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Alerte à la fraude!

Sunday, February 16th, 2014

COMMUNIQUÉ: Par Disques A Tempo

Le label canadien Disques A Tempo, spécialisé en productions de musique classique sur CD, souhaite aviser le public qu’une situation ayant les apparences d’une fraude se produit actuellement sur Internet.

En effet, deux de ses productions récentes soit “Ouvertures Royales” et “Didier Castell-Jacomin; sonates de Mozart” sont actuellement utilisées par un individu du nom de Benjamin Antigny (France) et son site web telecharger-mp3-gratuit.com et propose à son public le téléchargement gratuit (illégal) des deux CD. Il prétend le faire en toute légalité en utilisant un stratagème de fraude connu pour tenter de contourner les lois internationales et la Convention de Berne sur le droit d’auteur.

Dans les faits, il utilise les bandes audio appartenant à Disques A Tempo, dans certains cas, à l’intérieur d’une vidéo qui n’a rien à voir avec les CD, place les vidéos sur Youtube pour ensuite pouvoir dire qu’il s’agit de liens externes qui ne le concernent pas et, dans d’autres cas, utilise le nom de la société Disques A Tempo ou de ses artistes et artisans avec des bandes sonores qui n’ont rien à voir avec ces personnes, donnant ainsi une terrible réputation professionnelle pour ceux qui jugeraient les extraits de très mauvaise qualité et mal interprêtés pour se faire une opinion de la société ou de ses artistes.

À noter qu’à l’été 2013, un autre site internet similaire, toujours la propriété de Benjamin Antigny, avait été découvert avec le même stratagème, il avait finalement été suspendu suite à de nombreuses interventions légales.

Benjamin Antigny, qui semble être un adepte de la fraude intellectuelle, se verra certainement encore une fois confronté à ses actes par les autorités responsables de l’application du droit d’auteur autant en France qu’au Canada. Ses partenaires et hébergeurs pourraient aussi être accusés de fraude et pourraient devoir payer de lourds dommages à Disques A Tempo.

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Fan2zik.com diffuse frauduleusement du matériel protégé

Saturday, August 17th, 2013

Disques A Tempo

Le site Internet Fan2zik.com, hébergé par OVH.net et opérant en France diffuse et offre au public sans droit ni autorisation, en violation des lois française et canadienne sur le droit d’auteur, du matériel appartenant à Disques A Tempo et plus particulièrement, l’ensemble du contenu audio et visuel du tout nouveau CD “Ouvertures Royales”.

Avisé de cette violation le 17 août 2013 par email et SMS par Roger-Luc Chayer, Président de Disques A Tempo, le Président de Fan2zik.com, Monsieur Benjmain Antigny a refusé de retirer le matériel diffusé frauduleusement, exigeant même des formalités administratives qui n’existent qu’aux États-Unis comme une déclaration de DMCA, inapplicable en France, démontrant l’aspect frauduleux des activités de cette entreprise.

La France étant signataire de la Convention de Berne autorisant les titulaires de droits d’auteur à recourir aux tribunaux dans leur propre pays, le Canada étant aussi signataire, Disques A Tempo annonce qu’elle ira immédiatement demander la condamnation de Fan2zik et de son Président Banjmain Antigny, conjointement et solidairement. Les jugements du Canada en matière de droit d’auteur sont automatiquement applicables en France selon la Convention de Berne.

MISE À JOUR 28 août 2013: Suite à un accord de règlement qui devait mettre un terme à l’utilisation illégale du matériel protégé  ne lui appartenant pas, le Président de Fan2zik, Monsieur Benjamin Antigny, récidivait quelques jours plus tard en remettant à la disposition du public non seulement les deux cd impliqués dans les violations dénoncées par Disques A Tempo, il modifiait son site afin de permettre à nouveau l’écoute GRATUITEMENT des oeuvres, ceci constituant une fraude et une violation grave de son engagement.

Des procédures judiciaires seront intentées au Québec et en France afin que le responsable de ces violations soit puni et Disque A Tempo compensée.

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1996- René LAPALME Un auteur, interprète et chanteur

Thursday, January 27th, 2011

NE M’EN PARLE PAS…

Tu crois que tu n’as pas de chance

As-tu un peu pensé à moi?

Y’a des limites à l’indécence

Y’a des choses qui ne se font pas.

On ne compte pas les absences

On ne se montre pas du doigt

On ne part pas quand ça commence

Et surtout, on n’en parle pas.

Si tu crois que ça m’amuse

D’avoir à me passer de toi

Il n’y a vraiment pas d’excuses

L’amour, ça ne s’attrape pas.

Tu crois que tu n’as pas de chance

Ca serait vraiment trop ingrat

Tu ne sais pas ce que tu penses

Attends que ça soit mort déjà.

J’en connais bien qui s’en balancent

Ou qui font semblant d’être là

Et qui ont assez d’élégance

Pour mourir sans que ça se voie.

Vas donc les voir si ça t’amuse

Tu pourras leur donner le choix

Mais ne leur cherche pas d’excuses

Quand on est petit, on s’en va.

On n’aura jamais eu la chance

De se tenir à bout de bras

De vieillir dans l’indifférence

Et de mourir d’en être là.

Toi, tu te flétris d’avance

Et on te montrera du doigt

Prends bien ton mal en patience

Et surtout, ne m’en parle pas.

Y’a des limites à l’indécence

Y’a des choses qui ne se font pas

On ne part pas quand ça commence

On ne dit rien, et on s’en va.

René Lapalme aime écrire ce qui lui passe par l’âme. Cette chanson est sur le thème du SIDA mais dans la perspective de ceux qui regardent leur ami mourir. On entend rarement parler de ceux qui restent, après, seuls dans leur chagrin et qui n’en parlent pas car qu’est-ce que la tristesse du deuil à coté des souffrances du SIDA?

René est un expert dans la manipulation des mots. Linguiste de formation, il pousse l’étude de la morphologie du langage jusqu’à faire une maîtrise à l’Université Laval de Québec. Il faut dire que son intérêt pour les langues a sûrement été motivé par ses nombreux déménagements lorsqu’il était enfant. Né à Shawinnigan-sud le 31 janvier 1965, sa famille déménage à Laval un an plus tard. Il y passera 11 ans pour déménager à Toronto où il y passera de nombreuses années pour revenir seul en 1986 à Québec.

Un humoriste inavoué?

A l’écoute de la cassette démo reçue à RG, on ne peut s’empêcher de sourire à l’écoute des chansons de René. Il y a ce “je ne sais quoi” qui, sous des airs sérieux, nous donne envie de rire. Il faut dire que malgré tout, le chanteur est convainquant et convaincu… René Lapalme produit entièrement seul ses spectacles. Il écrit les textes, prépare les programmes, imprime les billets, s’occupe de la vente, de la mise en scène bref, de tout ce qui tourne autour de la création d’un spectacle. Quand on engage René, c’est toute la profession qui se présente. Son dernier spectacle “Partir… un peu” a été présenté devant plus d’une centaine de personnes et il s’en dit très satisfait:<<… Il y avait 250 places et pour être rentable je devais vendre au moins 150 billets mais malgré l’aspect financier, j’ai présenté à mon public le meilleur de moi-même. Il en a eu pour son argent et je crois avoir réussi à convaincre ceux qui devaient l’être…>>

René a passé par des moments difficiles émotivement et il en garde un souvenir amère. Son plus grand malheur a été de passer 3 années à Québec non pas pour la ville elle-même (comme pour le hockeyeur Eric LINDROS) mais pour tout le désespoir qu’il ressentait à ce moment dans sa vie personnelle. Aujourd’hui montréalais et heureux de l’être, René LAPALME prépare une prochaine réédition de son spectacle et espère pouvoir sortir une cassette d’ici peu. Il est à la recherche d’une salle intime, les personnes intéressées à l’aider ou simplement à l’écouter pourront le rejoindre au 270-6739.

55- Un journaliste de RG gagne en Cour grâce au Point!

Saturday, December 18th, 2010

Laurent Konyalian, journaliste-photographe pour les Éditions HMX Inc. qui publient le Magazine gai RG au Québec, obtient partiellement gain de cause dans une réclamation judi- ciaire pour violation de droits d’auteur contre le bar de danseurs nus l’Adonis à Montréal.
Dans le jugement signé de la juge Julie Veilleux le 29 janvier 2008, le demandeur Konyalian ré- clamait un montant de 1200$ pour une séance de photos et utilisation illégale par la défenderesse de certaines de ses photos. Le demandeur a expliqué au tribunal qu’il était photographe, qu’il avait effectué cette séance de photos en mars 2006 mettant en vedette un certain Jérôme, danseur à l’Adonis et qu’une fois la séance terminée, qu’il avait donné un CD avec les photos à l’Adonis avec une facture de 650$.
L’Adonis informe alors Konyalian qu’il n’a pas l’intention d’utiliser les photos ou de payer la facture, Konyalian demande alors la destruction du CD et tout est supposé en rester là jusqu’à ce qu’il dé- couvre, par hasard en passant devant l’Adonis, que ses photos sont utilisées sur la devanture du commerce pour faire la promotion des danseurs qui travaillent à l’intérieur.
Se sentant floué, Konyalian envoie une mise en demeure à l’Adonis en novembre 2006 exigeant le remboursement des frais de la séance de photos et des dommages additionnels pour utilisation illégale de celles-ci.
Dans son jugement no. 500-32-101182-063, le tribunal refuse d’obliger l’Adonis à rembourser la séance de photos vu l’absence de témoignage du modèle Jérôme mais retient toutefois tous les aspects quant à la violation des droits d’auteur du plaignant et mentionne dans le jugement que pour déterminer le montant des dommages, il s’inspire de la jurisprudence de Chayer c. Corporation Sun Media et octroie au plaignant une somme totale de 550$ avec intérêts et le remboursement de ses frais judiciaires de 94$.
Le Point a ouvert la voie avec un premier jugement contre Québécor…
Dans son jugement, le tribunal s’inspire d’une jurisprudence impliquant l’auteur de ces lignes contre le géant Québécor portant le numéro 125-32-001527-058 du 30 août 2005 qui avait condamné Québécor à des dommages importants suite à l’utilisation d’une photo appartenant à la Revue Le Point dans une campagne orchestrée par les médias locaux de Québécor en Gaspésie.
Dans cette jurisprudence, le juge Marc Gagnon avait considéré le comportement de Québécor et de sa filiale Sun Media de tellement inacceptable qu’il avait même octroyé un montant de 2200$ plus les intérêts et le remboursement des frais judiciaires de 116$. Depuis, ce jugement sert de ré- férence autant à l’Office des droits d’auteur du gouvernement du Québec qu’à l’UNESCO et auprès de plusieurs pays qui s’en servent pour établir les limites de l’utilisation du matériel protégé appar- tenant à des journalistes. L’auteur de ces lignes est donc très fier d’avoir balisé par son combat, le travail de ses confrères comme Laurent Konyalian de RG!

Caroline Gréco publie sur Gay Globe Média

Monday, November 22nd, 2010

L’auteure marseillaise Caroline Gréco annonce son association avec le média canadien Gay Globe pour la publication en ligne et gratuite de ses deux oeuvres “Julien, toi qui préfères les hommes” et “À Dieu Julien” qui traitent respectivement de la découverte par les parents de l’homosexualité d’un enfant dans le premier cas et de l’annonce de la séropositivité et de la mort causée par le SIDA d’un enfant dans le second livre.

Ces deux livres sont des références pour les parents qui doivent transiger avec ces situation à la fois dramatiques parfois et certainement toujours touchantes. Ils servent de guides quand vient le temps d’aborder ces questions avec ses enfants et les jeunes adultes homosexuels. Caroline Gréco y racontre son cheminement, réel, basé sur sa propre expérience et tente par le récit de ses propres interrogations de trouver des pistes qui aideront les autres parents à mieux comprendre la situation vécue par les enfants homosexuels ou atteints du VIH/SIDA sans jugement.

Plutôt que de rééditer une version papier de ces deux livres, une entente est intervenue entre l’auteure et Gay Globe Média, propriété du journaliste Roger-Luc Chayer afin de permettre la diffusion et la publication totalement gratuite des deux livres, en format PDF, directement à partir d’une page dédiée sur le site de Gay Globe au http://www.gayglobe.us/julien

44- Pierre Salducci

Saturday, April 3rd, 2010

Pierre Salducci, auteur et journaliste québécois, gestionnaire de plusieurs projets sʼadressant à la communauté gaie québécoise, souhaite inviter les amateurs de littérature à visiter La Référence, un site littéraire qui ouvre la porte aux jeunes auteurs (Photo: salducci.com)
Cʼest le 1er août dernier que le cybermagazine La Référence a révélé sa nouvelle ligne graphique, lançant par la même occasion son numéro 43. Réalisée depuis 5 pays différents, la seule publication entièrement consacrée à la littérature gaie et lesbienne en français vient dʼintégrer Rézolibre, un groupe belge dʼédition et de diffusion à rayonnement international, un organisme indépendant, qui défend les lettres et la culture sous
toutes ses formes, sans tabous ni préjugés, et qui intervient tant au niveau de lʼinformation que de la distribution.
Pour La Référence, rejoindre le portail belge multidisciplinaire Rézolivre devrait permettre dʼaugmenter considérablement et rapidement la visibilité et la diffusion, tout en atteignant un statut encore plus professionnel. Ainsi La Référence accède à un stade supérieur .
Le projet de La Référence est né au Québec en 2003, à Montréal, sur lʼinitiative de Pierre Salducci, avec une équipe de collaborateurs québécois, avant de devenir international. Aujourdʼhui, après quatre ans dʼexistence, le bureau de rédaction est établi aux îles Canaries, tandis que nos chroniqueurs proviennent de nouveaux pays, toujours plus nombreux, comme la France, lʼAllemagne, la Belgique ou le Canada.

Entente de règlement historique

Monday, January 18th, 2010

COMMUNIQUÉ

Suite à un litige survenu à la fin 2006 portant alors sur une intention d’acquisition de la Revue Le Point, des procédures judiciaires ont été intentées à Montréal. Or, une entente de règlement est survenue le 15 janvier 2010 entre Roger-Luc Chayer, éditeur du Point et François Robert Lemire, Président de la compagnie 656870-0 Canada Inc. mettant un terme définitif à ce litige à la satisfaction des deux parties.

Cette entente comprend la cession de toutes les revendications de M. Lemire, des droits d’auteur, des revues Le Point, de toutes les raisons sociales impliquées et de l’ensemble des objets de la vente à Roger-Luc Chayer, éditeur et propriétaire du magazine.

M. Roger-Luc Chayer est donc confirmé dans son poste d’éditeur et propriétaire du magazine et de ses divisions, poste qu’il occupe depuis 2002.

L’accord de règlement confirme que M. Chayer est le seul propriétaire de la Revue Le Point et qu’il en possède tous les droits afférents.

Éric Messier, journaliste, banni de nombreuses organisations internationales

Monday, January 11th, 2010

Éric Messier est un journaliste de la région de Montréal ayant principalement oeuvré dans la presse écrite et dans la presse homosexuelle francophone par des collaborations à quelques chroniques sur divers sujets. Il a aussi été coopérant bénévole dans quelques projets au Mali ou en Haiti et consacre ses loisirs à sa passion pour la guitare. Voilà un portrait assez convenable vous en conviendrez.

Depuis quelques semaines toutefois, ce journaliste s’en prend ouvertement à un compétiteur, nous, nonobstant toutes les règles éthiques et légales en vigueur au Québec, dans le but de nuire aux activités professionnelles d’autres journalistes et de détruire le gagne-pain de personnes qui n’ont pourtant rien à voir avec lui ni de près ni de loin et qui tavaillent pour Gay Globe Magazine, Gay Globe TV, Disques A Tempo, pour l’Académie Ville-Marie et d’autres organisations qui fournissent de l’emploi au Québec.

Or, en date du 11 janvier 2009 et suite à de nombreuses tentatives de diffusion de matériel diffamatoire interdit à la publication en 2007, Éric Messier s’est vu banni de nombreuses organisations internationales et les raisons vont du vandalisme à la diffamation et à d’autres actes qui ne font ni honneur à la profession que nous partageons avec lui, ni à la personne.

Par exemple, Le site international Wikipedia a bloqué indéfiniment Éric Messier de son accès sous son pseudonyme Spiritos22 suite à du vandalisme et de la diffamation, le site Lycos pour diffamation, le blogue du journal Voir a été contraint de détruire un message jugé diffamatoire et violant le droit d’auteur, Angelfire.com a effacé une page créée par Éric Messier pour violation du droit d’auteur et diffamation alors qu’évidemment, au même moment, le groupe Gay Globe interdisait l’accès à vie de M. Messier sur ses serveurs et l’ensemble de ses services.

Il ne s’agit pas là d’une situation normale pour un journaliste qui prétend servir l’intérêt du public, le fait de subir ainsi le rejet et les sanctions de nombreuses organisations internationales alors qu’il tente justement de détruire la réputation et de violer les droits des autres devrait lui signaler à tout le moins qu’il y a un problème en la demeure de Éric Messier.

Ce dernier a d’ailleurs manifesté son désir aujourd’hui de soumettre la situation au Conseil de Presse du Québec vu notre obligation de nous expliquer publiquement à son sujet ici, nous aurons donc ce débat au CPQ s’il tient promesse. À titre de rappel, la Fédération Professionnelle des Journalistes du Québec déclarait il y a quelques mois que Éric Messier, contrairement à ses affirmations sur son site web, n’était pas membre de son organisation et l’Union de la Presse Francophone, une prestigieuse organisation de journalistes basée à Paris quelques jours plus tard, nous envoyait la même confirmation à son sujet ajoutant que des vérifications sur lui allaient être faites.