Posts Tagged ‘médecin’

Dossier Joseph Bitchoka, médecin!

Friday, January 13th, 2012

Nous avisons les patients du Docteur Jospeh Bitchoka, auparavant opérant une clinique médicale sur la rue Masson à Montréal, de présenter une plainte au Collège des Médecins du Québec s’il décidait de conserver les dossiers médicaux de patients moyennant le paiment de sommes d’argent.

1- Il faut faire une demande d’accès à l’information selon la loi du même nom et exiger d’obtenir une copie de son dossier;
2- Refuser de payer quelque montant que ce soit puisque la demande est sans frais;
3- Si le Dr Bitchoka facture pour ce service ou demande de l’argent, le rapporter au Collège des Médecins du Québec;

GGTV

Un médecin spécialiste du sida libéré en Iran

Wednesday, August 31st, 2011

TF1

Un médecin iranien spécialiste du sida, Arash Alaei, a été libéré ce weekend à Téhéran après avoir passé trois ans en prison pour conspiration présumée contre le régime, a déclaré lundi son frère qui vit aux Etats-Unis. Les deux frères, tous deux médecins et spécialistes du sida, avaient été arrêtés en juin 2008 et reconnus coupables de communication avec les Etats-Unis dans le but de renverser le régime iranien. Kamiar Alaei, 37 ans, condamné à trois ans de prison, a été libéré cette année de la prison d’Evin, à Téhéran, et achève des études de santé publique à New York. Arash Alaei, 42 ans, avait été condamné à six ans de prison et était libérable selon la législation iranienne après avoir accompli la moitié de sa peine.

Les “médecins de famille” du Québec

Saturday, January 23rd, 2010

À la fin 2009, le Ministère de la Santé du Québec annonçait par voie de communiqué de presse que l’accès aux médecins de famille s’améliorait grâce aux politiques récentes du Ministre. On y disait même que 3 québécois sur 4 avaient maintenant un médecin de famille…

Le Ministre de la santé du Québec, Yves Bolduc, déclarait à la fin 2009 que la pénurie de médecins de famille au Québec était moins criante que pour l’année 2008 grâce à de nouvelles mesures mises en place par son ministère dont la formation de super-infirmières qui pourront prescrire et soigner comme les médecins, l’accès plus rapide aux nouveaux diplômés en médecine sur le marché du travail et un nouvel accord France-Québec sur la mobilité de la main d’oeuvre dans le domaine médical.

Toujours d’après Yves Bolduc, 1 québécois sur 4 n’aurait pas accès à un médecin de famille et déclarait que ce chiffre était beaucoup trop élevé.

Or, de nombreux médecins généralistes du Québec semblent utiliser une tactique leur permettant de se régulariser auprès du ministre en démontrant qu’ils acceptent un certain quota de patients “familiaux” tout en ne remplissant pas leurs obligations envers ces mêmes patients ce qui a pour effet de fausser les statistiques, de tromper le ministre et de créer une fausse amélioration générale de la situation.

Prenons par exemple le cas de ce médecin de l’Est de Montréal, généraliste, qui occupe un bureau dans une petite clinique médicale ordinaire.

Le Gouvernement lui impose de pratiquer à l’urgence d’un hôpital pour un certain nombre d’heures par mois, ce qu’il fait à l’Hôpital Santa-Cabrini.

Comme le Gouvernement souhaite enrayer la pénurie de médecins de famille et que notre médecin est le principal visé, comme généraliste, l’État lui demande de prouver qu’il acceptera de soigner et de faire le suivi approprié à long terme d’un certain nombre de patients, quelques centaines et même plus.

Pour prouver qu’il respecte la loi, le médecin en question demande à chaque patient, lorsqu’il passe à la clinique sans rendez-vous pour le voir, de signer un formulaire qui déclare que le patient accepte d’être soigné par le Dr. ABC qui lui, accepte d’être le médecin traitant et de famille du patient le tout, de manière à remplir ses obligations et de faire diminuer la crise actuelle auprès du ministre.

Toutefois et le plus inquiétant avec ce formulaire, c’est qu’il ne semble rien apporter de plus une fois le contrat signé.

Je me suis personnellement fait offrir ce formulaire lors d’une visite de routine chez ce médecin, on ne m’a pas donné le choix de signer ou pas, si je voulais voir le médecin, je devais signer.

Au début, j’ai réagi positivement en me disant qu’il s’agissait-là d’une sorte de contrat entre mon médecin et moi qui allait me permettre de le voir plus facilement. Mais non, lors de la visite suivante, j’ai demandé un rendez-vous, ce qui m’a été refusé sous prétexte que la clinique ne prend pas de rendez-vous. J’ai demandé à voir mon médecin de famille selon le contrat signé, on m’a répondu que ce contrat n’avait aucune valeur, qu’il n’était que pour les statistiques, la frime quoi…!

Enfin, depuis que j’ai signé ce contrat, le médecin a voulu me voir pour un résultat à suivre et depuis son appel en novembre 2009, je n’ai pas été en mesure de le voir, ce dernier n’étant pas disponible. Les statistiques du ministres sont donc fausses!

Bradley Cooper raffole des rumeurs
Par : Scooppeople.fr

Les rumeurs à propos des stars peuvent parfois aller très loin ! Les people en entendent des vertes et des pas mûres! Cependant, il arrive parfois que certaines rumeurs fassent rire certaines stars ! A l’image de Bradley Cooper, qui adore qu’on le prenne pour un homosexuel!

En effet, suite à une sortie entre amis avec Victor Garber, les rumeurs les voulant en couple ont envahi le Net ! “Les gens pensaient qu’on était ensemble. C’était la première fois que j’entendais des rumeurs pareilles à propos de moi, et j’ai trouvé ça fantastique !”

Piere Mailloux et la liberté de parole

Saturday, November 14th, 2009

Dave Durand: stagiaire web au Point
Tout le monde en parle vraiment, tout le monde le sait du moins, le Doc
Mailloux sʼest fait piéger à lʼémission Tout le Monde en parle animé
par le comédien Guy A. Lepage. La déclaration fautive: Une étude
affirme aux États-Unis que les noirs seraient moins intelligents que
les blancs!
Le propos en soi, la plupart des sondages le confirment, ne choque per-
sonne puisquʼil fallait être à lʼécoute ce soir-là pour comprendre que le
docteur ne faisait pas sienne cette étude mais nʼen mentionnait que lʼexis-
tence, voulant probablement créer une réaction chez les auditeurs. En tout
bon journaliste quʼil voudrait être, Guy A. Lepage avait lʼobligation de
lui permettre de sʼexpliquer plus longuement mais surtout, comme hôte
dʼune émission comportant plusieurs invités, il avait le devoir de contrô-
ler les dérapages dont ceux du dramatique Dan Bigras, qui nʼen finissait
plus de jouer à lʼimam avec ses grands airs moralisateurs. Tout au long de
lʼémission et suite au passage de Mailloux, le public a été obligé de subir
les affirmations moralisatrices quand ce nʼétait pas carrément des atta-
ques sur lʼintégrité du médecin de la part dʼun ex-drogué, dʼun être qui a
pollué le Québec avec ses propres valeurs qui sont loin dʼêtre celles aux-
quelles aspirent les jeunes. Le Point a demandé à Dave Durand, stagiaire
à lʼinterne, de nous livrer ses commentaires puisque dʼaprès le Bigras en
question, les noirs seraient tous unis contre le médecin Mailloux…
Le Point: Comment as-tu ressenti les propos du Doc Mailloux?
Dave: Je nʼai pas été particulièrement agressé, au contraire. Jʼai compris quʼil
relatait un document quʼil connaissait sans mentionner une seule fois si il était
dʼaccord avec les conclusions. Jʼai plutôt été surpris par ce qui sʼest produit
par la suite.
Le Point: En es-tu arrivé à la conclusion, comme noir québécois, que le
Doc Mailloux était raciste du fait de la mention de la recherche en question?
Dave: Pas du tout, jʼai plutôt observé la réaction des personnes qui le traitaient
de raciste et je ne comprenais pas. Tout ça me semble exagéré sauf peut-être
sur une chose, il a certainement été maladroit au moment dʼen parler.
Le Point: Dʼaprès toi et je sais que tu ne parles pas au nom de groupes so-
ciaux, est-ce que le Doc Mailloux avait le droit de citer cette recherche si son
objectif maladroit était de la dénoncer?
Dave: Ça me semble évident! Comment saurions-nous que de tels documents exis-
tent si les gens nʼen parlent pas publiquement? Si chaque journaliste qui rend pu-
blique une situation similaire est accusé personnellement dʼêtre raciste, il nʼosera
plus en parler et nous ne saurons jamais ce à quoi nous sommes confrontés comme
personnes. À mon avis, il a été injustement traité autant par certains journalis-
tes que par les responsables de lʼémission qui continuent de parler de lui sans
quʼil ne soit présent. Ils me rendent inconfortable avec leur façon de procéder…

Où consulter au Québec pour dépister l’andropause?

Tuesday, October 20th, 2009

L’andropause n’est pas une condition facile a diagnostiquer et la plupart des médecins généralistes en clinique ne sont pas à l’aise de traiter ce type de condition ou ne savent même pas qu’elle existe.

Par exemple, Jules, qui a manifesté des sueurs, des bouffées de chaleur et des nausées pendant 4 ans, de même qu’une diminution marquée de sa production de sperme, en parlant à son médecin de son inquiétude, a reçu comme réponse qu’il ne pouvait pas l’aider, que l’andropause est une théorie non démontrée.

Dès qu’il a été soigné dans une clinique spécialisée, l’ensemble de ses symptômes se sont évanouis. À Montréal, la référence dans le domaine est l’Institut IRMA qui propose un site Web détaillé sur la question au www.andropause-irma.com

Rafick-Pierre Sékaly quitte Montréal

Thursday, May 21st, 2009

«Le recrutement d’un scientifique de ce calibre est tout un exploit! Il est considéré comme l’un des principaux immunologues en santé humaine au monde», pouvait-on lire récemment dans un communiqué. Ce chercheur-là, malheureusement, ne vient pas s’installer à Montréal. Au contraire, le Dr Rafick-Pierre Sékaly nous quitte pour prendre la tête d’un nouvel institut en Floride.

La perte de ce spécialiste du sida a fait beaucoup de bruit cette semaine. Avec raison. Elle nous interpelle sur l’importance que nous accordons à la recherche de pointe. Nous manquons singulièrement d’enthousiasme envers ce secteur d’activité.

Soyons claire: personne au Canada n’avait les moyens de faire une offre assez attrayante pour retenir le Dr Sékaly. Mais d’autres départs pourraient être évités à l’avenir, si on s’y prend à temps. C’est-à-dire dès maintenant. Car lorsqu’un chercheur d’envergure lève les voiles, on perd bien plus que son seul talent.

Le Dr Sékaly, par exemple, entraîne 25 autres chercheurs dans son sillage. Durant sa carrière à Montréal, il a obtenu une vingtaine de brevets et signé plus de 200 articles scientifiques. Il a aussi convaincu l’Institut national de la santé et de la recherche médicale de France d’implanter sa première unité nord-américaine ici. Un scientifique de haut niveau, c’est aussi une formidable locomotive. Nous ne pouvons pas nous permettre d’en perdre beaucoup. Et nous devons créer un climat qui suscite ce genre de vocations.

NDLR: Le débat, lancé par cette nouvelle, met en évidence une autre question qui n’a pas été traitée par notre collègue de La Presse et qui doit être posée au moins au sein de la communauté gaie. Est-ce qu’il est plus important d’avoir un scientifique de haut niveau à Montréal pour l’économie qu’il génère avec les emplois associés ou en Floride avec de vrais budgets et la possibilité qu’il trouve plus rapidement un remède contre le SIDA qui pourra bénéficier à tous? La réponse pour les personnes atteintes est à 100%, qu’il soit à Montréal ou ailleurs, c’est son expertise en SIDA qui importe et les moyens qu’on lui donne pour mener à terme ses recherches. Le Dr. Sékaly semble avoir décidé d’être logique avec son mandat. L’Important est qu’il nous revienne avec un vaccin ou un traitement…