Posts Tagged ‘mexique’

Jean-Luc Romero vecteur de l’échec du dossier de Florence Cassez

Sunday, March 25th, 2012

Il faudrait se questionner sur la responsabilité de Jean-Luc Romero quant aux refus continuels de la part des autorités mexicaines de libérer Madame Cassez, d’autant que Jean-Luc Romero s’est posé en Président de son comité de libération, qu’il a une crédibilité nulle en France depuis quelques affaires scandaleuses récentes et surtout suite à ses insultes répétées et franchement coloniales contre le système de justice et les juges mexicains dont ceux de la Cour Suprême. Je me demande si les actes de Jean-Luc Romero ne seraient pas à l’origine de la réaction des autorités mexicaines, souveraines tout de même face à la France. J’en arrive personnellement à croire que Romero est directement la cause du sort de Cassez, à moins que sa culpabilité ne fasse l’objet de doutes seulement dans la tête de Romero, ce qui est aussi possible.

Le SIDA au Mexique

Saturday, January 23rd, 2010

Aujourd’hui, on estime à 220.000 le nombre de personnes atteintes du virus du Sida au Mexique. Un peu plus de 3.000 d’entre elles sont des mineurs, mais la population la plus touchée est celle des 25-44 ans.

Un accès démocratisé aux traitements antirétroviraux

Entre 2001 et 2006, le gouvernement de Mexico a mis en place une politique d’accès médical universel, qui prend en charge le traitement antirétroviral de toute personne atteinte du virus ne bénéficiant pas de la sécurité sociale. Cet accès au meilleur traitement existant a permis à des milliers de mexicains de reprendre une vie sociale normale.

La Casa de la Sal, une institution unique en son genre

Parmi les initiatives d’aides aux personnes malades, il en est une significative. La Casa de la Sal est une organisation dont la mission est d’apporter un soutien psychologique et matériel aux personnes vivant avec le VIH. Les services proposés comprennent entre autre la création de liens avec les malades lors de séjours à l’hôpital, une clinique psychologique, une aide à l’acquisition de médicaments… La Casa de la Sal a été à l’initiative de la création d’un Symposium International pour Enfants, soutenu par des premières dames. À l’occasion de son séjour au Mexique, Carla Bruni-Sarkozy y a ainsi fait une visite et rencontré des enfants.

Selon Silvia Cortes, coordinatrice des opérations de l’organisation, les obstacles les plus importants actuellement dans la lutte contre le Sida sont la discrimination constante subie par les malades et le manque d’information sur le sujet. Beaucoup de parents d’enfants porteurs du virus ont eux-mêmes de très faibles connaissances, et les explications relatives au diagnostic et au traitement ne sont pas aisées.

C’est pourquoi Silvia Cortes préconise une campagne de prévention ciblée selon les catégories de personnes, leur origine sociale, religieuse, leurs particularités culturelles, etc.

Les priorités du combat

Ce qui ressort du rapport du Censida et des discours politiques du 1er décembre, Journée Mondiale pour la lutte contre le Sida, est qu’il est indispensable de renforcer la stratégie de prévention. Depuis son apparition dans le pays (vers 1981), l’épidémie reste relativement concentrée dans certains groupes ciblés de la population (travailleurs sexuels, hommes homosexuels, usagers de drogues injectées, etc.).

Discours du ministre la Santé

Le ministre de la Santé, José Ángel C. Villalibos, a admis que les dépenses en matière de prévention devaient être augmentées. Il a par ailleurs affirmé l’engagement de son ministère à mettre un terme au sida ‘sans discrimination ni homophobie’, qui freinent les efforts faits en entraînant notamment des retards dans la détection du virus chez les personnes craignant d’affronter le jugement de leurs familles et de la société.

Le Mexique qui s’est engagé à avoir arrêté l’expansion de l’épidémie en 2015, en signant aux côtés de nombreux autres la Déclaration du Millénaire des Nations Unies (A/Res/55/2) doit maintenant faire face à ses responsabilités.

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GGTV encore plus
populaire
Par : GGMAG

Le modèle de média offert par Gay Globe Magazine et TV semble définitivement plaire aux lecteurs et utilisateurs puisque le groupe média vient à nouveau de battre ses records de tous les temps en janvier 2010.

Le moteur de statistiques Alexa, réputé comme le plus précis et efficace sur le web, confirme que GGTV se place au rang de 440,000 environ soit, 3 fois plus populaire que ses principaux compétiteurs.

Par exemple, au Canada, GGTV et Gay Globe Magazine se placent en 13,000è position alors que ses compétiteurs comme Fugues sont dans les 34,000 et 35,000è.

Le succès de la popularité du groupe média s’explique par une stratégie de haute voltige dans la sélection des textes et les émissions exclusives récentes diffusées sur la seule WebTV 100% gaie gratuite canadienne contribuant ainsi au succès du média #1 des gais au Québec.

Pour ou contre le statut de réfugiés aux prostitués gais mexicains

Tuesday, October 20th, 2009

Entrevue exclusive avec un jeune gai mexicain, travaillant comme escorte à Montréal depuis plusieurs années, qui a décidé de demander le statut de réfugié afin de pouvoir continuer à travailler à Montréal avec tous les bénéfices sociaux accordés aux vrais réfugiés…

Dans le cadre de cet article, nous parlerons de Sasha (prénom fictif) sans permettre la divulgation de sa véritable identité car le sujet n’est pas tant lui mais ce qu’il fait à Montréal et les coûts et conséquences qu’engendrent les nombreux cas comme lui pour la société.

Sasha a 23 ans, il a de superbes yeux en amandes, il est d’un petit format, bien mince et découpé avec un look de star. Mexicain, il vient à Montréal depuis environ 4 ans, de février à novembre, pour travailler comme escorte indépendant au tarif de 100$ la relation et recrute la plupart de ses clients sur Internet, grâce au site gay411.com. Il vivait jusqu’à tout dernièrement dans une situation relativement précaire, louant des chambres un peu partout dans le village, rencontrant ses clients dans les saunas mais malgré sa situation et son statut illégal au pays, ne vivait que des revenus de ses clients sans jamais consommer quelque drogue que ce soit. De novembre à février, Sasha retournait au Mexique se payer quelques vacances et revenait sans jamais que les autorités aux douanes ne se questionnent un seul instant sur l’origine de ses revenus lui permettant de vivre au Canada.

“La prostitution est un commerce dont l’enveloppe est plus attrayante que le contenu.” (Moses Isegawa)

Or, depuis quelques mois, le Gouvernement canadien, devant l’afflux des nombreux cas de demande d’asile de la part des mexicains déjà sur le territoire national, a décidé d’exiger un visa à tous les mexicains souhaitant venir au Canada. Sasha, voyant la fin proche de ses possibilités de travailler au Canada et d’avoir des revenus équivalents à ce que fait un médecin au Mexique et sachant qu’il ne recevrait jamais un visa de 10 mois par an vu l’impossibilité de démontrer sa fortune ou ses revenus de l’extérieur lui permettant de résider ici comme touriste à l’année, a demandé la semaine dernière le statut de réfugié, alléguant faussement être l’objet de discriminations et violences basées sur son homosexualité.

Il a automatiquement été accepté comme réfugié, on lui a donné l’aide sociale au tarif maximal, la carte-services lui permettant de recevoir lunettes et services dentaires gratuits, il a maintenant accès à l’aide juridique gratuitement et a reçu une carte d’assurance-maladie lui permettant de recevoir 100% de ses soins médicaux gratuitement. Il peut demander un logement HLM s’il le souhaite aussi.

Si nous parlons de cette affaire dans nos pages aujourd’hui, c’est que la question d’équité soulevée par la demande du statut de réfugié de la part d’un prostitué mexicain met certainement en évidence certaines failles de notre système d’accès à la justice. Pendant  des années, les québécois se sont battus pour que les gais mexicains victimes de violences soient reconnus par le Canada et voilà que comme conséquence, on se sert de cette ouverture pour abuser de nos ressources. (Voir à gauche)

Pour ou contre le statut de réfugié aux prostitués gaies

Par : GGMag

Il ne s’agit pas ici de juger ou de mettre à l’index Sasha, parce qu’il a été assez futé pour trouver un moyen de continuer à pratiquer son métier d’escorte au Canada en se déclarant réfugié. Comme le Canada vit la crise économique mondiale, que le déficit atteint des records et que des gestes comme ceux posés par Sasha coûtent si chers qu’ils obligent la remise en question de nos mesures sociales globales, la question doit être posée: Est-ce qu’un jeune gai mexicain, désirant travailler comme escorte au  Canada et recevoir l’aide sociale (et tous les services sociaux gratuits) doit être pardonné du simple fait qu’il est homo ou est-ce qu’il doit être déporté?
Exprimez-vous sur le blog de GGTV au http://www.gayglobe.us/blog

Jean-Luc Romero est supérieur à la République des États-Unis Mexicains

Wednesday, June 24th, 2009

C’est ce qu’il croit en son fort intérieur. Jean-Luc Romero, fonctionnaire de troisième ordre pour une petite ville française souhaite que le Mexique l’écoute, l’entende, se plie à sa vlonté et libère une criminelle condamnée à 90 ans de prison pour enlèvements et possesion d’armes.

Mais voilà, le Mexique est un état souverain, indépendant, qui a son propre système de justice comme partout en Europe et en Amérique du Nord et après le procès de la française Florence Cassez, il a été déterminé que la charmante dame était une criminelle grave et elle fut alors condamnée à 90 ans de prison, la peine était révisée à la baisse suite à l’examen de la Cour d’appel du Mexique qui a alors imposé à Cassez une peine de 60 ans.

Jean-Luc Romero, qui cumule les causes aussi différentes les unes que les autres a décidé qu’en plus d’être le Roi du SIDA et l’Empereur de l’euthanasie, que le titre de grand Chef de la cause de Florence Cassez lui allait tout aussi bien que les autres titres. Le voilà alors lancé dans une campagne qui ne fait aucun sens ni en France ni à l’étranger. Romero exige la libération d’une criminelle grave emprisonnée au Mexique, débouté, il demande ensuite qu’elle soit transférée en France pour purger sa peine, ce qui est refusé évidemment par le Président du Mexique et malgré tout, persiste à affirmer haut et fort qu’elle est innocente.

On ne condamne pas les gens  90 ans de prison pour rien, M. Romero ne le comprend pas. Il a fait de Cassez sa cause nationale à lui, sans savoir ni comprendre que la vie est une succession de réalités qui ne sont pas toujours comme dans les livres de la Comtesse de Ségur. Pendant qu’il fait ses grands discours, sur son site web faute de salles remplies, Romero fait honte à la France et donne le sentiment à l’étranger que la France est supérieure à tout le monde, que la justice française pardonne les enlevements et la possession illégale d’armes et pensant aider Florence, il lui associe l’étiquette du mépris hautain que les Mexicains ne seront pas prêts à lui pardonner, ni à Florence.

La France n’est pas jean-Luc Romero, Dieu merci!

Mexico: du Viagra gratuit pour les plus de 70 ans

Thursday, December 4th, 2008

Plus de 100.000 Mexicains de plus de 70 ans pourront prétendre à une distribution gratuite de Viagra, dans le cadre d’un programme de “santé sexuelle” que la mairie de Mexico mettra en oeuvre le 1er décembre. “Environ 112.000 adultes âgés pourraient prétendre à la distribution des pastilles contre le dysfonctionnement de l’érection, mais nous ne leur administrerons pas s’il ne passent pas auparavant des examens très rigoureux, car il existe des effets dangereux”, explique à l’AFP le ministre de la Santé du District de la Capitale fédérale, Armando Ahued.
Ce programme dit “de santé sexuelle” sera lancé le 1er décembre dans trois cliniques publiques de la capitale. Il part du principe que l’activité sexuelle ne doit se terminer qu’en même temps que la vie elle-même. La campagne qu’il lance va bien au-delà de la distribution des petites pastilles bleues, et s’attache à l’ensemble de la santé sexuelle, avec dépistage des causes possibles de cette impuissance sexuelle qui affecte 70% des plus de 70 ans, selon lui, mais pour laquelle 10 à 15% seulement consultent leur médecin “Il ne s’agit pas seulement de la pastille, ou de l’administrer indistinctement, on réalisera un examen complet. Pour l’homme, nous allons ainsi dépister l’andropause, le cancer de la prostate ou le diabète, autant de causes du dysfonctionnement de l’érection”, explique-t-il encore.
La Ville de Mexico, dirigée par un maire de gauche, Marcelo Ebrard, a formé spécialement 130 médecins pour ce nouveau programme, qui prévoit aussi une information des personnes âgées sur la transmission des maladies sexuellement transmissibles (MST). “C’est une génération qui n’y est pas préparée, et qui ne dispose que de peu d’information à ce sujet”, souligne M. Ahued.
“Il s’agit aussi d’informer le public sur l’impact que le dysfonctionnement de l’érection peut avoir sur la situation personnelle de celui qui en souffre, ou sur sa relation avec son entourage socio-professionnel”, ajoute une des coordonnatrices du projet, Iran Roldan. L’administration de la pastille “dépendra du diagnostic d’identification du problème, et le traitement sera adapté, pas seulement pharmaceutique, car il pourra être clinique ou psychologique”, selon elle.