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GESTION DU STRESS Trucs et astuces pour en faire un allié

Tuesday, September 9th, 2014

Santé Canada

Le stress fait partie de la vie quotidienne et découle tout aussi bien de situations plaisantes ou pénibles. S’il peut représenter une grave menace pour la santé lorsque trop intense, il y a toutefois de nombreux moyens d’y faire face et de réduire ainsi les risques qu’il fait courir.

Le stress peut être associé à des événements importants, comme le mariage ou un nouvel emploi, ou plus ordinaires, comme la pression subie au travail ou la planification de vacances. Ce qui est stressant pour l’un ne le sera pas nécessairement pour l’autre. Le seul état sans stress d’aucune sorte, c’est la mort ! Le bon stress, celui qu’on ressent à l’issue d’une victoire ou au moment de partir en vacances, peut être motivant et rehausser le niveau d’énergie. Mais les effets négatifs d’un stress trop intense chez une personne sous pression peuvent se répercuter sur la santé Face au stress, l’organisme déclenche une série de réactions, qui se produisent en trois étapes :
Mobilisation de l’énergie
L’organisme libère de l’adrénaline, le coeur bat plus vite et la respiration s’accélère, peu importe que l’événement déclencheur soit plaisant ou pénible.
Utilisation des réserves d’énergie
Si l’état de mobilisation persiste, l’organisme puise dans ses réserves de sucres et de graisses. La personne se sent à bout, stressée, fatiguée et pourrait être portée à consommer plus de café, de tabac ou d’alcool. Elle peut devenir anxieuse, broyer du noir, avoir des pertes de mémoire et être plus vulnérable au rhume et à la grippe.

Épuisement des réserves d’énergie
Si rien n’est fait, l’organisme a besoin de plus d’énergie qu’il ne peut en produire. À ce stade, insomnie, erreurs de  jugement ou changements de personnalité peuvent se manifester. La personne pourrait développer une grave maladie, comme une affection cardiaque, ou devenir vulnérable à la maladie mentale.
Parce que nous sommes différents les uns des autres, il n’y a pas de solution unique au stress, mais il y a plusieurs méthodes qu’on peut essayer pour gérer le stress à court et à long terme.

Cernez le problème.
Cherchez des solutions.
Parlez de vos problèmes.
Renseignez-vous sur la gestion du stress.
Diminuez la tension.
Oubliez vos problèmes.
Soyez indulgent envers vous-même.

Quand votre stress aura diminué, vous pourrez utiliser les techniques ci-après pour éviter qu’il ne s’amplifie.
Prenez des décisions. Hésiter à prendre une décision est une cause de stress.
Évitez de remettre au lendemain.
Déléguez! Laissez les autres assumer une partie des tâches que vous avez prévues plutôt que d’essayer de tout faire vous-même.

Abordez les choses de
façon positive et réaliste.

Une autre organisation communautaire SIDA dépense mal les sommes amassées

Wednesday, January 26th, 2011

Des dirigeants largement avantagés et des dons mal réinvestis. Les conclusions de l’étude confidentielle du cabinet Sécafi révélée ce jeudi par Le Parisien ont fait l’effet d’une bombe à Aides, dont les responsables n’ont pas tardé à réagir. Dans un communiqué publié ce mardi en fin de matinée, ils se disent «choqués et abasourdis», évoquant un «simulacre de scoop». Cette «publication (…) est coup très dur porté à tous nos militants et à la lutte contre le sida toute entière».

Selon l’article du Parisien, la gestion économique de l’association laisserait à désirer. Ainsi, seuls 60,3% des 22,2 millions d’euros perçus en 2009 ont servi à financer des missions locales, comme des actions de prévention, de soutien ou encore de distribution de préservatifs. Un chiffre lié au «coût de fonctionnement» de l’association, présente dans 70 villes en France, selon Christian Andréo, directeur des actions nationales à Aides, contacté par 20minutes.fr.

Les avantages des dirigeants déjà connus

L’étude publiée s’interroge aussi sur les raisons qui ont amené à octroyer un logement de fonction jusqu’en 2010 à Christian Saout qui fut président d’Aides de 1999 à… 2007. Ce dernier, désormais président d’honneur, serait encore payé 110.000 euros par an, remboursés par le Conseil d’Etat. «C’est le montage qui a été validé par la direction générale de la Santé, au titre de sa mise à disposition», explique Christian Andréo. Quant au logement de fonction, «cela nous a permis d’économiser des dizaines de milliers d’euros en nuits d’hôtel», se défend-il.

Le Parisien assure également que le salaire du directeur général Vincent Pelletier a bondi de 17% entre 2007 et 2009 pour atteindre 9.500 euros par mois. Enfin, si sa paye n’augmente pas, il toucherait une prime.

«Le mal est fait»

Selon l’étude, tout cela n’arrangerait pas les affaires internes de l’association, déjà mises à mal avec la démission de la secrétaire du comité central d’entreprise en 2010. «On ne va pas le nier», avoue Christian Andréo. «Des dissensions, il y en a mais comme dans tout le secteur associatif en ce moment. Nous ne sommes pas une exception à la règle». Le cabinet Sécafi évoque aussi un «éventuel malaise au travail». «Nous avons mis en ligne un rapport d’un cabinet externe sur les conditions de travail à Aides, répond le directeur des actions nationales. On obtient près de 80% de satisfaction.»

Pour Aides, «le mal est fait». Ses responsables regrettent que la rédaction ne les ait contacté que lundi après-midi soit la veille de la publication. L’association se dit ainsi «profondément indignée, meurtrie par ces allégations détournées, mensongères, et étudie à présent toutes les voies possibles, y compris légales, pour contester point par point les éléments de cette prétendue enquête».