Posts Tagged ‘piano’

Noel avec Disques A Tempo

Tuesday, December 2nd, 2014

Ouvertures Royales

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Mozart au piano Didier Castell-Jacomin et Disques A Tempo font la norme…

Tuesday, August 21st, 2012

Ça y est, de retour après plus de 12 ans de torréfaction, le fameux Mozart K.414 et K.415 est non seulement de nouveau disponible sur le marché et auprès de Gay Globe Magazine, il a aussi été remastérisé et relancé sous licence Disques A Tempo, avec l’aimable autorisation de l’artiste.

Cet enregistrement absolument historique a été fait à l’origine en Suisse en 1999 mais suite à ses ventes élevées du passé, s’est retrouvé indisponible sur le marché, laissant dans le deuil les véritables amateurs de Mozart qui savaient que le pianiste Didier Castell-Jacomin avait immortalisé de façon exceptionnelle, deux des oeuvres les plus aimées du répertoire des concertos de Mozart.

Pour la petite histoire, il est important de souligner que Disques A Tempo est une division de Gay Globe Média et du Groupe National et que l’auteur de ces lignes est propriétaire des divisions. Non seulement le lien est fait, il date de plus de 21 ans puisqu’avant d’être éditeur et journaliste, j’étais musicien (je le suis toujours heureusement) et chef de l’Orchestre symphonique des Solistes méditerranéens de Nice, dans le sud de la France. Or, en 1991, dans le cadre de la présentation de deux concerts d’amitié France-Québec, j’avais découvert un jeune pianiste qui maniait le Mozart d’une façon spectaculaire, avec une intensité dramatique inusitée, ce jeune pianiste de l’époque était Didier Castell-Jacomin. Il n’en fallait pas plus pour que les deux musiciens que nous sommes s’unissent à nouveau pour la création d’un nouveau CD, aujourd’hui disponible pour les mélomanes.

La toute nouvelle production de Disques A Tempo, présentant les concertos 13 et 14 (K.414 et K.415) de Mozart est offerte gratuitement à tous les clients du groupe Gay Globe mais peut être téléchargé au coût de 9,99$ à partir du http://www.le-national.com/jacomin-mozart.html

À noter que le pianiste est accompagné des experts  du Quatuor des Solistes de l’Orchestre de Chambre du Philharmonique de Berlin, rien de moins!

En versions téléchargées MP3 ou directement sur CD, on peut commander le produit par internet ou au 514-728-6436, directement à nos bureaux…

Le pianiste québécois a rencontré Liberace à trois reprises… Richard Abel nous raconte Liberace

Wednesday, June 15th, 2011

Par Roger-Luc Chayer
[email protected]

Photo Richard Abel et Liberace (Avec l’aimable autorisation de Richard Abel)

Le pianiste Richard Abel recevait Gay Globe Magazine chez lui, début juin 2011, pour partager ses souvenirs de Liberace. Gay Globe y a découvert un artiste d’une grande sensibilité et surtout, d’une grande générosité.

En le croisant quelques minutes avant la fermeture du salon funéraire, lors de la cérémonie montréalaise en hommage à la mémoire de la défunte Alys Robi, j’ai profité d’un moment un peu moins formel pour saluer ce grand artiste québécois, présent par hasard en même temps que moi et lui demander s’il accepterait de nous accorder une entrevue sur Liberace.

Égal à sa réputation, Richard a tout de suite accepté et a invité Gay Globe à sa résidence, quelques jours plus tard. Dès le début de notre entretien, Richard Abel avait une surprise pour les lecteurs. Une photo de lui et de Liberace, datant du début des années 80, lors d’une des trois rencontres qui allaient changer la vie du jeune pianiste québécois tant l’influence de la star allait être grande.

“Il était à la fois d’une très grande simplicité, facilement abordable et sincère, loin de l’image qu’on pouvait peut-être se faire du flamboyant Liberace, de ses costumes et de ses décors de spectacles”, nous raconte Richard Abel, la flamme dans les yeux avec tant de souvenirs.

“Il m’a beaucoup inspiré quant au sérieux du travail de pianiste en m’expliquant lors de nos rencontres que la discipline est ce qui fait la différence dans le succès d’un vrai artiste”.

Liberace avait une image clairement identifiée au showbiz, à l’élégance et à tout ce qui était délicieusement démodé. Il savait exploiter un style qui plaisait à un public surtout constitué de personnes plus âgées mais avait aussi des admirateurs chez les plus jeunes.

Quand, au Québec, on mentionne que Richard Abel est une sorte de Liberace local, bien que l’affirmation ne soit pas offensante pour lui, Richard aime bien tempérer et dire que Liberace a clairement été une influence pour lui dans la manière, mais que dans la forme, il a son propre style, n’utilisant les costumes et décors que quand le thème s’y prête: “La plupart du temps lorsque je suis en concert, je suis en veston-chemise tout ce qu’il y a de plus classique”, conclut le pianiste populaire québécois qui a la cote plus que jamais.

Roger-Luc Chayer (Gay Globe) et Richard Abel. Photo Gay Globe Média

Quant à l’homosexualité présumée de Liberace, Richard est convaincu qu’il la vivrait aujourd’hui avec beaucoup plus de facilité, “les temps changent, il aurait été plus à l’aise…”

Richard Abel:
Quelques chiffres intéressants
Par Roger-Luc Chayer
Photo Gay Globe Média

*25 ans de carrière

*Quinze albums

*Quatre DVD

*Trois vidéoclips

*Deux disques platine

*Six disques d’or

*Cinq Félix pour l’album instrumental de l’année (1992, 1997, 2001, 2005 et 2008)

*Un spécial PBS

1997- Serge Danis, pianiste À propos de Liszt…

Thursday, January 27th, 2011

Justement, parlons-en de ce premier disque dédié au célèbre amoureux du piano qu’était Franz Liszt (1811-1886). D’abord, il faut savoir que Serge Danis n’est pas vraiment pianiste, il est plutôt informaticien:<<… Je ne me considère pas comme un pianiste professionnel parce que je ne voudrais pas me comparer à Louis Lortie ou à Louise-Andrée Baril…>> aime t-il nous rappeler. J’ai des petites nouvelles à lui annoncer à ce trop modeste pianiste. À première audition, on se surprend de la sonorité du piano. En effet, Serge a choisi d’enregistrer avec le piano du Collège Marianopolis de Montréal et c’est un excellent choix. Une sonorité veloutée et un doigté absolument enivrant font de son répertoire un plaisir à écouter particulièrement dans les moments où on préférerait un peu de paix.

Né en 1964 à Montréal, Serge a débuté le piano à l’age de 12 ans sous la direction de Josée Turcotte. Il a ensuite fait la rencontre de Marc Durand qui l’a aidé à mieux parfaire son art. Serge a été finaliste provincial aux Concours de musique du Québec et a joué comme soliste avec l’Orchestre Civique des Jeunes de Montréal sous la direction de Louis Lavigueur qui est, à mon avis, le meilleur chef d’orchestre au Canada.

Coup de théâtre, plutôt que de se diriger vers le piano comme il aurait été logique de le faire pour un tel talent, Serge a choisi de suivre les conseils de son portefeuille et s’est dirigé vers la carrière plus lucrative d’informaticien. Aujourd’hui, Serge Danis nous revient avec son talent et nous offre les plus belles oeuvres de Liszt.

Liszt disait:<<… Je ne vis pas en moi-même, mais je deviens une part de ce qui m’entoure>>. À l’écoute du programme, on peut deviner le sens de la pensée du compositeur tellement l’interprétation est appropriée. Le disque propose les titres suivants: Années de pélerinage-2e année, Italie (l’andante), Liebesträume no.3, Variations sur le thème de Bach, Consolation no.3, études de concert no.3 “Un Sospiro” et la Sonate en si mineur.

Le disque de Serge Danis est une réussite technique qui ferait rougir plusieurs pianistes habitués des enregistrements. Il est à souhaiter que les médias prennent leurs responsabilités en reconnaissant le talent de ce jeune pianiste et en lui donnant la place qu’il mérite dans leurs pages. Ils pourraient en profiter pour réaliser qu’il y a autre chose que Lortie au Québec. Le disque est en vente chez Archambault et plusieurs autres disquaires de Montréal.

R.L.C.

1997- Le Festival Image et Nation. Un pianiste qui montre des dents.

Thursday, January 27th, 2011

730 jours de silence, deux années entières à se faire ignorer, 104 semaines de disparition, voilà le dernier palmarès des organisateurs du Festival Image et Nation qui semblent nous bouder. En effet, depuis deux ans, nous ne recevons aucun communiqué de presse, aucune invitation aux premières, aucun billet gratuit pour nos journalistes ni de demandes de commandites publicitaires. Comme si nos 45 000 lecteurs étaient trop peu importants pour qu’on les invite et les informe de l’existence d’un festival de films gais.

On a beau chercher les raisons de ce silence, il y en aurait beaucoup… Est-ce qu’on aurait peur de nous, de nos critiques, de notre journalisme engagé? Le responsable de cet événement étant Yves Lafontaine, rédacteur en chef chez un autre média gai, est-ce qu’il y aurait favoritisme? Tant qu’à y être: Quel est l’intérêt des organisateurs de cet événement à ignorer certains médias gais? Monsieur Lafontaine ne semble vouloir s’adresser aux gais que par l’entremise de sa publication qui est fortement représentée sur le programme. Comme nos 45 000 lecteurs achètent des billets à ce festival et comme plusieurs s’inquiètent de ce silence, RG a sollicité une entrevue avec le Président Yves Lafontaine.

D’abord, Monsieur Lafontaine a vite rejeté toute accusation de favoritisme en indiquant bien qu’aucun média n’avait reçu les programmes ni les invitations:<<…Le fait que RG ne reçoive rien depuis quelque temps relève plus d’une erreur stratégique que d’une réelle volonté…>> affirmait ce dernier. De plus, Monsieur Lafontaine se voulait catégorique et nous promettait de veiller à ce que l’an prochain, les lecteurs de RG soient mieux informé. Qui vivra verra!

Clément Joubert est un pianiste de 22 ans qui sait en mettre plein la gueule de son public. D’abord, il faut savoir que ce jeune pianiste n’a de jeune que son âge. On pourrait parler de grande maturité, d’agressivité et de scintillement à propos de son style d’interprétation ce qui sont généralement des caractéristiques de pianistes plus âgés.

Joubert n’est pas franchement connu dans le monde des musiciens classiques de Montréal, du moins, pas sur une grande échelle mais il aura su jusqu’à maintenant se placer les pieds aux bons endroits. Double bachelier en interprétation et en théorie musicale de l’Université McGill spécialité piano, cours de maître avec les plus grands pianistes québécois dont Louis Lortie, Marc Durand et Marietta Petkova. À 22 ans, il devenait le directeur-fondateur du Camp Musical de jour du Conservatoire de Musique de McGill, ce qui est bien là la consécration de son jeune talent.

Clément est actuellement à préparer un petit démo qui aboutira sûrement, nous le souhaitons tous, à un disque compact. En attendant, il travaille le meilleur de lui même et reste à la disposition de ceux qui voudraient organiser des concerts de piano classiques ou plus romantiques. Clément Joubert 278-1921.

1994- SOPHIE PICARD Maître chanteuse

Thursday, January 27th, 2011

Mais qu’est-ce qui m’arrive? je suis là, assis sur un nuage à entendre des voix d’anges qui arrivent de partout à la fois. Je dois rêver tellement ça semble irréel. Je vois des dizaines de lumières éclatantes virevolter toujours sur ce fond de voix d’anges. Enfin j’ouvre les yeux et hop! Retour à la réalité, ce ne sont pas des voix d’anges mais bien les Voix d’Elles, ce charmant petit choeur qui chantonne pour moi et 200 autres spectateurs à la Maison de la Culture Frontenac.

La directrice de ce bel ensemble est nulle autre que Sophie PICARD, qui dirige ses ouailles comme une mère poule protège ses petits poussins. Le geste ample et le regard profond sont les ingrédients d’un unisson parfait.

Oh mais quelle femme cette Sophie. Déjà qu’elles sont rares à être publiées dans R.G. (voir Alys ROBI) il fallait beaucoup de persuasion pour faire parler ma vieille amie d’enfance. On comprend pourquoi car c’est une véritable bombe d’énergie qui se cache derrière une personnalité d’apparence plutôt calme et je dirais même langoureuse.

Sophie PICARD a 29 ans et est sûrement une des personnes les plus attachante que je connaisse. On a qu’à observer le regard de ses chanteuses sur leur chef, il est facile d’y retrouver une extraordinaire symbiose amoureuse. Sophie a d’ailleurs le sentiment d’être en quelque sorte une mère pour son groupe; Cette dépendance entre l’enfant et l’adulte, la confiance en soi que seule une mère peut donner à son enfant, en fait c’est pas compliqué, c’est ca l’amour!

Sophie PICARD est une fille qui fait un million de choses différentes en même temps et qui sait bien les faire. Elle sortait récemment sur disque compact une oeuvre composée par elle même pour piano et interprétée par la pianiste Louise-Andrée BARIL. Un succès puisque la demande des partitions est importante et que la critique est unanime à lui trouver un sens de l’écriture musicale digne des grands classisistes (#). Sophie n’entre pas dans l’image du vedettariat même qu’elle s’en défend. Elle avoue tout de même être très fière du résultat de sa première expérience de disque compact: “La pièce POUR ELLE se voulait d’abord une sorte d’hommage à l’amour déçu, le genre de peine d’amour qui fait mal à la gorge et qui ne passe qu’avec les années”. On dit souvent que le malheur des uns fait le bonheur des autres… Dans ce cas ci, la vérité de ce dicton est effrayante.

En plus de composer et de diriger son ensemble vocal, Sophie s’impliquait jusqu’à récemment dans un groupes de lesbiennes et dans la cause de la défense des droits des homosexuels. On parle au passé car depuis peu, elle ne crois plus pouvoir assumer quelque rôle que ce soit et notamment au sein de la table de concertation des gais et lesbiennes à cause de ce qu’elle perçoit comme étant un abus de pouvoir permanent de la part du Conseil d’Administration de la table. D’après Sophie, il était devenu impossible de faire entendre quoi que ce soit au Comité de coordination de la table, qui n’avait de cesse d’ignorer voir même de diminuer publiquement les suggestions et propos des lesbiennes présentes:” La société actuelle est déjà assez remplie de jeux de pouvoir et de discrimination sans qu’on doive le vivre parmi ses pairs. A force de se faire dire de se la fermer, il me semblait plus acceptable de me retirer dignement”. Sophie avoue que ses principales préoccupations sociales vont vers ceux qui n’ont pas peur de l’évolution…

Le plus grand bonheur de Sophie PICARD est de présenter ses spectacles et surtout de rendre son public heureux. Son plus grand malheur a été le décès

de sa grand-mère à l’âge de 15 ans. Par contre, si Sophie avait en sa possession une baguette magique lui assurant la réalisation d’un seul souhait quel serait-il? Elle avoue, après une longue réflexion, qu’elle la garderait surement pour un usage ultérieur, au cas où. Oh peut-être qu’elle l’utiliserait pour soulager ses éventuelles souffrances physiques à la fin de sa vie mais elle n’en est pas vraiment certaine. En tout cas, c’est bien là le comble de l’économie… Enfin, pour terminer avec l’artiste, je vous dirais simplement qu’il ne faut surtout pas manquer les concerts de Sophie PICARD, à voir la mine des spectateurs à la sortie de la salle, le spectacle en vaut la chandelle.

(#) disque Quintette National no. 0764011 en vente chez Priape, l’Androgyne et Maximusique.

(#) Les partitions manuscrites de l’oeuvre “POUR ELLE” sont en vente dès maintenant au 376-0253.

55- Didier Castell-Jacomin : 17 ans après

Saturday, December 18th, 2010

Dans la dernière édition du Point, nous vous parlions du jeune pianiste Didier Castell-Jacomin qui avait commencé sa carrière sous la direction d’un autre jeune chef d’orchestre, l’auteur de ces lignes et éditeur du Point, voilà que Didier nous fait signe et que le contact est rétabli!
Didier Castell-Jacomin est LE spécialiste du répertoire de Mozart au monde et ses activités de pianiste concer- tiste le mènent principalement un peu partout en Europe et aux États-Unis où il est régulièrement invité à se produire dans les plus prestigieuses salles de concerts dont le Carnegie Hall de New York. Dans notre dernière édition, je vous racontais que j’avais eu le plaisir et surtout le privilège d’avoir produit le premier concert sympho- nique mettant en vedette Didier Castell-Jacomin, dans un concerto de Mozart, le K. 414 et que ce dernier avait par la suite poursuivi sa carrière en conservant cette oeuvre dans son répertoire.
Après avoir tenté par tous le moyens possibles à ma disposition de retracer et surtout de contacter Didier, voilà que par un matin de mars, je tombe sur une page d’un service Web de retrouvailles d’anciens étudiants et que j’ai enfin la possibilité de lui envoyer un courriel. “Allo, est-ce que je parle bien avec Didier Jacomin qui a joué sous la direction de Roger-Luc Chayer”, lui ai-je demandé par courrier électronique… Et à partir de ce moment- là, un formidable échange s’est produit, autant par courriel que par téléphone et par la suite par webcam.
Et pour sceller ces retrouvailles, un documentaire sera produit à l’automne 2008, lors d’un passage du pianiste au Carnegie Hall de New York et l’on pourra voir les deux musiciens, 17 ans après leur premier concert sym- phonique, renouer en personne et travailler sur quelques mouvements du concerto qui aura lancé la carrière du
Didier Castell-Jacomin : 17 ans après
D
ppianiste maintenant de réputation internationale.
Didier Castell-Jacomin a, depuis, produit quelques enregistrements commerciaux vendus sous l’étiquette Caliope dont le fameux concerto no.12 de Mozart et le no. 13 K415 qu’il interprète avec le Quatuor des solistes de L’Orchestre de chambre du Philharmonique de Berlin.
Un second enregistrement propose quant à lui la Fantasia pour piano en C mineur, K. 475 de même que de nombreuses autres oeuvres.
La carrière du pianiste, à ses premiers soubresauts, peut être vue et entendue directement sur GGTV au www.gayglobe.us, section musique et GGTV mettra en diffusion, dès novembre 2008, le documentaire de réunion entre les deux musiciens tout à fait gratuitement. Ne manquez pas un événement historique émouvant comme on en voit peu.

54- Petit pianiste deviendra grand

Saturday, December 18th, 2010

Un jeune pianiste découvert en 1991 est en train de faire carrière internationale comme concertiste avec une oeuvre qu’il enregistrait avec le chef d’orchestre Roger-Luc Chayer, qui est maintenant éditeur du Point et auteur de ces lignes.
Didier Castell-Jacomin, qui n’avait que la jeune vingtaine en 1991, habitait et étudiait le piano à Nice, dans le sud de la France, au Conservatoire national de région de cette ville, sous l’habile direction de la pianiste G. Cziffra. Je l’ai connu alors que comme corniste au même conservatoire nous avions des amis communs dont Martine Gualla et nous nous croisions tout bonnement sans jamais vraiment penser à mettre nos efforts en commun, jus- qu’au moment où, me retrouvant à la tête de l’Orchestre des Solistes Méditerranéens, j’ai dû organiser deux con- certs d’amitié France-Canada devant comporter un programme léger et mettant en vedette des talents locaux. Quant aux musiciens de l’orchestre, ils venaient tous d’orchestres de la région comme l’Orchestre de l’Opéra de Nice, l’Orchestre Philharmonique de Nice, l’Orchestre régional de Cannes ou l’Orchestre de l’Opéra de Monte- Carlo et occupaient, pour la plupart, des postes de solistes d’où le nom de l’orchestre sous ma responsabilité.
Nous avions aussi un budget qui provenait en partie des autorités gouvernementales de la région du sud de la France, mais surtout, l’intérêt et l’amitié du maire de Nice, du Canadian Club de Monaco, de la Chambre de commerce France-Canada et de nombreux commerçants dont la directrice générale de l’hôtel nous fournis- sant l’hébergement, Lydie de l’Hôtel Le Scribe, toujours à Nice. Les autorités canadiennes étaient aussi très intéressées par un orchestre européen dirigé par un jeune chef québécois. Le maire de Montréal Jean Doré, le député André Boulerice, le délégué général du Québec à Paris, l’ambassadeur du Canada à Paris et le consul du Canada à Monaco s’étaient unis pour soutenir l’organisation de ces deux concerts.
C’est à ce moment que le jeune Jacomin est arrivé, tout bonnement lors d’une conversation, en me disant qu’il aimait beaucoup Mozart, qu’il aimerait offrir au public une première en présentant un concerto pour piano et orchestre et qu’il croyait que l’Orchestre des Solistes Méditerranéens serait un excellent tremplin pour lancer sa carrière. L’idée était bonne et tout le monde s’est retrouvé au travail. Deux concerts ont été offerts dans ce cadre spécial, avec des salles combles, une couverture média importante, la veuve de Gilles Villeneuve était présente au concert inaugural et le tout a été filmé et transcodé par Radio-Canada. Les principaux moments du concertsétant diffusés aujourd’hui sur Gay Globe TV au www.gayglobe.us, dans la section musique, sous la rubrique “Concert symphonique, Orchestre des Solistes Méditerranéens”.
Après avoir obtenu les récompenses finales au Conservatoire de Nice, Didier a fait la connaissance de Catherine Collard qui lui a enseigné pendant deux ans jusqu’à son entrée en 1989 à l’École Internationale de Piano dirigée par le maestro Fausto Zadra à Lausanne en Suisse. Zadra a radicalement changé la vision du piano de Didier et depuis, Didier Castell-Jacomin monte aux plus hauts échelons d’une carrière de soliste en mettant en valeur une sensibilité telle dans son interprétation que le public est conquis par la chaleur des prestations offertes par le pianiste, qui se fait toujours l’ambassadeur de la ville de Nice dans le monde. Ses services sont requis et il est invité dans les plus grandes capitales musicales du monde comme en Italie, aux Pays-Bas, à Monaco, en Norvège, en Angleterre, en Allemagne ou aux États-Unis. Il a donné des concerts dans les salles les plus presti- gieuses comme au Concertgebouw à Amsterdam, à la Philharmonique de Berlin, au Cooper Union Great Hall de New York et, mais non les moindres, au Carnegie Hall de New York et à la salle du Baden-Baden Philharmonie.
Didier Castell-Jacomin a enregistré et immortalisé quelques oeuvres symphoniques de Mozart et, à mon plus grand plaisir puisque j’ai été son premier chef et celui qui lui aura donné son premier concert symphonique, il a produit un CD sous l’étiquette Calliope, vendu sur Amazon, comportant… le concerto K. 414 de Mozart, exacte- ment celui qui a lancé sa carrière. Fierté de chef oblige, je voulais le partager avec les lecteurs. Ceux qui sou- haitent entendre Didier Castell-Jacomin peuvent aller consulter son site Web au http://www.myspace.com/di- diercastelljacominpiano ou aller le voir en personne lors de ses prochains passages au Carnegie Hall de New York à l’automne 2008, peut-être en ma compagnie qui sait? L’horaire des concerts est sur son site Internet.

70- Tendresse Russe Didier Castell-Jacomin, l’incorrigible pianiste

Thursday, August 19th, 2010

Par Roger-Luc Chayer
Photo Cristal Records

Ça-y-est, il nous a encore refait le coup, il nous prend par les oreilles, nous balance son piano en pleine tronche, nous brise le coeur avec son interprétation et ensuite, il repart doucement dans l’ombre préparer son prochain coup. Un vilain garnement ce Didier Castell-Jacomin? Pas du tout, un génie plutôt!

Car voilà un musicien classique qui a tout compris dans l’art de jouer de son instrument et de le faire apprécier par son public. Il ne vient que très rarement sur la scène, se consacre à la réflexion et à l’approfondissement de sa sonorité et nous livre quand il le peut, mais pas assez à mon goût personnel, un CD ou une prestation publique mémorable pour tous.

Didier Castell-Jacomin est bien connu des lecteurs et des auditeurs de Gay Globe Média pour les entrevues qu’il nous accorde régulièrement et aussi parce qu’il est ouvertement gai et supporte des oeuvres sociales qui lui tiennent à coeur. Chic type.

Il est surtout connu pour son franc-piano, un style d’interprétation absolument unique et différent de ce qui se fait dans le Main Stream du piano classique et cette différence est actuellement harnachée et mise en valeur par le label Cristal Records.

Castell-Jacomin tire son inspiration artistique de ses études au Conservatoire National de Nice mais surtout de sa rencontre avec celui qui deviendra son professeur et mentor, Fausto Zadra, dans les années 90.

Ce qui le distingue le plus dans son style est sans contredit la sonorité qu’il arrive à produire avec un instrument qui n’offre justement pas de telles possibilité habituellement. Nous connaissons tous le piano qui, hélas, peut parfois être redondant ou répétitif dans ce qu’il propose. Castell-Jacomin, lui, arrive avec des oeuvres connues mais repensées et surtout réinterprétées à la sauce Jaco. Le produit fini devient une toute nouvelle oeuvre.

Pour résumer le plus simplement du monde le style et la sonorité “Castell-Jacomin”, il suffit de penser à un piano très gros,  à une sonorité très riche et puissante, loin des petites notes gnan-gnan agaçantes, le doigté est d’une légèreté absolue, c’est-à-dire qu’il effleure à peine les touches pour parfois ne laisser passer qu’une impression de note plutôt qu’une note franche, le tout, pour notre pure délice, vous verrez.

Tout le CD “Tendresse Russe” s’inscrit d’ailleurs bien dans cette lignée d’une sonorité sombre et grandiose. Commandé par le magazine La Lettre du Musicien, il accompagne d’ailleurs les 4000 premières éditions du spécial Piano de la célèbre revue française qui consacre l’édition 2010 à la musique russe.

Quand il sort de son studio, Didier Castell-Jacomin se donne à de rares occasions en public et on pourra le voir par exemple à l’ouverture du Festival de Munster en avril 2011. Il reviendra vite dans les studios de Cristal Records car deux productions sont prévues en 2010-2011. Un CD consacré aux femmes compositrices et une participation à un CD “Made in Canada” avec l’auteur de ces lignes.

Enfin, pour ceux qui voudraient entendre l’objet de cet article, visitez le http://www.tradebit.com/filedetail.php/104214729-tendresse-russe et dégustez un extrait de chaque oeuvre de Tendresse Russe tout à fait gratuitement.

Ceux qui, par contre, voudraient acheter le CD, ne manquez pas l’offre du siècle, il est en effet offert au prix ridicule de 1 Euro sur le site de Cristal Records au  www.cristalrecords.com, section des albums, une aubaine pour une douzaine d’oeuvres aussi rares qu’inusitées.

À vos claviers chers lecteurs et bon appétit…

Didier Castell-Jacomin

Saturday, February 27th, 2010

Didier Castell-Jacomin: Le plus grand spécialiste du Mozart au monde nous accordait une entrevue lors de son séjour à New York dans le cadre d’une série de concerts dont un au Carnegie Hall. Didier Castell-Jacomin, en 1991, avait été découvert par Roger-Luc Chayer, alors chef de l’Orchestre symphonique des Solistes Méditerranéens de Nice (France) qui l’avait produit pour un premier concert symphonique à vie. Maintenant devenu une sommité dans son art, le pianiste renvoie la balle à son chef et lui accorde une entrevue Internet avec extraits musicaux. http://www.gayglobe.us

Luke Parkin

Thursday, January 14th, 2010

American/Canadian Recording Artist & Composer
Luke Parkin resides in Victoria British Columbia,
Canada.
Originally from Massachusetts, he studied classical music assiduously
from childhood demonstrating an exceptional facility at the keyboard
from the age of 6. He later studied performance at the University
of Massachusetts, Amherst, Mount Holyoke College, and San Jose
University in California.
An artist like Luke Parkin does not come along often. One wonders which
quality of this extraordinary creative young man is most exceptional:
his enormous, 68 album catalog of recordings, comprising a multitude
of genres, his impressive aptitude at the keyboard, his originality of
sound, his good looks, or the fact that he is solidifying such a solid
musical career by the young age of 27 and making a unique impression. Luke has proven himself adept in all aspects of music making,
from the first inklings of melody writing to the highly specialized and
technical world of recording production and engineering. Luke is a
one-man-show; a comfortable wearer of any music-related hat.
Parkinʼs music is transcendent in many ways. His capabilities are far
beyond his years and the shear breadth of his body of work and prolific
output is representative of a tremendous ambition to create.
His years of training and firm grasp of serious music inform his
pieces, which seem to continue in natural succession from his greatest
influences: the great composers of the past.
His genius is evident in his many recorded improvisations, which seem
gracefully effortless. His music stubbornly defies any one requisite
style as he continues to cross-pollinate and experiment with sound in
a wide array of genres; including contemporary classical, electronica,
pop, film and t.v. scores, experimental as well as commercial music.
His most recent artistic endeavors consist of three full piano albums
which fully testify to his ever changing approach to the instrument
that he calls his first love. “Suite Hypercube”, “Piano Etudes”, and
most recently, “Winter Journal” are as different musically as they
are aesthetically. Winter Journal, released on December 21, 2005 is
perhaps the most contemplative and uncomplicated of Parkinʼs entire
works. The album is his first major commercial release to date yet
Like so much of his output, it is a perfectly natural, uncompromised
extention of his artistic self.

Culture CD Didier Castell-Jacomin récidive

Thursday, August 27th, 2009

Après des années d’un silence numérique trop intense, même s’il se promenait de par le monde pour se faire entendre, il nous revient avec un nouveau CD “grand cru”, du piano comme il ne s’en fait plus…

Didier Castell-Jacomin est le spécialiste du Mozart et du Haydn international par excellence, c’est d’ailleurs le surnom qu’on lui donne dans certains cercles privés, là où on sait reconnaître “Son Excellence” non seulement au piano mais dans sa vision de la musique d’une autre humanité.

Le pianiste français maintenant hollandais d’adoption vient de commettre un nouvel enregistrement, fruit de nombreux mois de travail intense et offert à ceux qui veulent redécouvrir le piano dans sa forme la plus riche, dans le style Castell-Jacomin. Ce nouvel enregistrement, sous étiquette Cristal Records Classic propose treize oeuvres toutes de Frédéric Chopin, sous une compilation du nom de Polonia.

“Dans Polonia, Didier Castell-Jacomin transforme les sons en pure musique, comme le ferblantier transforme le fer en épée!”

Parlons-en de l’interprétation de Castell-Jacomin. Dès la moitié de la première plage, on se laisse totalement emporter non seulement par la pureté du son, une réussite technologique extraordinaire pour la maison Cristal en passant qui, avec cet enregistrement, se lançait pour la première fois dans le label classique, mais aussi par la vision unique que nous livre le pianiste de son Chopin.

Il est hypnotique, transcendant et franchement pour l’auteur de ces lignes, c’est du “jamais entendu”! Didier Castell-Jacomin donne une leçon de piano qui viendra, j’en suis certain, bouleverser les normes connues jusqu’ici dans les différentes versions de Chopin que les pianistes nous livraient dans les enregistrements produits jusqu’ici. Nous assistons et sommes les témoins passifs, à l’écoute de ce CD, à une expérience sonore qui grave définitivement dans la pierre, l’école de style Castell-Jacomin. Il aura de nouveaux adeptes j’en suis certain dès la sortie de ce CD au Canada, qui ne devrait pas tarder on l’espère. Pour les plus pressés, on peut commander le CD directement à partir du réputé site http://www.amazon.fr qui fait la livraison partout dans le monde.

Né en 1970, Didier Castell-Jacomin commence dès son plus jeune âge l’étude du piano. En 1985, il entre au Conservatoire de Nice dans la classe de Françoise Jacquin et en sort diplômé des classes de piano et de solfège ainsi que de déchiffrage, en 1989. Il reçoit les conseils de Catherine Collard et de Gyorgy Cziffra. Lors de son passage au Conservatoire de Nice, il fait la connaissance du corniste et chef d’orchestre Roger-Luc Chayer, qui écrit aujourd’hui ces lignes, et se produit pour la première fois en concert symphonique avec l’Orchestre des Solistes Méditerranéens de Nice.

C’est en 1991 qu’il rencontre le maestro Fausto Zadra avec lequel il étudie à “ l’École Internationale de Piano, Fondation CIEM-Mozart “. Cette rencontre constitue un tournant dans sa manière de concevoir la musique et plus particulièrement le piano. En 1995, il est engagé pour le Festival International de Valence en Espagne, puis crée la même année, le Premier Festival International de Musique Classique de Nice, la région la plus riche du sud de l’Europe.

TIRAGE: Dans le cadre de cet article, nous recevions deux exemplaires du nouveau CD. Il nous fait donc plaisir d’en faire tirer un aux lecteurs de Gay Globe Magazine. Veuillez simplement nous envoyer un petit mot avec votre adresse de retour et la réponse à la question suivante: De quelle origine est Didier Castell-Jacomin et nous ferons parvenir à la 10e réponse reçue le CD. Écrivez-nous à Gay Globe Magazine, C.P. 172 Succ. Rosemont, Montréal, Québec, Canada H1X 3B7.

L’événement Castell-Jacomin sur GGTV

Thursday, December 4th, 2008

Le voilà, après avoir été tant annoncé depuis des mois sur GGTV ou dans Le Point, l’événement classique Castell-Jacomin est disponible pour visionnement sur GGTV au www.gayglobe.us.

Il s’agit d’une entrevue entre le pianiste concertiste et l’éditeur du Point sur leurs vieille amitié et leurs souvenirs de l’époque où Roger-Luc Chayer dirigeait l’Orchestre des Solistes Méditerranéens de Nice en France et du premier concert symphonique du pianiste.

GGTV présente aussi un concert du pianiste au Yamaha Center de New York tourné le 21 novembre 2008 accompagné du Bulgarian Virtuosi. Un moment intense à ne pas manquer!

DEUX NIÇOIS FONT BRILLER NICE AUX ÉTATS-UNIS ET AU CANADA

Sunday, November 30th, 2008

Deux niçois font briller la Ville de Nice en ce moment, l’un à New York et l’autre à Montréal. Il s’agit du pianiste concertiste Didier Castell-Jacomin et du corniste-chef d’orchestre Roger-Luc Chayer.

Didier Castell-Jacomin, qui était de passage dernièrement à l’Acropolis de Nice effectue une tournée du nord-est des Etats-Unis dans une série de huit concerts au Carnegie Hall, au Yamaha Center et à Minneapolis dans un programme absolument olympien comportant deux concerti pour piano et quatuor à cordes de Mozart et un concerto pour piano et quatuor à cordes de Joseph Haydn.

Castell-Jacomin, qui a interprété pour la première fois à Nice en 1991 le K.414 de Mozart a décidé de reprendre l’œuvre en hommage à Roger-Luc Chayer qui a été son premier chef d’orchestre et qui a décidé en 1991, alors qu’il était à la tête de l’Orchestre des Solistes Méditerranéens de Nice, de propulser le jeune pianiste sur la scène internationale en le programmant dans le cadre de deux concerts d’amitié France-Québec. Les villes de Nice et de Montréal étant jumelles.

Roger-Luc Chayer a été récemment invité à interpréter La Marseillaise, face à l’Assemblée nationale du Québec dans le cadre des célébrations du 400ème anniversaire de la fondation de Québec en Nouvelle-France. Cette prestation solo au cor ayant été saluée par le Premier ministre du Québec Monsieur Jean Charest, par le Premier ministre de la France Monsieur François Fillon et par le Président de la France Monsieur Nicolas Sarkozy. Roger-Luc Chayer possède la double nationalité française et canadienne.

Un documentaire soulignant la réunification du maestro et du pianiste maintenant devenu concertiste, qui se reverront pour la première fois 17 ans après leur prestation à Nice en 1991, est en préparation et sera diffusé dès février 2009 sur les télévisions culturelles francophones. Ce document comportera des extraits musicaux dont un duo interprété par les deux musiciens, une Romance sans Paroles de Mendelssohn.

Didier Castell-Jacomin et Roger-Luc Chayer sont issus du Conservatoire national de Nice sous la direction de Monsieur André Peyregne et sont passés par les classes de Catherine Collard (piano), de Françoise Jacquin (piano), de Paul Warin (cor) et de Paul Jamin (musique de chambre).