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Les Bars Gays de Paris

Sunday, August 26th, 2012

evous.fr

Lieu de rassemblement où les homosexuels, si souvent confrontés à l’hostilité dans leur vie quotidienne, entendent bien y être en paix.
Les horaires, l’accueil et les styles varient selon l’esprit de la maison mais pour le reste ces bars répondent aux mêmes exigences que les autres établissements.

Les Bars Gays de la Capitale :

- Banana Café, l’un des plus vieux de la Capitale ! Happy hour défiant toute concurrence et cocktails à prix modiques !

- Le Vagabond, le plus vieux (1956) des bars gays de la Capitale ! Et comme chacun sait : “ce n’est pas au vieux singe qu’on apprend à faire la grimace” !

- Le Central Marais, café brasserie, contigu avec l’hôtel (2 rue Sainte-Croix de la Bretonnerie). C’est aussi le plus vieil endroit gay du Marais.

- Okawa, bar, coffee shop, brunch. Essentiellement gay.

- Le Cox, c’ est LE bar gay habituel des vrais mecs, entendez crâne rasé et regard de tueur. Malgré les apparences, ce bar reste un des plus sympathiques et des plus animés. Et le lieu n’est pas vraiment sectaire puisque certains égarés aux cheveux longs y sont aperçus.

- Le Carré, bar, restaurant gay sympathique et souvent pris d’assaut le soir. terrasse agréable.

- Le Quetzal, clientèle de tout type et de tout âge, un bon endroit pour faire des rencontres.

- Le Mixer Bar, franchement gay et lesbien. Vous pouvez même y danser avant d’aller clubber. Ambiance assurée.

- Les Jacasses, un bar lesbien accueillant et cosy.

- Ze Baar, un petit bar gay qui gagne à être connu : à l’étage, un espace loundge très cosy.

- Le Nyx Café, un agréable bar lesbien. Les garçons sont aussi les bienvenus.

- Amnésia Café, café, brasserie. Clientèle en grande majorité gay et ambiance décontractée. Surtout animé en soirée.

- Open Café, l’un des principaux bars gays du Marais. Tous les styles s’y mélangent. L’Happy Hour est incontournable.

- Les Maronniers, reste une valeur sûre du Marais gay : grande terrasse sur la rue des Archives, tout près du BHV.

- Le Palmier, agréable café-bar gay friendly doté d’une belle terrasse sur la rue piétonne des Lombards. Spécialités de cocktails.

- Le Duplex Bar, la population est à majorité arti-intello-branchée. L’équipe du bar est vraiment accueillante. C’est le meilleur bar gay parisien.

- Unity Bar, C’est LE grand bar lesbien du Marais.

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Paris: le voleur écumait les bars gays pour arnaquer les clients

Monday, July 30th, 2012

Têtu

Le Sneg appelle à la prudence après l’arnaque utilisée par un voleur qui rencontrait des hommes dans des bars gays, puis les droguait afin de les endormir et de les cambrioler.

La scène est racontée par Le Parisien du 27 juillet: comment un séduisant voleur est parvenu à gagner la confiance d’un homosexuel rencontré dans un bar gay du 3e arrondissement de Paris. Le 24 juin, il a engagé la conversation avec lui puis l’accompagne dans un second établissement, avant de se rendre avec lui à son domicile du 9e arrondissement.

Et c’est tout ce dont se souvient la victime : le voleur avait glissé dans son verre quelques gouttes de Rivotril, un anxiolytique puissant, associé à un tranquillisant. Le cocktail l’a plongé dans un profond sommeil. C’est donc au petit matin qu’elle a découvert son appartement, délesté d’un ordinateur et de son appareil photo, ainsi que 400€ en espèces et sa carte bancaire. L’homme s’est rendu au commissariat du 3e arrondissement afin de porter plainte.

Une deuxième victime
Finalement, le voleur a été confondu grâce aux empreintes digitales laissées sur un ticket d’entrée abandonné chez sa victime, ainsi que par les caméras de surveillance de Paris et de Seine-Saint-Denis, où il a utilisé la carte bancaire. L’homme était connu des services de police pour une dizaine d’affaires différentes.

Il a été interpellé par les enquêteurs du service d’investigations transversales (SIT) mercredi dernier, le 25 juillet, à son domicile de Stains (93). Il est passé aux aveux, et a reconnu utiliser cette stratégie – séduire des hommes dans des bars gays afin de les dépouiller, avant de revendre les objets à la sauvette à Barbès (18e arrondissement). D’ailleurs, depuis, une seconde victime rencontrée dans le 16e arrondissement s’est fait connaître de la police, et a reconnu le voleur sur photos.

Le Sneg appelle à la prudence
Ce matin, le Syndicat des entreprises gaies (Sneg) publie un communiqué d’appel à la prudence. Il rappelle aux clients de «rester attentif à son verre et ne pas le laisser traîner en allant aux toilettes, accompagner l’inconnu qui vous offre un verre jusqu’au bar… Prendre aussi ses précautions en recevant un inconnu à domicile: refermer la porte derrière soi et cacher ses clés, dissimuler au mieux ses objets de valeur de petite taille, prévenir un ami que l’on rentre chez soi avec quelqu’un et éventuellement, transmettre son numéro de téléphone si on l’a obtenu et vérifié».

Les propriétaires d’établissements sont également encouragés par le Sneg à «veiller aux venues de ces clients présents régulièrement et qui reproduisent systématiquement le même schéma de rencontre et de drague et éventuellement mettre en garde leurs clients».

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Est-ce que les bars gais peuvent vivre sans hétéros?

Sunday, September 25th, 2011

Gagner de l’argent avec un bar est chose difficile. Les charges sont élevées, les clients versatiles, et le personnel, fluctuant. Selon le Bureau du recensement américain, le nombre de dé- bits de boissons aux États- Unis a chuté de 11,1% entre 1997 et 2007, passant de 52.825 à 46.924.
Pour les bars gais, le seuil de rentabilité est encore plus difficile à atteindre. Les guides Damron, qui réper- torient tous les bars LGB depuis 1964, ont constaté que leur nombre avait dimi- nué de 12% entre 2005 et 2011. Un bar peut-il gagner de l’argent alors même qu’il exclut 90% de la popula- tion? Auparavant, la répon- se était: oui. Les gais avaient si peu d’endroits où sortir qu’ils fréquentaient n’im- porte quel établissement qui, même à contrecœur, leur ouvrait ses portes. Les frais de fonctionnement de ces bars étaient faibles, vu qu’ils se trouvaient souvent au milieu de nulle part et ne nécessitaient pas de déco recherchée. L’improbabilité de l’emplacement et l’absen- ce de fioritures participaient d’ailleurs souvent au frisson de l’interdit.
Aujourd’hui, la communau- té LGB ne se limite plus aux établissements communau- taires, le sida a rendu les backrooms moins attracti- ves, et les rencontres se font autant sur Internet que dans les bars. Pour les établisse- ments lesbiens, c’est encore plus difficile, ce qui explique leur rareté. Loin des gran- des villes, beaucoup de bars dits «gais» accueillent une clientèle aussi bien masculi- ne que féminine, mais dans les centres urbains, les bars gais sont beaucoup plus nombreux que les lesbiens.
D’après l’édition 2011-2012 des Gayellow Pages («Pages jaunes gaies»), San Fran- cisco compte un bar les- bien, 24 bars à la clientèle principalement gaie et 7 à la clientèle mi-gaie mi-les- bienne. Atlanta compte 2 bars lesbiens, 12 bars gais et 8 mixtes. Manhattan possède 2 bars lesbiens, 28 gais, 13 mixtes, et Seattle, 1 bar lesbien, 4 gais et 6 mixtes. Plus intéressées par les relations de longue durée, les lesbiennes fré- quentent moins les bars que les gais. Avant Stonewall, les gais et les lesbiennes étaient plus susceptibles de fréquenter les mêmes bars.
Cela leur permettait d’avoir une couverture en cas de descente de police, les hom- mes se mettant alors à dan- ser avec les femmes. Par ailleurs, un ou une ami(e) rencontré(e) au bar pouvait servir à donner le change lors de soirées profession- nelles ou familiales. De nos jours, en ville, ces établis- sements ont tendance à se regrouper dans les quartiers gais (Greenwich Village et Chelsea à New York, Castro et SoMa à San Francisco, Dupont Circle à Washing- ton), tout comme les bars sportifs prolifèrent autour des stades.
Aujourd’hui, les milieux gais et hétéro se mélangent de plus en plus dans les bars. Peut-être est-ce dû d’un côté aux habitudes de consom- mation des gais, et de l’autre à une plus grande tolérance de la part des hétéros. Ce serait donc un suicide éco- nomique de restreindre sa clientèle (surtout dans une ville où le choix ne manque pas).
NDLR: En conclusion, la journaliste déclare que la plupart des proprios de bars gais ne tiennent leurs établis- sement que pour la passion. Encourageons-les donc!

Pour ou contre Vu par une fille…

Thursday, August 25th, 2011

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Plusieurs raisons peuvent
inciter votre bon ami homo
à vous emmener avec lui
dans un bar gay. Parce qu’il
a envie de tester l’endroit
avec quelqu’un en qui il a
confiance, parce qu’aucun
de ses amis hétéros n’ose
l’accompagner ou simplement
parce qu’il sait qu’on
s’y amuse et qu’il veut vous
faire découvrir l’endroit.
Comme vous passez toujours
de très bonnes soirées
avec lui, vous décidez d’accepter
et vous vous laissez
entraîner dans ce fameux
bar gay dont votre ami vous
parle tant. À la fin de la soirée,
c’est l’heure du bilan: il
y a du sympa et du moins
sympa, mais vous avez passé
un bon moment!
Pour: il y a de beaux mecs
partout. Des filles dans des
bars homos réservés aux
hommes, on en voit peu.
Par contre, les hommes sont
partout, du barman au DJ,
en passant par ceux qui
sirotent un verre sur les canapés.
Bref, on ne s’ennuie
pas!
Contre: vous ne trouverez
pas l’homme de votre vie. À
part dans le cas où vous tombez
miraculeusement nez-à-nez avec le seul hétéro
de la soirée, ce n’est pas en
accompagnant votre pote
homo dans un bar gay que
vous trouverez l’amour de
votre vie. On regarde, on
peste, mais on ne touche
pas!
Pour: on ne s’ennuie pas.
Comme il est plutôt rare
qu’une fille pointe le bout
de son nez dans ce genre
de bars, quand c’est le cas,
vous êtes en quelque sorte
la star de la soirée. Vous ne
passez pas inaperçue parmi
tous ces hommes, et on vous
interpelle de tous côtés pour
vous demander ce que vous
faites là et pour vous dire
combien c’est agréable de
voir un visage féminin de
temps en temps.
Contre: le barman ne vous
voit pas. Vous risquez d’attendre
un certain temps
avant de pouvoir commander.
Le barman est souvent
occupé à draguer ou à se faire
draguer, et vous passez plus
ou moins inaperçue dans la
horde d’hommes qui se bat
pour commander un verre.
Le mieux dans ces cas-là,
c’est de sympathiser avec un
homme proche du bar et de
lui demander de vous prendre
quelque chose en même
temps que sa commande. Pour: il n’y a jamais la file
aux toilettes. C’est sans
doute l’avantage majeur
des bars gays: pas ou peu
de filles, donc un accès rapide
aux toilettes! Attention
cependant au piège de certains
bars, qui ne disposent
que de W.C. pour hommes!
Pour ou contre selon votre
degré de complicité: redécouverte
de votre ami.
Accompagner votre ami
dans un bar gay, c’est prendre
le risque d’en sortir en le
voyant d’un autre oeil. Jeu
de séduction, commentaires
graveleux et poses suggestives
seront sûrement de la
partie, et mieux vaut être
préparée à cette idée avant
d’entrer dans le bar!
Des avantages et des inconvénients,
donc. Et si vous
vous rendez compte que,
vraiment, les bars gay ce
n’est pas votre truc, ditesvous
que vous aurez au
moins fait plaisir à votre
ami.