Posts Tagged ‘sexe’

Un “télététon” nippon avec des actrices porno pour lutter contre le Sida

Thursday, September 18th, 2014

Ladepeche.fr

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Un “télététon” nippon pour la prévention du Sida Copie écran vidéo AFP

VIDÉO — Au Japon, les associations de lutte contre le Sida ont trouvé une méthode étonnante pour attirer des donateurs. Elles ont fait appel à des actrices de porno qui ont proposé aux passants de toucher leurs seins en échange de quelques pièces. Cette opération « télététon », répétée depuis 2003, aurait déjà rapporté plus de 16 000 euros.

Retransmise en direct à la télévision par une chaîne réservée aux adultes, l’opération « Boob Aid » a attiré du monde ce week-end, à Tokyo. Pour l’occasion, neuf actrices X ont remonté leur t-shirt jaune pour accueillir les caresses d’anonymes souhaitant faire un don, tout cela bien sûr au nom de l’avancée médicale.

Les candidats au massage mammaire ont dû au préalable se nettoyer les mains au désinfectant et faire un don de 1000 yens (environ 7 euros). Plus de 4100 paires de mains ont participé à l’événement entre samedi et dimanche, selon les organisateurs.

Les actrices semblent avoir apprécié leur rôle important. « Je n’aurais jamais pensé que mes tétons puissent être utiles à la société » a déclaré l’une d’entre elle, Rina Serina.

Korhogo : des professionnels du sexe se forment sur le SIDA

Thursday, September 18th, 2014

Abidjan.net

Korhogo – L’Ong Ditiaba qui veut dire “combattre l’ignorance”, en Sénoufo a organisé un atelier de formation sur le VIH-Sida à l’endroit d’une dizaine de professionnels du sexe, afin que celles-ci, sensibilisent à leur tour leurs collègues dans le département de N’Bengué où l’orpaillage à faciliter la propagation de cette pandémie du siècle.

Selon le président de l’Ong Diiaba, Ali Ouattara, avec les différentes crises traversées en Côte d’Ivoire, l’on a assisté à l’accroissement du nombre de professionnels du sexe dans le département de M’Bengué à cause de l’exploitation moderne et artisanale des sites d’or par les orpailleurs et les sociétés minières.

Ces professionnels du sexe sont constamment exposés au VIH-SIDA et aux infections sexuellement transmissibles.

Face à cette propagation de cette pandémie dans ce milieu, l’ong a initié cet atelier de formation financé par le Fonds National de Lutte contre le sida en Côte d’Ivoire, en vue de former des pairs éducateurs, professionnels du sexe afin qu’ils soient des relais pour sensibiliser.

Au cours de cet atelier qui s’est tenue du lundi au mercredi à Korhogo, sur le thème “Prévention et prise en charge communautaire des IST/VIH/SIDA chez les professionnels du sexe du département de M’Bengué”, les participants ont été instruits le mode de transmission, et les différentes protections pour éviter la propagation du VIH.

Créée en 2009, l’ONG DITIABA a pour mission d’améliorer les conditions de vie des populations en milieu rural et urbain. Elle lutte contre le VIH-SIDA, l’excision, le paludisme, la malnutrition et la tuberculose. Elle œuvre également pour la protection de l’environnement, la réduction de la pauvreté par le développement durable.

(AIP)
apk/kam

Est-ce que l’État doit continuer à financer le changement de sexe? Transsexualisme ou prostitution?

Wednesday, June 15th, 2011

Par Roger-Luc Chayer
[email protected]

Photos Wikimédia

(Wikipédia) Le transsexualisme ou la transidentité (mots formés à partir du préfixe latin trans-, dénotant le passage) est le fait pour une personne de se sentir comme ayant une identité sexuelle opposée à son sexe physique de naissance. C’est un état constitutif résultant d’une synergie de l’inné et de l’acquis .
Le terme « transsexualisme » est parfois préféré à celui de « transsexualité » pour cause d’une trop forte connotation purement sexuelle. Le transsexualisme n’a aucune incidence sur l’orientation sexuelle d’un être humain. Le terme transsexualisme est associé à une pathologie d’après le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux, et est donc rejeté par une certaine frange du militantisme trans. Le terme transidentités tend alors à prévaloir.

Voilà pour la définition officielle de la condition trans mais le débat qui fait rage actuellement à Montréal ne repose non pas sur l’identité mais sur la réelle nécessité, pour certains individus, de recourir à un changement de sexe au frais de l’État. La question se pose quand on observe, dans les petites annonces d’escortes ou de prostitution, comme par exemple sur le site montréalais http://www.annonces123.com/s-rencontres-escortes-masculines-KKcat_idH133KKsubcat_idH228KKpageH1, que plus de 95% des 1983 annonces offrent les services de transsexuelles. Est-ce que l’État ne fait que créer la matière première d’une industrie illicite?

Pour la plupart des trans contactées dans le cadre de ce dossier, le débat n’a pas raison d’être puisque la question n’est pas de savoir si l’État doit financer les opérations de changement de sexe et ainsi contribuer à l’industrie de la prostitution mais plutôt de savoir si l’aide de l’État n’est justement pas complète et force les personnes atteintes par cette condition à trouver des moyens de financement pour combler un manque à gagner transitoire.

Une source policière proche du milieu de la prostitution montréalaise nous informait que le portrait du milieu évolue et que les personnes trans, depuis quelques années, forment près de la moitié des cas traités dans le cadre des interventions.

“Les personnes transsexuelles ont toujours été très présentes dans le monde de la prostitution et souvent, quand ce n’est pas pour financer un problème de drogues, c’est effectivement pour trouver les fonds pour se faire opérer en dehors du système québécois qui impose des délais que ces personnes souhaitent contourner”, déclare notre source policière qui souhaite évidemment garder l’anonymat.

Est-ce qu’il y aurait dérive quant aux besoins des personnes trans de recouvrer une véritable identité en se tournant vers la prostitution et est-ce que la fin justifie les moyens?

C’est ce que les autorités auront à déterminer dans leur plan d’intervention à venir car si les trans souhaitent occuper une place juste et respectable dans la société, parfois avec l’aide financière de l’État, est-ce que le recours à des moyens prohibés de financement leur donne véritablement la chance de gagner le respect de cette même société?

Un nouveau médicament de lutte contre le VIH approuvé

La Food and Drug Administration américaine, a annoncé vendredi dernier, qu’elle approuvait un nouveau médicament contre le VIH, qui concernerait les personnes n’ayant jamais reçu de traitement contre le VIH. L’Edurant de la Johnson & Johnson, qui doit être pris une fois par jour, empêche le virus de se reproduire. Toutefois, la FDA précise que quelques effets indésirables ont été notés : dépression, troubles du sommeil (insomnie), des céphalées et une éruption cutanée.

Les sports Une affaire de chromosomes?

Thursday, August 27th, 2009

Déterminer le sexe d’une personne n’est pas facile tant les facteurs, génétiques et psychologiques, à prendre en compte sont nombreux.

Comment différencie-t-on le sexe d’un enfant à la naissance ? Les «désordres de la différenciation sexuelle», DDS comme on dit dans le jargon médical, sont plus fréquents qu’on l’imagine. On estime que, chaque année en France, un enfant sur 4 500 présente ce type de troubles qui, il faut le souligner, ne sont pas mortels. Il est rare en France que les médecins ou les parents ne s’en aperçoivent pas rapidement.

Dans ce cas, ils se manifestent à la puberté. Selon le Dr Claire Fékété, chirurgien pédiatre à l’hôpital Necker et professeur à l’université Paris-V, il existe près d’une cinquantaine de formes d’anomalies, ce qui rend la question extrêmement complexe. En effet, la différenciation homme-femme ne porte pas seulement sur la paire des chromosomes sexuels (XX chez la femme et XY chez l’homme).

Elle peut aussi dépendre du dysfonctionnement d’un gène. «Un garçon peut avoir les deux chromosomes XX mais il peut lui manquer des gènes de masculinisation», explique le Dr Fékété. Les troubles varient d’un hémisphère à l’autre. Ainsi la présence simultanée d’un ovaire et d’un testicule (ovotestis ou vrai hermaphrodisme) est fréquente chez les populations bantoues, sans qu’on sache pourquoi. Les DDS peuvent maintenant être repérés au stade de l’embryon par échographie et diagnostiqués plus précisément grâce à un prélèvement du liquide amniotique.

“De toutes les aberrations sexuelles, la pire est la chasteté.”
(Anatole France)

Pourquoi y a-t-il souvent des doutes sur le véritable sexe des athlètes féminines ? Le cas de Caster Semenya n’est pas le premier. Il y a eu le même type d’interrogations, récemment, avec l’Indienne Santhi Soundarajan. Le phénomène s’explique par le fait que des femmes XY peuvent avoir des caractères masculins qui leur permettent de dépasser leurs adversaires qui en sont dépourvues.

Que risque Semenya ? La fédération internationale (IAAF) a diligenté un test de féminité. Un examen long et complexe puisque, depuis 1999, le test de salive, jugé peu fiable, a été abandonné. Des experts gynécologiques et des psychologues vont donc examiner Caster Semenya pour rendre leur verdict d’ici deux à trois semaines. Mais l’IAAF a annoncé jeudi que la Sud-Africaine ne perdrait pas automatiquement son titre si elle s’avérait être un homme. «D’un point de vue légal, si on découvre que vous êtes d’un sexe différent que celui déclaré, ce n’est pas tricher», a justifié le porte-parole Nick Davies.

(e-Illico) Attentats aux Outgames 2009
Trois bombes, un athlète blessé et beaucoup de spectateurs sous le choc : tel est le bilan des attaques homophobes qui se sont déroulées mardi à Copenhague, durant les OutGames. Vendredi déjà, la journée d’ouverture de ces jeux avait été marquée par une agression… Si on ne déplore heureusement pas d’autre victime de ces attaques, nombre de spectateurs et de participants aux jeux ont été choqués par leur violence aveugle : une des bombes a en effet explosé à quelques mètres de l’endroit où dormait un enfant quelques instants plus tôt.

Un homme de 31 ans, qui tentait de s’enfuir, a été arrêté par des coureurs du Sparta Athletes Club qui l’on remis à la police danoise. Des témoins l’auraient vu en train d’envoyer les bombes. Selon les médias locaux, son sac contenait une demi-douzaine d’autres engins explosifs. L’homme s’est défendu d’avoir voulu agresser des homosexuels et a prétendu avoir jeté les bombes contre un mur. Le commissaire chargé de l’enquête ne semble pas croire ces dénégations.