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Une femme atteinte du VIH accusée

Thursday, September 29th, 2011

Canoe
BARRIE, Ontario – Une femme est accusée d’avoir omis d’informer ses partenaires sexuels qu’elle était infectée par le VIH.

Jennifer Murphy, 38 ans, a fait une brève comparution devant le tribunal par vidéo mercredi. Elle fait face à quatre chefs d’accusation d’agression sexuelle grave.

Un policier l’a surprise avec un homme dans un boisé à Barrie en Ontario, alors qu’elle avait le pantalon baissé. Elle avait déjà été condamnée pour le même délit en septembre 2005.

Craignant pour la sécurité publique, la police de Barrie a publié sa photo et diffusé son état de santé. Depuis lors, deux autres hommes se sont manifestés.

Jennifer Murphy a été condamnée à une peine avec sursis et a reçu l’ordre de rester dans sa maison, sauf pour se rendre à des cliniques de santé pour un traitement et pour des besoins personnels.

Un projet écolo tourne au dépotoir dans Ville-Marie (Montréal)

Sunday, July 31st, 2011
Le Jardin du Marché Frontenac ou dépotoire à ciel ouvert commandité par la Ville de Montréal et le Bricoville Rona l'Express de la rue Lafontaine

Le Jardin du Marché Frontenac ou dépotoire à ciel ouvert commandité par la Ville de Montréal et le Bricoville Rona l'Express de la rue Lafontaine

Par Roger-Luc Chayer – Photos Gay Globe

POUR VOIR LES PHOTOS EN GRANDES RÉSOLUTION, SIMPLEMENT CLIQUER DESSUS.

Un projet d’intégration urbaine qui se voulait écolo et vert à l’origine s’est transformé en véritable dépotoir à ciel ouvert en plein centre-ville de Montréal et c’est l’Arrondissement Ville-Marie qui est à l’origine de ce désastre écologique avec lequel doivent composer non seulement les citoyens qui vivent dans cet environnement mais les commerçants qui en ont gros sur le cœur.

Se voulant un projet permettant l’implantation de verdure dans l’Arrondissement Ville-Marie, le Jardin du Marché Frontenac, commandité par Bricoville Rona l’Express de la rue Lafontaine dans le même quartier, est en train de devenir la honte municipale tellement le concept a déraillé alors qu’il devait à l’origine permettre l’intégration d’un marché de fruits et légumes dans un quartier déjà fortement atteint par un manque d’espaces verts. Il s’agissait de permettre l’accès à des produits agricoles pour les citoyens de même que de permettre de transformer ce coin de rue défavorisé en îlot de verdure de manière à améliorer la qualité de vie de tous.

Or, alerté par un citoyen qui n’en pouvait plus de vivre avec les conditions désagréables imposées par ce projet, Gay Globe Média s’est rendu sur les lieux situés au coin de la rue Ontario et d’Iberville pour constater l’ampleur du désastre, et désastre il y avait comme le démontrent les photos plus bas.

En entrevue avec Gay Globe, Ronald (prénom fictif afin de préserver l’anonymat du plaignant) nous disait que depuis le printemps, il avait l’impression de vivre face à une piquerie tant l’environnement est devenu nauséabond et géré par des gens qui sont visiblement incapables de mener un tel projet, pourtant assez simple. “On dirait que tout ce que touche la ville se transforme en déchet et en échec. Expliquez-moi comme est-ce possible qu’aucun inspecteur de l’arrondissement ne soit venu ici constater l’état des lieux pour faire respecter le règlement municipal quand on voit bien qu’il s’agit d’un dépotoir à ciel ouvert?”, nous demande Ronald qui est un résident de longue date du quartier.

“N’importe quel commerçant ou résident qui ferait ça devant chez lui recevrait une amende salée mais comme la ville autorise ce qui se passe, nous devons vivre avec ce dépotoir et le plus triste pour moi c’est de voir que personne n’a supervisé ça, qu’on a sali un coin de rue peut-être pas très chic mais qui avait au moins l’avantage de ne pas être une poubelle avant le début de cette affaire-là”.

Sur les photos, on peut voir que des déchets pourtant récupérables sont abandonnés en tas, par les organisateurs du Jardin du Marché Frontenac et que le plastique est mêlé au carton, au styrofoam, que des légumes et plantes sont en putréfaction dans les boites et que des sacs de resto McDonald y sont aussi présents, démontrant que ce projet ou ses administrateurs et commanditaires font peu de cas de la qualité de vie des résidants voisins qui doivent supporter ce qui est pourtant présenté comme une initiative écolo et verte! “Tout ça pour avoir des subventions?” demande Ronald…

De plus, lors de notre visite, entre les pots de fleurs et les jardins se trouvaient des sacs verts remplis qui n’avaient pas été placés pour la collecte et le pire, de ce projet de dépotoir sur lequel aucun contrôle n’est exercé, c’est que les planches et boites sont placés en tas, par dessus de magnifiques petites fleurs écrasées et deux petites tomates accrochées à leur plant, encore vivantes qui tentent de survivre malgré le poids des déchets qui les recouvrent, les photos sont d’ailleurs criantes de vérité car le tas est placé par dessus des fleurs et légumes plantés avec l’agent de la ville et de Rona!

Gay Globe a demandé à Rona l’Express de commenter les photos et de nous dire si c’est cela le projet qu’ils souhaitaient en prêtant le nom de Rona et surtout s’ils sont fiers des résultats de leur commandite. Nous ferons le suivi une fois leur réponse arrivée. Quant à la ville de Montréal et au Maire Gérald Tremblay, Gay Globe leur a offert de commenter, les réponses seront publiées dès réception si elles arrivent car notre prestigieux Maire a pour mauvaise habitude d’ignorer les journalistes quand il s’agit de questions négatives pour son image. Enfin, on verra bien…

Quant à l’organisation à l’origine de ce dépotoir, qui déclare sur son site Internet à www.marchefrontenac.com “Le Jardin sur rue du Marché solidaire Frontenac fait aussi partie du Groupe de travail en agriculture urbaine de Montréal. Pour en savoir plus, vous pouvez lire le document Montréal fière d’être verte et nourricière” une entrevue a été demandée et nous attendons leur réponse.

En conclusion, est-ce que la ville de Montréal avait vraiment besoin de ce dépotoir entouré de conteneurs que même la ville interdit normalement sur son territoire? Évidemment pas. Espérons que les responsables de cet échec cuisant, qui ne sont d’ailleurs pas enregistrés légalement au Registre des entreprises du Québec comme le requiert la loi, pour recevoir des subventions, se réveilleront et iront immédiatement nettoyer ce bac à vidanges à ciel ouvert qu’est le Jardin du Marché Frontenac.

Le 2 août 2011, Madame Josée Caron, porte-parole de Rona, déclarait dans un courriel adressé à Gay Globe: “En réponse à votre article intitulé « Un projet écolo tourne au dépotoir dans Ville-Marie (Montréal) » nous désirons vous laisser savoir que le marchand-propriétaire de la Quincaillerie Bricoville RONA L’express a été mis au courant de la situation en lisant votre article et a pris action pour rejoindre les responsables du projet « Le Jardin du Marché Frontenac » afin de s’assurer que le problème des déchets soit rapidement régularisé et ne se reproduise plus.  Le but de la commandite accordée par la Quincaillerie Bricoville est de participer à un projet de quartier visant à améliorer la qualité de vie des citoyens et nous sommes confiants que des correctifs pourront rapidement être apportés pour qu’il en soit ainsi.”

Pharmacie Où et comment choisir?

Thursday, August 27th, 2009

Selon toutes les études et sondages s’adressant aux personnes de la communauté gaie, du choix du pharmacien dépend de l’évolution positive du traitement de la santé! Pourquoi?

On ne parle pas de sexualité, de condoms, de SIDA et de troubles érectiles avec n’importe qui, tout de même… C’est la même chose avec les pharmaciens, certains se spécialisent dans des domaines précis, d’autres ne savent même pas ce qu’est un gai, tous n’ont pas la science infuse mais certains se distinguent un peu plus que les autres.

La Revue Le Point, devenue Gay Globe Magazine a une expertise toute naturelle dans le domaine de la pharmacie puisque nous oeuvrons depuis des années dans la publication de recherches et de rapports sur la santé masculine. Nous travaillons aussi avec de nombreux pharmaciens et lors de nos rencontres, de nos conversations avec ces derniers, il est clair qu’un pharmacien s’intéressant à la santé des gais fera toute une différence dans la gestion globale de la santé de ces même personnes.

“Les incessants progrès de la chirurgie, de la médecine et de la pharmacie sont angoissants: de quoi mourra-t-on dans vingt ans?”
(Philippe Bouvard)

Les pharmaciens qui annoncent dans la Gay Globe Magazine sont les exemples parfaits d’un désir de contribuer à la santé gaie et de le faire avec respect, compétence et confidentialité. Le fait d’annoncer dans Gay Globe Magazine ne signifie aucunement qu’un pharmacien soit gai, il manifeste uniquement son désir d’appartenir et de servir la communauté gaie dans son ensemble.

Laissez-nous vous les présenter!

À la Pharmaprix Daniel Gagné, située au 2625 Rosemont coin 1ère avenue à Montréal, on s’intéresse à la communauté gaie depuis au moins 1993, avec les premières publicités de la pharmacie dans les médias gais. Daniel Gagné, propriétaire, est l’homme idéal avec qui on peut parler de nos bobos, de Viagra ou demander quelques petits conseils. Daniel est un pharmacien compétent, très bien entouré et le SIDA n’a plus de secret pour lui. Profitez de votre visite pour saluer le beau Robin au comptoir des prescriptions, au nom de Gay Globe Magazine, ça lui fera plaisir…

Alliée de tous les instants, la Pharmacie Brunet – François Tremblay du Centre Maisonneuve, au 2937 Sherbrooke Est à Montréal est avec Le Point / Gay Globe Magazine depuis les débuts en 2002 et selon son propriétaire François Tremblay, “servir une clientèle gaie est un défi que j’aime relever et c’est une clientèle qui en connaît beaucoup sur les médicaments grâce à l’Internet, le défi de bien les informer est encore plus agréable”. François Tremblay, qui a modernisé de façon spectaculaire sa pharmacie récemment souhaite que les gens de la communauté gaie viennent le consulter autant pour des questions de santé que pour des soins de la peau et des besoins que les hommes gais ont en esthétique. L’accueil chez François Tremblay est toujours agréable et réconfortant.

Le ti-nouveau mais non le moindre, Pharmaprix (1580) rue Ontario, au 1580 Ontario Est à Montréal a offert aux résidants du Village une pharmacie toute neuve, de très grande taille et spécialisée exactement dans les traitements offerts aux hommes gais en général. Le pharmacien Tran Thang Vu a accepté de relever le défi de servir une clientèle très complexe dans un quartier de Montréal tout aussi difficile. Il y arrive très bien, s’est vite associé aux médias gais et le personnel est d’ailleurs bien sélectionné pour servir les gais et lesbiennes, demandez-le au sympathique gérant Michel Cao.

Enfin, n’oublions pas une pharmacie super-spécialisée en VIH-SIDA, celle de la Clinique l’Actuel à Montréal, qui est certainement très bien placée pour prendre en charge cette clientèle. On y accède par la clinique…