due to illness or other personal reasons. She now uses a wheelchair and when asked about it stated that she has osteoporosis and was born with scoliosis.[15]

In 2005, Taylor was a vocal supporter of her friend Michael Jackson in his trial in California on charges of sexually abusing a child.[16][17] He was acquitted.

On 30 May 2006, Taylor appeared on Larry King Live to refute the claims that she has been ill, and denied the allegations that she was suffering from Alzheimer’s disease and was close to death.[18]

In late August 2006, Taylor decided to take a boating trip to help prove that she was not close to death. She also decided to make Christie’s auction house the primary place where she will sell her jewelry, art, clothing, furniture and memorabilia.[19] Six months later, the February 2007 issue of Interview magazine was devoted entirely to Taylor. It celebrated her life, career and her upcoming 75th birthday.

On 5 December 2007, California Governor Arnold Schwarzenegger and California First Lady Maria Shriver inducted Taylor into the California Hall of Fame, located at The California Museum for History, Women and the Arts.[20]

Taylor was in the news recently for a rumored ninth marriage to her companion Jason Winters, which she dismissed as a rumour.[21] However, she was quoted as saying, “Jason Winters is one of the most wonderful men I’ve ever known and that’s why I love him. He bought us the most beautiful house in Hawaii and we visit it as often as possible,”[22] to gossip columnist Liz Smith. Winters accompanied Taylor to Macy’s Passport HIV/AIDS 2007 gala, where Taylor was honoured with a humanitarian award. In 2008, Taylor and Winters were spotted celebrating the 4th of July on a yacht in Santa Monica, California.[23] The couple attended the Macy’s Passport HIV/AIDS gala again in 2008.

On 1 December 2007, Taylor acted on-stage again, appearing opposite James Earl Jones in a benefit performance of the A. R. Gurney play Love Letters. The event’s goal was to raise $1 million for Taylor’s AIDS foundation. Tickets for the show were priced at $2,500, and more than 500 people attended. The event happened to coincide with the 2007 Writers Guild of America strike and, rather than cross the picket line, Taylor requested a “one night dispensation.” The Writers Guild agreed not to picket the Paramount Pictures lot that night to allow for the performance.[24]

Other interests

Taylor on a show that was celebrating her life, late 1981

Taylor has a passion for jewellery. She is a client of well-known jewelry designer, Shlomo Moussaieff. Over the years she has owned a number of well-known pieces, two of the most talked-about being the 33.19-carat (6.64 g) Krupp Diamond and the 69.42-carat (13.88 g) pear-shaped Taylor-Burton Diamond, which were among many gifts from husband Richard Burton. Taylor also owns the 50-carat (10 g) La Peregrina Pearl, purchased by Burton as a Valentine’s Day present in 1969. The pearl was formerly owned by Mary I of England, and Burton sought a portrait of Queen Mary wearing the pearl. Upon the purchase of the painting, the Burtons discovered that the British National Portrait Gallery did not have an original painting of Mary, so they donated the painting to the Gallery.[25][26] Her enduring collection of jewelry has been documented in her book My Love Affair with Jewelry (2002) with photographs by the New York photographer John Bigelow Taylor (no relation).

Taylor started designing jewels for The Elizabeth Collection, creating fine jewelry with elegance and flair. The Elizabeth Taylor collection by Piranesi is sold at Christie’s. She has also launched three perfumes, “Passion”, “White Diamonds”, and “Black Pearls”, which, together, earn an estimated US$200 million in annual sales. In fall 2006, Taylor celebrated the 15th anniversary of her White Diamonds perfume, one of the top 10 best selling fragrances for more than the past decade.[citation needed]

Taylor has devoted much time and energy to AIDS-related charities and fundraising. She helped start the American Foundation for AIDS Research (amfAR) after the death of her former costar and friend, Rock Hudson. She also created her own AIDS foundation, the Elizabeth Taylor Aids Foundation (ETAF). By 1999, she had helped to raise an estimated US$50 million to fight the disease. In 2006, Taylor commissioned a 37-foot (11 m) “Care Van” equipped with examination tables and X Ray equipment and also donated US$40,000 to the New Orleans Aids task force, a charity designed for the New Orleans population with AIDS and HIV. The donation of the van was made by the Elizabeth Taylor HIV/AIDS Foundation and Macy’s.[27]

In the early 1980s, Taylor moved to Bel Air, Los Angeles, California, which is her current home. She also owns homes in Palm Springs, London and Hawaii.

Taylor is a supporter of Kabbalah and member of the Kabbalah Centre. She encouraged long-time friend Michael Jackson to wear a red string as protection from the evil-eye during his 2005 trial for molestation, where he was eventually cleared of all charges. On 6 October 1991, Taylor had married construction worker Larry Fortensky at Jackson’s Neverland Ranch.[citation needed] In 1997, Jackson presented Taylor with the exclusively written-for-her epic song “Elizabeth, I Love You”, performed on the day of her 65th birthday celebration.

In October 2007, Taylor won a legal battle, over a Van Gogh painting in her possession, View of the Asylum and Chapel at Saint Remy. The United States Supreme Court refused to reconsider a legal suit filed by four persons claiming that the artwork belonged to one of their Jewish ancestors,[28] regardless of any statute of limitations.

Taylor attended Michael Jackson’s private funeral on 3 September 2009.[29]

Personal life

Marriages

Taylor has been married eight times to seven husbands:

  • Conrad “Nicky” Hilton (6 May 1950 – 29 January 1951) (divorced)
  • Michael Wilding (21 February 1952 – 26 January 1957) (divorced)
  • Michael Todd (2 February 1957 – 22 March 1958) (widowed)
  • Eddie Fisher (12 May 1959 – 6 March 1964) (divorced)
  • Richard Burton (15 March 1964 – 26 June 1974) (divorced)
  • Richard Burton (10 October 1975 – 29 July 1976) (divorced)
  • Note: between 1975 and 1976, Taylor was the “companion” to the Iranian ambassador to Washington, Ardeshir Zahedi. They were dubbed “the hottest couple”, and both divorced their significant others during their relationship. Taylor even traveled with him to Tehran for a time. Shah Reza Pahlavi convinced Zahedi to end his relationship with Taylor.
  • John Warner (4 December 1976 – 7 November 1982) (divorced)
  • Larry Fortensky (6 October 1991 – 31 October 1996) (divorced)

Children

With Wilding (two sons):

  • Michael Howard Wilding (born 6 January 1953)
  • Christopher Edward Wilding (born 27 February 1955)

With Todd (one daughter):

  • Elizabeth Frances “Liza” Todd (born 6 August 1957)

With Burton (one daughter):

  • Maria Burton (born 1 August 1961; adopted 1964)

In 1971, Taylor became a grandmother at the age of 39. She has nine grandchildren (as of January 2011).

Treatment for alcoholism

In the 1980s, she received treatment for alcoholism.[30]

Hospitalization

Taylor has dealt with various health problems over the years, including issues regarding congestive heart failure. [31] In February of 2011, new symptoms related to congestive heart failure caused her to be admitted into Cedars-Sinai Medical Center for treatment. As of February 13, 2011, she is reportedly being kept at the hospital for monitoring. [32]

Filmography

List of awards and honors

Taylor won two Academy Awards both for Best Actress, and was awarded the Jean Herscholt Humanitarian Academy Award in 1992 for her work fighting AIDS. She joined the list of two time Academy Award winning Best Actress winners which includes Luise Rainer, Bette Davis, Olivia de Havilland, Vivien Leigh, Ingrid Bergman, Glenda Jackson, Jane Fonda, Sally Field, Jodie Foster and Hillary Swank. (Bergman has a Best Supporting Actress Oscar as well, and Helen Hayes, Maggie Smith, Jessica Lange and Meryl Streep have an Oscar apiece for Best Actress and Best Supporting Actress. Katharine Hepburn has 4 Best Actress Oscars.) [33] In 1999, Taylor was appointed Dame Commander of the Order of the British Empire.

See also

Notes

  1. ^ “Elizabeth Taylor, The Columbia Encyclopedia”. Questia.com. http://www.questia.com/library/encyclopedia/taylor-elizabeth.jsp. Retrieved 2010-04-12.
  2. ^ Elizabeth Taylor failed to renounce U.S. citizenship
  3. ^ S.S. Manhattan, 27 April 1939, sheet 25. Ancestry.com. New York Passenger Lists, 1820–1957 [database on-line]. Provo, UT, USA: Ancestry.com Operations Inc, 2006.
  4. ^ S.S. President Roosevelt, 1 November 1939, sheet 209. New York Passenger Lists, 1820–1957 [database on-line]. Provo, UT, USA: Ancestry.com Operations Inc, 2006.
  5. ^ Bayard, Louis. “Violet Eyes To Die ForThe Washington Post, 3 September 2006.
  6. ^ Liz:An Intimate Biography of Elizabeth Taylor, by C. David Heymann, Birch Lane Press (1995), page 33
  7. ^ Parish, James Robert; Mank, Gregory W.; Stanke, Don E. (1978). The Hollywood Beauties. New Rochelle, New York: Arlington House Publishers. p. 329. ISBN 0-87000-412-3.
  8. ^ Parish, p. 330
  9. ^ a b Parish, p. 331
  10. ^ Parrish, pp. 335–336
  11. ^ Parish, p. 333
  12. ^ Parish, p. 344
  13. ^ Parish, p. 343
  14. ^ Parish, p. 350
  15. ^ CBC Arts (2006-05-31). “Elizabeth Taylor dismisses reports of illness on ‘Larry King Live’”. Cbc.ca. http://www.cbc.ca/arts/story/2006/05/31/taylor-elizabeth-larryking.html. Retrieved 2010-04-12.
  16. ^ News Day – Elizabeth Taylor defends Michael Jackson[dead link]
  17. ^ “About Michael Jackson – What others say”. Aboutmichaeljackson.com. http://aboutmichaeljackson.com/m-wfsection+article+articleid-14.html. Retrieved 2010-04-12.
  18. ^ “CNN.com – Transcript of Larry King Live”. Transcripts.cnn.com. 2006-05-30. http://transcripts.cnn.com/TRANSCRIPTS/0605/30/lkl.01.html. Retrieved 2010-04-12.
  19. ^ “Elizabeth Taylor”. CelebrityWonder.com. http://www.celebritywonder.com/html/elizabethtaylor.html. Retrieved 2007-04-02.
  20. ^ Taylor inducted into California Hall of Fame, California Museum. Retrieved 2007.
  21. ^ Breaking News: Taylor ‘not planning ninth wedding’
  22. ^ By (2007-09-12). “Elizabeth Taylor Has a New Man”. Variety.com. http://www.variety.com/article/VR1117971903.html?categoryid=2062&cs=1. Retrieved 2010-04-12.
  23. ^ “Taylor and Winters Still Going Strong”. Etonline.com. http://www.etonline.com/news/2008/07/63383. Retrieved 2010-04-12. [dead link]
  24. ^ “Striking writers give Elizabeth Taylor a pass”. Associated Press. CNN.com. 2007-12-02. Archived from the original on 3 December 2007. http://web.archive.org/web/20071203112813/http://www.cnn.com/2007/SHOWBIZ/12/02/elizabeth.taylor.ap/index.html. Retrieved 2007-12-02.
  25. ^ “Elizabeth Taylor”. Divasthesite.com. http://www.divasthesite.com/Acting_Divas/Trivia/Trivia_Elizabeth_Taylor.htm. Retrieved 2010-04-12. [dead link]
  26. ^ “NPG 4861; Queen Mary I”. Npg.org.uk. http://www.npg.org.uk/live/search/portrait.asp?search=ss&sText=queen+mary+i&LinkID=mp02995&rNo=2&role=sit. Retrieved 2010-04-12.
  27. ^ “AIDS Unit Donated by Dame Elizabeth Taylor”. BBC News. 2006-02-24. http://news.bbc.co.uk/2/hi/entertainment/4746044.stm.
  28. ^ Vicini, James (2007-10-29). “Court lets Liz Taylor keep Van Gogh painting”. Reuters.com. http://www.reuters.com/article/entertainmentNews/idUSN2949170020071029. Retrieved 2010-04-12.
  29. ^ Netter, Sarah; Lindsay Goldwert (2009-09-03). “Michael Jackson Burial: Private Finale for King of Pop”. ABC News. http://abcnews.go.com/Entertainment/MichaelJackson/michael-jackson-burial-private-finale-king-pop/story?id=8476277. Retrieved 2010-04-12.
  30. ^ “Elizabeth Taylor at”. Biography.com. http://www.biography.com/articles/Elizabeth-Taylor-9502984. Retrieved 2010-04-12.
  31. ^ http://news.yahoo.com/s/ac/20110212/en_ac/7841228_elizabeth_taylor_death_fears_return_after_hospitalization
  32. ^ http://www.dailynews.com/news/ci_17376205?source=rss
  33. ^ “Academy Awards Database at”. http://awardsdatabase.oscars.org/ampas_awards/DisplayMain.jsp?curTime=1296791457785. http://www.oscars.org/awards/academyawards/about/history.html/index.html. Retrieved 2011-02-04.

Elizabeth Taylor par Wikipédia

Sunday, March 13th, 2011

Elizabeth Taylor

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Elizabeth Taylor
La Chatte sur un toit brûlant (1958)

Nom de naissance Elizabeth Rosemond Taylor
Surnom Dame Elizabeth Taylor
Liz Taylor
Naissance 27 février 1932 (1932-02-27) (79 ans)
Hampstead, Londres
Drapeau : Royaume-Uni Royaume-Uni
Nationalité Drapeau des États-Unis Américaine Drapeau du Royaume-Uni Britannique
Films notables Fidèle Lassie
Le Grand National
Géant
Une place au soleil
Ivanhoé
L’Arbre de vie
La Chatte sur un toit brûlant
Soudain l’été dernier
Cléopâtre
Qui a peur de Virginia Woolf ?
Reflets dans un œil d’or
la Mégère apprivoisée
Boom
Distinctions Oscar de la meilleure actrice, BAFTA, Golden Globe

Dame Elizabeth Rosemond Taylor (née le 27 février 1932 à Hampstead en Angleterre), aussi connue sous le diminutif Liz Taylor, est une actrice anglo-américaine.

Elle commence sa carrière à l’âge de dix ans et rencontre aussitôt le succès en tournant dans des films tels que Fidèle Lassie, le mélodrame Le Grand National (qui lui vaut son premier triomphe personnel) réalisé par le directeur favori de Greta Garbo, Clarence Brown, Les Quatre Filles du docteur March mis en scène par Mervyn LeRoy (qui révéla Lana Turner), la comédie Le Père de la mariée de Vincente Minnelli et sa suite… Une place au soleil et Géant, les deux de George Stevens avec respectivement Montgomery Clift, James Dean et Rock Hudson, lui ouvrent, en 1956, les portes de l’immortalité. Étoile d’Hollywood dans les années 1950 et 1960, elle reçoit deux Oscars pour ses rôles dans La Vénus au vison et Qui a peur de Virginia Woolf ?. Ses autres grands succès incluent La Chatte sur un toit brûlant, Soudain l’été dernier ainsi que Cléopâtre et La Mégère apprivoisée.

Plus rare sur grand écran à partir des années 1970 en raison de sa santé précaire (et de l’insuccès de ses films dès la fin des années 1960), Elizabeth Taylor se consacre à la lutte contre le SIDA depuis le décès de son ami Rock Hudson en 1985.

En 1999, l’American Film Institute distingue Elizabeth Taylor comme la septième plus grande actrice de tous les temps dans le classement AFI’s 100 Years100 Stars.

Sommaire

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Biographie

L’enfant-star

Elizabeth Taylor naît le 27 février 1932 à Hampstead, situé en Angleterre dans la banlieue cossue de Londres[1], avec la nationalité britannique, de parents tous deux américains et originaires de Kansas City (Kansas).

À l’âge de trois ans, elle prend ses premiers cours de danse classique. En 1939, la Seconde Guerre mondiale éclate et ses parents retournent habiter aux États-Unis[2], où ils emménagent à Los Angeles, à l’endroit où vivait la famille de sa mère Sara[3]. C’est là qu’Elizabeth découvre le cinéma et que sa mère la présente aux studios de Hollywood[3].

Sara Taylor joue un rôle déterminant pour le début de la carrière de sa fille. Tout en complétant l’instruction d’Elizabeth, elle lui fait suivre des leçons de chant, de danse et d’équitation. Elle fréquente avec sa famille tous les lieux où les personnalités des milieux cinématographiques s’affichent[2]. Elle attire ainsi l’attention d’un dirigeant de Universal Pictures, J. Cheever Cowdin qui offre un contrat de six mois à Elizabeth[2]. Elle obtient son premier rôle en 1941 dans le film There’s One Born Every Minute mais les studios Universal ne sont pas convaincus par cet enfant « au regard d’adulte » et ne renouvellent pas son contrat[2].

Sa mère, déterminée, repart à l’assaut des maisons de production et décroche un casting pour un film de la Metro-Goldwyn-Mayer. Grâce aux conseils de sa mère et à son accent anglais impeccable, Elizabeth obtient le petit rôle de Priscilla dans Fidèle Lassie (Lassie Come Home, 1943)[2]. Le film, qui est un succès, lui permet de rencontrer Roddy McDowall, un des enfants stars de la MGM, avec qui elle reste amie toute sa vie[3]. Ses parents signent ensuite un contrat d’un an avec la Metro-Goldwyn-Mayer[2].

Après deux apparitions non-créditées dans les films Jane Eyre[4] et Les Blanches Falaises de Douvres (de Brown déjà), côtoyant des stars de première grandeur (Orson Welles, Joan Fontaine, Irene Dunne)[5], elle obtient son premier grand rôle avec Le Grand National aux côtés de Mickey Rooney, le plus illustre des enfants stars de l’époque (qui avait déjà vingt-quatre ans alors)[6]. Elle y interprète une jeune fille qui entraîne un cheval pour remporter une célèbre compétition hippique. Durant le tournage, elle a plusieurs accidents de cheval qui lui provoquent des douleurs au dos toute sa vie[3]. Le film étant un succès (plus de 4 000 000 dollars de recettes[7].), elle est engagée pour un contrat longue-durée avec la MGM. Elle poursuit alors ses études avec d’autres enfants-star à la Little Red School, où elle reçoit son diplôme d’études en 1950[8],[9].

Dès lors elle ne cesse d’enchaîner les tournages. Elle retrouve la mascotte de la MGM, la chienne Lassie, dans Le Courage de Lassie (1946) pour le premier rôle et devient l’une des Quatre Filles du docteur March où elle fait preuve d’humour en incarnant la petite peste Amy. Elle y a pour partenaire Janet Leigh, autre espoir du studio. L’adolescente interprète la fille de William Powell et Irene Dunne dans Mon père et nous du vétéran Michael Curtiz, et croise des monuments de Hollywood tels que Mary Astor, Wallace Beery ou Greer Garson, travaillant avec Jack Conway et Richard Thorpe, le plus souvent dans des comédies familiales. Cependant la beauté de la jeune fille s’épanouit précocement et elle passe rapidement à des rôles adultes.

Sara Taylor, son meilleur agent de publicité, est attentive et exigeante durant toute cette période[10], ce qui n’empêche pas Liz d’avoir des idylles et d’épouser son premier mari en 1950, Conrad « Nicky  » Hilton Jr, héritier de la chaîne d’hôtels Hilton. Cependant, le mariage est un échec et s’achève au bout de neuf mois[11].

La belle aux yeux violets

La jeune femme, dont les yeux ont la particularité d’être violets[12], est désormais mûre pour les premiers rôles. À seize ans, elle est l’épouse de Robert Taylor dans le suspense Guet-apens, puis elle joue les jeunes mariées dans deux productions de Vincente Minnelli Le Père de la mariée et sa suite Allons donc, papa !, deux comédies, satire de la classe moyenne américaine, qui lui donnent pour parents Spencer Tracy et Joan Bennett.

C’est au cours de la première de L’Héritière qu’elle rencontre un autre acteur avec qui elle a une relation amicale privilégiée, Montgomery Clift. Elle tourne avec lui en 1951 Une place au soleil, un classique de George Stevens, pour la Paramount Pictures. Ce film est l’adaptation du roman An American tragedy de Theodore Dreiser dont Josef von Sternberg a réalisé une première version en 1931.

Séquestrée et menacée de viol par George Sanders, éclipsant le couple vedette formé par Robert Taylor et Joan Fontaine, elle est la véritable héroïne d’Ivanhoé, film d’aventures médiévales réalisé par Richard Thorpe et tourné aux studios de Boreham Wood en Angleterre. C’est à cette époque qu’elle côtoie l’acteur Michael Wilding à Londres ; elle l’épouse en 1952 et aura avec lui deux enfants : Michael Howard Wilding (né en 1953) et Christopher Edward Wilding (né en 1955).

Elle tourne ensuite sous la direction de Stanley Donen (Une vedette disparait/Love Is Better Than Ever), avec qui elle a une aventure[13], Charles Vidor (Rhapsodie face à Vittorio Gassman), William Dieterle (La Piste des éléphants pour lequel elle remplace au pied levé Vivien Leigh, son modèle[13]), Curtis Bernhardt (Le Beau Brummel aux côtés des britanniques Stewart Granger et Peter Ustinov) et Richard Brooks (La Dernière Fois que j’ai vu Paris en 1954) avec qui elle a aussi une brève liaison[13].

Une sensualité révélée

Géant (1956).

Elle participe ensuite à deux superproductions. Pour commencer Géant, autre classique de George Stevens mais plus controversé[14], vaste fresque d’une famille au Texas avec pour partenaires James Dean et Rock Hudson, dont elle deviendra également très proche. La production coûte un peu plus de cinq millions de dollars[15] et est un des plus grands succès de la Warner.

L’autre budget impressionnant de 6 millions de dollars fut pour L’Arbre de vie[16], grande fresque avec pour toile de fond la guerre de Sécession. La MGM veut en faire un second Autant en emporte le vent, sans y parvenir malgré les moyens et les scénaristes qui s’attellent au scénario pendant six ans. Le tournage est interrompu pendant deux mois à la suite d’un terrible accident de voiture survenu à son ami Montgomery Clift[2] après une réception qu’elle a donnée. Il se brise la mâchoire et la moitié du visage et malgré la chirurgie plastique l’accident lui laisse de profondes séquelles pour le reste de sa vie[17],[18]. Ayant été alerté par Kevin McCarthy, elle a sauvé la vie de Cliff en lui retirant les dents qui l’étouffaient[19].

Elle rencontre par la suite Mike Todd, inventeur du procédé Todd-AO et producteur de cinéma notamment du Tour du monde en 80 jours, alors que son couple est au plus mal. C’est le coup de foudre et après avoir divorcé de Michael Wilding elle se remarie avec Mike Todd en 1957. De cette union naît une petite fille, Liza, une naissance très douloureuse qui faillit emporter Elizabeth. Sept mois plus tard, Mike Todd se tue dans un accident d’avion. Elizabeth n’a pas terminé le tournage de La Chatte sur un toit brûlant qui va consacrer son talent. Inconsolable, elle termine le film tant bien que mal avec l’aide du réalisateur Richard Brooks et de son partenaire Paul Newman[20].

Ce film et le suivant Soudain l’été dernier de Joseph L. Mankiewicz sont tirés de pièces à succès du dramaturge Tennessee Williams. Elle y exprime une sensualité animale rarement aussi bien exploitée, notamment dans le film de Mankiewicz, aux côtés de Montgomery Clift et de Katharine Hepburn. Les deux films remportent un énorme succès au box-office et obtiennent en tout neuf nominations aux Oscars dont, dans les deux cas, celui de meilleure interprète féminine pour Elizabeth Taylor. Joseph L. Mankiewicz déclara à propos d’elle « Elizabeth Taylor, à l’époque de Soudain l’été dernier, avait ce que vous appelez en peinture un talent de primitif, que je trouvais extraordinaire. Je pense que Tennessee Williams, l’auteur de la pièce écrit ce que j’appelle des arias, comme à l’Opéra, pour des actrices ; par exemple, le dernier aria d’Elizabeth Taylor dans Soudain l’été dernier »[21].

Pendant cette période, elle se rapproche du chanteur Eddie Fisher, le meilleur ami de Mike Todd. Mais Fisher est marié avec Debbie Reynolds et après avoir attendri l’Amérique en veuve inconsolable, elle apparaît en briseuse de ménages[6]. La presse se déchaîne ce qui n’empêche pas Liz Taylor d’épouser Eddie Fischer en 1959[22][réf. incomplète]. L’année suivante, elle joue une prostituée dans La Vénus au vison. Malgré une hospitalisation pour une pneumonie à Londres, elle est présente pour recevoir son premier Oscar de la meilleure actrice en 1961[23]. Elle avait pourtant émis des critiques publiques contre le film[23],[24]. Ce trophée la récompense après trois échecs consécutifs pour de grands films. La Vénus au vison est un film mineur dans sa carrière mais sans doute les votants ont-ils voulu l’encourager dans sa convalescence et faire office de rattrapage pour les statuettes qu’elle avait ratées pour des rôles largement plus marquants[12]. Ce film achève d’ailleurs le contrat qui lie Elizabeth Taylor avec la MGM[25].

Elle défraie de nouveau la chronique avec sa liaison avec Richard Burton, quelques années plus tard.

Cléopâtre et Marc Antoine

Cléopâtre (1963)

En 1963, elle devient l’actrice la mieux payée du cinéma, ayant obtenu un cachet d’un million de dollars et 10 % des bénéfices[26] pour jouer le « rôle-titre » dans Cléopâtre pour la 20th Century Fox, sous la direction de Rouben Mamoulian puis de Joseph Leo Mankiewicz. C’est la première fois qu’elle travaille avec son futur mari, Richard Burton. Le tournage commence à Londres dans les studios de Pinewood en septembre 1960[27]. Mamoulian est à la réalisation, Stephen Boyd interprète Marc Antoine et Peter Finch Jules César. Mais très vite la production vire à la catastrophe. Des décors faramineux sont acheminés en Angleterre, la pluie, le froid et le brouillard perturbent le tournage et Liz Taylor tombe malade pendant les six premiers mois de tournage[28] en raison de la trachéotomie qu’elle doit subir[6]. Pour réduire les coûts astronomiques le plateau est déplacé à Rome à Cinecittà au climat plus propice et la distribution est remaniée. On remplace le réalisateur et les acteurs principaux par Mankiewicz, Richard Burton et Rex Harrison et le film reprend en septembre 1961 sous de meilleurs auspices.

Cléopâtre (1963).

C’était sans compter sur la rencontre Taylor-Burton qui se transforme aussitôt en passion[29],[30],[31]. Le scandale éclate et leur liaison fait tant de bruit que le film manque d’être de nouveau interrompu[6],[31]. Le couple est harcelé par les paparazzi, les studios expriment leur mécontentement et même le Pape s’en mêle en se déclarant choqué. Mais tout rentre dans l’ordre devant l’enthousiasme du public et la détermination de ce couple explosif à afficher leur relation.

Le film se termine, après avoir mis au bord de la faillite (selon la légende) les studios de la 20th Century Fox[32], avec un record de coût de 44 millions de dollars[33], le film en rapporte 57[34]. Malgré ce déchaînement médiatique chacun réussit à divorcer et ils se marient enfin en 1964.

Pour Cléopâtre, le contrat d’Elizabeth Taylor stipule que son salaire sera versé comme suit : 125 000 dollars US pour les 16 semaines de travail et 50 000 dollars US en plus par semaine[30]. Quand le film est retourné à Rome en 1961, elle a gagné plus de 2 millions de dollars. Elle gagne le procès intenté par la 20th Century Fox contre elle et Burton et remporte finalement 7 000 000 de dollars[30].

La dernière star d’Hollywood

Liz Taylor avec Cléopâtre atteint son apogée[25]. Sa passion pour Burton se reflète à l’écran, sur ses huit films suivants, sept se tournent avec lui. Le couple s’illustre dans des projets prestigieux associés aux auteurs Terence Rattigan, Dalton Trumbo ou Graham Greene, sous la direction d’Anthony Asquith ou de Vincente Minnelli, avec pour co-stars Orson Welles, Alec Guiness ou Lillian Gish… Surtout, il triomphe avec Qui a peur de Virginia Woolf ? du jeune Mike Nichols, pour lequel Taylor prend quinze kilos et se vieillit de vingt ans[35]. Le rôle de Martha dans ce film est souvent considéré comme le meilleur qu’elle interpréta[36]. Elle remporte son deuxième Oscar tandis que Burton est snobé par la profession.

Ils produisent eux-mêmes leur film suivant, dont un million de dollars qu’ils payent par leur propres moyens[25],[37], La Mégère apprivoisée, comédie de Shakespeare adaptée par Franco Zeffirelli. Le film est un succès et rapporte 8 000 000 dollars[38]. L’actrice apparaît également en Hélène de Troie dans un film co-réalisé par son mari.

Elle enchaîne avec Reflets dans un œil d’or de John Huston avec Marlon Brando et deux films de Joseph Losey Boom (encore Tennessee Williams) et Cérémonie secrète – ce dernier sans Burton mais avec Robert Mitchum et Mia Farrow. Les trois films sont aujourd’hui des classiques[14] mais cette fois le public ne suit pas[31]. Son rôle dans Les Noces de cendre (où l’actrice est partagée entre Henry Fonda et Helmut Berger et pour lequel elle est nommée au Golden Globe de la meilleure actrice[39]) est jugé publiquement vulgaire et sans intérêt par Burton et leur vie privée finit par occulter sa carrière. La critique trouve ses films « sans intérêt »[40].

Aux côtés de Richard Burton, elle est encore l’héroïne au cinéma de Hammersmith Is Out de Peter Ustinov (inspiré par la légende de Faust et Ours d’argent à Berlin) et de Under Milk Wood d’après Dylan Thomas (avec également Peter O’Toole), et à la télévision de Divorce (1973). Sur grand écran surtout, la star collectionne les échecs publics et critiques car ni Las Vegas, un couple de Stevens ni Une belle tigresse (David de la meilleure actrice étrangère, après Ali McGraw et avant Liza Minnelli)[39], face à Warren Beatty et Michael Caine, ne suscitent l’enthousiasme, malgré des critiques aujourd’hui plus tendres[14]. Puis Taylor interprète une femme perturbée dans Identikit (1974) de Giuseppe Patroni Griffi où elle croise Andy Warhol. D’ailleurs la tonalité de ces films tardifs est souvent sombre, glauque même (Night Watch, film d’horreur où elle retrouve son partenaire de La Vénus au vison, Laurence Harvey), exception faite pour la comédie musicale A Little Night Music, autre argument négatif de la critique, qui se déchaîne aussi sur la voix de Taylor, jugé criarde ou grêle si elle chante, et regrette la beauté exquise des années 1950[13].

En 1976, c’est avec d’autres grands noms du cinéma (Kirk Douglas, Richard Dreyfuss, Anthony Hopkins, Burt Lancaster et la jeune Linda Blair) qu’elle joue dans Victoire à Entebbé. Puis, quatre ans après, elle est dirigée par Guy Hamilton dans une adaptation des œuvres d’Agatha Christie sur la célèbre Miss Marple, Le miroir se brisa où elle donne la réplique à Kim Novak et Rock Hudson. Dans le coûteux L’Oiseau bleu, conte tourné en Russie par le prestigieux George Cukor (et échec cuisant), elle incarne l’amour maternel et Ava Gardner le vice… Les média et surtout les humoristes la caricaturent à outrance et se moquent cruellement de son embonpoint, critiquent sa personnalité et ses goûts jugés vulgaires : le « monstre sacré » évince la comédienne[13].

Une retraite progressive

Malgré ses nombreux problèmes de santé, Elizabeth Taylor demeure plutôt active (elle n’a que 50 ans et paraît immortelle), surtout à la télévision dans les années 1980. Elle participe ainsi à des séries télévisées comme Hôpital central (elle se propose en tant que fan ![41], La Force du destin et même Les Simpson où elle prête sa voix à Maggie Simpson mais également à sa propre personne[42],[43].

En 1985, Taylor interprète, toujours pour la télévision, Louella Parsons, qu’elle a bien sûr connue durant l’âge d’or d’Hollywood, et surtout revient, bronzée et amincie, dans la saga Nord et Sud. Son retour fait sensation et elle collectionne les couvertures de presse : c’est alors qu’Elizabeth Taylor devient la rivale de Joan Collins[44], tardivement promue superstar grâce à la télévision, et que sa venue au festival de Cannes crée l’événement[13].

C’est ainsi qu’elle paraît, une des beautés les plus exceptionnelles de l’écran américain dans ses derniers flamboiements, dans des téléfilms de prestige en compagnie d’autres vétérans (Robert Wagner, Tom Skerritt, George Hamilton avec qui elle connaît une aventure[13]) ou face à Mark Harmon dans une adaptation de son cher Tennessee Williams, et qu’elle effectue un retour fugace au cinéma, dans un court rôle de cantatrice, jouant Aïda[Lequel ?] sous la direction de son cher Zeffirelli, mais de nouveau des problèmes de santé l’éloignent des écrans[13].

En 1991, elle épouse son septième ou huitième mari (ayant épousé Burton deux fois) Larry Fortensky rencontré à la clinique Betty Ford de Los Angeles trois ans plus tôt[45]. Ils divorceront après cinq ans de mariage. Depuis, Taylor ne s’est jamais remariée.

Les Pierrafeu (1994), produit par Steven Spielberg, dans lequel John Goodman, à son grand désarroi, la traite de « fossile »[46], est son dernier film – drôle d’adieu ; pour sa prestation, la superstar tant de fois enterrée et ressuscitée est nommée au Razzie Award de la Pire Actrice dans un Second Rôle. En 2001, le téléfilm Drôles de retrouvailles associe Taylor à Joan Collins, Shirley MacLaine et Debbie Reynolds, trois autres survivantes du Hollywood des années 1950 : l’événement rencontre peu d’écho, et en 2003, après avoir tourné dans un épisode de la série Dieu, le diable et Bob elle annonce mettre un terme définitif à sa carrière[12].

Elizabeth Taylor (1987).

Depuis le début des années 1980, elle réside à Bel Air en Californie où habite l’un de ses amis Michael Jackson, qu’elle a défendu et soutenu lors de ses deux accusations d’abus d’enfants pour lesquelles il a été respectivement relaxé et acquitté[47],[48]. Elle est d’ailleurs la marraine de ses deux enfants Paris Jackson et Prince Michael Jackson I[12].

En novembre 2004, elle annonce avoir reçu un diagnostic d’insuffisance cardiaque : une anomalie de la fonction cardiaque est responsable de l’incapacité du myocarde à assurer un débit cardiaque suffisant pour couvrir les besoins énergétiques de l’organisme. Ces problèmes de santé s’inscrivent dans une longue série : elle s’est brisée le dos à cinq reprises et a dû être hospitalisée pour deux pneumonies ainsi que pour un cancer de la peau et également pour une tumeur au cerveau[12]. Souffrant d’une ostéoporose et née avec une scoliose, elle utilise aujourd’hui un fauteuil roulant pour ses déplacements[49].

Le 6 avril 2008, elle est conduite d’urgence au Cedars-Sinai Medical Center de Los Angeles et a été prise en charge immédiatement avant de rentrer chez elle plus tard dans la journée. Son attaché de presse Dick Guttman a déclaré à la presse : « Mme Taylor va bien. Les rumeurs qui ont démarré en Angleterre sur sa santé sont spectaculaires, alarmistes et fausses. Sa visite à l’hôpital s’effectue par précaution. »[50]

Travail pour l’amfAR

Elizabeth Taylor en 1981.

Elizabeth Taylor a consacré beaucoup de temps et d’énergie à la collecte de fonds pour la lutte contre le SIDA. « Je regardais toutes les actualités sur cette nouvelle maladie et je me demandais pourquoi personne ne faisait rien. Et ensuite je me suis rendu compte que j’étais comme eux. Je ne faisais rien pour aider »[51] se souvient l’actrice qui a également aidé au lancement de l’American Foundation for AIDS Research (amfAR), aux côtés du Dr. Mathilde Krim et de médecins et scientifiques[51], après la mort de son ami et partenaire (au cinéma) Rock Hudson en 1985. Aimée du public, elle a réussi à attirer l’attention des médias et toucher des millions de personnes[51]. En 1986, elle est apparue dans quelques spots télévisés dont Men, Women, Sex & AIDS[52] dans le but de sensibiliser sur son action. En 1991, les photos de son huitième mariage avec Larry Fortensky ont été vendues 1 million de dollars, somme reversée ensuite à l’association.

En 1991, elle a fondé sa propre organisation The Elizabeth Taylor AIDS Foundation qui a pour but de recueillir des fonds pour lutter contre la maladie dans le monde entier[53]. Elle a également apporté son soutien à plusieurs événements majeurs, dont la Journée mondiale de lutte contre le SIDA ainsi que les soirées organisées au Festival de Cannes chaque année. Depuis 2004, c’est Sharon Stone qui préside le gala[12].

On estime qu’en 1999, elle avait contribué à la collecte d’au moins 50 millions de dollars pour financer la recherche contre le SIDA[54]. Elle a été honorée de plusieurs récompenses pour ses activités caritatives[51].

Ses cachets

Année Film Cachet[12]
1942 There’s One Born Every Minute 200 $ par semaine
1943 Fidèle Lassie 100 $ par semaine
1946 Le Courage de Lassie 750 $ par semaine
1951 Une place au soleil 1 500 $ par semaine
1952 Ivanhoé 5 500 $ par semaine
1956 Géant 175 000 $
1958 La Chatte sur un toit brûlant 4 750 $ par semaine
1959 Soudain l’été dernier 500 000 $
1960 La Vénus au vison 150 000 $
1963 Cléopâtre 1 000 000 $ + 10 % des bénéfices
1965 Le Chevalier des sables 1 000 000 $
1966 Qui a peur de Virginia Woolf ? 1 000 000 $ + 10 % des bénéfices
Elizabeth Taylor in London 250 000 £
1967 la Mégère apprivoisée 50 % des bénéfices
Les Comédiens 500 000 $
1968 Boom 1 250 000 $
Cérémonie secrète 1 000 000 $
1970 Las Vegas, un couple 1 250 000 $
1979 Winter Kills 100 000 $
1980 Le miroir se brisa 250 000 $
1987 Poker Alice 500 000 $
1994 Les Pierrafeu 2 500 000 $

Vie privée

Mariages

Elizabeth Taylor, Liza Todd et Mike Todd

Liée à l’acteur Montgomery Clift par une longue « amitié amoureuse » sans espoir (en raison de l’homosexualité de l’acteur), Elizabeth Taylor fut mariée huit fois avec sept hommes différents[55] :

Un neuvième mariage est prévu avec son agent et compagnon de la comédienne depuis quelques années, Jason Winters, de presque trente ans son cadet[56].

De ses différentes unions, Elizabeth Taylor a eu plusieurs enfants :

  • avec Michael Wilding :
  • avec Michael Todd :
    • Elizabeth Frances Todd, surnommée Liza (née le 6 août 1957) ;

En outre, durant son mariage avec Eddie Fisher, en 1964, elle entama avec celui-ci des démarches visant à l’adoption d’une petite fille, qui fut en fin de compte adoptée par Taylor et Burton : Maria Burton (née le 1er août 1961).

Amants

C. David Heymann, dans son livre Liz : La biographie non autorisée d’Elizabeth Taylor, dresse la liste des amants de la belle actrice, grande séductrice de l’écran dotée d’une vitalité extraordinaire (en témoigne sa résistance à ses problèmes de santé et à ses abus divers). Outre ses amitiés amoureuses avec les plus célèbres homosexuels d’Hollywood (Montgomery Clift, Rock Hudson, James Dean…) et ses liaisons déjà citées avec les réalisateurs Stanley Donen et Richard Brooks et avec l’acteur George Hamilton, le biographe détaille (de façon parfois choquante) les passades de Taylor, avec les acteurs Peter Lawford, Victor Mature, et le chanteur et acteur Frank Sinatra parmi les plus connus de ses amants[57].

Autres intérêts

La passion des bijoux

Sa passion pour la joaillerie est connue. Elle est d’ailleurs l’une des clientes du fabricant de bijoux Shlomo Moussaieff[18][réf. incomplète]. L’une des phrases que l’on cite d’elle est même : « Dans la vie, il n’y a pas que l’argent. Il y a aussi les fourrures et les bijoux[18] ». Au fil des ans, elle acquiert plusieurs bijoux connus, comme le Krupp Diamond de 33,19 carats, ou encore le Taylor-Burton Diamond de 69,42 carats en forme de poire que portait Grace Kelly et offert par son mari lors de son 40e anniversaire[58]. Après leur divorce, il est vendu aux enchères en 1978 pour la somme de 5 000 000 dollars US, qui sont utilisés pour construire un hôpital au Botswana[58],[59]. Burton lui a également acheté, à l’occasion de la Saint Valentin en 1969, la Peregrina Pearl. Cette perle de 50 carats avait appartenu autrefois à Marie Ire d’Angleterre, dont Burton avait acquis le portrait où elle portait ce même bijou. Au moment de son acquisition, le couple découvre que le National Portrait Gallery à Londres n’a pas de peinture originale de Marie et décide de l’offrir donc à la galerie[60],[61]. Sa collection de bijoux a été répertoriée et photographiée par John Bigelow Taylor dans son livre My Love Affair with Jewelry sortie en 2002. Elizabeth Taylor a également conçu des bijoux et lancé trois parfums, Passion, White Diamonds (qui fait partie des dix meilleures ventes de parfums de la décennies 1990) et Black Pearls, qui lui ont fait gagner près de 200 000 000 dollars US.

Du 10 décembre 2010 au 12 janvier 2011, dans le cadre de l’exposition Bulgari, l’actrice dévoile pour la première fois en France des pièces exceptionnelles issues de sa collection privée[62].

Conversion au judaïsme et adhésion au Centre de la Kabbale

Elizabeth Taylor est née dans une famille adepte du mouvement religieux de la Science chrétienne. Lors de sa venue à Hollywood, la jeune femme n’était pas croyante. Néanmoins, lorsqu’elle commence à fréquenter Nicky Hilton, son premier mari, elle se convertit au catholicisme[63].

En 1952, elle joue le rôle d’une jeune fille juive dans Ivanhoé et sept ans plus tard, elle se convertit au judaïsme. Dans son autobiographie Elizabeth Takes Off, elle déclare que « ça n’a absolument rien à voir avec mon passé. Mes deux maris Mike Todd et Eddie Fisher étaient tous les deux juifs, mais j’avais voulu le devenir avant[64],[65]. »

Début 1959, elle se convertit au Temple Israël à Hollywood, au grand désespoir de ses parents, et reçoit le nom hébreu de Elisheba Rachel[66]. Cependant la passion qu’elle a pour cette religion diminue rapidement, et elle n’est allée qu’une fois à la synagogue, sans jamais renoncer pour autant à porter sa croix[66]. Des années plus tard, elle commence à s’intéresser à la spiritualité, à Dieu et à la prière[67],[68].

En 1998, elle participe à une cession de 200 dollars US à 300 dollars US du Centre de la Kabbale[69]. Ce mouvement spirituel repose principalement sur la lecture du Zohar, dont une version originale reliée en vingt-trois volumes est vendue par le centre. Cette pratique est fortement contestée par de nombreux rabbins qui y voient non seulement une appropriation mercantile de leur patrimoine culturel mais également une dérive sectaire[70],[71]. Comme Elizabeth Taylor, de nombreuses stars ont affirmé leur appartenance à ce mouvement comme Madonna, Tippi Hedren ou Demi Moore.

Popularité

  • Aujourd’hui, Elizabeth Taylor reste une actrice des plus connues et il existe de nombreuses références à l’actrice ou aux rôles qu’elle incarna dans la culture populaire. Depuis 1975, onze documentaires ont été réalisés sur elle[72]. En 1995, un téléfilm, Liz: The Elizabeth Taylor Story, a ainsi retracé sa vie avec Sherilyn Fenn dans le rôle titre. Elle a également fait la couverture de 227 magazines[72].
  • De la même manière que Saint-Tropez grâce (ou à cause) de Brigitte Bardot, Puerto Vallarta, petit village de pêcheurs, est devenu un lieu de villégiature pour classes aisées après que Elizabeth Taylor et Richard Burton s’y sont installés[73].
  • Mark David Chapman, l’assassin de John Lennon a confié lors d’une vidéo conférence tenue depuis la prison Attica à New York le 7 septembre 2010, qu’il avait envisagé d’assassiner d’autres célébrités, dont Johnny Carson et Elizabeth Taylor, et qu’il avait arrêté son choix sur Lennon parce qu’il lui semblait une cible plus aisée à atteindre – dramatique effet de la popularité…[74][réf. insuffisante]
  • Elizabeth Taylor apparaît également dans le premier tome des Chroniques de San Francisco d’Armistead Maupin. Dans ce roman, le personnage de DeDe Halcyon-Day rencontre l’actrice lors d’un séjour dans un centre d’amaigrissement.
  • En 1990, le parolier et interprète Jacques Duvall publie sur son album Je déçois… la chanson Elizabeth Taylor : « Elizabeth Taylor/Retire lentement/Son peignoir lamé or/Ses bas et ses diamants/En sifflant du Gershwin/Et du Jack Daniels/Elle dénude sa poitrine/La plus belle c’est bien elle »[75].
  • La robe qu’elle portait pour présenter l’Oscar du meilleur film[78] en 1969, a été vendue aux enchères pour un montant de 167 500 dollars US à Londres en 1995[51]. Les bénéfices ont été reversés à l’amfAR.
  • Un portrait d’Elizabeth Taylor intitulé Silver Liz réalisé par Andy Warhol en 1963 a été adjugé aux enchères chez Christie’s à Londres pour la somme record de 10 millions de dollars[82].
  • Dans le Vanity Fair de janvier 2011, Johnny Depp, interrogé par Patti Smith, confie après le tournage de The Tourist : « J’ai eu l’honneur et le plaisir de connaître Elizabeth Taylor pendant un certain nombre d’années. Vous savez vous vous asseyez avec elle, elle se jette dans le fauteuil, jure comme un marin, elle est hilarante. Avec Angelina Jolie, c’était la même chose, la même approche. » Des rumeurs avancent par ailleurs les noms d’Angelina Jolie et Catherine Zeta-Jones pour interpréter Taylor dans un prochain film sur les amours de la star aux yeux violets avec Burton – rumeurs infondées semble-t-il.

Filmographie

Année Titre du Film Réalisateur Rôle Détails
1942 There’s One Born Every Minute Harold Young Gloria Twine
1943 Fidèle Lassie (Lassie Come Home) Fred M. Wilcox Priscilla
1944 Jane Eyre (Jane Eyre) Robert Stevenson Helen Burns non créditée[4]
Les Blanches Falaises de Douvres (The White Cliffs of Dover) Clarence Brown Betsy Kenney à 10 ans non créditée[5]
Le Grand National (National Velvet) Clarence Brown Velvet Brown
1946 Le Courage de Lassie (Courage of Lassie ou Blue Sierra) Fred M. Wilcox Kathie Merrick
1947 Mon père et nous (Life with Father) Michael Curtiz Mary Skinner
Cynthia (Cynthia: The Rich, Full Life ou The Rich Full Life) Robert Z. Leonard Cynthia Bishop
1948 Ainsi sont les femmes (A Day with Judy) Richard Thorpe Carol Pringle
La Belle imprudente (Julia Misbehaves) Jack Conway Susan Packett
1949 Les Quatre Filles du docteur March (Little Women) Mervyn LeRoy Amy
Guet-apens (Conspirator) Victor Saville Melinda Greyton
1950 Le Chevalier de Bacchus (The Big Hangover) Norman Krasna Mary Belney
Le Père de la mariée (Father of the Bride) Vincente Minnelli Kay Banks
1951 Allons donc, papa ! (Father’s Little Dividend) Vincente Minnelli Kay Dunstan
Une place au soleil (A Place in the Sun) George Stevens Angela Vickers
Quo Vadis (Quo Vadis) Mervyn LeRoy Une prisonnière chrétienne dans l’arène non créditée[83]
1952 Une vedette disparait (en) (Love Is Better Than Ever ou The Light Fantastic) Stanley Donen Anastacia (Stacie) Macaboy
Ivanhoé (Ivanhoe ou Sir Walter Scott’s Ivanhoe) Richard Thorpe Melinda Greyton
1953 La fille qui avait tout (The Girl Who Had Everything) Richard Thorpe Jean Latimer
1954 Rhapsodie (Rhapsody) Charles Vidor Louise Durant
La Piste des éléphants (Elephant Walk) William Dieterle Ruth Wiley
Le Beau Brummel (Beau Brummell) Curtis Bernhardt Lady Patricia Belham
La Dernière Fois que j’ai vu Paris (The Last Time I Saw Paris) Richard Brooks Helen Ellswirth/Wills
1956 Géant (Giant) George Stevens Leslie Benedict
1957 L’Arbre de vie (Raintree County) Edward Dmytryk Suzanna Drake
1958 La Chatte sur un toit brûlant (Cat on a Hot Tin Roof) Richard Brooks Maggie
1959 Soudain l’été dernier (Suddenly, Last Summer) Joseph L. Mankiewicz Catherine Holly Golden Globe Award
1960 Scent of Mystery ou Holiday in Spain La Vraie Sally Kennedy (non créditée)
La Vénus au vison (BUtterfield 8) Daniel Mann Gloria Wandrous Oscar de la meilleure actrice
1963 Cléopâtre (Cleopatra) Joseph L. Mankiewicz Cléopâtre
Hôtel International (The V.I.P.s ou International Hotel) Anthony Asquith France Andros
1965 Le Chevalier des sables (The Sandpiper) Vincente Minnelli Laura Reynolds
1966 Qui a peur de Virginia Woolf ? (Who’s Afraid of Virginia Woolf?) Mike Nichols Martha Oscar de la meilleure actrice, BAFTA
1967 la Mégère apprivoisée (The Taming of the Shrew) Franco Zeffirelli Katharina
Doctor Faustus (Doctor Faustus) Richard Burton et Neville Coghill Helen de Troie
Reflets dans un œil d’or (Reflections in a Golden Eye) John Huston Leonora Penderton
Les Comédiens (The Comedians) Peter Glenville Martha Pineda
1968 Boom (Boom!) Joseph Losey Flora ‘Sissi’ Goforth
Cérémonie secrète (Secret Ceremony) Joseph Losey Leonora
1969 Anne des mille jours (Anne of the Thousand Days ou Anne of a Thousand Days) Charles Jarrott Courtesan (non créditée)
1970 Las Vegas, un couple (The Only Game in Town) George Stevens Fran Walker
1972 Une belle tigresse (en) (Zee and Co.) Brian G. Hutton Zee Blakeley
Under Milk Wood Andrew Sinclair Rozie Probert
Hammersmith Is Out Peter Ustinov Jimmie Jean Jackson
1973 Divorce (en) (Divorce His, Divorce Hers) Waris Hussein Jane Reynolds Téléfilm
Terreur dans la nuit (en) (Night Watch) Brian G. Hutton Ellen Wheeler
Les Noces de cendre (Ash Wednesday) Larry Peerce Barbara Sawyer
1974 Identikit (The Driver’s Seat ou Psychotic) Giuseppe Patroni Griffi Lise
Il était une fois Hollywood (That entertainment) Jack Haley Jr
1976 L’Oiseau bleu (The Blue Bird) George Cukor Queen of Light/Mother/Witch/Maternal Love
Victoire à Entebbé (en) (Victory at Entebbe) Marvin Chomsky Edra Vilnofsky Téléfilm
1977 A Little Night Music Harold Prince Desiree Armfeldt
1978 Return Engagement Harold Prince Dr. Emily Loomis Téléfilm
1979 Winter Kills William Richert Lola Comante non créditée[84]
1980 Le miroir se brisa (The Mirror Crack’d) Guy Hamilton Marina Rudd
1981 Hôpital central (General Hospital) Helena Cassadine (3 épisodes) Série télévisée
1983 Between Friends ou Nobody Makes Me Cry Deborah Shapiro Téléfilm
1984 La Force du destin (All My Children) Série télévisée
Hôtel (Hotel) Katherine Cole (Épisode Intimate Strangers) Série télévisée
1985 Malice in Wonderland ou The Rumor Mill Louella Parsons Téléfilm
Nord et Sud (North and South) Madam Conti (6 épisodes) Feuilleton Télévisé
1986 Une vie de star (There Must Be a Pony) Marguerite Sydney Téléfilm
1987 Poker Alice Alice Moffit Téléfilm
1988 Toscanini (de) (Il giovane Toscanini) Franco Zeffirelli Nadina Bulichoff
1989 Sweet Bird of Youth Alexandra Del Lago Téléfilm
1992 Captain Planet and the Planeteers Mère de Todd (Épisode A Formula for Hate) Série télévisée
Les Simpson (The Simpsons) Maggie Simpson (épisode 10 : Le Premier Mot de Lisa)
et Elizabeth Taylor (épisode 22 : Krusty, le retour)
Série télévisée
1994 Les Pierrafeu ou The Flinstones – La famille Pierrafeu (The Flinstones Brian Levant Pearl Slaghoople
2001 Drôles de retrouvailles (en) (These Old Broads) Beryl Mason Téléfilm
2003 Dieu, le diable et Bob (en) (God, the Devil and Bob) Sarah (Épisode God’s Girlfriend) Série télévisée

Distinctions

  • La même année, l’American Film Institute, qui lui avait déjà rendu hommage en 1993[86], l’a classée septième des plus grandes actrices de tous les temps dans le classement AFI’s 100 Years100 Stars[87].

Récompenses

Année Cérémonie Récompense Film
1957 Golden Globes Special Award[91]
1958 Laurel Award Meilleure Actrice dans un film dramatique[92] L’Arbre de vie
1960 Golden Globes Meilleure Actrice dans un film dramatique[91] Soudain l’été dernier
Laurel Award 2e Star Féminine[92]
Meilleure Performance dans un film dramatique[92] Soudain l’été dernier
1961 Oscar du cinéma Meilleur actrice[93] La Vénus au vison
Laurel Award 2e Meilleure Performance dans un film dramatique[92]
2e Star Féminine[92]
1963 Laurel Award 2e Star Féminine[92]
1964 Laurel Award 2e Star Féminine[92]
1965 Laurel Award Star Féminine[92]
1966 Laurel Award Star Féminine[92]
3e Meilleure Performance dans un film dramatique[92] Le Chevalier des sables
1967 Oscar du cinéma Meilleur actrice[93] Qui a peur de Virginia Woolf ?
BAFTA Awards BAFTA Film Award[94][réf. incomplète]
Kansas City Film Critics Circle Awards Meilleur actrice[95]
National Board of Review Meilleur actrice[96]
1968 Prix Bambi
1972 Ours d’argent Meilleure actrice Hammersmith Is Out
1974 Golden Globes Henrietta Award[91]
1977 Hasty Pudding Theatricals Woman of the Year[92]
1993 Oscar du cinéma Jean Hersholt Humanitarian Award[93]
American Film Institute Award pour l’ensemble de sa carrière[97]
1996 Golden Globes Cecil B. DeMille Award[91]
1998 Screen Actors Guild Award Life Achievement Award[98]
1999 BAFTA Awards Academy Fellowship
2001 Taos Talking Picture Festival Maverick Award[92]

Nominations

Année Cérémonie Nomination Film
1958 Oscar du cinéma Meilleur actrice[93] L’Arbre de vie
Laurel Award 4e Star Féminine[92]
1959 Oscar du cinéma Meilleur actrice[93] La Chatte sur un toit brûlant
BAFTA Awards Meilleur actrice[94]
1960 Oscar du cinéma Meilleur actrice[93] Soudain l’été dernier
1961 Golden Globes Meilleure Actrice dans un film dramatique[91] La Vénus au vison
1962 Laurel Award 7e Star Féminine[92]
1966 Golden Globes Henrietta Award[91]
1967 Golden Globes Meilleure Actrice dans un film dramatique[91] Qui a peur de Virginia Woolf ?
1968 BAFTA Awards Meilleur actrice[94] Soudain l’été dernier
Laurel Award 7e Star Féminine[92]
1969 Golden Globes Henrietta Award[91]
1971 Laurel Award 7e Star Féminine[92]
1974 Golden Globes Meilleure Actrice dans un film dramatique[91] Les Noces de cendre
1994 Razzie Awards Pire Actrice dans un Second Rôle[99] Les Pierrafeu

Voir aussi

Articles connexes

Bibliographie

(fr) Elizabeth Taylor, Elizabeth dit tout, Robert Laffont, 1988, 296 p. (ISBN 9782221056486)
(fr) Donald Spoto, Elizabeth Taylor – Passions d’une vie, Éditions Belfond, 1996 (ISBN 2-7144-3315-4)
(fr) James Ursini, Elizabeth Taylor, Taschen France, 1996, 192 p. (ISBN 3822823228)
(fr) Bertrand Meyer-Stabley, La véritable Elizabeth Taylor, Pygmalion Éditions, 2004, 303 p. (ISBN 2-85704-900-5)
(fr) Kitty Kelley, Elizabeth Taylor : La dernière star, Sylvie Messinger, 1982, 277 p. (ISBN 2865830152)
(fr) Yann-Brice Dherbier, Elizabeth Taylor. Les images d’une vie, YB Éditions, 2008, 192 p. (ISBN 978-2-355-37014-4)
(fr) C. David Heymann, Liz : La biographie non autorisée d’Elizabeth Taylor, Presses De La Cité, 1995, 502 p.
(fr) Hélène Merrick, Elizabeth Taylor, J’ai lu, 1989
(fr) Philippe Durant, Elizabeth Taylor, Pac, 1986
(fr) John Russel Taylor, Liz Taylor, France Loisirs, 1991, 220 p. (ISBN 2-7242-6729-x)
(en) Jerry Vermilye et Mark Ricci, The Films of Elizabeth Taylor, Secaucus, NJ: Citadel Press, 1989 (ISBN 0806511516)
(en) Susan D’Arcy, The Films of Elizabeth Taylor, New York: Greenhaven Press, Inc., 1978 (ISBN 0825301106)
(en) Jack Brodsky et Nathaniel Weiss, The Cleopatra Papers, New York:
(en) James Christopher, Elizabeth Taylor: The Illustrated Biography, Andre Deutsch
(en) Richard Burton, Meeting Mrs. Jenkins, 1966
(en) Caroline Lathan et Jeanne Sakol, All About Elizabeth: Elizabeth Taylor, Public and Private, New York: Onyx/Penguin, 1991
(en) Foster Hirsch, Elizabeth Taylor, New York: Galahad, 1975
(en) Elizabeth Taylor, Ruth A Peltason et John Bigelow Taylor, Elizabeth Taylor: My Love Affair with Jewelry, Simon & Schuster, 2002, 240 p. (ISBN 0743254384)
(en) Elizabeth Taylor, Elizabeth Takes Off: On Weight Gain, Weight Loss, Self-Image, and Self-Esteem, New York: G.P. Putnams Sons., 1987 (ISBN 0399132694)
(en) Alistair Reeve, This Is Liz Taylor
(en) Ruth Waterbury, Elizabeth Taylor: Her Life, Her Loves, Her Future
(en) Joan Joseph, For Love of Liz
(en) Dick Sheppard, Elizabeth – The Life and Career of Elizabeth Taylor
(en) Tom Hutchinson, Elizabeth Taylor
(en) Brenda Maddox, Who’s Afraid of Elizabeth Taylor?
(en) Lester David et Jhan Robbins, Richard and Elizabeth
(en) J. Randy Taraborrelli, Elizabeth, New York: Warner Books, 2006 (ISBN 0446532541)
(fr) Patrick Brion, Elizabeth Taylor, Riveneuve, 2010, 280 p. (ISBN 978 2 36013 009 2)