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Royals to mark Canada Day by welcoming new citizens

Friday, July 1st, 2011

Vancouver Sun

Prince William and Kate will launch what is expected to be one of the biggest Canada Day celebrations in history with a citizenship ceremony at the Canadian Museum of Civilization, where 25 new Canadians will take an oath of citizenship.

It’ll be a more festive second day of the royal tour than the few brief but well-attended events the couple took part in upon arriving in Canada on Thursday.

The citizenship ceremony is being held Friday morning at the museum, which is just across the bridge from Ottawa in Gatineau, Que.

William will present each of them with a folded Canadian flag and Kate will give them a small hand flag, but the Sons of Scotland band also has a gift for the couple — a new composition called the St. Andrews Courtship, a nod to the Scottish university where the world’s most famous newlyweds met as undergraduates eight years ago.

Prime Minister Stephen Harper, his wife, Laureen, and their children, Ben and Rachel, are scheduled to arrive on the Hill around noon. A few minutes later, William and Catherine will arrive in a landau with an RCMP escort, accompanied by the Governor General and his wife.

There will be a 21-gun salute, the Governor General will inspect the Guard of Honour, and there’ll l be a CF-18 flypast over Parliament Hill.

The hour-long Canada Day show they’ll watch will include performances by Sam Roberts, Great Big Sea and Maria Aragon, the Winnipeg 10-year-old who performed a duet with Lady Gaga in Toronto earlier this year.

The prince is then scheduled to give a brief speech and he and Kate will conduct a walkabout on Parliament once the afternoon performance ends.

William and Kate began the day by sending best wishes to Canadian soldiers serving at home and abroad, lauding their “extraordinary commitment and contribution to the cause of peace.”

In a letter posted by the Governor General, the visiting royals spoke of the soldiers sacrifice with admiration.

“Because Canadian Forces are always to the fore, the sacrifices have been great,” the letter reads.

“For this, the Canadian Forces are respected around the world, They have made a difference to the lives of many thousands who most need assistance through compassion and humanity. We are honoured to thank you and congratulate you for a job well done.”

William himself serves with Britain’s Royal Air Force.

The letter was signed William and Catherine.

Le voyage du prince William au Canada définira son identité

Monday, June 27th, 2011

Cyberpresse

La Presse Canadienne
Toronto

Le premier séjour outre-mer officiel du prince William et de son épouse Kate, qui se déroulera au Canada du 30 juin au 8 juillet, pourrait donner le ton au reste de leur vie monarchique.

Le couple nouvellement marié devra ainsi faire ses preuves au sein de la famille royale la semaine prochaine, selon le rédacteur en chef du magazine britannique «Majesty», Joe Little.

Il a ajouté que William et Kate seront appelés à effectuer plusieurs tournées royales avant et après la possible accession au trône du prince, augmentant du même coup l’importance de réussir leur première visite.

La Reine mère a déjà affirmé que son séjour de six semaines au Canada avec le roi George VI, en 1939, avait été l’occasion de les définir comme un «couple royal», a indiqué le spécialiste des tournées royales, Richard Berthelsen.

Le même scénario pourrait se répéter pour le jeune couple, duc et duchesse de Cambridge, a souligné M. Berthelsen, qui a été impliqué dans les visites royales au Canada entre 1978 et 2002.

Le passage du couple, des jeunes gens populaires, pourrait contribuer à illustrer les liens forts et viables qui unissent le Canada à la monarchie, selon l’experte en royauté Carolyn Harris.

Les Britanniques intégreront de nouvelles façons de faire pendant leur visite, notamment en diminuant le cortège les accompagnant. Kate n’aura donc pas de dame de compagnie ni d’habilleuse, a rapporté Mme Harris, candidate au doctorat étudiant la royauté britannique à l’Université Queen’s.

Une attention médiatique toute spéciale devrait être portée à Kate, alors que son arrivée au Canada sera l’une de ses premières apparitions publiques d’importance.

Le couple arrivera à Ottawa le 30 juin, avant de passer par le Québec, l’Île-du-Prince-Édouard, les Territoires du Nord Ouest et l’Alberta. Ils quitteront le pays pour la Californie le 8 juillet.

Visite du prince William: les antimonarchistes se mobilisent

Monday, June 27th, 2011

Cyberpresse

Des indépendantistes québécois «purs et durs» s’apprêtent à manifester contre la visite du prince William et de son épouse, qu’ils voient en messagers du fédéralisme et de la domination anglo-saxonne.

Ainsi, le RRQ (Réseau de résistance du Québécois), qui mobilise ses troupes sur un mot d’ordre explicite, «William, dégage !», appelle à un rassemblement à Québec dimanche 3 juillet à midi.

Ce sera au moment même où, au quatrième jour de sa tournée canadienne, le couple princier britannique doit assister à une cérémonie censée valoriser la relation entre la ville et le 22e régiment royal d’infanterie.

«Le prince William et la princesse Catherine, s’ils veulent venir au Québec en tant que citoyens britanniques pour un voyage de noces qu’ils vont payer eux-mêmes, cela ne pose aucun un problème pour nous», dit à l’AFP l’animateur du RRQ Patrick Bourgeois.

«Mais s’ils viennent sur l’invitation du gouvernement fédéral canadien qui veut piquer au vif et humilier les indépendantistes québécois, nous serons là!», ajoute le jeune homme, titulaire d’une maîtrise en histoire.

Pour lui, la visite du prince n’est rien d’autre qu’une opération politique du gouvernement fédéral qui veut montrer au monde que le Québec accepte sa place au sein du Canada.

Les Britanniques avaient mis la main sur le Canada, y compris le Québec, en 1763 à l’issue de la guerre de Sept Ans avec la France. Le Canada, membre du Commonwealth, est indépendant du Royaume-Uni depuis les années 30, mais Elizabeth II demeure chef d’État en titre du pays.

Le Québec a repoussé à deux reprises par référendum, en 1980 et 1995, la perspective d’un État indépendant, à l’issue toutefois d’un vote très serré lors de la seconde consultation.

Le mouvement nationaliste, affaibli par des défaites électorales et des querelles internes, rêve toujours d’un éventuel troisième référendum.

M. Bourgeois compte répéter un succès de 2009, à savoir une manifestation qui avait forcé le prince Charles à emprunter une porte dérobée pour entrer dans une caserne.

Dans un passé plus distant, le 10 octobre 1964, une manifestation d’étudiants et d’indépendantistes contre la visite à Québec de la reine Elizabeth II avait été réprimée et l’événement est entré dans l’histoire locale comme «le samedi de la matraque».

D’après des sondages, deux Canadiens sur trois seraient enclins à rompre tout lien institutionnel avec la couronne britannique. Cette proportion est plus élevée au Québec.

Mais la royauté compte aussi d’ardents partisans, rassemblés au sein de la Ligue monarchiste.

L’organisation revendique quelque 10 000 membres, dont 500 au Québec, a indiqué à l’AFP son porte-parole provincial Étienne Boisvert.

L’étudiant en sciences politiques est un Québécois de souche, descendant de Français arrivés entre le XVIe et le XVIIe siècle.

Certes, le début des relations entre Britanniques et Français avait été difficile, reconnaît-il. «Mais ce sont les premiers qui ont apporté à l’Amérique du Nord le parlementarisme, la démocratie et la doctrine des libertés individuelles».

La monarchie est pour lui «une institution féodale qui a su se réinventer».

Le fait que la reine réside à 4000 km du Canada ne le gêne-t-il pas? Non, le gouverneur général est là pour la représenter.

«Mais, il y a des idées qui circulent dans les milieux monarchistes: on pourrait installer un membre de la famille royale dans chacun des seize royaumes du Commonwealth», ajoute-t-il.

«Le prince Harry, qui a peu de chances de devenir roi, pourrait s’établir  ici et fonder une branche canadienne. Ou le futur jeune souverain pourrait assurer des rotations: six mois au Canada, six en Australie, six à Londres…»