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Le Collectif Carré Rose Montréal doit se questionner, et VITE!

Saturday, September 20th, 2014

Billet éditorial par Roger-Luc Chayer

Carré Rose Montréal

Collectif Carré Rose Montréal

Le Collectif carré Rose Montréal, était, jusqu’à ce matin du moins, une association d’individus et d’entreprises, tous bénévoles, qui avait pour objectif au début d’unifier les principaux intervenants montréalais autour de la sécurité dans le Village gai, suite à de nombreuses attaques et agressions contre des personnes homosexuelles. Fort de la couverture médiatique entourant ces agressions et les appels à la prudence de la part des autorités, le Collectif a réussi à organiser quelques événements dont une marche, dirigée par le Maire Denis Coderre, en plein hiver, pour dénoncer la violence homophobe. Cette marche avait d’ailleurs été un succès en réunissant plus de 500 personnes. Le Collectif a par la suite gardé l’habitude de publier sur sa page Facebook des nouvelles d’un peu partout, des partages de sujets concernant généralement les gais et en cela il n’y avait pas de mal à s’informer, même si je dois l’avouer, les nouvelles manquaient parfois de vérifications et ne correspondaient qu’à une vision très étroite du militantisme gai. Jusque-là, “bof” me direz-vous!

Mais qu’est-ce qu’un “Collectif”?
Selon Wikipédia, la définition du mot “Collectif” est la suivante: Définit les actions et les choses auxquelles il est appliqué, comme étant réalisé par, ou destiné à, un groupe de personnes. On parle d’action collective lorsqu’un groupe, organisé ou non, réalise une action particulière. Dans les arts, un collectif d’artistes est une initiative qui est le résultat d’un groupe d’artistes travaillant ensemble, le plus souvent sous leur propre direction, vers des objectifs communs.

Forcément et en toute logique, le Collectif Carré Rose Montréal se doit d’être le regroupement des décisions des membres et partenaires, qui doivent décider du destin de l’association en commun accord et suite, tôt ou tard, à un mandat demandé par ses porte-paroles ou à un désir commun et collectif exprimé par ses adhérents au moyen de consultations dont les détails étaient un peu flous… Le Collectif Carré Rose Montréal est une association de personnes qui ont des objectifs communs dont celui de faire cesser la violence homophobe dans le Village et de dénoncer les actes d’homophobie en général.

Jusque là, ce mandat me convenait parfaitement, il correspondait à un besoin clairement exprimé depuis longtemps dans le Village et ne recevant aucune subvention, je trouvais sa crédibilité garantie par la bonne volonté exprimée par ses porte-paroles tout au long de son existence. J’avais donc adhéré, pour une rare fois, à un regroupement qui correspondait à mes valeurs et qui se dirigeait de façon exemplaire avec une relative transparence et une efficacité spectaculaire. La crédibilité du Collectif Carré Rose était solide comme un roc, il n’avait qu’à voguer sur la vague de son succès public et de sa représentativité. Simple n’est-ce pas?

Qui sont les porte-paroles du Collectif?
Le Collectif est représenté principalement par des personnes bénévoles dont deux individus qu’on peut voir un peu plus souvent publiquement. Louis-Alain Robitaille, un agent d’immeuble de la région de Montréal et Marco Duguay, un employé du Casino de Montréal. Quelques autres personnes s’affichent aussi avec le Collectif mais elles sont moins impliquées publiquement. Les porte-paroles ont des obligations déontologiques de base. Même si l’association n’est pas constituée en conseil d’administration ou en corporation, ses porte-paroles doivent se souvenir, quand ils parlent au nom du Collectif, qu’ils ne doivent pas associer les membres, partenaires et adhérents à des causes qui s’éloignent du mandat de base, qu’ils doivent naturellement éviter les conflits d’intérêts ou les apparences de conflits d’intérêts et que le Collectif ne leur appartient pas mais appartient bien à la collectivité. Ce n’est pas une entreprise privée!

Un des points qui pouvait soulever quelques interrogations éventuellement, quant à l’administration du Collectif, était le manque de consultation des partenaires et des membres. Depuis que j’avais adhéré au Collectif et que j’avais offert le support de mon groupe média, Gay Globe Média, sauf pour ce point nécessitant éventuellement une petite amélioration, je dois dire que j’étais satisfait du travail du Collectif et j’étais fier de m’y associer publiquement.

Un des éléments pouvant devenir problématique aussi avec la représentativité du Collectif était la nature des nouvelles et des causes qui recevaient le support des porte-paroles sans jamais résulter de consultations des membres. Au fil des mois, j’ai vu le Collectif partir d’une neutralité exemplaire pour devenir lentement une sorte de ramassis de causes plus ou moins pertinentes au mandat initial, comme si le Collectif, dans son expression publique, passait à gauche politiquement et socialement pour devenir un exutoire des causes perdues. C’est ainsi qu’à peu près toutes les nouvelles concernant des sujets aussi variés que des pseudo exécutions d’homosexuels en Iran, que les positions extrémistes de pasteurs américains ou de comportements de politiciens russes passaient sur le fil Facebook du Collectif au point ou même certaines nouvelles totalement farfelues et provenant clairement de sites d’humour trouvaient place sur le fil, comme de vraies nouvelles, comme si les personnes s’occupant du site n’avaient pas le détachement nécessaire à la gestion de nouvelles. Je suis d’ailleurs intervenu à quelques reprises pour aviser les responsables du site que certaines nouvelles étaient fausses, la tâche était parfois ardue vu le nombre de “n’importe quoi” qui y passait.

Le conflit d’intérêt et la crédibilité du Collectif
Une association quelle qu’elle soit, qui défend une cause peu importe sa nature, ne peut réussir à réaliser ses objectifs que si elle est crédible et représentative de ses membres et partenaires. Le Collectif avait donc un devoir non pas de résultat mais un devoir de réserve afin de ne pas imbriquer un concept bien pensé dans des situations pouvant potentiellement déconsidérer sa réputation et surtout sa crédibilité ou celle de ses membres.

Robert Vézina

Article sur M. Robert Vézina partagé par le Collectif Carré Rose Montréal

Vendredi le 19 septembre dernier, j’ai été stupéfié de voir sur le fil Facebook du Collectif un partage d’une nouvelle vantant de façon quasi incestueuse les mérites de Robert Vézina, co-fondateur du BBCM (Bad Boys Club Montréal). Cet article n’était pas rédigé par le Collectif. Toutefois, le fait de le partager, engageait le Collectif envers le BBCM puisqu’il est clair que les personnes responsables du site ne publieraient pas une nouvelle qu’ils ne souhaiteraient pas endosser. Le mot endosser prend ici toute son importante. Si le Collectif publiait par exemple un partage de texte vantant les actes de groupes d’extrême droite ukrainiens, est-ce qu’une personne raisonnable pourrait penser que le Collectif endosse ces actes? Bien sur. Si le Collectif partageait par exemple un texte demandant à tout le monde d’attaquer des homosexuels sur la rue, la surprise du public serait totale, et avec raison, car certains se demanderaient pourquoi le Collectif endosse une telle publication.

C’est ce qui s’est produit avec la publication de la nouvelle portant sur le BBCM, un groupe extrêmement controversé depuis des années à Montréal, et la forte diminution des participants aux événements du BBCM au fil des années est le reflet de cette controverse. Le BBCM a aussi été impliqué depuis 20 ans dans le fiasco monumental du Salon d’Affaires et de Vie Gaie à Montréal dans les années 2000, dans le fiasco des Outgames, et le nombre de participants à son Black&Blue a diminué de façon spectaculaire ces dernières années. Le BBCM a aussi été questionné dans les années 90 sur ses dons au SIDA, plutôt minimes, malgré les prétentions de ses responsables dont justement Monsieur Vézina.

D’abord questionné sur cette prise de position stupéfiante de la part du Collectif, sans consultation ni vérification, Marco Duguay, un des porte-paroles, s’est dit insulté de la question et a nié être associé à un quelconque conflit d’intérêt entre le Collectif et le BBCM. Or, après vérification, il appert que M. Duguay est bel et bien impliqué avec le BBCM, sa page Facebook arbore un en-tête au logo du BBCM et sur la page du BBCM, une photo montre M. Duguay qui y est présenté comme MEMBRE DU COMITÉ ORGANISATEUR DU BLACK&BLUE 2014. Pourquoi est-ce que M. Duguay voudrait cacher l’évidence? M. Duguay ajoutait du coup qu’il n’avait aucune idée de quoi je parlais à propos de l’article du BBCM, que je l’associais à la gestion de la page du Collectif par erreur, etc etc. Un article de TVA Nouvelles présente toutefois M. Duguay comme membre fondateur du Collectif mais bon, passons…

Marco Duguay

En-tête Facebook de M. Marco Duguay

BBCM

Photo du BBCM qui présente M. Duguay comme membre du Comité organisateur du Black&Blue 2014

Marco Duguay

M. Marco Duguay se présente comme membre bénévole du Collectif Carré Rose Montréal et se fait le porte-parole pour cet événement

Quand au principal porte-parole du Collectif, Monsieur Louis-Alain Robitaille, ce dernier est non seulement présenté sur la même photo du BBCM comme membre du comité organisateur du Black&Blue, IL VEND DES BILLETS POUR LE BLACK&BLUE, il a donc un intérêt financier ou personnel réel à annoncer le BBCM sur la page du Collectif, sans la moindre consultation que ce soit, associant les membres et partenaires à un événement commercial auquel ils ne voudraient peut-être pas tous participer, moi le premier. De quel droit est-ce que les porte-paroles du Collectif décidaient de partager un article promotionnel présentant de façon drôlement avantageuse, sans critique aucune, en impliquant l’ensemble du Collectif, un événement pourtant controversé financièrement? Ils n’en avaient pas le droit. Jamais je ne voudrais associer mon nom ou le nom de mes entreprises à une organisation aussi controversée que le BBCM et ma position est connue depuis au moins 15 ans.

BBCM

M. Louis-Alain Robitaille est présenté par le BBCM, sur cette photo, comme membre du Comité organisateur du Black&Blue 2014

BBCM

M. Louis-Alain Robitaille est présenté comme membre de la permanence, dans l’équipe de coordination du BBCM

En agissant ainsi, les porte-paroles du Collectif ont fait la démonstration qu’ils étaient inaptes à représenter le groupe ou, du moins, à le protéger de toute manipulation commerciale. Pire, en partageant ladite nouvelle, les porte-paroles cachaient un fait important que le public avait le droit de savoir, le fait qu’ils vendent des billets par derrière et qu’ils sont en fait, membres du comité organisateur du principal événement annuel du BBCM. En cela, la réputation du Collectif a été irrémédiablement atteinte de façon négative, sa crédibilité vient de passer au broyeur et ultimement, c’est l’existence même de ce formidable concept qui est maintenant en danger.

Lorsque j’ai écrit en privé par Facebook à M. Duguay, ce dernier a préféré bloquer mon accès à sa page pour ne pas avoir à répondre de ses actes. Quant à M. Robitaille, j’attends toujours les réponses à mes questions, ce dernier pensant que son silence règlerait tout, comme l’autruche qui se met la tête dans le sable pensant que le lion ne la verra pas… ERREUR!

Le Collectif Carré Rose n’est plus ce qu’il était à son lancement à l’automne dernier, il sert dorénavant les intérêts personnels de ses porte-paroles qui n’accordent plus aucune importance ni à la consultation des membres, ni aux règles naturelles concernant le conflit d’intérêt ni au savoir-vivre le plus élémentaire. Il est devenu l’outil personnel, le gadget, le joujou d’individus qui, même s’ils ne sont peut-être pas mal intentionnés, mêlent les intérêts du groupe avec leurs intérêts personnels et cela en notre nom Collectif.

Je me retire donc officiellement de cette farce, je retire l’appui de toutes les divisions du Groupe Gay Globe Média parce qu’en conclusion, c’est comme ça qu’on brise un concept qui avait tout un avenir, et je ne serai pas complice de cette destruction je vous l’assure.

Plus de 6000 danseurs ont participé au Black and Blue

Tuesday, October 11th, 2011

Cyberpresse
Plus de 6000 personnes ont convergé vers le Stade olympique de Montréal, dimanche soir, pour participer à la 21e édition de l’événement danse Black and Blue, selon les premières estimations transmises lundi par les organisateurs.

Dix-huit disc-jockey de renommée internationale répartis dans deux salles se sont succédé aux commandes de la musique dès 21h dimanche, du jamais vu dans l’histoire de l’événement, a ajouté Mélanie Roy.

C’était un retour au Stade olympique pour l’événement, qui avait tenu ses dernières éditions au Palais des congrès, retour fortement apprécié des danseurs, a soutenu la porte-parole.

Le «Black Jack 21», point culminant du 21e Festival Black and Blue organisé par la Fondation BBCM, vise aussi à soutenir les personnes atteintes du VIH/sida ainsi que les groupes communautaires homosexuels.

Selon Mme Roy, un changement s’est opéré au cours des années, puisque l’événement attire maintenant de plus en plus de personnes hétérosexuelles et de jeunes âgés de 18 et 25 ans. Le renouvellement de la clientèle serait en partie dû à l’ajout d’une salle consacrée à la musique «trance», un type de musique électronique populaire auprès de ces danseurs.

Plus de la moitié de la clientèle du festival provient de l’extérieur du Québec, souligne Mme Roy. Plusieurs touristes des États-Unis, mais aussi de l’Europe ainsi que de l’Australie, se trouvent actuellement dans la métropole afin de participer aux activités du Festival Black and Blue.

Mme Roy rappelle que tous les plans concernant la sécurité des danseurs ont été approuvés par le service de sécurité du Stade olympique. Les organisateurs ont travaillé de concert avec le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) pour prévenir au maximum le trafic de stupéfiants. Une seule personne a été arrêtée au cours de la soirée de dimanche, selon Mme Roy.

Les derniers participants du festival, qui ont déboursé entre 75 et 120$ pour entrer sur le site, devaient quitter les lieux vers midi, lundi.

L’an dernier, la Fondation BBCM avait remis quelque 50 000$ en dons à différents organismes oeuvrant pour la cause du sida.

1995- 1ère ronde de questions Questions moins importantes à poser Bad Boy Club Montréal et de Sida Bénévoles Montréal

Thursday, January 27th, 2011

Mémo du 19 février 1993 – BBCM

- Au sujet des explication sur les dépenses du “Saint at large”, Vézina dit avoir payé 5000$ U.S. en frais d’utilisation du nom et que RG s’est trompé avec l’éditorial.

• Un seul chèque a été envoyé au “Saint” pour la somme de 1999.84$ U.S. Chèque no. 020 daté du 7 septembre 1992. Il manque donc 3000$ U.S. soit, 4050$ can.

Bilan final du Black and Blue Party 1992

- Dons spéciaux: Gouvernement du Québec 3000$, venant probablement du Ministère du Tourisme.

- Facture du Métropolis: Elle n’est pas datée donc officiellement non comptabilisée dans les chiffres du Métropolis.

- 60 T-shirts de Steve Byer, facture non datée et non officielle,

- Caméléon, le BBCM aurait payé 1150$ pour des services d’infographie. On trouve sur le marché les mêmes services pour 660$.

• On facture deux fois pour le même service avec des noms différents: Conception graphique 400$ et Infographie 980$. Ces deux titres veulent dire la même chose. En gonflant la facture, on peut effectuer un faux don de 400$ comme indiqué sur la facture et gagner son profit quand même.

Factures de Gervais-Gagnon et associés

- Il se paie à lui-même des frais. Les chèques sont du BBCM et à l’ordre de sa propre compagnie. Il se facture aussi des taxes qui ne sont probablement pas versées.

• Total qu’il s’est versé pour un seul événement: 2783.77$

Location de locaux, bureau pour le BBCM

- Vézina affirmerait payer un loyer comme l’indique le bilan financier.

• Il n’y a aucun bail à son nom au dossier. Le compte bancaire ne démontre aucun paiement de loyer entre le 1er juin 1994 et le 29 décembre 1994. Comment expliquer alors les frais d’administration si élevés sans loyer?

Facture du 23 novembre 1992 de madame Thibaudat

- Il affirme avoir payé 220$ pour du traitement de texte à 20$/heure. • Le marché actuel offre le même service, par plusieurs annonces dans Voir et d’autres journaux pour environ 10$/heure. Il aurait payé le double de la moyenne. A noter que ce n’est pas une facture officielle et que les taxes ne sont pas perçues.

Bilan Wild and Wet 1993

- Il aurait payé un D.J. de New-York pour l’avion et l’hôtel: 490.76$

• Compte tenu du nombre d’invitations faites auprès des D.J. de New-York au cours d’une année, est-ce raisonnable de voyager ces gens alors qu’il y a tout ce qu’il faut à Montréal pour beaucoup moins?

Mémo du 19 février 1993

- Il affirme avoir l’aide financière de Burrows Welcome pour les timbres.

• Où sont les factures? la lettre d’acceptation?

Mémo du 19 février 1993

- Il affirme payer comptant pour éviter, en sous entendu, les taxes.

• C’est légal?

Communiqué BBCM 3 septembre 1993

- Il invite le groupe Captain Hollywood.

• Frais d’avion, d’hôtel et de bouffe? Les droits de l’Union des Artistes doivent être payés, facture? Ca coûte cher un groupe comme ca plusieurs fois l’année!

Communiqué 3 septembre 1993

- 4ème paragraphe:…but ultime,(…) pour Sida Bénévoles Montréal.

• Avec les 5000$ aux club aquatique et les 1000$ à la mission en Amérique du Sud, nous sommes loin de ce qui est traditionnellement annoncé par BBCM. Les acheteurs de billets et commanditaires acceptent t’ils qu’on prenne l’argent du SIDA pour ce genre de subvention? Consultation sur le sujet? Sondage auprès des utilisateurs?

Bilan final ACCM

- 3ème paragraphe: BBCM, un groupe……soirées bénéfices pour le SIDA…

• Toujours la question des 6000$ à autre chose que le SIDA et mentionné à la clause précédente. On est encore loin de la vocation annoncée par le BBCM et l’ACCM.

Bilan final ACCM

- 4ème paragraphe: Tous les fonds…..utilisés pour payer des dépenses légitimes. Factures vérifiées à l’appui.

• Pourtant le rapport final du Black and Blue 1992 indique: Montant résiduel dans le compte du BBCM de 1104.73$. L’affirmation contredit les faits.

Facture Mirror

- Total dû: 745.58$

• Le total a été modifié à la main, aucune nouvelle facture, aucune signature pour le nouveau solde.

Facture J.J. Fauchois, fleurs

- On affirme qu’il y a eu commandite.

• La réalité est qu’on a payé 404.46$ pour une supposée valeur réelle de 1500$.

Fax de Yves Guilbault inc.

- 1465$ pour décorer la salle.

• Aucune facture. Seulement un fax sans les taxes. C’est légal?

Chèque no. 021 à Jonathan Smith du 7 septembre 1992

- Payé en $ U.S.

• Qui est-ce? Facture? Taxes?

Reçu de Steve Byer

- 60 T-Shirts à 450$

• Facture officielle? Taxes?

Reçu de Michel Mercure, Transoptique inc.

- 3 bannières pour 600$

• Facture officielle? Taxes?

Frais BBCM C. Beaudry

- On y mentionne deux fois le terme promotion. Total de 148.52$

• Factures, Taxes, Gonflage de prix?

Communiqué du 15 septembre 1993 Solotech et Laserlite FX

• Factures? Taxes?

Suzanne Morabito de New-York

• Factures pour le voyage? hôtel? dépenses?

Communiqué du 15 septembre 1993

- Les T-shirts seraient commandités.

• Pourtant, les frais figurent dans le rapport des dépenses et le bilan ne fait pas mention d’un don.

- Page 2, par.5: Artiste invité

• Qui est l’artiste? Cachet? Droits de l’Union des Artistes?

Artistes invités de New-York

- Plusieurs artistes invités des Etats-Unis

• Et les visas de travail? Le Canada ne donne pas de visas de travail pour ce genre de travailleurs. Est-ce que l’Union des Artistes qui contrôle les droits a reçu paiement des taxes de travail pour tous les américains et les canadiens qui ont reçu 9000$ en cachets? La taxe de travail à la Guilde des Musiciens est de 9.2%

Communiqué du 14 avril 1994-BBCM Wild Wet 94

- Toujours ce D.J. de New-York.

• Cachets, hôtel, bouffe, artistes invités au même événement, combien, coût?

- Paragraphe 6: Partout et depuis toujours on indique que tout est au profit de Sida Bénévoles Montréal.

• Faux: Ils donnent aux autres fondations, 5000$ au club aquatique et 1000 à la mission en Amérique du Sud.

• Sur 4 membres du conseil d’administration du BBCM, 3 sont avec l’ACCM. Conflit d’intérêt?