COURRIER DES LECTEURS

Je m’abreuve littéralement de la chronique littéraire avec ce thriller qui me captive au plus haut point, écrit par Monsieur Bernié. Je me surprends même à garder les éditions antérieures du magazine juste pour relire son roman, j’ai toujours hâte d’avoir la suite. Merci de nous proposer une telle chronique, par épisodes, on ne voyait plus cela dans les magazines depuis longtemps.
(Monique P., Laval)

Merci Monique pour votre commentaire, le message a été fait à Jean-Philippe Bernié!
(La rédaction)

NDLR: Suite à la publication de notre dossier portant sur l’affaire Wainberg dans notre dernière édition, le journaliste Olivier Hertel, auteur de l’article d’origine en France, a souhaité ajouter le commentaire suivant: M. Wainberg prétend que je n’ai jamais répondu à ses courriels. Vous trouverez en pièce jointe une copie de nos échanges avant la parution de mon article du 1er décembre (PJ mail Wainberg erreur de jugement). Il prétend aussi avoir fait une erreur de jugement sur Immunorex. Pourtant, il connaît très bien le produit. En 2000 il a publié avec le Pr Mavoungou une étude sur ses effets contre le VIH (Le produit s’appelait alors Immunor IM28) http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/11200288

Selon ses propres aveux recueillis encore par courriel, l’étude montre qu’Immunorex n’a pas d’effet significatif anti-VIH. Sachant que le produit est inefficace, il accepte quand même en 2011 de faire partie du comité scientifique qui cautionne Immunorex dans le traitement du VIH. Et surtout, il participe en décembre 2016 à son lancement commercial en RDC.

Enfin, il prétend avoir expliqué dans ses conférences de décembre 2016 en RDC qu’on ne pouvait substituer la DHEA (Immunorex) aux ARV (antirétroviraux). Dans ce cas, pourquoi n’a-t-il pas alerté l’Onusida ou l’OMS après le lancement de ce produit en RDC? Il est important de noter que suite à notre article du 1er décembre, la RDC a décidé le 19 janvier de suspendre la commercialisation d’Immunorex.
(Olivier Hertel, France)

Suite à la publication de notre article, le Professeur Wainberg a souhaité ajouter une information sur ce qu’il considérait être une erreur de la part de Gay Globe Magazine sur un élément précis.

Il écrit: «Je pense aussi qu’il y avait une petite erreur dans votre article. Notamment, je n’ai jamais dit ou écrit que M. Hertel n’avait pas répondu à mes courriels. Je pensais que vous m’aviez écrit qu’il n’avait jamais répondu à vos courriels.». Or, après vérification des échanges courriels entre l’éditeur de Gay Globe et le Professeur Wainberg, ce dernier déclarait le 24 décembre 2016: «Oui, j’ai eu l’opportunité de lire l’article et j’ai été déçu que le journaliste qui l’a écrit ne m’a jamais contacté». Le 27 décembre 2016, en réponse à mon entrevue par courriel, le Professeur Wainberg répétait au point 4: «M. Hertel n’a jamais répondu à mes courriels.»  Enfin, avant même de publier l’article, Gay Globe l’a fait approuver par le Professeur Wainberg, afin d’éviter justement toute erreur, ce dernier l’approuvant intégralement. Nous pensions que ces faits nouveaux étaient importants afin de mieux comprendre la crédibilité des personnes dans cette affaire.
(La Rédaction)

Enfin… Enfin je pourrai enfin voir les films que vous présentez grâce à votre nouveau site compatible avec mon cellulaire. J’était affreusement frustré de ne jamais pouvoir écouter certains films classiques qui me plaisent comme avec Louis de Funès et soudainement, ça marche! Merci…….
(Michel V., Québec)

Il était plus que temps qu’on trouve une solution à ce problème d’accès aux éléments vidéos causé par le fait que le Flash n’était plus supporté par la plupart des fureteurs. En adoptant la norme HTML5, tous les utilisateurs, qu’ils utilisent un ordi, une tablette ou un cellulaire de n’importe quelle marque peuvent dorénavant écouter ce qu’ils désirent et même choisir de démarrer le film ou pas de manière à économiser de la bande passante. Vive la modernité!
(La rédaction)