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Bisexual Players OK On Gay Softball Team, But Straight Players Can Be Limited

Wednesday, November 30th, 2011

Sfist

Remember this case, in which the National Center for Lesbian Rights took on a discrimination case on behalf of three allegedly straight players on San Francisco’s D2, a softball team that is part of the San Francisco Gay Softball League? The players got kicked off the team after their sexuality was called into question during league play, and the lesbian lawyers found this highly offensive. Challengers on the Atlanta Mudcats team claimed the players were straight ringers, and that this violated the rule stating that there could only be two non-gay players on the team. Well, a court has now sided with the three players, saying that they’re bisexual if they say they are, and the North American Gay Amateur Athletic Alliance has to pay them each an undisclosed sum of money, and restore to their team the second-place trophy they would have won in the 2008 tournament.

The lesbian lawyers say this is a victory for bisexuals everywhere, and these poor put-upon bisexual lads shall suffer no more. The league has re-written their rules now to allow bisexual players, but they are still limiting full-time breeders to two per team.

But if we know gay men — and we do! — those players from the Atlanta team are probably still muttering into their beers about how the three S.F. guys were about as bisexual as Lou Ferrigno.

Les sports Une affaire de chromosomes?

Thursday, August 27th, 2009

Déterminer le sexe d’une personne n’est pas facile tant les facteurs, génétiques et psychologiques, à prendre en compte sont nombreux.

Comment différencie-t-on le sexe d’un enfant à la naissance ? Les «désordres de la différenciation sexuelle», DDS comme on dit dans le jargon médical, sont plus fréquents qu’on l’imagine. On estime que, chaque année en France, un enfant sur 4 500 présente ce type de troubles qui, il faut le souligner, ne sont pas mortels. Il est rare en France que les médecins ou les parents ne s’en aperçoivent pas rapidement.

Dans ce cas, ils se manifestent à la puberté. Selon le Dr Claire Fékété, chirurgien pédiatre à l’hôpital Necker et professeur à l’université Paris-V, il existe près d’une cinquantaine de formes d’anomalies, ce qui rend la question extrêmement complexe. En effet, la différenciation homme-femme ne porte pas seulement sur la paire des chromosomes sexuels (XX chez la femme et XY chez l’homme).

Elle peut aussi dépendre du dysfonctionnement d’un gène. «Un garçon peut avoir les deux chromosomes XX mais il peut lui manquer des gènes de masculinisation», explique le Dr Fékété. Les troubles varient d’un hémisphère à l’autre. Ainsi la présence simultanée d’un ovaire et d’un testicule (ovotestis ou vrai hermaphrodisme) est fréquente chez les populations bantoues, sans qu’on sache pourquoi. Les DDS peuvent maintenant être repérés au stade de l’embryon par échographie et diagnostiqués plus précisément grâce à un prélèvement du liquide amniotique.

“De toutes les aberrations sexuelles, la pire est la chasteté.”
(Anatole France)

Pourquoi y a-t-il souvent des doutes sur le véritable sexe des athlètes féminines ? Le cas de Caster Semenya n’est pas le premier. Il y a eu le même type d’interrogations, récemment, avec l’Indienne Santhi Soundarajan. Le phénomène s’explique par le fait que des femmes XY peuvent avoir des caractères masculins qui leur permettent de dépasser leurs adversaires qui en sont dépourvues.

Que risque Semenya ? La fédération internationale (IAAF) a diligenté un test de féminité. Un examen long et complexe puisque, depuis 1999, le test de salive, jugé peu fiable, a été abandonné. Des experts gynécologiques et des psychologues vont donc examiner Caster Semenya pour rendre leur verdict d’ici deux à trois semaines. Mais l’IAAF a annoncé jeudi que la Sud-Africaine ne perdrait pas automatiquement son titre si elle s’avérait être un homme. «D’un point de vue légal, si on découvre que vous êtes d’un sexe différent que celui déclaré, ce n’est pas tricher», a justifié le porte-parole Nick Davies.

(e-Illico) Attentats aux Outgames 2009
Trois bombes, un athlète blessé et beaucoup de spectateurs sous le choc : tel est le bilan des attaques homophobes qui se sont déroulées mardi à Copenhague, durant les OutGames. Vendredi déjà, la journée d’ouverture de ces jeux avait été marquée par une agression… Si on ne déplore heureusement pas d’autre victime de ces attaques, nombre de spectateurs et de participants aux jeux ont été choqués par leur violence aveugle : une des bombes a en effet explosé à quelques mètres de l’endroit où dormait un enfant quelques instants plus tôt.

Un homme de 31 ans, qui tentait de s’enfuir, a été arrêté par des coureurs du Sparta Athletes Club qui l’on remis à la police danoise. Des témoins l’auraient vu en train d’envoyer les bombes. Selon les médias locaux, son sac contenait une demi-douzaine d’autres engins explosifs. L’homme s’est défendu d’avoir voulu agresser des homosexuels et a prétendu avoir jeté les bombes contre un mur. Le commissaire chargé de l’enquête ne semble pas croire ces dénégations.