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François-Ro- bert Lemire s’explique!

Saturday, February 4th, 2012

François-Robert Lemire n’a pas digéré le communiqué de presse diffusé fin 2011 par le Directeur Général des Élections et CNW affirmant publiquement qu’il avait été condamné pour fraude. L’homme d’affaires connu de la communauté gaie et candidat défait contre Pauline Marois dans Charle- voix en a contre un paragraphe du communiqué qui se lit: “M. François-Robert Lemire a produit un faux reçu pour une contribution électorale alors qu’il était représentant officiel du parti République du Québec. Après avoir plaidé coupable au constat d’infraction émis contre lui, le contrevenant s’est vu imposer par le juge une amende de 1,000 $. Étant donné que l’infraction constitue en plus une manœuvre électorale frauduleuse, M. Lemire se voit privé de ses droits électoraux pour cinq ans au niveau provincial, ce qui inclut notamment le droit de vote et le droit de se présenter candidat. En outre, il ne pourra, durant cette période, exercer la fonction de re- présentant officiel.”
Découvrant la mention de fraude alors que la question n’avait pas été abordée lors de son plaidoyer, M. Lemire souhaitait s’expliquer publiquement. Gay Globe lui donne donc l’occasion de le faire. M. Lemire déclarait le 25 janvier 2012 dans un courriel à Gay Globe que: “ C’est tout un choc d’être accusé et jugé, surtout quand on fait face au public, ma réputation j’y tiens mordicus. D’abord en temps que béné- vole dans un parti en démarrage, c’est en toute bonne foi, sans malice et sans obtenir quelque avantage que ce soit que j’ai soudainement été promu représentant d’un parti à peine
naissant, le parti Républi- que du Québec et n’ayant pas encore reçu la formation donnée par le DGE. J’ai, par erreur, accepté une contribu- tion personnelle payé par un compte commercial. Je ne me suis même pas présenté en Cour ayant la certitude que c’était une simple amende, comme passer un feu rouge et j’ai demandé à mon avo- cat de plaider coupable pour moi, ayant la certitude qu’il s’agissait d’un fait divers. La notion que nul n’est cen- sé ignorer la loi prend ici un sens particulier car de punir un bénévole qui œuvre au sein d’un parti en le traitant publiquement de fraudeur est à la limite anti-démocra- tique. Quel message tordu le DGE envoie aux petits partis quand il menace la réputation des personnes qui, ayant à coeur d’oeuvrer bénévolement en politique, peuvent se ramasser dans l’eau chaude?
J’accuse donc le DGE de mauvaise foi, de manipula- tion de l’information, d’in- cohérence et d’utilisation abusive de terminologie à ca- ractère criminel. J’accuse le DGE de se servir de ma per- sonne comme bouc émissaire pour diffuser une fausse per- ception dans le public que les partis sont malhonnêtes et que le DGE veuille jalou- sement à l’observance de la loi alors qu’il s’agit d’un fait anodin, sans intérêt et monté en épingle.
Cette nouvelle est d’autant plus tendancieuse, que de toute façon j’ignorais pouvoir être possiblement exposé publiquement à un salissage de la sorte. Je demanderai réparation et retrait de cette nouvelle quasi-diffamatoi- re. Une lettre sera envoyée aujourd’hui au DGE.” NDLR: Le DGE a ensuite refusé la demande de M. Lemire…

François Robert Lemire condamné pour fraude électorale

Friday, December 9th, 2011

Juin 2011) À Montréal, le 3 janvier 2008, M. Fran- çois-Robert Lemire a pro- duit un faux reçu pour une contribution électorale alors qu’il était représentant offi- ciel du parti République du Québec. M. Lemire a ainsi commis l’infraction prévue au paragraphe 2e de l’article 559.0.1 de la Loi électorale. Après avoir plaidé coupa- ble au constat d’infraction émis contre lui, le contreve- nant s’est vu imposer par le juge une amende de 1 000 $. Étant donné que l’infrac- tion constitue en plus une manœuvre électorale frau- duleuse, M. Lemire se voit privé de ses droits élec- toraux pour cinq ans au niveau provincial, ce qui inclut notamment le droit de vote et le droit de se pré- senter candidat. En outre, il ne pourra, durant cette pé- riode, exercer la fonction de représentant officiel.

François-Robert Lemire condamné pour fraude électorale

Thursday, November 10th, 2011

NewsWire.ca

À Montréal, le 3 janvier 2008, M. François-Robert Lemire a produit un faux reçu pour une contribution électorale alors qu’il était représentant officiel du parti République du Québec. M. Lemire a ainsi commis l’infraction prévue au paragraphe 2e de l’article 559.0.1 de la Loi électorale. Après avoir plaidé coupable au constat d’infraction émis contre lui, le contrevenant s’est vu imposer par le juge une amende de 1 000 $. Étant donné que l’infraction constitue en plus une manœuvre électorale frauduleuse, M. Lemire se voit privé de ses droits électoraux pour cinq ans au niveau provincial, ce qui inclut notamment le droit de vote et le droit de se présenter candidat. En outre, il ne pourra, durant cette période, exercer la fonction de représentant officiel.

Monsieur François-Robert Lemire, comptable résidant à Longueuil, a aussi été comptable pur le Parti République du Québec qui a aussi été condamné par le Tribunal:
Dans le contexte du retrait d’autorisation du Parti république du Québec, le 30 décembre 2009, son chef M. Gilles Paquette, a omis de faire parvenir deux rapports financiers au DGEQ dans les soixante jours de délai impartis par la loi. Il s’agissait du rapport financier du parti pour la période du 1er janvier au 31 décembre 2008, ainsi que du rapport financier de fermeture de la formation politique. Il contrevenait ainsi aux articles 67 et 76 de la Loi électorale et commettait l’infraction prévue à l’article 564 de cette loi. À la suite de l’enregistrement d’un plaidoyer de culpabilité, M. Paquette a payé une amende de 500 $ plus les frais.

François-Robert Lemire, informé des allégations graves le concernant publiées par le Directeur Général des Élections du Québec et CNW, a souhaité utiliser son droit de réplique et publier le commentaire suivant: “C’est tout un choc d’être accusé et jugé, surtout quand on fait face au public, ma réputation j’y tiens mordicus. D’abord en temps que bénévole dans un parti en démarrage, c’est en toute bonne foi, sans malice et sans obtenir quelque avantage que ce soit que j’ai soudainement été promu représentant d’un parti à peine naissant, le parti République du Québec et n’ayant pas encore reçu la formation donnée par le DGE. J’ai, par erreur, accepté une contribution personnelle payé par un compte commerciale. Je ne me suis même pas présenté en Cour ayant la certitude que c’était une simple amende, comme passer un feux rouge et j’ai demandé à mon avocat de plaider coupable pour moi, ayant la certitude qu’il s’agissait d’un fait divers. La notion que nul n’est censé ignorer la loi prend ici un sens particulier car de punir un bénévole qui œuvre au sein d’un parti en le traitant publiquement de fraudeur est à la limite anti-démocratique. Quel message tordu le DGE envoie aux petits partis quand il menace la réputation des personnes qui, ayant à coeur d’oeuvrer bénévolement en politique, peuvent se ramasser dans l’eau chaude? J’accuse donc le DGE de mauvaise foi, de manipulation de l’information, d’incohérence et d’utilisation abusive de terminologie à caractère criminel.

J’accuse le DGE de se servir de ma personne comme bouc émissaire pour diffuser une fausse perception dans le public que les partis sont malhonnêtes et que le DGE veuille jalousement à l’observance de la loi alors qu’il s’agit d’un fait anodin, sans intérêt et monté en épingle.

Cette nouvelle est d’autant plus tendencieuse,  que de toute façon j’ignorais être possiblement exposé publiquement à un salissage de la sorte. Je demanderai réparation et retrait de cette nouvelle quasi-diffamatoire. Une lettre sera envoyée aujourd’hui au DGE.”

Accord de règlement

Saturday, January 23rd, 2010

Accord de règlement
Par : GGMAG et 656870-0 Inc.

Suite à un litige survenu à la fin 2006 portant alors sur une intention d’acquisition de la Revue Le Point, des procédures judiciaires ont été intentées à Montréal.

Or, une entente de règlement est survenue le 15 janvier 2010 mettant un terme définitif à ce litige à la satisfaction de toutes les parties.

Cette entente comprend la cession de toutes les revendications de M. Lemire, des droits d’auteur, des revues Le Point, de toutes les raisons sociales impliquées et de l’ensemble des objets de la vente à Roger-Luc Chayer, éditeur et propriétaire du magazine.

M. Roger-Luc Chayer est donc confirmé dans son poste d’éditeur et propriétaire du magazine et de ses divisions, poste qu’il occupe depuis 2002.

L’accord de règlement confirme que M. Chayer est le seul propriétaire de la Revue Le Point et qu’il en possède tous les droits afférents.

Entente de règlement historique

Monday, January 18th, 2010

COMMUNIQUÉ

Suite à un litige survenu à la fin 2006 portant alors sur une intention d’acquisition de la Revue Le Point, des procédures judiciaires ont été intentées à Montréal. Or, une entente de règlement est survenue le 15 janvier 2010 entre Roger-Luc Chayer, éditeur du Point et François Robert Lemire, Président de la compagnie 656870-0 Canada Inc. mettant un terme définitif à ce litige à la satisfaction des deux parties.

Cette entente comprend la cession de toutes les revendications de M. Lemire, des droits d’auteur, des revues Le Point, de toutes les raisons sociales impliquées et de l’ensemble des objets de la vente à Roger-Luc Chayer, éditeur et propriétaire du magazine.

M. Roger-Luc Chayer est donc confirmé dans son poste d’éditeur et propriétaire du magazine et de ses divisions, poste qu’il occupe depuis 2002.

L’accord de règlement confirme que M. Chayer est le seul propriétaire de la Revue Le Point et qu’il en possède tous les droits afférents.